06 mai 2024

Mary J. Blige pense à prendre sa retraite musicale

Mary J. Blige songe très sérieusement à prendre sa retraite musicale. En l’état, l’icône du RnB se laisse encore quelques années pour finir ses projets musicaux en cours. Ce qui ne veut pas dire qu’elle se tournera les pouces après ça. Au contraire, l’artiste de 53 ans entend surtout faire de la place pour le cinéma.

« Je vais certainement prendre ma retraite dans cinq ou six ans puis continuer à jouer la comédie. Aujourd’hui, je continue à faire ce que je fais, mais pas aussi souvent qu’avant, parce que je n’y suis plus obligée », a-t-elle confié à EXTRA avant d’aborder ses projets musicaux.

« Je chante la vie… l’amour… le fait d’être stable et de comprendre que l’on peut avoir des choses comme l’amour », a poursuivi l’interprète de Family Affair. « Mais surtout l’amour que j’ai pour moi-même. Mon véritable amour, c’est moi, et je l’ai trouvé. »

Whoopi Goldberg révèle comment elle a arrêté la cocaïne

Au début de sa carrière, Whoopi Goldberg est tombée dans l’enfer de l’addiction à la cocaïne. L’actrice et animatrice de télévision a évoqué dans ses mémoires à paraître le 7 mai, Bits and Pieces My Mother, My Brother, and Me, sa consommation de drogues, lorsque ces substances coulaient aisément à flot dans le milieu du divertissement.

« J’étais restée assez éloignée des drogues, à l’exception de l’herbe, après avoir été désintoxiquée au début des années 1970 », explique-t-elle au média Page Six, mais c’était sans compter sur le début de l’aventure à Hollywood. « J’étais invitée à des fêtes où l’on m’accueillait à la porte avec un bol de Quaaludes dans lequel je pouvais piocher ce que je voulais. Des lignes de cocaïne étaient disposées sur les tables et les comptoirs des salles de bains pour être consommées. »

La star de Ghost a précisé que les invités à ces soirées savaient à l’époque que les autorités ne se rendraient pas dans les domiciles de « grands acteurs ou producteurs ». L’ambiance était donc « très décontractée » et tout le monde « jouait le jeu ». Face à cette déferlante, l’actrice a minimisé les risques d’addiction, avant de se rendre compte que la cocaïne lui « bottait le cul » et déclenchait des hallucinations, dont une l’a particulièrement marquée.

« Je n’ai pas bougé de mon lit pendant vingt-quatre heures », a écrit Whoopi Goldberg au souvenir de cet épisode où elle a cru voir une créature dangereuse réfugiée sous son lit et prête à l’attaquer au moindre mouvement. « Ce genre de merde ne se termine pas bien. Une personne ne peut retenir sa vessie que pendant un certain temps. »

Le moment fatidique est cependant arrivé lorsqu’elle a fait une rencontre inattendue dans un hôtel new-yorkais. Alors qu’elle se droguait dans le placard de sa chambre, une employée d’entretien a ouvert la porte et crié face à sa découverte : l’actrice était maculée de cocaïne.

La découverte de son visage dans une glace lui a fait l’effet d’une « gifle », mais l’actrice de 68 ans s’est sentie « chanceuse » après être parvenue à « cesser la drogue rapidement ». « Je savais que je devrais changer d’amis et refuser des invitations, mais je pouvais le faire », a-t-elle affirmé. « Je ne voulais pas mourir. »

Mort de Bernard Pivot à l'âge de 89 ans

C’est un monument des lettres qui s’est éteint ce lundi 6 mai. Bernard Pivot est décédé des suites d'un cancer à l’âge de 89 ans, comme l’a fait savoir sa famille à l’AFP. Visage du monde littéraire en France, il s’était fait connaître du grand public avec l’émission Apostrophes sur Antenne 2 dans les années 70. C’est ensuite aux commandes de Bouillon de culture ou des Dicos d’or qu’il avait accompagné les téléspectateurs. Mais Bernard Pivot était avant tout écrivain, auteur d’une vingtaine d’ouvrages et lauréat de nombreux prix. De son premier roman, L’Amour en vogue, publié en 1959 à Amis, chers amis, paru en 2022, il n’a jamais cessé de mettre en avant la langue française.

