05 novembre 2024

Netflix sous le coup de perquisitions pour soupçons de fraude fiscale

Dans le cadre d'une enquête préliminaire pour des soupçons de fraude fiscale, deux perquisitions sont en cours chez Netflix en France et aux Pays-Bas, a appris BFMTV de source judiciaire.

Ouverte en novembre 2022, cette enquête comprend les chefs de blanchiment de fraude fiscale aggravée et de travail dissimulé en bande organisée. Les perquisitions sont menées par les enquêteurs de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières, en lien avec des membres du parquet national financier.

Ces perquisitions, dont l'une d'elles se déroule à Amsterdam, se fait en coopération avec les autorités néerlandaises et Eurojust, l'unité de l'Union européen pour une meilleure coopération judiciaire entre les Etats membres.

La filiale française de Netflix a déjà été visée par un contrôle fiscal en août 2023 en raison de ses techniques de refacturations. Elle minimisait son imposition en France en déclarant aux Pays-Bas son chiffre d'affaires dans l'Hexagone. Elle n'avait versé que 981.000 euros d'impots entre 2019 et 2020, alors qu'elle revendiquait 7 millions d'abonnés.

Un ours dans le Jura : bande-annonce avec Franck Dubosc et Laure Calamy

Trois ans après le tendre Rumba la vie (2022) et six ans après la comédie romantique Tout le monde debout (2018), Franck Dubosc dévoile son troisième film de réalisateur. Dans un genre totalement différent, Un Ours dans le Jura sera un polar glacé. Une comédie noire qui suivra un couple tombant sur un gros paquet d'oseille pas très net...

"Michel et Cathy, un couple usé par le temps et les difficultés financières, ne se parlent plus vraiment. Jusqu’au jour où Michel, pour éviter un ours sur la route, heurte une voiture et tue les deux occupants. 2 morts et 2 millions en billets usagés dans le coffre, forcément, ça donne envie de se reparler. Et surtout de se taire" s'amuse le synopsis officiel dévoilé par Gaumont.

Aux côtés de Franck Dubosc, c'est Laure Calamy qui jouera sa femme dans le film, tandis que Benoît Poelvoorde et Joséphine de Meaux seront les gendarmes sur l'enquête.

Un Ours dans le Jura sortira le 1er janvier prochain au cinéma.

La Zone d'intérêt : les différences entre le livre et le film

Canal + diffusera ce soir La Zone d'intérêt, drame puissant de Jonathan Glazer (Birth, Under the Skin...), qui était reparti du festival de Cannes 2023 avec le Grand Prix. Notre critique est à lire ici, et ci-dessous, nous repartageons un article décryptant le travail d'adaptation du cinéaste britannique.

Les fans de l'œuvre d'Amis qui sont allés voir l'adaptation qu'en a faite Jonathan Glazer avec La Zone d'intérêt ont dû, au début du film, se demander s’ils ne s’étaient pas trompés de salles… En “adaptant” le roman de Martin Amis, le cinéaste n’a gardé que quelques rares éléments du livre. Le contexte (un camp d’extermination allemand), un commandant nazi, et la Shoah en toile de fond. C’est que l’étrange plongée cauchemardesque à laquelle nous “conviait” Amis n’a été, au fond, qu’un point zéro pour Glazer. “Une étincelle initiale”, comme il l’expliquait récemment à un journaliste du Monde : “J’ai été fasciné par les personnages, mais j’ai poursuivi ensuite le voyage à ma manière. Je pense tout de même qu’à certains endroits la trivialité que je décris peut rejoindre le registre grotesque du roman.”

De fait, l’intrigue du livre et celle du film n’ont pas grand chose à voir. Dans La Zone d’intérêt, publié en France en 2015, le bad boy des lettres britanniques décrivait le quotidien d'un camp d'extermination par le biais du baroque et de la farce radicale. Le roman suivait trois personnages : Paul Doll, le commandant des lieux, un horrible bonhomme libidineux, alcoolique notoire, qui réceptionne les convois sans (se) poser la moindre question. Doll, partiellement inspiré par Rudolf Höss, était beaucoup plus débauché que son modèle - on était chez Amis ! Il y avait également l’officier SS Angelus Thomsen, un obsédé sexuel qui se rapprochait un peu trop de la femme de Doll. Et enfin, Szmul, un Sonderkommando qui servait d'acolyte au commandant.

