12 mars 2024

Arabie saoudite : Pharrell Williams écourte son concert à cause des projectiles jetés par la foule

Pharrell Williams ne devait probablement pas s’attendre à devoir gérer « l’activité dangereuse de la foule » venue l’écouter dans le cadre du Grand Prix d’Arabie saoudite, à Jeddah, samedi dernier. Pourtant, le producteur et interprète de Happy a dû calmer les ardeurs du public et essayer de raisonner ceux qui lançaient des projectiles… en vain.

« C’est la ville la plus animée de la planète, mais nous devons aussi être le plus en sécurité possible. Je sais que vous êtes excités et que vous voulez lancer les gadgets que vous avez au poignet, vos lumières et tout ça, mais vous ne pouvez pas car les filles dansent. Et moi, j’aime les femmes, et vous ? » a-t-il tenté, d’après Music News.

Le directeur de création chez Louis Vuitton a ensuite insisté sur l’importance de « protéger nos femmes », c’est-à-dire les danseuses qui l’accompagnaient. « Alors si vous voulez leur jeter des lumières, vous devez le faire dans l’autre sens, pas sur la scène. Qui comprend ce que je dis ? », a-t-il insisté.

Et de tenter le tout pour le tout avec une action collective : « Prenons ces stupides bracelets et jetons-les en l’air dès que je compterai jusqu’à trois. Et maintenant, c’est fini. »

Rien à faire, le public a fait la sourde oreille. En désespoir de cause, Pharrell Williams a fini par quitter la scène en lâchant, dépité : « OK, je vous laisse finir seuls. » Une visite que l’artiste n’est pas près d’oublier, d’autant qu’elle avait mal commencé.

Pharrell Williams et Alicia Keys étaient en effet sous le feu des critiques pour avoir accepté de se produire en Arabie saoudite, « une dictature qui persécute les femmes, les LGBT et les minorités religieuses et ethniques », avait ainsi dénoncé le militant des droits de l’homme Peter Tatchell.

Insultée pour avoir posé avec une activiste transgenre, Lady Gaga répond à la haine

C’est un beau message de tolérance qu’avait posté Dylan Mulvaney pour la Journée internationale des droits des femmes vendredi 8 mars. L’activiste transgenre de 27 ans et Lady Gaga ont posé ensemble pour envoyer de l’amour à tous les internautes via leurs réseaux sociaux. Hélas, c’était sans compter sur les haters qui n’ont pas manqué de se déchaîner.

Au point de faire sortir de ses gonds la Mother Monster. L’interprète de Poker Face a republié leur séance photo et ajouté un message bien senti aux transphobes. « Je trouve consternant qu’un post sur la Journée internationale des droites des femmes, par Dylan Mulvaney et moi-même, soit accueilli avec autant de vitriol et de haine » entame-t-elle.

La star de 37 ans, bien connue pour son engagement en faveur de la communauté LGBTQ+, a également regretté le traitement édulcoré fait par la presse au sujet des commentaires reçu.

« Lorsque je vois un journal parler de haine en la qualifiant de "réaction brutale", je pense qu’il est important de préciser que la haine est de la haine, et que ce type de haine est de la violence. Une "réaction" impliquerait que les personnes qui nous aiment ou nous respectent, Dylan et moi, n’ont pas aimé ce que nous avons fait. Il ne s’agit pas d’une réaction. C’est de la haine », a-t-elle martelé dans son long message.

Une haine qui n’étonne pourtant pas celle qui avait dédié Born This Way à la communauté transgenre lors de sa résidence à Las Vegas, « étant donné l’immense travail qu’il est évident que nous devons encore accomplir en tant que société pour faire de la place aux vies transgenres afin qu’elles soient chéries et soutenues par chacun d’entre nous ».

« Je me sens très protectrice en ce moment, non seulement de Dylan, mais aussi de la communauté transgenre qui continue à montrer la voie par sa grâce et son inspiration sans fin face à la dégradation constante, à l’intolérance et à la violence physique, verbale et mentale », poursuit-elle.

Et d’agrandir ensuite le spectre pour appeler à l’unité : « J’espère que toutes les femmes se rassembleront pour nous honorer TOUTES à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, et que nous le ferons toujours jusqu’au JOUR où toutes les femmes seront célébrées sur un pied d’égalité. Un jour où les personnes de toutes les identités sexuelles seront célébrées à l’occasion de la fête qui leur convient. »

« J’aime trop les gens pour permettre que la haine soit qualifiée de simple "réaction". Les gens méritent mieux », conclut Lady Gaga.

