19 janvier 2023

Christina Applegate dévoile d’ignobles messages sur son physique

Christina Applegate a répondu à un internaute qui a affirmé que la chirurgie esthétique avait changé son apparence et non la sclérose en plaques dont elle souffre. La star de 51 ans, qui a annoncé souffrir de cette maladie auto-immune du système nerveux central en 2021, a lu les commentaires sur un article de People, qui parlait de son apparition aux Critics Choice Awards avec sa fille Sadie Grace LeNoble. Une « malheureuse décision » qu’elle a souhaité rendre publique.

La star de Dead to Me a en effet pris la peine de répondre à l’un des trolls pour lui dire que « ce n’était pas gentil ». Et elle a partagé sur Twitter la réponse de l’individu. Ignoble.

« La sclérose en plaques ne t’a pas fait ressembler à ça, c’est un chirurgien plasticien qui a fait ça. Et tu es une arnaqueuse et tu n’es pas [Christina] Applegate », peut-on lire dans la capture d’écran publiée par la comédienne. « Et un mauvais chirurgien plasticien en plus », ajoute l’internaute.

Au lieu d’être choquée ou blessée par ces propos, Christina Applegate a su garder la tête haute et le sourire grâce à son « bouclier d’humour » qui la protège. « Qu’est-ce qui ne va pas avec les gens ? Au fait, j’ai ri », a-t-elle conclu.

Après le diagnostic de sa maladie, Christina Applegate a pris 18 kg et a du mal à se déplacer sans sa canne. Sa venue aux Critics Choice Awards était sa première apparition publique depuis 2021, l’année de la révélation de son problème de santé. Elle était nommée dans la catégorie meilleure actrice dans une série comique. C’est Jean Smart qui l’a remporté pour son rôle dans Hacks.

Ron Howard veut adapter Backdraft en série

Alors que Willow vient de terminer sa première saison sur Disney +, Ron Howard a déjà envie de porter un autre ses films cultes sur le petit écran. Le réalisateur confie à EW avoir envie d'adapter Backdraft, son grand classique de pompiers sorti en 1991 et porté par Kurt Russell.

"Une série Backdraft serait vraiment bien. Ce serait amusant à faire. Je crois qu'on pourrait recréer aujourd'hui la portée et l'intensité de ce que nous avions dû tourner à l'époque à huis clos mais de manière plus efficace et plus sécurisée" avance le cinéaste.

Dans Backdraft, Russell et William Baldwin jouaient deux frères pompiers en conflit et obligés de travailler ensemble lorsqu'un dangereux incendiaire mettait le feu à Chicago. 

Howard admet que certaines des séquences d'incendie filmées en réel, à l'époque, étaient très risquées : "Nous étions un peu à la limite, si vous posez la question de la sécurité au moment du tournage. Honnêtement, j'étais soulagé quand nous avons terminé de filmer. Mais de nos jours, je pense que nous pourrions nous y attaquer à nouveau et être tout aussi ambitieux visuellement, tout en ayant un cadre sûr."

Du coup, le streaming et la télévision en général ferait un support idéal pour ressortir Backdraft : 

"Le monde des pompiers est un univers formidable à explorer et il y a eu des séries, déjà, autour de casernes de pompiers. Il y a quelque chose à faire à propos d'une famille de pompiers."

"Cependant, ne pensez pas que cela signifie que ce projet est déjà en développement" tempère-t-il. "Nous n'y travaillons pas activement. Même si c'est vrai que (le producteur) Brian Grazer en parle de temps en temps. Alors peut-être un de ces jours..."

M3GAN 2.0 : la suite officialisée pour 2025

La nouvelle saga d'horreur portée par James Wan et le studio Blumhouse de Jason Blum annonce aujourd'hui la suite : M3GAN 2.0 sortira officiellement au cinéma le 25 janvier 2025.

Le scénario du film sera à nouveau écrit par Akela Cooper et au casting, on retrouvera les deux stars Allison Williams et Violet McGraw.

