06 mars 2022

L'acteur Bob Odenkirk a mis un point final à ses mémoires

Comedy, Comedy, Comedy, Drama, voici le titre de l’autobiographie que publie Bob Odenkirk ce mois-ci aux éditions Random House. De passage sur le plateau du Late Show de Stephen Colbert pour en faire la promotion, l’acteur est revenu sur un processus d’écriture difficile et solitaire très éloigné de ce à quoi il était habitué.

« J’ai écrit de la comédie durant presque toute ma carrière. C’était si difficile, Stephen. On est seul. C’est toi avec ta vie, tes souvenirs et tes pensées. Et honnêtement, avec toutes les distractions et les réseaux sociaux, je ne pouvais pas me concentrer », a expliqué la star de Better Call Saul. Histoire de détendre un peu l’atmosphère, Bob Odenkirk a alors présenté une mini-scène qui le montre en train de gronder une équipe de ghostwriters isolés dans une cabane au milieu des bois.

« C’est une autobiographie d’acteur. Simplifiez ! », leur lance-t-il à un moment de la séquence, alors que son personnage, jamais satisfait du résultat, sombre lentement dans la folie à coups de grandes lampées de whisky.

Durant l’interview, Bob Odenkirk est également revenu sur la crise cardiaque qui l’a frappé sur le tournage de Better Call Saul l’an passé. Un incident qui a changé son regard sur la vie à tout jamais.

« Pour le reste de ma vie, je penserai à la chaleur qui m’a été envoyée alors que je traversais ça », a-t-il conclu.

La Bulle : bande-annonce du nouveau Judd Apatow pour Netflix

En pleine pandémie, un groupe d'actrices et d'acteurs confinés dans un hôtel s'efforcent, tant bien que mal, de boucler le tournage du sixième volet d'une franchise d'action sur des dinosaures volants... Le pitch est fou, et c'est celui de La Bulle, la nouvelle comédie de Judd Apatow pour Netflix.

Le réalisateur de 40 ans toujours puceau s'amuse avec la crise sanitaire et ses conséquences sur l'industrie hollywoodienne. Il imagine un blockbuster obligé de tourner dans ces conditions impossibles, pour ne pas couler financièrement.

La casting réunira Karen Gillan, Fred Armisen, David Duchovny ou encore Keegan-Michael Key, Leslie Mann et Pedro Pascal.

La Bulle sotira le 1er avril sur Netflix.

The Batman : Robert Pattinson s'amuse des critiques qui avaient accompagné son casting

A la suite de l’abandon du projet d’un nouveau Batman par et avec Ben Affleck, c’est Matt Reeves qui a voulu relever le défi en créant The Batman, sorti cette semaine au cinéma. Lorsqu’il a annoncé le casting de Robert Pattinson dans le rôle principal, en mai 2019, la toile n’a pas manqué de donner son avis sur ce choix, parfois de façon virulente (ce qui avait aussi été le cas pour Ben Affleck, d'ailleurs). Aujourd'hui, l’acteur s’en amuse.

Malgré ses nombreuses tentatives pour se détacher d’Edward, le vampire sexy de Twilight, Robert Pattinson en revient toujours au même point. Pourtant, « c’est un vrai caméléon » aux yeux de Matt Reeves. Et pour cause : dandy dans Bel Ami, braqueur de banques dans Good Time ou encore gardien de phare dans The Lighthouse, il a fait ses preuves en tant que comédien en choisissant des rôles particulièrement éclectiques et en travaillant avec des réalisateurs renommés (David Cronenberg, Christopher Nolan, Claire Denis, etc). Mais en s’attaquant à ce personnage emblématique, beaucoup ont prédit qu’il ferait une "bat-astrophe", rappelle le Los Angeles Time. Prenant la critique avec beaucoup de dérision, le comédien célèbre pour répondre sans détour aux interviews a justement réagi auprès du journal américain : "Finalement, on s’est moins moqué de moi que d’habitude, j’ai été plutôt surpris ! 70% d'avis négatifs seulement ? C'est parfait !" Vu l'accueil critique de The Batman, Matt Reeves et Warner Bros. n'ont pas à regretter leur choix...

