27 mars 2024

Lea Michele annonce être enceinte et affiche son joli baby bump

Lea Michele s’apprête à renouer avec les joies de la maternité. Souvenez-vous, en mai 2020, l’actrice emblématique de la série Glee avait annoncé sa première grossesse avec son ami de longue date et mari Zandy Reich. Un célèbre homme d'affaires américain qu'elle avait épousé un peu plus d'un an auparavant. Une grossesse qui avait été marquée malheureusement par un drame, elle qui avait déjà dû affronter la mort de Cory Monteith, décédé d'une overdose en juillet 2013.

Pendant sa première grossesse, c’est son ancienne collègue de la série Glee Naya Rivera qui avait été retrouvée morte dans un lac le 13 juillet 2020, soit sept ans jour pour jour après la mort de Cory Monteith, son ex-compagnon. Finalement, le 20 août 2020, Lea Michele accueillait son premier enfant. Lea Michele avait donné naissance à un petit Ever Leo qui fait aujourd’hui son bonheur. C’est sur Instagram qu’elle annonçait la superbe nouvelle à sa communauté.

Une communauté qui a appris avec beaucoup de bonheur que leur idole attend à présent son deuxième enfant. Ce mercredi 27 mars 2024, Lea Michele Sarfati de son nom complet a annoncé de la plus belle des façons attendre un autre enfant. Pour l’occasion la star de 37 ans a dévoilé son très beau baby bump. “Maman, papa et Ever sont comblés de joie”, a-t-elle écrit afin de commencer cette sublime nouvelle. Une grossesse que le couple attendait avec impatience. En effet, Lea Michele avait ouvertement parlé des difficultés rencontrées pour concevoir un deuxième enfant ces dernières années. "Notre parcours pour accueillir [notre deuxième bébé] dans ce monde n'a pas été facile, et nous avons déjà connu quelques peines cette fois-ci," avait-elle écrit en Story sur Instagram en mars 2022. Elle ajoutait qu'elle a "foi que Dieu nous enverra un autre enfant au moment opportun." 

Michael JacksonLa mère de Michael Jackson trouve les gestionnaires de l’héritage de son fils un peu radins

Elle a fait les comptes et avance que la somme de 1,5 milliard de dollars est disponible dans le trust familial géré par John Branca et John McClain, les deux exécuteurs testamentaires. Ces derniers ont refusé sa demande, estimant qu’elle avait les moyens de régler, ayant perçu 55 millions de dollars depuis le décès du chanteur.

Katherine Jackson souhaite faire appel de la décision de justice en faveur des gestionnaires sur une importante transaction financière du patrimoine. Si ce n’est pas explicitement cité, il s’agirait de la vente d’une partie du catalogue de Michael Jackson pour 600 millions de dollars.

La mère du roi de la pop refuse cette vente, arguant que le chanteur de Thriller ne souhaitait pas disperser ses créations. Une position partagée par son petit-fils Blanket lors de leur tentative de faire annuler la transaction financière, même si celui-ci semble aujourd'hui avoir baissé les bras. Le jeune homme, qui se fait désormais appeler Bigi (blanket signifie doudou en anglais), a déposé des documents à la cour : il a fait savoir qu'il n'était pas favorable à l'appel souhaité par sa grand-mère, estimant qu'il avait peu de chance d’aboutir. Néanmoins, si la cour souhaite autoriser le paiement des frais d’avocats par le trust familial, il espère que ce règlement soit fait « de façon raisonnable ».

Katherine Jackson, elle, affirme dans les documents déposés au tribunal, relayés par People, que John Branca et John McClain restreignent l’accès aux fonds à tous les héritiers « pour garder le contrôle et empêcher une distribution plus libre du trust ». Ses frais d’avocats pour faire appel sont estimés à 500.000 dollars.