Pour l'heure, on ne sait pas de quoi ça parlera ni qui réalisera. Selon The Hollywood Reporter, le studio espère conclure un accord pour faire revenir Gerard Johnstone derrière la caméra.

Rappelons que M3GAN est devenu l'un des succès surprises de ce début d'année, avec plus de 100 millions de dollars de recettes dans le monde, pour un bugdet rikiki dépassant à peine les 10 millions de dollars.

Le biopic sur Michael Jackson sera filmé cette année par Antoine Fuqua

Après avoir dirigé Will Smith dans Emancipation, pour Apple TV+, Antoine Fuqua va se lancer dans l'histoire de Michael Jackson.

Lionsgate annonce que le réalisateur de Training Day et Equalizer dirigera le biopic produit par le producteur primé aux Oscars Graham King (Bohemian Rhapsody). Le scénario du film sera écrit par le triple nominé aux Oscars John Logan (Gladiator). Le duo avait travaillé ensemble sur un autre biopic, celui de Howard Hughes, dans Aviator de Martin Scorsese. Le tournage du film débutera cette année.

"Les premiers films de ma carrière étaient des vidéoclips, et j'ai toujours eu le sentiment que combiner film et musique faisait partie intégrante de qui je suis", confie Antoine Fuqua dans un communiqué. "Pour moi, il n'y a pas d'artiste équivalent à la puissance, au charisme et au pur génie musical de Michael Jackson. J'ai été influencé pour faire des vidéoclips en regardant son travail - le premier artiste noir à chanter en boucle sur MTV. Sa musique et ces images font partie de ma vision du monde".

Le film s'appellera sobrement Michael et selon le studio, il s'agira d'un "portrait inédit et approfondi de l'homme compliqué qui est devenu le roi de la pop". Le film explorera t"ous les aspects de la vie de Michael, y compris ses performances les plus emblématiques qui l'ont amené à devenir la plus grande star de son époque."

Aucune date pour le moment.

Mort du réalisateur Paul Vecchiali à 92 ans

Exigeant du temps où il écrivait pour La Revue du cinéma et Les Cahiers du cinéma, Paul Vecchiali commence sa carrière comme producteur sur les premiers moyens-métrages de Jean Eustache, puis débute la réalisation en 1961 avec Les petits drames, un film muet perdu dans lequel figurait Michel Piccoli. C'est le commencement d'une aventure qui le verra tourner jusqu'à sa mort.

Influencé par les grands mélodrames du cinéma des années 1930, il restera souvent prisonnier d'un manque de moyens qui le maintiendra dans une indépendance quasi forcée. Ses films ne rencontrent que rarement le succès, et il devient par la force des choses un cinéaste de niche, assez inconnu du grand public.

Il était l'un des cinéastes du sentiment et s'attachait à décrire des personnages souvent tragiques (En haut des marches) ou brisés (Femmes, femmes) et abordait des sujets d'actualité comme la masculinité (De sueur et de sang). Il était aussi un producteur reconnu du cinéma français, pour avoir notamment co-financé Jeanne Dielman, 23, quai du commerce, 1080 Bruxelles de Chantal Akerman ou Loin de Manhattan de Jean-Claude Biette.

Beaucoup de fans de Sylvester Stallone ne connaissent pas ce film

Connaissez-vous No Place to Hide et Rebel ? Ce sont le même film sous deux titres différents, porté par Sylvester Stallone à ses débuts et inspiré d'une histoire vraie, celle de Jerry Savage.

Dans la ville de New York d'octobre 1969, un groupe de hippies commet des actes terroristes à l'encontre de grosses multinationales qui traitent avec des régimes dictatoriaux. Le FBI est sur leurs traces et s'est assuré de placer parmi eux un de leurs agents.

Stallone joue Jerry Savage, un étudiant des plus virulents, qui va s'attacher à l'une des hippies et défendre ses idéaux révolutionnaires.