Je suis une légende 2 : Michael B. Jordan rejoint Will Smith pour la suite

De retour au premier plan avec son rôle dans La méthode Williams, pour lequel il est nommé à l’Oscar du meilleur acteur, Will Smith va de nouveau tenter de casser le box-office avec la suite de Je suis une légende (I Am Legend en VO). Pour l’épauler, le vétéran d’Hollywood pourra compter sur la star montante Michael B. Jordan, avec qui il partagera l’affiche et le rôle de producteurs. Le scénariste du premier film, Akiva Goldsman, sera lui de retour à l’écriture, précise Deadline, qui a révélé l’info, vite confirmée par les deux acteurs sur Instagram.

Attentions spoilers si vous n’avez pas vu Je suis une légende 

Si vous avez vu le film sortir en 2007, vous vous demandez sûrement comme Robert Neville, le personnage incarné par Will Smith, pourra être de retour. En effet, à la fin du film Neville se sacrifie en explosant les infectés, et lui avec, pour sauver Anna (Alice Braga) et Ethan (Charlie Tahan), après leur avoir confié l’antidote. Antidote qu’elle ramène à un camp de réfugiés dans la scène finale. 

Si Deadline n’a aucune information sur l’intrigue de Je suis une légende 2, cette annonce implique forcément que cette suite prendra en compte la fin alternative, présente sur l’édition sortie en 2008 et plus proche de celle du livre. 

Dans cette fin, le chef des infectés dessine une forme de papillon sur la vitre du labo, similaire au tatouage de la femme infectée sur laquelle Neville teste une cure. Ce dernier réalise qu’il est venu récupérer sa compagne et la libère. L’infecté hésite à le tuer, mais semble finalement lui pardonner et repart avec sa bande. Neville réalise que les nombreuses expériences qu’il a menées sur les infectés ont fait de lui un monstre à leurs yeux. Le lendemain, il abandonne ses recherches et part avec Anna et Ethan à la recherche de la colonie des survivants. 

Lors de sa sortie, Je suis une légende n’avait pas conquis la critique et connu un succès modeste au box-office, avec 256 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis et 585 millions dans le monde. Mais la perspective d’une suite portée par deux stars du calibre de Will Smith et Michael B. Jordan (qui pèsent 12 milliards au box-office à eux deux, a comptabilisé Deadline) est suffisamment alléchante pour que Warner Bros. décide de tenter le coup. 

Aucune date de tournage, et encore moins de sortie, n’est avancée à ce stade, et il reste encore à trouver un metteur en scène. C’est Francis Lawrence, qui a depuis réalisé trois Hunger Games et Red Sparrow, qui avait signé le film de 2007… 

Il était une fois en Amérique, ce soir sur Arte : le film a été sabordé par les studios

Immense film testament de Sergio Leone, Il était une fois en Amérique fut malheureusement un cuisant échec commercial à sortie américaine, puisqu'il ne rapporta que 2,5 millions de dollars sur un budget colossal pour l'époque, de près de 40 millions.

En fait, cet échec commercial fut en grande partie dû à sa mutilation. Contractuellement, Leone était tenu auprès de Warner de livrer un montage ne dépassant pas les 2h45. Si le cinéaste caressait initialement l'idée de livrer un montage de 6h en deux parties, il livra finalement une version de 4h25. Le studio et le producteur du film, Arnon Milchan, furent horrifiés, et refusèrent naturellement ce montage.

De son propre chef, Sergio Leone coupa quelques scènes pour aboutir à ce qui deviendra plus tard la version européenne de 3 h 49, version qu'il ne pouvait se résoudre à réduire encore davantage sans que cela n'entrave la logique narrative. La Major et le producteur passèrent outre les souhaits de Leone, et rabotèrent le film jusqu'à une durée de 2h19 pour son exploitation américaine.