Ces trois personnages racontaient l’action dans une succession de chapitres narrés à la première personne, dégueulaient leurs dépressions, leur mal-être ou leurs pulsions les plus intimes et permettaient ainsi au romancier de mettre en scène la banalité du mal. Avec beaucoup d’humour (noir, grotesque, grinçant). Loin de l’imagerie d’Epinal - le SS aristocrate, érudit décadent - Amis portraiturait des petits bourgeois médiocres, des fonctionnaires mauvais, obsédés par leurs N+1 et par leurs coups du soir. Et un juif, obligé de collaborer pour survivre… La Shoah se déroulait donc à l’ombre d’un vaudeville (ou l’inverse) et, passant d'un point de vue à l'autre, Amis dessinait une histoire symbolique et lamentable du nazisme. Pendant que les maîtres du camp se vautrent dans le stupre, ne pensent qu’à baiser, boire ou monter dans l'organigramme, derrière le mur, l’Holocauste se poursuit. 

La version cinéma de La zone d'intérêt s'écarte considérablement de la construction complexe du roman et de ses personnages bouffons ou tragiques. Glazer maintient le spectateur à distance et opte pour une vision froidement objective. Contrairement au livre le cinéaste ne franchit jamais les portes du camp, il a plutôt imaginé un "Big Brother dans une maison nazie". C’est comme cela qu’il a décrit son système de tournage (dix caméras cachés dans les murs de la maison construite par l'équipe de production du film) qui lui a permis de se focaliser sur le quotidien de la famille Höss. Oui : on a bien dit Höss. Se débarrassant des biographies fictives du livre - Paul Doll et sa femme Hannah - Glazer reprend les patronymes réels de Rudolf et Hedwig Höss, le véritable commandant d’Auschwitz et son épouse. Il les dépeint comme l'archétype de la famille allemande, ne laissant entrevoir les fissures de leur relation qu'à travers des allusions aux aventures extra conjugales de Rudolf.

 Plus rien de vulgaires ici, plus de rivalités amoureuses ou d’intrigues sexuelles pathétiques… Rudolf (incarné par Christian Friedel) est un homme dans la fleur de l'âge et au sommet de sa carrière, il s'écarte en cela résolument du portrait du commandant du roman. Glazer refaçonne également le personnage d'Hannah, qui en (re)devenant Hedwig (Sandra Huller, terrifiante) perd un peu de sex appeal et de surmoi “amisien”, pour mieux incarner l'idéal hitlérien de l'épouse et de la mère allemande. Dans le film, surnommée "la reine d'Auschwitz" par son mari, Hedwig est sans doute le personnage le plus toxique, et sa glaçante engueulade avec son mari, qui lui annonce son transfert, est inspirée de documents historiques relatant une dispute similaire entre les époux. 

L'adaptation de La Zone d'intérêt par Glazer s'éloigne donc radicalement du livre original; au point qu’on se demande presque pourquoi Glazer est nommé dans la catégorie meilleure adaptation des Oscars. Pourtant, son film reste un huis clos étouffant et sordide, insupportable, qui convoie la même finalité que le bouquin d’Amis : faire le portrait d’une nature humaine immonde, monstrueuse, capable de nier ou d’ignorer le Mal absolu qui se produit sous ses fenêtres.

Netflix : Outer Banks sera de retour pour une 5e et dernière saison

Outer Banks est l'une des séries les plus populaires et appréciées sur Netflix. La fiction de Josh Pate, Jonas Pate et Shannon Burke a réussi à rassembler une large communauté de fans qui sont friands d'histoires d'amour, d'amitié et d'aventure.

Cette série pour jeunes adultes met en scène les Pogues, une bande d'amis composée de John B (Chase Stokes), Sarah (Madelyn Cline), Kiara (Madison Bailey), JJ (Rudy Pankow), Pope (Jonathan Daviss) et Cleo (Carlacia Grant), qui se lancent dans diverses chasses aux trésors, liées de près ou de loin à des secrets familiaux.