Sorti dans l'anonymat le plus complet sous le titre original No Place to Hide, le film vivra une seconde vie en vidéo sous le titre Rebel avec une affiche particulièrement mensongère, qui trompera les fans de Stallone qui se procureront la VHS puis le DVD du film :

Co-écrit par Larry Beinhart (qui signera le roman dont sera adapté Des hommes d'influence), Rebel a été tourné sans moyen et est sorti alors que Stallone était inconnu.

Après le pic de célébrité de l'acteur, le film a été remonté afin d'être présenté comme un film du Stallone superstar et hautement musclé alors qu'il s'est tourné trois ans AVANT le premier Rocky. En guise d'affiche, cette nouvelle version a un visuel tout droit issu de Haute sécurité, pourtant sorti 16 ans après.

L'arnaque sera reconduite une deuxième fois puisque Rebel, clairement identifié comme un drame, connaîtra un second remontage sous la forme d'une comédie intitulée A Man Called... Rainbo, sortie en 1990.

Sylvester Stallone tournera encore 2 épisodes de série (dont un dans Kojak, S03E02) et six rôles au cinéma avant de devenir le héros de Rocky, qui le propulsera au rang de star de cinéma.

Ensuite, de Rocky en Rambo, sa carrière s'orientera malgré lui quasi exclusivement vers le cinéma d'action, seule facette de son talent vraiment réclamée par le public. Et à Hollywood, le public est roi. 

18 janvier 2023

Lizzo pense que la cancel culture est devenue n’importe quoi

Pour Lizzo, la cancel culture est devenue « une mode » et s’est complètement éloignée des vrais problèmes auxquels elle s’adressait au départ. « Ça pourra sembler sorti de nulle part, mais ça me pèse sur le cœur… La cancel culture est une appropriation », a écrit l’artiste sur Twitter.

« Il y avait de vraies indignations exprimées par des gens réellement marginalisés mais désormais c’est devenu un truc à la mode mal utilisé et mal dirigé. J’espère qu’on pourra mettre un terme à tout ça et diriger notre indignation vers les vrais problèmes. »

Des propos qui ont remporté l’approbation de nombreux internautes, certains n’ayant pas hésité à pousser la réflexion de Lizzo un peu plus loin. « Je ne veux pas que les gens se fassent rayer de la carte. Je veux que les gens soient *tenus responsables* et assument les conséquences de leurs mauvaises actions/crimes. Est-ce trop demander ? », a commenté une internaute. Un autre a rapproché le dévoiement de la « cancel culture » à l’usage détourné de la notion de « wokisme » : « Tu m’as rappelé la façon dont les nationalistes blancs se sont appropriés le terme “woke” en l’instrumentalisant contre la communauté qui l’avait forgé. »

Notons par ailleurs que les propos de Lizzo sont intervenus alors qu’elle a elle-même été victime de la « cancel culture » au point de devoir changer les paroles de l’une de ses chansons.

Critiquée, Gwen Stefani justifie ses emprunts à la culture japonaise pour son album de 2004

Taxée d’appropriation culturelle pour avoir utilisé la culture japonaise au profit du marketing de son album de 2004 Love. Angel. Music. Baby et son parfum de 2008 Harajuku Lovers, Gwen Stefani tient à défendre sa démarche. Pour l’interprète de The Sweet Escape, il ne faut pas confondre influence et appropriation.

« Ça a été mon influence japonaise. Cette culture m’apparaissait comme tellement riche, traditionnelle tout en étant futuriste, et avec une telle attention donnée à l’art, aux détails et à la discipline qu’elle me fascinait », a-t-elle expliqué au magazine Allure, avant de se remémorer le choc qui lui avait provoqué la découverte du quartier d’Harajuku, à Tokyo.