Le résultat, critique et commercial, fut un désastre. Non seulement le film fut réduit de moitié, mais tout fut replacé dans l'ordre chronologique, ce qui dénatura complètement l'oeuvre, car c'est aussi ce qui en faisait sa force. Leone en fut logiquement profondément déprimé et meurtri.

C'est en Europe, et particulièrement en France, que le film fut ainsi exploité dès le début dans sa version de 3h49. Mais si les critiques furent pour le coup très élogieuses, le film n'attira que 1,5 millions de spectateurs. Très (très) loin derrière les 15 millions d'Il était une fois dans l'Ouest.

En 2011, la cinémathèque de Bologne, très active dans les brillantes restaurations de films, travaillait justement sur une restauration de la version d'origine du chef-d'oeuvre de Sergio Leone, jusqu'alors invisible, et en accord avec les enfants du cinéaste qui en avaient acquis les droits. Ce sont pas moins de 40 minutes inédites qui furent ainsi ajoutées aux 229 min du montage actuellement connu, portant la durée du film à 4h20. Un pur concentré de bonheur pour les cinéphiles vénérant l'oeuvre de Leone. Et ils sont nombreux.

05 mars 2022

Adriana Karembeu : son bouleversant message sur la guerre en Ukraine

Un conflit qui touche tout le monde. Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie débutée le 24 février dernier, la guerre fait rage dans le pays de l'est de l'Europe. Des centaines de milliers d'Ukrainiens ont déjà dû quitter leur maison, leur pays, pour partir se réfugier dans les pays voisins comme la Pologne ou la Moldavie. Une situation humanitaire potentiellement catastrophique à laquelle les célébrités ne sont pas insensibles. Mardi dernier, c'est Pierre Richard qui publiait un bouleversant message sur son compte Twitter : "Je plains le peuple ukrainien que j’aime et qui meurt. Je plains le peuple russe, que j’aime autant, entraîné contre son gré dans ce conflit d’une totale absurdité.  N’a-t-on retenu aucune leçon du passé ?" écrivait le comédien de 87 ans. Même inquiétude du côté d'Amel Bent, qui a félicité les Polonais pour leur accueil des réfugiés ukrainiens ces dernières semaines dans sa story Instagram.

Pour Adriana Karembeu, la situation est des plus dramatiques. Il faut dire que l'ancienne reine des podiums est engagée depuis plus de 20 ans auprès des équipes de la Croix-Rouge française, dont elle est devenue l'ambassadrice et surtout le visage auprès des Français. Alors forcément pour la grande blonde au cœur encore plus grand, le moment est grave. Sur son compte Instagram, l'ex-femme du footballeur Christian Karembeu a partagé une photo de bénévoles de la Croix-Rouge en pleine action auprès des réfugiés ukrainiens. "J'ai le cœur lourd lorsque je vois la situation en Ukraine, et ces millions de personnes cherchant un abri ou fuyant leur pays" écrit-elle avec émotion en légende de sa publication. Adriana Karembeu encourage ensuite ses abonnés à participer à l'aide humanitaire envoyée par son association pour soutenir les équipes sur place grâce à leurs dons. Une région qu'elle connaît bien, puisqu'elle est née à quelques centaines de kilomètres de l'Ukraine, à Brezno en Slovaquie.