Et alors que la partie 2 de la saison 4 d'Outer Banks arrive très bientôt sur Netflix, le géant américain et l'équipe de la série a annoncé une excellente nouvelle aux fans. La fiction est renouvelée pour une cinquième saison !

Outer Banks rentre ainsi dans le cercle très fermé des séries Netflix qui comptent le plus de saisons, même si elle est loin du record établi par la fiction espagnole Elite, qui a atteint le nombre de 8 salves d'épisodes

Avant d'en savoir plus sur cette cinquième saison, déjà en cours d'écriture, les créateurs de Outer Banks ont teasé la deuxième partie de la saison 4, qu'ils estiment être "la saison la plus longue et la plus difficile – mais la plus gratifiante – à produire" avec un épisode final ayant la durée d'un film, qui serait, selon eux, "le meilleur et le plus puissant".

Mais la bonne nouvelle d'une cinquième saison s'accompagne aussi d'une mauvaise, puisque les créateurs d'Outer Banks ont annoncé que la saison 5 serait également la dernière.

C'est dans une lettre émouvante partagée aux fans que les créateurs de la série ont fait part de la nouvelle tout en se remémorant certains souvenirs, notamment la genèse d'Outer Banks : une photo de l'été 2017 d'adolescents sur une plage au crépuscule lors d'une panne de courant, qui les a inspiré.

Si l'annonce de la fin de la série s'accompagne déjà d'un sentiment de nostalgie, c'est aussi une certaine satisfaction pour les créateurs d'Outer Banks car c'était leur plan depuis le début et ils n'étaient pas sûrs de pouvoir le mettre en œuvre.

La confiance de Netflix et la popularité de la série leur permettent donc de raconter leur histoire complète. Il faudra très certainement attendre 2026 pour la cinquième et dernière saison d'Outer Banks, mais en attendant les fans vont bientôt découvrir la seconde partie de la saison 4.

La partie 2 de la saison 4 de la série "Outer Banks" sera disponible le 7 novembre sur Netflix.

04 novembre 2024

Canal+ va très bientôt perdre l’accès au catalogue de streaming de Disney+

Le tandem formé par Disney+ et Canal+ va prendre fin. Ce lundi 4 novembre 2024, le géant du divertissement américain Disney a déclaré à l’AFP que ce divorce sera effectif à compter du 1er janvier 2025. Les internautes voulant continuer à regarder le catalogue Disney+ auront l’obligation de prendre un abonnement Disney+.

Il y a cinq ans pourtant, Canal+ annonçait l’arrivée prochaine de Disney+ dans son bouquet d’offres. C’était alors un joli coup de la chaîne française, qui s’imposait un peu plus comme la plateforme de référence de la vidéo à la demande par abonnement (SVOD) en France. Précédemment, Canal+ avait déjà signé un deal avec Netflix.

« Les clients de Canal+ ne pourront plus regarder nos nouveaux films, ni accéder à Disney+ ni à nos chaînes de télévision via leur abonnement. Cependant, l’ensemble de nos productions – films, séries, documentaires – resteront accessibles à tous directement sur Disney+ », a prévenu Disney. C’est un coup de tonnerre dans le streaming.

Cette rupture entre les deux partenaires était dans l’air du temps. Mi-juin, Canal+ dégradait Disney+ dans ses offres, y compris les abonnés actuels. On évoquait déjà la perspective de la fin de l’accès à la plateforme américaine via Canal, à moins d’un nouvel accord. Celui-ci n’est jamais venu, car Disney préfère désormais faire cavalier seul.

En l’espace de quelques années, Disney+ est devenu l’un des principaux acteurs de la SVOD en France et dans le monde. Une ascension permise par la possession de licences très fortes (Disney, Pixar, Marvel, Star Wars), mais aussi des documentaires National Geographic et l’adjonction d’une section « Star » pour des contenus plus matures.

Résultat, les internautes qui avaient opté pour un abonnement onéreux sur Canal+ pour avoir l’assurance de couvrir un maximum de services de SVOD vont peut-être le trouver à l’avenir moins attrayant avec une plateforme en moins. Par exemple, l’offre à 80 € par mois inclut Netflix, Disney+, Apple TV, Paramount, Max, diverses chaînes, ainsi que tout Canal.