Avec 1,5 milliard de dollars accessibles, même après le règlement de tous les frais, y compris les 20 % que la famille donne aux bonnes œuvres, cela « laisse des centaines de millions de dollars disponibles pour les bénéficiaires ».

Comme le rappelle la publication, Katherine Jackson n’est pas l’une des héritières directes du patrimoine. Elle est, en revanche, la seule bénéficiaire d’un « sous-trust » qui dépend de celui de l’héritage, comme l’avait souhaité Michael Jackson dans son testament.

Le coup de gueule d'Olivia Colman contre les inégalités salariales liées au genre à Hollywood

La liste est longue des actrices ayant dénoncé les inégalités de salaires hommes/femmes à Hollywood. Patricia Arquette, Jennifer Lawrence, Natalie Portman, Reese Witherspoon, Emma Watson, Emma Stone...

L'année dernière, en pleine promotion de La Couleur pourpre, Taraji P. Henson avait vu les larmes lui monter en évoquant sa lassitude grandissante face à ce combat qui lui donnerait presque envie de mettre fin à sa carrière.

Tout récemment, c’est Olivia Colman qui a dénoncé cette pratique systémique profondément ancrée dans les mœurs d’Hollywood. En tournée promotionnelle pour Scandaleusement Vôtre, le troisième long-métrage de la britannique Thea Sharrock, l’actrice oscarisée a profité d’une interview accordée au média CNN pour exprimer son avis sur la question :

“Ne me lancez pas sur la question des inégalités salariales, mais les acteurs sont mieux rémunérés car on disait autrefois qu’ils attiraient plus de spectateurs. En vérité, ça n’est plus vrai depuis des décennies, mais c’est une excuse qu’ils aiment toujours utiliser pour ne pas payer les femmes autant que leurs homologues masculins.”

Olivia Colman sait de quoi elle parle. A 50 ans, la comédienne a participé à près de trente productions pour le grand écran, de Hot Fuzz à La Favorite, en passant par La Dame de fer, Le Crime de l’Orient Express, The Lobster, The Father et par ses passages mémorables à la télévision dans The Crown, Broadchurch et Fleabag.

D’ailleurs, loin de lancer des généralités, l’actrice revient sur sa propre expérience après que la présentatrice lui a demandé si elle a elle-même subi des inégalités salariales :

“Je suis consciente du fait que si je m’appelais Oliver Colman, je me ferais foutrement plus d’argent. Je sais que ça m’est arrivé à une occasion précise, avec une différence de 12 000%. Faites le calcul, je sais.”

L’interprète ne cite pas le film en question, mais celui-ci s’ajoute donc à la liste des productions dévaluant les actrices, qui peuvent gagner jusqu’à 30% de moins que leurs partenaires. A titre d’exemple, en 2019 Ellen Pompeo avait appris que Patrick Dempsey gagnait deux fois plus qu’elle pour Grey's Anatomy, alors que c'était elle la véritable héroïne de la série. Comme dirait Taraji P. Henson, “Il y a un trou dans la raquette”. Autrement dit, les calculs sont biaisés.

En tout cas, avec son casting principalement féminin, Scandaleusement Vôtre ne risque pas de tomber dans ce travers (enfin, on l’espère). Le film, sorti le 13 mars dernier, est encore visible en salles.

Un actionnaire de Disney dénonce les films woke de Marvel avec des "femmes" et des "noirs"

A l’approche de l’assemblée annuelle des actionnaires, qui se tiendra le 3 avril prochain, le climat est tendu à la tête de Disney. Après un exercice 2023 marqué par une série d’échecs au box-office, la gouvernance de Bob Iger, qui a repris la tête de la Walt Disney Company en novembre 2022, est remise en question en coulisses. Notamment par le milliardaire Nelson Peltz, qui a intégré le board de Disney en janvier dernier. 