Pete Doherty : pourquoi l'artiste a eu peur de devenir sobre

Pete Doherty a eu deux vies. L'artiste de 42 ans s'est fait connaître au début des années 2000 grâce à son groupe de rock, The Libertines. Toutefois l'ex-compagnon du top model Kate Moss a également fait couler l'encre des journaux pour des raisons plus personnelles. Sur fond de clashs avec les autres musiciens de la troupe et de drogue, le jeune homme de l'époque se perd quelque peu. "Je prenais ma guitare et j’écrivais un morceau et je me disais que ouais, ça résolvait mes problèmes, personne ne pouvait rien me dire. Mais ça a cessé de fonctionner. Donner des concerts est devenu un cauchemar, et tous mes morceaux étaient si sombres, comment étais-je supposé les jouer si je n’étais pas défoncé ? C’est là que j’ai su que j’avais besoin d’aide. Je suis allé aussi loin que je le pouvais. La prochaine étape, si je ne me faisais pas aider, c’était de me suicider. J’en étais arrivé là" avait-il alors confié au journal britannique The Independent en 2014 tandis qu'il suivait une cure de désintoxication en Thaïlande.

Loin du faste d'antan et du Royaume-Uni, le disciple d'Oscar Wilde vit sa nouvelle vie en Normandie, région dans laquelle il a élu domicile en compagnie de son amoureuse, Katia De Vidas, musicienne et fille du producteur Jean-Paul De Vidas. Dans un entretien pour Le Parisien, le quadragénaire raconte pourquoi sa période de sobriété a été difficile, au début. "J’étais en pleine cure de désintoxication, bien physiquement, heureux, mais spirituellement, créativement, j’étais à sec et un peu perdu. J’avais passé vingt ans à créer sous l’emprise des drogues et je ne savais plus si j’y arriverais en étant sobre… Frédéric (Ndlr : Frédéric Lo) est arrivé et il m’a sauvé. C’est rare de rencontrer quelqu’un à la fois créatif et technique, qui sait composer des chansons, les arranger et les produire" explique Pete Doherty. Le résident d'Étretat sort un nouvel album The Fantasy Life of Poetry & Crime, le 18 mars prochain.

Mort de l'acteur Mitchell Ryan à l'âge de 88 ans

Les nouvelles se suivent et se ressemblent tristement. Alors que la France pleure la disparition de son présentateur télévisé préféré - Jean-Pierre Pernaut est décédé à 71 ans le 2 mars dernier -, les Etats-Unis viennent eux aussi de perdre une personnalité qui leur est chère. Il s'agit de l'acteur Mitchell Ryan, principalement connu pour avoir incarné le général McAllister, le grand méchant du premier volet de L'Arme fatale, sorti en 1987. L'acteur s'est éteint ce vendredi 4 mars à l'âge 88 ans, comme l'a révélé sa belle-fille dans les colonnes du Hollywood Reporter.

Né le 11 janvier 1934 à Cincinatti, Mitchell Ryan n'avait débuté sa carrière d'acteur qu'à la fin des années 1950. Il avait auparavant servi dans l'armée, la Marine plus précisément. C'est par la série Dark Shadows qu'il avait finalement été révélé au grand public, avant de jouer en 1973 dans le western de Clint Eastwood, L'Homme des hautes plaines. La même année, il avait tenu le rôle principal de la série Chase.

Bien qu'il ait plusieurs fois joué au cinéma - notamment au côté de Jim Carrey dans Menteur, menteur (1997) -, c'est surtout pour ses rôles sur le petit écran qu'était connu Mitchell Ryan. Dans les années 1980, il avait joué dans de très nombreuses séries telles que Dallas, Pour l'amour du risque, L'agence tout risque ou Riptide.

Il avait également joué des rôles plus dramatiques, notamment dans la mini-série sur la guerre de sécession, Nord et Sud puis à la fin des années 1980, dans Santa Barbara. Mais s'il est un visage si familier des téléspectateurs, c'est avant tout grâce à ses apparitions dans Les Craquantes, Rick Hunter, Arabesque ou encore Le Rebelle. Côté vie privée, Mitchell Ryan avait épousé Lynda Morse en 1972, avant de divorcer quelques années plus tard. Le couple avait eu trois enfants.