Actuellement, il faut compter au minimum 5,99 € par mois pour accéder à Disney+ (avec de la pub) ou 9,99 € par mois (sans). Il existe aussi un forfait premium à 13,99 € par mois pour avoir accéder à de la meilleure qualité vidéo et divers avantages. Le détail des abonnements Disney+ peut être retrouvé ici.

Pour Canal+, le timing de l’annonce de Disney+ tombe au plus mal, car c’est plutôt censé être une période de fête : la chaîne célèbre ses 40 ans.

Elle a même prévu un abonnement spécial proposant un accès à Canal+ et à la totalité de ses chaînes et de ses services de streaming partenaires (dont Disney+) pour 40 € par mois, mais avec engagement de 2 ans. Mais d’ici 2 mois, celui-ci sera soudainement moins attractif, en raison du retrait du géant du divertissement.

Ce regret intime de Bérénice Bejo après The Artist

L'actrice franco-argentine a explosé avec son rôle dans The Artist, aux côtés de Jean Dujardin. En 2012, pour ce film, elle reçoit le César de la meilleure actrice et concourt à l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle.

C'est le réalisateur français Michel Hazanavicius, son compagnon depuis le milieu des années 2000, qui a réalisé le film. Ensemble, le couple a deux enfants, nés en 2008 et 2011.

Victime d'un succès international, Bérénice Bejo s'est confiée au Journal du Dimanche sur la suite. "Je ne pourrais pas me voir sur des panneaux publicitaires. J'ai du mal avec la perte de l'anonymat. J'ai très mal vécu, à la sortie de The Artist, l'explosion de notoriété." explique-t-elle. Les raisons ? Elle avait un peu perdu de sa gentillesse.

"Je n'étais pas toujours aimable avec les gens...Je le regrette, maintenant. Je comprends l'effort que font les gens et je les accueille bien." explique-t-elle avant de confier si ses enfants veulent suivre la voie de la famille au cinéma. "Non, pas mon fils. Mais ma fille de 13 ans, elle, veut écrire, réaliser, jouer, tout faire. Elle veut être Charlie Chaplin. Elle aime venir au théâtre, rester en coulisse. Je sens que c'est quelque chose de ludique pour elle. J'ai voulu faire ce métier pour ça !"

Très discrète. Bérénice Bejo, apparue récemment dans le film Sous la Seine sur Netflix, a refusé de collaborer avec une grande marque. "Quand j'ai fait The Artist, on m'a effectivement proposé d'appartenir à une grande marque. Oui, je sais, le mot est fort, mais c'est le premier qui me vient ! Je venais de tourner dans un film hyper original, muet, en noir et blanc. Pourquoi serais-je allée me mettre là-dedans ?" questionne la comédienne de 48 ans.

Et cette discrétion ne joue pas en sa faveur sur tous les plans : "Je suis passée à côté de beaucoup d'argent sans doute, et c'est aussi la raison pour laquelle on ne me met pas en couverture de magazine. Parce que je n'ai pas une marque derrière moi. J'ai mis longtemps à comprendre." affirme-t-elle. "De plus, je n'ai pas de comptes sur les réseaux sociaux. Il y a parfois des marques qui veulent m'habiller et ne le font pas, car je ne pourrais pas reposter ou quoi que ce soit. Mais je me débrouille quand même, avec des créateurs que j'adore. Mes crédits, je les paie avec le boulot, comme pour notre maison à la campagne."

Melania Trump : ces événements qui la hantent en pleine campagne électorale

Elle partage la vie d’un des candidats des élections présidentielles américaines qui fait le plus parler de lui. Avec la sortie de ses mémoires; dans lesquelles elle parle notamment de ses échanges avec Charles III, Melania Trump joue la carte de la sincérité et de la femme très proche de son mari. Pour nos confrères de Paris Match, elle est revenue sur sa vie, totalement folle, et de ses espoirs pour l’avenir.

Mais pour l’ancienne First Lady, il est bien difficile d’oublier certains événements qui lui font craindre le pire : “Même si elle (sa vie) peut paraître atypique pour la plupart des gens, c’est ma vie. Et à certains égards, elle est très classique, centrée autour de ma carrière, de mes amis, de ma famille et de ma communauté. Mais le destin apporte toujours son lot de drames. Pour moi, ce furent les deux tentatives d’assassinat dont mon mari a été victime”, décrit-elle. En effet, Donald Trump a été visé de premiers tirs, dont un qui a touché son oreille, le 13 juillet dernier en Pennsylvanie. 