Né le 5 mai 1935 à Lyon, son enfance est marquée par la Seconde Guerre mondiale durant laquelle son père est fait prisonnier. Réfugié avec sa mère dans la commune de Quincié-en-Beaujolais, le jeune Bernard Pivot se réfugie dans les livres et en particulier dans un dictionnaire, comme il l’avait raconté sur France Inter en 2018. Une passion pour les mots qui se poursuit au pensionnat religieux où il est placé à la fin de la guerre. Élève médiocre, sauf en français, en histoire et en sport, il poursuit ses études jusqu’à intégrer le Centre de formation des journalistes de Paris en 1955 duquel il sortira vice-major de sa promotion deux ans plus tard.

Un diplôme qui lui permet d’intégrer Le Progrès à Lyon, puis l’hebdomadaire Le Figaro littéraire en 1958. À la suite de la disparition de la publication, il devient chef de service au Figaro, journal qu’il quitte trois ans plus tard quand Jean d’Ormesson en devient le directeur général. En parallèle, Bernard Pivot fait ses premiers pas à la radio et à la télévision. Entre 1970 et 1973, il tient une chronique quotidienne sur Europe 1 et anime Ouvrez les guillemets sur l’ORTF. Sa carrière est définitivement lancée et il ne lâchera plus l’antenne avec des programmes culturels comme Apostrophes, Bouillon de culture, les Dicos d’or ou encore Double je.

Papa de deux filles, Agnès et Cécile, nées de sa relation avec sa femme Monique, Bernard Pivot s’était fait très discret ces dernières années. L’écrivain, atteint d’une maladie du cerveau, avait annoncé en 2023 dans une interview au JDD qu’il se retirait de la vie publique. La fin d’une belle histoire.

Première bande-annonce de Megalopolis, de Francis Ford Coppola


"Megalopolis a toujours été un film dédié à ma femme chérie, Eleanor", a écrit Francis Ford Coppola sur Instagram. "J’espérais sincèrement célébrer son anniversaire avec elle ce 4 mai. Mais, tristement, cela ne peut pas avoir lieu, alors laissez-moi vous offrir ce cadeau de sa part." Le cadeau, c’est la bande-annonce de Megalopolis : le premier film de Coppola depuis Twixt en 2011, un projet rêvé depuis 40 ans et dans lequel il a investi une partie de sa fortune.

Cette "fable" comme l’indique le sous-titre est en compétition pour la Palme d’or au 77ème Festival de Cannes qui démarre le 14 mai prochain. Eleanor Coppola est décédée le 12 avril dernier. 

Le synopsis détaillé est également disponible : "Megalopolis est une épopée romaine dans une Amérique moderne imaginaire en pleine décadence. La ville de New Rome doit absolument changer, ce qui crée un conflit majeur entre César Catilina, artiste de génie ayant le pouvoir d’arrêter le temps, et le maire archi-conservateur Franklyn Cicero. Le premier rêve d’un avenir utopique idéal alors que le second reste très attaché à un statu quo régressif protecteur de la cupidité, des privilèges et des milices privées. La fille du maire et jet-setteuse Julia Cicero, amoureuse de César Catilina, est tiraillée entre les deux hommes et devra découvrir ce qui lui semble le meilleur pour l’avenir de l’humanité."

Megalopolis n'a pas encore de date de sortie, mais le film a un distributeur français (Le Pacte) et devrait arriver cet automne dans nos salles.