« Je me suis dit, “Mon Dieu, je suis japonaise et je ne le savais pas” », s’est souvenue Gwen Stefani. « Si on vient me critiquer pour être fan de quelque chose de beau et pour l’avoir partagé, je pense simplement que ce n’est pas juste. Je pense que c’était une belle période de créativité, un match de ping-pong entre la culture Harajuku et la culture américaine. »

Et de conclure : « Ça devrait être okay d’être inspiré par d’autres cultures. Si on se l’interdit, alors ça divise les gens, vous ne croyez pas ? »

Pour Pamela Anderson, écrire ses mémoires a été « salvateur »

Pamela Anderson va enfin raconter son histoire avec ses propres mots. Le 31 janvier prochain paraîtront simultanément Love, Pamela, une autobiographie, ainsi que Pamela, A Love Story, un documentaire Netflix. Et de l’aveu de la star d’Alerte à Malibu, ces deux projets ont eu de véritables vertus thérapeutiques.

« Je me sens un peu anxieuse à l’approche de la sortie, parce que, au final, retracer le fil de ma vie de mon premier à mon dernier souvenir, ça a été une année de thérapie », a confié Pamela Anderson à People à propos de son livre. « J’en suis vraiment fière. J’en ai écrit chaque mot. Je n’avais pas de collaborateur ou de ''ghostwriter'', rien de tout ça. »

« C’est juste l’histoire d’une fille qui raconte comment elle s’en est sortie : une fille originaire d’une petite ville qui va à Los Angeles et qui traverse toutes les folles et sauvages aventures que j’ai connues avant de boucler la boucle et de revenir chez elle », a poursuivi Pamela Anderson.

Un processus plutôt bouleversant pour la star. « Je n’avais pas idée de la colère que j’avais en moi ni d’à quel point ça allait être thérapeutique non seulement pour moi, mais aussi pour les gens autour de moi, comme ma mère. Ça a été un processus salvateur. Je suis tellement heureuse de partager ça et j’espère que ça inspirera les gens », a-t-elle ajouté.

L’an passé paraissait Pam & Tommy, une série revenant sur le scandale de la sextape de l’actrice et son ex-mari, Tommy Lee. Une série pour laquelle elle n’avait pas eu son mot à dire et sur laquelle elle n’avait fait aucun commentaire. Avec cette autobiographie, Pamela Anderson vient, en quelque sorte, reprendre le contrôle de sa propre histoire.

Emménager avec Ben Affleck a été une « transition émotionnelle » pour Jennifer Lopez

Vivre sous le même toit que Ben Affleck après leur mariage a bouleversé Jennifer Lopez. Si la chanteuse confirme que 2022 a été une excellente année, elle a aussi été celle de l’adaptation.

« Nous avons emménagé ensemble. Les enfants ont emménagé ensemble. C’est comme une transition émotionnelle, mais en même temps tous vos rêves se réalisent », a-t-elle déclaré dans Today hier.

Il faut dire que Jennifer Lopez et Ben Affleck doivent gérer une partie du temps avec cinq adolescents sous le même toit. La chanteuse et actrice partage la garde de ses jumeaux, Max et Emme, 14 ans, avec son ex-mari, Marc Anthony. Quant au réalisateur d’Argo, il éduque Violet 17 ans, Seraphina 14 ans et Samuel 10 ans avec son ex-femme Jennifer Garner.

Un défi qui semble être une réussite, comme la star de Marry Me l’avait expliqué en décembre dans le magazine Vogue.

« La transition est un processus qui doit être géré avec beaucoup de soin. Ils ont tellement de sentiments. Ce sont des adolescents. Mais ça va très bien jusqu’à présent. Ce que j’espère cultiver avec notre famille, c’est que ses enfants ont une nouvelle alliée en moi et que mes enfants ont un nouvel allié en lui, quelqu’un qui les aime vraiment et qui se soucie vraiment d’eux, mais qui peut avoir une perspective différente et m’aider à voir des choses que je ne peux pas voir avec mes enfants parce que je suis tellement liée émotionnellement », avait expliqué Jennifer Lopez.