Puis, en septembre dernier, alors qu’il joue au golf, un homme est arrêté avec des armes. Il prévoyait de tuer l’ancien président des Etats-Unis.

Pour Paris Match, Melania Trump revient aussi sur son rôle en tant que First Lady : “Comme première dame, je continuerai de me concentrer sur les enfants de notre nation tout en tirant parti de l’élan que j’ai déjà établi avec Be Best et ­Fostering the Future, des initiatives qui concernent la santé mentale, émotionnelle et sociale des plus jeunes. Je serai attentive à répondre à chaque nouveau besoin”.

Et avec ses quatre années passées à la Maison-Blanche, Melania Trump est confiante quant aux tâches qu’elle doit faire : “J’ai pu mesurer à quel point les gens étaient résilients. De façon plus personnelle, j’ai constaté que je pouvais gérer beaucoup de choses, plus encore que lors de la décennie précédente. En janvier, j’ai dû faire face au décès de ma mère et, six mois plus tard, à la tentative d’assassinat de mon mari”.

Adriana Karembeu a décidé de se confier sur son apparence, elle fait une mise au point

Adriana Karembeu vit une relation apaisée avec Marc Lavoine depuis plusieurs mois. Les deux tourtereaux n’hésitent pas à s’afficher ensemble. Si le chanteur a été plus bavard sur son amour, voilà que l’ancienne top model, plutôt discrète, a accepté de revenir sur cette histoire dans les colonnes de Nice-Matin. En effet, le journaliste a alors indiqué avoir demandé à Thierry Ardisson de lui donner une question à poser à Adriana Karembeu.

“De près, il est moins beau qu’à la télé Marc Lavoine ?”. De quoi faire exploser de rire la mère de Nina : “What ? Il est mieux en vrai. Et en plus, il a un cerveau. Je n’en dirai pas plus. J’ai toujours tout dit sur ma vie personnelle, mais il y a un temps pour ça”. 

Lors de cet entretien, Adriana Karembeu est aussi revenue sur son physique. En effet, depuis sa tendre enfance, sa silhouette attire les regards. Le journaliste de Nice-Matin  lui a alors posé une question étonnante : “Aujourd'hui, qui aimeriez-vous embrasser sur un tournage ?”. Ce à quoi la mère de famille a répondu : “À choisir ? Un beau gosse ! Brad Pitt passerait très très bien ! Après une pause pour m'occuper de ma fille [Nina, 6 ans, Ndlr], j'aimerais bien refaire un film”, lance-t-elle.

Mais hors de question de jouer un rôle sur lequel elle est attendue : “Avec un vrai personnage. On m'a souvent vue dans un rôle de jolie femme, mais ce n'est pas assez. Si on me veut pour mon physique, ça va. J'ai fait le tour. J'avais particulièrement aimé mon expérience dans Meurtres à Étretat. Même si c'est l'année où j'ai fait mon burn-out”.

Des confidences franches de la part d’Adriana Karembeu qui en a marre d’être cantonnée à son physique. Ce n’est pas la première fois que l’ancienne femme de Christian Karembeu fait cette mise au point.

En effet, invitée au micro de VivaCité le samedi 7 septembre, elle n’avait pas hésité à secouer l’animateur : “Et si je suis juste une jolie fille, vous allez me jeter à la poubelle ? Je ne suis pas assez bien dans cette société, je n’ai pas ma place ? Je gagne bien ma vie, je suis contente, je fais mon travail très bien, je suis indépendante, je nourris une famille, je crée des choses”, a-t-elle indiqué. “Vous n’êtes pas juste une jolie fille”, a donc répondu l’animateur. “Et si je suis juste une jolie fille ?”.

Chloë Grace Moretz fait son coming-out

Le monde la découvrait en 2010 alors qu’elle jouait le rôle d’une jeune héroïne survoltée dans le film Kick Ass, face à Aaron Taylor-Johnson. Chloë Grace Moretz, aujourd’hui âgée de 27 ans, se fait plus discrète au cinéma, même si on lui compte quelques films notables comme La cinquième vague, en 2016 ou Greta, en 2018. 