Bande-annonce de La belle de Gaza

“Elles étaient une vision fugace dans la nuit. On m’a dit que l’une d'entre elles était venue à pied de Gaza à Tel-Aviv. Dans ma tête je l'ai appelée La Belle de Gaza”, rapporte le synopsis de La Belle de Gaza.

Silhouette disparaissant dans la nuit, les femmes que Yolande Zauberman filme se déhanchent sur le rythme de la diction hachée de Lucky Love : “Dis-moi, bébé/Est-ce que je marche comme un mec ?/ Est-ce que je parle comme un mec ?/ Est-ce que je me tiens comme un mec ?,” chante le lillois dans cette chanson tirée de son EP Tendresse.

C’est avec cette même tendresse que la réalisatrice pose son regard sur les parcours de vie de toutes ces femmes, de toutes ces âmes qu’elle croise dans sa quête de la Belle de Gaza. Un court documentaire d’une heure et seize minutes, une fulgurance qui nous ouvre pourtant les portes d’un monde crépusculaire immense et insoupçonné.

Avec son dernier documentaire, Yolande Zauberman finalise un triptyque noctambule entamé avec Would you have sex with an Arab ? et M (récompensé du César du Meilleur film documentaire en 2020). Inextricablement liés, ces trois films plongent tous dans le flou intime de population ou de questionnements de la marge : le tabou des relations sexuelles entre Juifs et Arabes dans le premier, la pédophilie dans les milieux orthodoxes juifs israëliens dans le deuxième. Et maintenant, les conditions de survie des femmes trans en Israël.

“La différence entre la nuit et les ténèbres, c’est que la nuit contient encore des lumières, raconte la réalisatrice. Dans La Belle de Gaza, comme dans les deux autres films de cette trilogie de la nuit, je cherche la lumière pour repousser les ténèbres. Qu’est-ce qui peut encore nous éclairer ? Le visage d’un être aimé, celui de ces femmes, qui m’ont bouleversée.”

Cet entrelacs d’histoires vaut à Yolande Zauberman une montée des marches au Festival de Cannes 2024. La Belle de Gaza y sera présenté en séance spéciale avant de sortir le 29 mai dans les salles de cinéma françaises.

Mort de l'acteur Bernard Hill à l'âge de 79 ans

Bernard Hill était le seul acteur à être au casting de deux des films les plus nommés aux Oscars : Le Retour du roi et Titanic, forts de 11 mentions chacun. Ses partenaires de jeu sur Le Seigneur des Anneaux pleurent ce comédien britannique, disparu hier à l'âge de 79 ans.

Elijah Wood, Sean Astin, Billy Boyd et Dominic Monaghan, les interprètes du quatuor de Hobbits Frodon, Sam, Pippin et Merry, étaient invités ce week-end au Comic-Con de Liverpool, et ils ont tenu à rendre hommage ensemble à ce comédien talentueux.

"On a perdu un membre de notre famille, ce matin, a commencé Sean Astin en apprenant au public la disparition de Bernard Hill. On voulait prendre un moment pour lui rendre hommage sur scène. Vous savez qu'il aurait dû être avec nous, aujourd'hui ? On l'aimait. Il était intrépide, il était drôle, il était bourru, il était râleur, il était beau."

Billy Boyd prend alors la parole pour ajouter : "Quand on a revu les films, je me souviens avoir dit à Dom : 'Je ne crois pas qu'un autre acteur que Bill était capable d'interpréter aussi bien les mots de Tolkien.'"

Une pensée partagée par Elijah Wood, qui a posté sur son compte Twitter l'une des célèbres répliques décrivant son personnage, le roi Théoden de Rohan, accompagné d'une photo prise de lui en coulisses du tournage par Viggo Mortensen, l'inoubliable interprète d'Aragorn – en toute logique, puisque c'est lui qui dit ces mots dans les romans.