D’après la presse américaine, Nelson Peltz fait activement campagne pour gagner deux sièges supplémentaires au conseil d'administration de Disney. Pour clarifier la situation, il a publié un communiqué expliquant que le problème n’était pas Bob Iger, mais le board de Disney. Pourtant, on a appris que sa société d'investissement, Trian Group, qui possède pour 3,5 milliards de dollars d’actions Disney (dont la valorisation frôle les 120 milliards de dollars) s'abstenait de voter en faveur de l'actuel PDG. 

Dans ce contexte, chaque prise de parole de Nelson Peltz est scrutée. Et sa dernière sortie dans le Financial Times (via Variety) n’est pas passée inaperçue. Il s’y interroge sur la stratégie "wokiste » de Disney, pointant du doigt sans les nommer des films comme Black Panther ou The Marvels : 

"Pourquoi on doit avoir un Marvel avec que des femmes ? Je n’ai rien contre les femmes, mais est-ce qu’on a besoin de ça ? On ne peut pas avoir de Marvel qui ont les deux ? Est-ce que j’ai besoin d’un casting totalement noir ?"

Pour rappel, Black Panther et Captain Marvel ont été des énormes succès, générant chacun plus d’un milliard de dollar au box-office. La suite de Black Panther, Wakanda Forever, a encore rapporté près de 860 millions, malgré l’absence de sa star, Chadwick Boseman, décédé en 2020. The Marvels a en revanche été un échec cuisant avec seulement 200 millions de recettes. 

"Les gens vont au cinéma pour être diverti. Ils n’y vont pas pour qu’on leur délivre un message", estime Nelson Peltz, toujours dans le Financial Times. Sur ce point, il est sur la même longue d’ondes que Bob Iger qui déclarait à l’automne 2023 : "Les créateurs ont perdu de vue quel devait être leur objectif numéro un. Nous devons d’abord divertir. Ce n’est pas une question de messages." 

Ce bras de fer à la tête de Disney ne date pas d’aujourd’hui. 79% des parts de Trian Group appartenaient au départ à Ike Perlmutter qui était lui aussi en conflit avec Bob Iger avant d’être écarté par Disney en mars 2023. Perlmutter est connu pour avoir opéré contre Kevin Feige et les projets de film Black Panther et Captain Marvel. Bob Iger avait alors intercédé en faveur du boss de Marvel Studios. 

Allié de Perlmutter, Nelson Peltz estime-t-il qu'il est temps de partir pour Kevin Feige, en difficulté après les récentes performances des films Marvel ? "Je ne suis pas prêt à dire ça, mais je questionne son bilan", répond-il à FT…  

Dans ce contexte houleux, George Lucas est sorti du silence il y a quelques jours pour afficher son soutien à Bob Iger tout en glissant un tacle à peine déguisé à Nelson Peltz, qui reconnait lui-même n’avoir aucune expérience dans le business des médias : 

"Créer de la magie ce n’est pas pour les amateurs. Quand Bob est récemment revenu dans la compagnie pendant une période difficile, j’ai été soulagé. Personne ne connait Disney mieux que lui. Je reste un actionnaire significatif et tous mes votes vont aux douze dirigeants de Disney et j’appelle les autres actionnaires à en faire de même".

Mark Wahlberg revient sur le tournage des Infiltrés

Avant Very Bad Cops, Fighter, Ted et la saga Transformers, Mark Wahlberg est passé par la case Scorsese en apparaissant dans Les Infiltrés. Nommé pour cinq Oscars en 2007, le film rassemble l’une des distributions les plus marquantes des années 2000. Leonardo DiCaprio, Matt Damon, Jack Nicholson, Martin Sheen et Alec Baldwin sont tous au casting de ce remake d’Infernal Affairs, opposant la police de Boston aux gangs irlandais implantés dans la ville.