Côté vie privée, même topo, alors que la jeune femme met un point d’honneur à préserver son intimité. Par le passé, elle a eu des relations particulièrement médiatisées avec l’acteur Cameron Fuller de 2013 à 2014, puis avec Brooklyn Beckham de 2014 à 2018. Depuis, Chloë Grace Moretz n’avait plus officialisé aucune histoire, bien qu’elle apparaisse très proche de la top model Kate Harrison depuis plusieurs années. 

Ne confirmant jamais les rumeurs sur sa relation avec la mannequin, l’actrice a fini par prendre la parole ce dimanche 3 novembre, dans le cadre des élections présidentielles américaines. Dans un post Instagram, Chloë Grace Moretz a affiché son soutien à Kamala Harris, qui fait face à Donald Trump pour ce nouveau mandat. 

Parmi les raisons évoquées, la jeune femme explique que la candidate démocrate sera un soutien pour les personnes homosexuelles, dont elle dit faire partie. “Kamala Harris protégera nos droits. En tant que femme homosexuelle j’estime que nous avons besoin de protections légales pour la communauté LGBTQ +”. 

Cette prise de parole engagée marque donc le coming out officiel de Chloë Grace Moretz, après des années de spéculation. Sur Instagram, l’actrice a préféré désactiver les commentaires sous sa publication, probablement face à la vague de haine qu’elle voyait arriver. Sans surprise, ce sont ses précédents posts qui ont alors été inondés par les commentaires désapprobateurs, ponctués de propos homophobes et de soutiens à Donald Trump. 

James Van Der Beek révèle souffrir d’un cancer colorectal

James Van Der Beek a révélé hier dans un entretien pour People et sur Instagram qu’il avait été diagnostiqué d’un cancer du côlon.

« J’ai un cancer colorectal. J’ai dû faire face à ce diagnostic en privé et j’ai pris des mesures pour le résoudre, avec le soutien de mon incroyable famille », a-t-il déclaré au magazine.

D’après Santé Publique France, cette maladie « se développe à partir des cellules qui tapissent la paroi interne du côlon ou du rectum » et représente « la deuxième cause de décès par cancer tous sexes confondus ». L’acteur de 47 ans a néanmoins cherché à rassurer ses fans sur son état : « Il y a de quoi être optimiste et je me sens bien ». D’ailleurs, la star de Dawson continue de travailler malgré la maladie.

Il est récemment apparu dans un épisode de la série Walker et a d’autres projets en vue, notamment la diffusion en décembre d’une émission spéciale de deux heures, intitulée The Real Full Monty. Ce projet, dans lequel il partage la vedette avec d’autres hommes comédiens et artistes, veut sensibiliser le public sur le dépistage et à la recherche sur les cancers de la prostate, des testicules et du côlon.

James Van Der Beek a également révélé son diagnostic sur Instagram, précisant que son annonce avait été précipitée par un « tabloïd » menaçant de révéler sa maladie avant lui.

« Il n’y a pas de recette pour annoncer ce genre de choses, mais j’avais prévu d’en parler longuement avec le magazine People à un moment donné, pour sensibiliser les gens et raconter mon histoire selon mes propres termes. Mais ce plan a dû être modifié tôt ce matin lorsque j’ai été informé qu’un tabloïd allait publier la nouvelle », a-t-il expliqué dans la légende d’une photo le montrant en compagnie de l’une de ses filles.

La star a ensuite assuré se sentir « en confiance et bien » et s’est engagée à partager plus de détails « lorsque je me sentirai prêt ». Face à ce déluge d’informations dévoilées en peu de temps, James Van Der Beek a présenté ses excuses ses proches qui n’avaient pas encore été mis au courant. « Je m’excuse auprès de toutes les personnes de ma vie à qui j’avais prévu de le dire moi-même. Rien dans ce processus ne s’est produit comme je le souhaitais… Mais nous faisons avec », a-t-il confié.

L’acteur est père de six enfants avec sa femme Kimberly Brook, qu’il a épousée en 2010. Le couple a accueilli Olivia en 2010, Joshua en 2012, Annabel en 2014, Emilia en 2016, Gwendolyn en 2018 et Jeremiah en 2021.