"Adieu notre ami, notre roi, Bernard Hill. On ne t'oubliera jamais. 'Car c’était un coeur noble et un grand roi, et il tenait ses serments, et il s’est levé des ombres pour une dernière belle matinée.'"

Les fans de la saga ont également publié des extraits des Deux tours ou du Retour du roi illustrant le talent de Bernard Hill pour délivrer des répliques classiques :

"Voici venue l'heure de tirer l'épée ensemble ! Cruauté réveille-toi ! Qu’importe le courroux, qu’importe la ruine et que l’aube soit rouge ! " 

En plus de sa participation à ces blockbusters cultes, Bernard Hill était célèbre pour avoir dirigé le Titanic pour James Cameron, donc, mais aussi pour une multitude de rôles secondaires chez des réalisateurs reconnus. Sa première apparition fut ainsi chez Mike Leigh, en 1973, dans le téléfilm Hard Labour, puis il a joué dans Gandhi (1982), de Richard Attenborough ou Jugé coupable (1999), de Clint Eastwood. On l'a aussi croisé chez Roger Donaldson (Le Bounty), Mathieu Kassovitz (Gothika), Bryan Singer (Walkyrie).

Egalement acteur de théâtre, Bernard Hill a participé à de nombreuses adaptations de classiques de William Shakespeare, notamment Henry VI et Richard III, pour la télévision britannique, mais aussi Antigone, de Sophocle, ou De Grandes espérances, de Charles Dickens. Pour la série de téléfilms Boys from the Blackstuff, critique ouverte de la politique de Margaret Thatcher diffusée sur BBC2 en 1982, il a reçu un BAFTA du meilleur acteur.

Neve Campbell sera mieux payée pour Scream 7

Après une série de déconvenues allant du renvoi de Melissa Barrera au départ de Jenna Ortega et du réalisateur Christopher Landon, la saga Scream a repris du poil de la bête lorsque Neve Campbell a annoncé accepter de reprendre le rôle de Sidney Prescott, héroïne des quatre premiers films, et second rôle emblématique dans le cinquième volet de la franchise horrifique.

L’actrice américano-canadienne avait ensuite refusé de revenir à cause d’un salaire qu’elle n’estimait pas en “adéquation avec la valeur qu[‘elle a] apportée à cette saga,” déclarait-elle juste avant la production de Scream VI chez Spyglass : “Si un homme avait tourné cinq films d’une aussi grosse franchise et pendant aussi longtemps, le salaire qu’on lui aurait proposé n'aurait pas été le même,” avait-elle publiquement dénoncé.

Aujourd’hui, l’actrice s’exprime sur les raisons qui l’ont motivée à remettre un pied dans l’univers horrifique de Paramount. Interrogée en exclusivité par le magazine People, l’interprète de Sidney dévoile les coulisses des négociations avec le studio : 

“Lorsqu'ils m'ont approchée pour la première fois [pour Scream VII ], je me suis dit : ‘Je ne sais pas à quoi ressemble le respect pour eux. Il se peut que nous soyons dans des considérations très différentes’. Mais ils sont partis sur une base solide, alors c'était très bien.”

"Je suis très reconnaissante au studio de m'avoir entendue lorsque j'ai parlé des écarts de salaire et du manque de respect dans les négociations de Scream VI.”

A l’annonce de son retrait de la franchise, Neve Campbell avait reçu une vague de soutien de la part de certains de ses camarades d’Hollywood, et notamment celui de David Arquette, son partenaire des premiers Scream, et celui de Kevin Williamson, l'un des créateurs de la saga meurtrière. Un coup d’éclat, dont Neve Campbell est fière : 

"Cela fait du bien d'avoir mis cela sur la place publique, d'avoir été écoutée et d'avoir fait la différence de cette manière. J'espère que d'autres personnes auront également cette chance,” confie-t-elle.