Presque dix-huit ans après la sortie du film, Mark Wahlberg, qui s’était déjà exprimé sur ses désaccords avec Martin Scorsese, avoue ne pas avoir vécu le meilleur des tournages. Le 14 mars dernier, l’acteur de cinquante-deux ans participait au podcast "Happy Sad Confused". L’occasion de revenir sur certains moments clés de sa carrière, dont son rôle de sergent de l’Unité d’Enquêtes Spéciales de Boston : “Certains trucs m’ont énervé, mais au final, tout est bien qui finit bien”, commente le comédien.

Face à Josh Horowitz, il prend le temps d’expliquer son point de vue. Tout d’abord, entre le projet pour lequel il avait signé et le scénario final, son personnage avait changé :

“A l’origine, j’étais censé jouer un autre rôle. A l’origine, j’étais censé être payé. Et ensuite, même lorsque nous nous sommes mis d’accord sur le fait que je jouerais Dignam et que j’ai compris les avantages de ce rôle et la façon dont je pourrais aborder les situation avec les acteurs à qui je donnais la réplique, j’avais quand même un autre film juste après.”

Mark Wahlberg fait ici référence au tournage du film Invincible dont l’intrigue est située dans les années 1970, et pour les besoins duquel il devait se laisser pousser les cheveux. Une information qui peut paraître anodine, mais qui, ajoutée à la confrontation des différents égos déjà présents sur le tournage, a fait surgir quelques tensions : 

“J'essayais de faire pousser mes cheveux, ce qui explique ma coupe bizarre. Tout le monde me disait : ‘Qu’est-ce que c’était que cette perruque ?’. Moi je répondais : ‘C’est pas une perruque, je faisais juste pousser mes cheveux pour le film que je tournais après.'”

“Je comprends parfaitement les arguments de Marty. Il devait gérer Jack, il devait gérer Matt, Leo, et Alec, et tout ce qui se passait dans le studio et tout le reste du casting, et moi j’étais censé faire un passage éclair en cinq semaines. Je suis allé tourner Invincible, on m’a posé des extensions de cheveux, je suis revenu et on m’a dit : ‘Oh, tu dois retirer les extensions’. J’ai dit : ‘Ça m’a pris huit heures. Je ne les retirerai pas’. Il y a eu quelques problèmes.”

Malgré ses doutes, Mark Wahlberg a vite adopté le personnage de Dignam et la façon de travailler de Scorsese. Lui qui a grandi à Boston, et qui connaissait donc la culture de la ville du Massachusetts, s’est rendu compte de l’ouverture du réalisateur à l’improvisation :

“Finalement, je crois que quand j’ai découvert ce rôle en particulier, je me suis dit, ‘ça c’est un bon personnage’. C’était l’opportunité pour moi de m’évader et de m’amuser un peu. Au début, je pensais : ‘Ok, il faut faire ça de la manière la plus réaliste et crédible possible. C’est Boston, ça parle de gangsters. On n’en voit pas souvent des films comme ça’. Et je m’imaginais un film d’ensemble, sans m'attarder sur mes objectifs personnels ou l’opportunité que c’était pour moi en tant qu’acteur. Puis j’ai relu le scénario, et j’ai pensé : ‘Ok, en fait il y a quelque chose dans ce rôle’.”

Une persévérance qui a fini par payer car Mark Wahlberg fut nommé pour l’Oscar et le Golden Globe du Meilleur acteur dans un second rôle pour Les Infiltrés, un honneur qu’il ne connaîtra qu’une fois dans sa carrière. D’ailleurs, l’acteur semble avoir mis toutes ces histoires derrière lui.

Cette année, il sera à l’affiche de The Union, un film d’espionnage estampillé Netflix dans lequel il joue aux côté de Halle Berry et J.K. Simmons, et dont il est aussi l’un des producteurs.

Le nouveau film de Roman Polanski, The Palace, a une date de sortie française

Cela fait 5 ans que le dernier film de Roman Polanski est sorti. J'Accuse avait même remporté trois César, dont celui de Meilleur réalisateur. Le cinéaste français revient cette année avec The Palace, présenté au festival de Venise en septembre dernier. 