Mylène Farmer de retour : un album annoncé, un détail met en colère les fans

Après un été 2023 marqué une tournée des stades triomphante, intitulée Nevermore, Mylène Farmer n’abandonne pas ses fans. Et pourtant, certains ont eu peur ! En effet, la star française avait été contrainte d’annuler ses prestations du 30 juin et du 1er juillet dernier au Stade de France, en raison des violentes émeutes. Bonne nouvelle, l’interprète de l’indémodable Avant que l’ombre a fait le choix de reporter ses concerts à septembre 2024.

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, une troisième date a été rajoutée pour le 1er octobre 2024. Après quelques mois de silence, Mylène Farmer a ravi son fidèle public. À l’occasion de ses 40 ans de carrière, la chanteuse de 62 ans a annoncé un remix de son tube Désenchantée, avec Feder. Rien que ça ! Le son a été dévoilé le 23 février dernier. Mylène Farmer est même retournée en studio pour réenregistrer sa voix.

Comme les inconditionnels de Mylène Farmer l’avaient deviné, cette reprise de Désenchantée n’était que le début d’un nouveau projet. L’artiste aux multiples records a annoncé, lundi 11 mars 2024, une nouvelle compilation remix de ses plus grands tubes. Ce nouvel opus, intitulé Remix XL, est attendu pour le 19 avril prochain. Bonne nouvelle, la setlist semble satisfaire les fidèles de Mylène Farmer. Mais à en croire les réactions sur les réseaux sociaux, la joie n’est pas totale. En effet, ils sont nombreux à dénoncer un design de mauvaise qualité concernant l’affiche de l’album.

Ce n’est pas une première, le public de Mylène Farmer scrute tous les détails. Le visuel de l’album n’est pas passé inaperçu. Le public a découvert une aquarelle de l’artiste de 62 ans, une plume de corbeau flamboyante entre ses yeux. En haut à droite, le nouveau logo. En bas à gauche, le nom de l’album, en vert fluo. Là ça pose problème. "On parle d'une des plus grandes artistes françaises, pas de quelqu'un qui n’a pas les moyens de se payer des graphistes compétents", "Dites-moi que l'équipe de Mylène Farmer l'a fait exprès ce n'est pas possible", "Ce n’est pas la vraie pochette ???", peut-on ainsi lire sur les réseaux sociaux. Des critiques qui n’empêcheront pas les fans de Mylène Farmer de chanter à tue-tête ses sons lors ses prochains concerts.

Bande-annonce de Ici et là-bas, avec Ahmed Sylla et Hakim Jemili

Installé depuis 15 ans au Sénégal, Adrien mène une vie paisible au côté de sa compagne Aminata. Lorsqu' il est renvoyé en France pour un problème de visa, il débarque chez Sékou, un cousin éloigné de sa femme, qui travaille comme commercial à Paris. Contraint par sa patronne d'aller en régions à la rencontre de clients, Sékou n'a d'autre choix que d'embarquer ce drôle de cousin dans un tour de France qui leur réserve bien des surprises.

Présenté dans la sélection officielle du Festival de l’Alpes d’Huez, Ici et là-bas voit se former le duo inédit d’Ahmed Sylla et Hakim Jemili dans une peinture haute en couleur de la France, de ses régions et de ses différentes cultures. Dans cette comédie à message, les regards de leurs deux personnages questionnent les notions d’étranger et d’intégration par le prisme d’un humour de situation tendre.

L’année dernière, Ludovic Bernard sortait 10 jours encore sans maman, suite du premier volet sorti en 2020, et dans lequel il continuait de renverser les rôles familiaux traditionnels. Cette fois-ci, le réalisateur, qui a entre temps travaillé sur la série Lupin, revient casser les codes et les conventions sociales en abordant cette fois les clichés culturels et racistes. Il retrouve Ahmed Sylla, tête d’affiche de son tout premier film en solo, L’Ascension.

C’est d’ailleurs le second film dans lequel le comédien joue cette année après Comme un prince de Ali Marhyar. Quant à Hakim Jemili, il fait son grand retour au cinéma après une année 2023 bien remplie, notamment par Chasse Gardée de Frédéric Forestier et Antonin Fourlon, et par un rôle dans Tapie, la série Netflix portée par Laurent Lafitte.

Ici et là-bas sortira en salles le 17 avril 2024. 

Sylvester Stallone va traquer un tueur en série dans son prochain film

Sylvester Stallone va retourner au pays de Rocky ! Comme l'annonce Deadline, l'acteur ira à Philadelphie pour son nouveau film intitulé The Epiphany.

Si Rocky et The Epiphany se situeront dans la même ville, la comparaison s'arrête là. Les deux films ayant des intrigues bien distinctes.

Le pitch de ce nouveau film? Un inspecteur de police dur à cuire et bientôt à la retraite doit faire équipe avec un jeune policier et un ancien prêtre pour arrêter un tueur en série de Philadelphie.