Car il faut aussi se rappeler que ce n’était pas de gaîté de cœur que l’actrice avait claqué la porte de Scream VI il y a deux ans. Aujourd'hui, elle est plus qu’heureuse de revenir (se faire) traquer (par) Ghostface, comme annoncé sur Instagram en mars dernier. En légende d’une photo montrant le scénario de ce nouvel opus, elle écrivait : “Sidney Prescot revient !!!! [...] Je suis très heureuse et fière d’annoncer qu'on m'a demandé, de la manière la plus respectueuse qui soit, de ramener Sidney à l'écran et je ne pourrais pas être plus ravie !!!”.

Un enthousiasme qu’elle confirme dans les colonnes de People : 

"J'ai vécu avec Sidney pendant 30 ans et je suis vraiment, vraiment reconnaissante de pouvoir reprendre ce rôle.”

Ce sera Kevin Williamson qui dirigera Neve Campbell, vingt-huit ans après avoir écrit le scénario du premier film. Reste à savoir si Courteney Cox reprendra aussi son rôle de Gale Weathers dans ce septième opus, pour recréer ce tandem iconique.

Julia Ducournau prépare Alpha, avec Golshifteh Farahani et Tahar Rahim

lle n’est que la deuxième femme à avoir reçu la Palme d’Or et pourtant sa réputation dépasse les frontières. Aux États-Unis, les salles proposent des sacs à vomi avant la séance de ses films. Depuis son entrée fracassante au Festival de Cannes avec Grave, en 2016, Julia Ducournau continue à (re)façonner le cinéma de genre français. Par ses propositions originales, dérangeantes, provocantes et gores, la réalisatrice a fait trembler les murs du septième art et sauter le plafond de verre qui jusque-là reléguait l’horreur et le fantastique loin des festivals internationaux. Aujourd’hui, trois ans après le succès de Titane, Palme d’Or 2021, dont la séance à Cannes avait provoqué des malaises, elle revient avec un nouveau projet au nom encore une fois court et efficace : Alpha.

Le projet a été annoncé il y a quelques jours par les médias spécialisés américains. Si pour le moment le synopsis est encore inconnu, les producteurs américains (FilmNation) et français (Charades) ont livré quelques pistes :

"Alpha est le travail le plus personnel que Julia est pu faire jusque-là et nous avons hâte que le public découvrir cette histoire avec autant d’enthousiaste que nous."

Après un bizutage qui tourne mal dans une école vétérinaire, un accident de voiture avec de graves répercussions sur la vie du personnage, on se demande de quoi pourrait bien parler le mystérieux Alpha. Première de l’alphabet grec, alpha désigne celui en première position, le puissant, le chef. Généralement masculin, Julia Ducournau pourrait le faire basculer au féminin et questionner les rapports de force. Les hypothèses sont ouvertes. Conservant sa veine body-horror, le projet sera pourtant inédit :

"Alpha est une nouvelle page dans la filmographie de Julia Ducournau qui est à la fois en adéquation avec ses films précédents et entièrement nouvelle dans sa tonalité."

Au casting, on retrouvera Golshifteh Farahni (Tyler Rake, Paterson) prochainement à l’affiche de Roqya et Tahar Rahim (Un Prophète, Désigné Coupable) que l’on verra en fin d’année dans la peau de Charles Aznavour pour le biopic Monsieur Aznavour.

Alpha est présenté sur le marché des professionnels durant la 77ème édition du Festival de Cannes.

Disney+ : bande-annonce de Star Wars - The Acolyte

Après The Mandalorian, Le Livre de Boba Fett, Andor, Obi-Wan Kenobi et Ahsoka, les fans de Star Wars vont bientôt découvrir une nouvelle série évènement. LA prochaine grande sensation dans la galaxie s'intitule The Acolyte et elle va nous offrir une histoire inédite avec des nouveaux personnages qui s'inscrit dans une période jamais racontée auparavant.