Alors que Roman Polanski est toujours confronté à des allégations d'agression sexuelle, et qu'un procès doit s'ouvrir, The Palace a désormais une date de sortie française : le film sera en salles le 15 mai 2024 et sera distribué par Swashbuckler Films.

Le propriétaire de la société, Sébastien Tiveyrat, a déclaré à Variety qu’il n’avait pas encore obtenu le visa d’exposition et qu’il n’avait pas encore commencé à contacter les exploitants en France pour réserver des salles. On ne sait pas donc pas encore à quel point le film sera visible au printemps. Plus surprenant, il concède aussi ne pas avoir encore vu le long-métrage, mais se dit convaincu du succès de cette sortie en France, où Polanski reste très apprécié. J'accuse avait attiré 1,5 million de spectateurs en salle. 

Tourné en Suisse en 2022, l'histoire de The Palace se déroule en 1999, et suit de richissimes clients passant le réveillon de la Saint-Sylvestre dans le luxueux Palace de Gstaad dans les montagnes suisses. Un jeu de massacre social dans lequel on croisera Oliver Masucci, Fanny Ardant, John Cleese ou Mickey Rourke.

Sur les réseaux sociaux, l'annonce de cette sortie et le dévoilement de l'affiche française de The Palace font déjà beaucoup parler.

Luca Guadagnino va faire tourner Julia Roberts

Le réalisateur italien de Call me by your Name, Luca Guadagnino, est de plus en plus tendance à Hollywood. Alors qu'il vient de faire tourner Zendaya dans Challengers (en avril au cinéma), il s'apprête à ramener Julia Roberts sur le grand écran, dans un thriller produit par Amazon et MGM, qui s'appellera After the Hunt.

Julia Roberts sera le premier rôle du film, écrit par Nora Garrett et réalisé par Guadagnino. Le script a fait du bruit à Hollywood, et s'avance avec la réputation d'être « l’un des meilleurs scénarios » post-grèves de l’industrie.

Décrit comme un « thriller dramatique intense », After the Hunt tourne autour d’un professeur d’université qui doit faire face à un sombre secret après qu’un de ses collègues ait été accusé par un étudiant vedette.

Aucune date ni aucun autre acteurs annoncés pour le moment.

Bande-annonce de Jusqu'au bout du monde, avec Viggo Mortensen et Vicky Krieps

Quatre ans après Falling, Viggo Mortensen repasse derrière la caméra pour son deuxième film. Jusqu'au bout du monde (The Dead Don't Hurt) sera un western romantique et dramatique, consacré à la conquête de l'ouest. Viggo Mortensen se met encore en scène et donne cette fois à la réplique à Vicky Krieps (formidable Anne des Trois Mousquetaires), pour former un couple tentant de vivre le rêve américain au Far West.

 "L’Ouest américain, dans les années 1860. Après avoir fait la rencontre de Holger Olsen (Mortensen), immigré d’origine danoise, Vivienne Le Coudy (Krieps), jeune femme résolument indépendante, accepte de le suivre dans le Nevada, pour vivre avec lui" tease le synopsis officiel. "Mais lorsque la guerre de Sécession éclate, Olsen décide de s’engager et Vivienne se retrouve seule. Elle doit désormais affronter Rudolph Schiller (Danny Huston), le maire corrompu de la ville, et Alfred Jeffries (Garret Dillahunt), important propriétaire terrien. Il lui faut surtout résister aux avances plus qu’insistantes de Weston (Solly McLeod), le fils brutal et imprévisible d’Alfred. Quand Olsen rentre du front, Vivienne et lui ne sont plus les mêmes. Ils doivent réapprendre à se connaître pour s’accepter tels qu’ils sont devenus..."

Avec aussi Solly McLeod et Danny Huston, Jusqu'au bout du monde sortira le 1er mai prochain au cinéma en France.