Le film est réalisé par William Eubank (Paranormal Activity: Next of Kin), d'après un scénario de Katie Lovejoy (À tous les garçons : Pour toujours et à jamais) et Russell Sommer. Le tournage doit commencer cet été, à Philadelphie. On ne connait pas encore les noms des acteurs qui entoureront Stallone à la distribution.

Autre inconnue de taille : qui assurera désormais la VF de Sylvester Stallone, pour succéder au mythique Alain Dorval, qui s'est éteint en février dernier. Richard Darbois qui a lui aussi prêté sa voix à Stallone pourrait-il prendre la relève ?

La date de sortie française n'a pas été communiquée. 

Premières images de la série sur Karl Lagerfeld avec Daniel Brühl

L'univers de la mode n'a jamais autant inspiré les séries. The New Look, Cristóbal Balenciaga, La Maison et aujourd'hui Becoming Karl Lagerfeld. Ce projet de fiction sur l'un des plus grands couturiers au monde est porté par l'acteur allemand Daniel Brühl qui s'est transformé pour l'occasion.

Si ce Karl Lagerfeld ne ressemble pas à l'image que vous avez du créateur, c'est normal. Cette série biopic s'intéresse à une période très précise de sa carrière, à savoir les années soixante-dix à Paris où le couturier se fait remarquer en tant qu'employé pour la marque Chloé avant qu'il ne rejoigne, dès 1983, les rangs de la maison Chanel.

Becoming Karl Lagerfeld s'intéresse également à l'histoire d'amour compliquée qui liait l'Allemand à Jacques de Bascher, incarné ici par Théodore Pellerin (Genèse, Killer Game). De nombreuses personnalités bien connues du monde de la mode apparaissent de la série, comme Yves Saint Laurent - joué par Arnaud Valois (120 Battements par minute) - et Pierre Berger, campé par Alex Lutz (Guy). À noter que Agnès Jaoui complète la distribution dans le rôle de Gabrielle Aghion, la fondatrice de la maison Chloé.

"En 1972, Karl Lagerfeld a 38 ans et ne porte pas encore son fameux catogan. C’est un styliste de prêt-à-porter inconnu du grand public. Tandis qu’il fait la rencontre du sulfureux Jacques de Bascher, jeune dandy ambitieux et troublant dont il tombe amoureux, le plus mystérieux des créateurs de mode va oser se mesurer à son ami (et néanmoins rival) Yves Saint Laurent, génie de la haute couture, soutenu par le redoutable homme d’affaires Pierre Bergé."

Composée de six épisodes, la série donnera à voir la personnalité complexe de celui que l'on surnommait Kaiser Karl dans un univers à la fois pop et élégant comme le révèle la bande-annonce rythmée par le titre Heart of Glass du groupe Blondie.

Les Hot Wheels s'animent sur Netflix !

Décidément, les jouets ont le vent en poupe à Hollywood. Alors que ces récentes années les aventures des Lego et des Transformers ont battu des records au box-office, l’année 2023 a été marquée par le triomphe critique et public du long métrage Barbie porté par Margot Robbie. Et c’est donc en toute logique que la marque Hot Wheels débarque à son tour sous la forme d’une série Netflix.

Fondée à la fin des années 60 par la société Mattel (également maison-mère de Barbie), Hot Wheels est une gamme de voitures de course très populaire dans le monde entier. A ce jour, il existe plus de 100 000 modèles différents, et certaines pièces se vendent à prix d’or auprès des collectionneurs.

Bien entendu, la marque s’adresse avant tout à un jeune public, et c’est pour cette raison que la série Netflix a été conçue pour les enfants en priorité. Intitulé Hot Wheels : Let’s Race, ce dessin-animé de dix épisodes suit les aventures de six pilotes en herbe, prêts à tout pour devenir les conducteurs des bolides Hot Wheels.

Dans la lignée de la série d’animation Fast & Furious : Les Espions dans la course, ce programme offre le divertissement idéal pour toute la famille. Et qui sait si les plus grands ne se laisseront pas séduire par ce programme qui leur remémorera leurs propres jeux d’enfant ? Chaque épisode d’une durée de 20 minutes se découpe en deux histoires distinctes.

Ce sont donc pas moins de 20 aventures qui sont donc proposées dans cette première saison de la toute nouvelle série d’animation Hot Wheels produite par Netflix. Son succès immédiat (la série occupe le Top 10 des séries les plus visionnées sur la plateforme en France) laisse donc entrevoir un grand avenir pour cette toute nouvelle production animée !