The Acolyte se situe à la fin de l'ère de la Haute République, cent ans avant les évènements du film Star Wars : La Menace Fantôme. Avant de pouvoir regarder la série, les fans ont eu le plaisir de découvrir une nouvelle bande-annonce de la fiction lors de la journée mondiale Star Wars, le "May the 4th".

Chapeautée par la réalisatrice Leslye Headland (Poupée russe), qui fait office de showrunneuse, The Acolyte raconte l'enquête d'un maître Jedi respecté sur une série de crimes mystérieux qui le mène à une dangereuse guerrière issue de son passé, à savoir son ancienne Padawan.

Au fur et à mesure que de nouveaux indices apparaissent, tous deux s'engagent sur un chemin obscur où des forces sinistres vont leur montrer que tout n'est pas toujours ce qu'il semble être...

"Nul n'est à l'abri de la vérité". Comme le dévoile la nouvelle bande-annonce de The Acolyte, les Jedi sont en danger et l'équilibre dans la Force est menacée. La paix ne serait-elle qu'un leurre ? Alors que l'Ordre Jedi, alors à son apogée, est remis en cause, des forces du côté Obscur en profitent pour gagner du terrain, à l'image du Sith à la fin du trailer.

Côté casting, The Acolyte peut se targuer d'avoir à bord Lee Jung-jae, star coréenne qui a connu le succès international avec Squid Game, Amandla Stenberg, révélée dans The Hate U Give, Jodie Turner-Smith, vue récemment dans White Noise et Murder Mystery 2 , mais aussi Manny Jacinto (The Good Place), Dafne Keen (Logan) ou encore Carrie-Anne Moss (Maxtrix) dont la participation a été dévoilée !

Parmi les personnages inédits de la série inspirée des films de samouraïs et des films de Akira Kurosawa, on retrouve un Maître Jedi Wookie incarné par Joonas Suotamo, l'acteur qui campe Chewbacca dans la postlogie Star Wars et le spin-off Solo : A Star Wars Story. Il faudra attendre la sortie de The Acolyte pour le découvrir en images.

Les deux premiers épisodes de "Star Wars : The Acolyte" seront disponibles le 5 juin sur Disney+. Les six autres épisodes seront ensuite proposés à un rythme hebdomadaire.


Bande-annonce de The Boys saison 4 saison 4

Encore plus folle que les précédentes, la saison 4 de The Boys se dévoile en images via la révélation de sa bande-annonce finale ! La série super-héroïque fera son grand retour cet été sur Prime Video, tandis qu’une cinquième saison a d’ores et déjà été commandée par la plateforme et entrera très prochainement en tournage.

Au programme de cette saison 4 placée sous le signe du gore, l’apparition d’un virus mortel pour les "Supes" offre à Billy Butcher une nouvelle arme dans la guerre qui l’oppose aux Sept. Mais ces derniers, à commencer par leur emblématique leader Le Protecteur, ne se laisseront évidemment pas faire face à cette menace.

Pour parvenir à éliminer pour de bon l’équipe de super-héros, Butcher – qui n’a plus que quelques mois d’espérance de vie – devra trouver un moyen de reformer son équipe, dont les membres lui ont tourné le dos en raison de ses mensonges et autres stratégies de manipulations à leur encontre.

De nouveaux personnages feront leurs grands débuts dans cette nouvelle saison, à commencer par un nouvel allié des Boys incarné par Jeffrey Dean Morgan. L’identité de son personnage est pour l’heure gardée secrète, mais parlera peut-être aux fans du comic-book signé Garth Ennis et Darick Robertson ?

Outre un premier spin-off intitulé Gen-V (saison 2 en cours de tournage) et une série d'animation (The Boys: Diabolical), rappelons que la franchise The Boys fera prochainement l'objet d'un nouveau projet dérivé dont l'action se déroulera au Mexique !

Les huit épisodes de la quatrième saison de The Boys sont à retrouver dès le 13 juin prochain en exclusivité sur Prime Video.