Les Bad Guys 2 sortiront au cinéma à l'été 2025

Après le court métrage Netflix pour les fêtes de fin d'année, Les Bad Guys de Dreamworks annoncent leur retour.

Le film Les Bad Guys 2 sortira le 1er août 2025 dans les salles américaines, annoncent DreamWorks Animation et Universal Pictures. Pas encore de date française, mais le film sera aussi voir sans aucun doute en France à l'été 2025.

Selon Deadline, dans cette suite, la team "lutte pour trouver l’acceptation dans sa nouvelle vie de Good Guys. Malgré tout, ils devront sortir de leur retraite, contraints et forcés de faire un dernier coup, avec une équipe de criminels entièrement féminine."

Côté voix, Sam Rockwell reprendra le rôle de M. Wolf, Marc Maron sera M. Snake, Craig Robinson sera M. Shark, Anthony Ramos sera M. Prianha, Awkwafina sera Mme Tarantula, Zazie Beetz sera Diana Foxington, Richard Ayoade sera le Professeur Marmalade, Alex Borstein sera Misty Luggins et Lilly Singh doublera Tiffany Fluffit.

Timothée Chalamet devient le Messie de la Warner Bros.


En tout début d'année, David Zaslav, Michael Lucca et Pam Abdy n'étaient pas peu fiers d'annoncer la signature d'un gros contrat avec Tom Cruise, pour développer au sein de la Warner Bros. des projets en commun avec la star de Mission : Impossible, aussi bien en tant qu'acteur que producteur. Fort du carton plein de Top Gun : Maverick en salles, Cruise en profitait pour mettre en avant le fait que cette collaboration concernerait des œuvres destinées au cinéma, et non des séries ou des films en streaming.

A présent, c'est Timothée Chalamet qui signe ce même genre de deal avec la firme. Il faut dire qu'il vient de participer à deux succès du studio coup sur coup : à Noël, il était en tête du box-office mondial grâce à Wonka, le film de Paul King qui a franchi la barre des 600 millions de dollars sur la planète, et depuis un mois, c'est grâce à Dune 2 qu'il cartonne : cette suite toujours conçue par Denis Villeneuve comptabilise 575 millions de recettes, et son score est encore en train de gonfler.

A seulement 28 ans, l'acteur s'engage donc à participer en priorité à des films de la Warner Bros., même s'il a officiellement le droit de tourner pour d'autres studios. La firme lui soumettra toutes sortes de projets, et Chalamet pourra demander un salaire de plus de 10 millions de dollars s'il s'engage en tant que comédien : il en avait touché 8 pour Wonka, mais vu le succès qu'il a depuis sa sortie, il a vu sa cote monter en flèche à Hollywood.

"Nous sommes très heureux que Timothée Chalamet ait choisi notre studio comme étant sa maison créative, ont immédiatement réagi Pam Abdy et Michael Lucca, qui supervisent sa branche cinéma. Ces dernières années, nous avons admiré son implication sans bornes pour cet art. Il a un talent évident, qu'il a montré sur des rôles profonds et très différents les uns des autres, et il consacre toute son attention à chaque projet sur lequel il s'engage, que ce soit au sein de la Warner Bros. ou ailleurs. Il se donne toujours à 100%. La manière dont il a collaboré à la promotion de Dune et de Wonka, c'est quelque chose que nous avons tous immensément apprécié, les résultats de ces campagnes parlent d'eux mêmes."

Prenant soin d'éviter les films de super-héros, sur le conseil de Leonardo DiCaprio, Timothée Chalamet se construit une riche carrière depuis une dizaine d'années, alternant entre films indépendants (Lady Bird, Call Me By Your Name...) et blockbusters (Intersellar, la saga Dune...). Il tourne actuellement dans A Complete Unknown, le biopic de Bob Dylan sous la direction de James Mangold (Le Mans 66, Logan...).