11 mars 2024

Miss Monde : Clémence Botino dévoile la raison pour laquelle elle n'a pas atteint le top 12

Voilà bien des années que les reines de beauté françaises n'ont pas rayonné dans les concours internationaux. Seule Denise Perrier a remporté les concours Miss Univers et Miss Monde en 1953, imitée pour le premier par Iris Mittenaere en 2017. Une longue disette tricolore qui n'a pas pris fin cette année : samedi soir, Clémence Botino n'est pas parvenue à se mêler à la bagarre pour le titre de Miss Monde 2023, finissant dans le top 40, bien loin de la lauréate du concours Miss République tchèque, Krystyna Pyszková. "Top 40 pour la France ! Merci pour votre soutien. Pour ma part je n’ai absolument aucun regret, j’ai absolument TOUT donné. Je crois que je ne m'étais jamais autant préparée pour un concours. J’ai été sincère, authentique. J’ai toujours écouté mon coeur. C’est avec une grande fierté que j’ai pu représenter mon pays. Après cinq années à parcourir les régions, les pays, il est temps pour moi de prendre ma retraite" a réagi la Guadeloupéenne sur Instagram après le verdict.

Comme elle l'a confié ce lundi à nos confrères de Télé-Loisirs, Clémence Botino avait pourtant travaillé d'arrache-pied pour préparer cette grande soirée : "J'ai énormément travaillé avec mes équipes pour donner du sens à mon parcours et être en accord avec l'institution Miss Monde. Au final, je n'ai aucun regret parce que j'ai atteint le maximum de ce que je pouvais proposer" a-t-elle confié. La jeune femme a également révélé les raisons pour lesquelles elle aurait, de son propre avis, échoué à atteindre le fameux top 12 final : "C'est difficile d'avoir une cohérence dans le choix de la Miss parce que d'une année à l'autre, c'est différent. Quand vous êtes classée dans les challenges, vous allez loin en théorie. C'est ce qu'il s'est passé avec le top 4 de cette promotion. Le discours et le projet associatif ont pris beaucoup de place dans le choix final, ça peut expliquer mon non-classement dans le top 12" a-t-elle expliqué. 

Pamela Anderson au naturel à la soirée Vanity

Pamela Anderson est arrivée au bras de son fils à la traditionnelle soirée Vanity Fair, organisée après la 96e cérémonie des Oscars ce dimanche 10 mars. La star de la série « Alerte à Malibu » a pris la pose avec son aîné de 27 ans, Brandon Thomas Lee, né de son sulfureux mariage avec le rockeur Tommy Lee.

L’actrice américano-canadienne, âgée de 55 ans, est apparue au naturel devant les photographes. Plus rayonnante que jamais, Pamela Anderson portait une robe florale jaune, mêlant sequins et transparence. Quelques paillettes étaient placées sur ses lèvres et ses paupières. Ses cheveux blonds semblaient avoir été séchés à l’air libre, tandis que sa peau était simplement hydratée. Une routine 100 % authentique que l’actrice a adoptée depuis quelques mois.

Lors de la Fashion Week de Paris en septembre 2023, elle était apparue sans maquillage, assumant sa nouvelle image. « Courir après la jeunesse est futile. Pourquoi ne pas simplement profiter de ce qui se passe. […] Depuis que je m’assume telle que je suis, je me sens soulagée, avec un poids en moins sur mes épaules. Je me préfère ainsi, je m’habille pour moi maintenant et pour personne d’autre », avait-elle confié au magazine « i-D ».

D’autres célébrités étaient présentes à la soirée, organisée par Radhika Jones au Wallis Annenberg Center for the Performing Arts à Beverly Hills. Emma Stone, Kim Kardashian, Sydney Sweeney, Kylie
Jenner ou encore Salma Hayek et François-Henri Pinault ont été photographiés.

Emily Ratajkowski, une somptueuse mariée à la soirée Vanity Fair

Simon Porte Jacquemus avait conclu son dernier défilé par le passage d’une mariée. Un clin d’œil à la Haute Couture, dont les shows ont pour rituel de se clôturer par une robe de mariée. Ce dimanche 10 mars, Emily Ratajkowski a choisi de vêtir cette somptueuse robe blanche pour la traditionnelle soirée Vanity Fair, organisée en marge de la 96e cérémonie des Oscars.

Issu de la collection Les Sculptures, ce look avait été moulée à même le corps du mannequin. Pour rester naturelle, Emily Ratajkowski a simplement opté pour des boucles d’oreilles Diamond Equalizer de chez Messika.

La maman de Sylvester (3 ans) n’en est pas à sa première collaboration avec Jacquemus. Celui qui a récemment reçu la médaille de l’Ordre des Arts et des Lettres des mains d’Anna Wintour l’a même fait défiler à Saint-Paul-de-Vence, le 29 janvier dernier.

De nombreuses autres célébrités ont assisté à la soirée, organisée par Radhika Jones au Wallis Annenberg Center for the Performing Arts à Beverly Hills. Pamela Anderson a joué la carte de la sobriété en foulant le tapis rouge avec son fils aîné. Emma Stone, Kim Kardashian, Sydney Sweeney, Kylie Jenner ou encore Salma Hayek et François-Henri Pinault ont été photographiés.