Guerre en Ukraine : le producteur ukrainien Denis Ivanov demande le boycott des films russes

Il faut arrêter de soutenir la Russie et boycotter ses films. Voilà, en substance, le point de vue de Denis Ivanov. Le producteur ukrainien, connu pour les films Donbass, The Tribe et Black Level, notamment, s’est livré à une charge violente contre la guerre lancée par Vladimir Poutine dans son pays. Évoquant clairement un « génocide contre les Ukrainiens », il insiste pour que l’industrie du cinéma ne se rende plus complice du gouvernement russe.

« La plupart des réalisateurs russes de "l’opposition" ne peuvent travailler que parce qu’ils ont été autorisés à le faire par le régime de Poutine. Ils ont leur rôle dans la pièce, écrite et mise en scène au Kremlin. La présentation de leurs œuvres lors de festivals de cinéma n’a qu’un seul but : montrer faussement que la Russie fait partie du monde dit civilisé. À l’intérieur de la Russie, chaque participation d’un film à un festival de cinéma serait le signe que "les affaires continuent", même en période de massacres de civils ukrainiens », écrit le producteur dans une lettre ouverte relayée par Variety.

Denis Ivanov va également jusqu’à encourager les réalisateurs russes à se joindre au mouvement, en refusant de représenter la Russie lors des festivals. « Refuser de représenter leur pays dans les événements internationaux et faire une déclaration à ce sujet. Cet acte de solidarité serait le message anti-guerre le plus clair et le plus éloquent pour le monde et les Ukrainiens. (…) Ce n’est pas le bon moment pour les tapis rouges pour nos chers collègues russes », a ajouté le producteur.

Certains festivals internationaux se sont engagés à refuser strictement les films russes, comme ceux de Stockholm et de Glasgow, tandis que le festival de Cannes s’est pour le moment contenté d'annoncer qu’il refuserait « les délégations officielles russes et n’accepte pas la présence de personnes liées au gouvernement russe », tout comme la Mostra de Venise.

« Les professionnels du cinéma ukrainien sont maintenant partis à l’armée, ou aident en tant que volontaires, ou se protègent des missiles russes dans des abris, ou évacuent leurs familles de la zone de guerre. Leur "expression artistique" est limitée par ces circonstances. En leur nom, je demande de soutenir notre boycott du cinéma russe dans toutes les manifestations cinématographiques internationales et dans toutes les organisations internationales jusqu’à ce que le gouvernement russe finisse à La Haye », a conclu Denis Ivanov.

Lady Gaga sera finalement présente aux Oscars, mais pour remettre un prix

Lady Gaga a beau être absente des nommés aux Oscars cette année, ça ne veut pas dire qu’on ne la verra pas pour la grand-messe du cinéma américain. La chanteuse et actrice, dont la performance dans House of Gucci avait été encensée par la critique (mais apparemment pas autant appréciée par ses pairs), fera partie des stars invitées à monter sur scène pour remettre un prix.

« Nous sommes ravis d’accueillir sur la scène des Oscars les premiers membres d’une équipe exceptionnelle qui nous aideront à célébrer le pouvoir du cinéma et à honorer les meilleures œuvres de l’année », a déclaré Will Packer, le producteur de la cérémonie, dans un communiqué relayé par Vulture.

Parmi les autres stars du cinéma qui remettront des prix, on retrouvera notamment Kevin Costner, Zoë Kravitz, Rosie Perez, Chris Rock, et Youn Yuh-jung. Mais attention, la liste ne s’arrête pas là, et devrait s’agrandir dans les jours à venir, d’après l’agence AP.

Cette année, la production a choisi trois présentatrices pour lancer la soirée. Regina Hall, Amy Schumer et Wanda Sykes seront en effet chargées d’animer la remise de prix, qui aurait lieu, comme d’habitude, au Dolby Theatre de Los Angeles.

Le film de Jane Campion The Power of the Dog part favori, avec 12 nominations, suivi de près par Dune, de Denis Villeneuve, qui concourt pour 10 statuettes. La cérémonie sera diffusée en direct aux Etats-Unis sur la chaîne ABC, et en France sur Canal Plus, le 27 mars prochain.