07 mars 2024

Hoshi offre deux places de concert à une fan en détresse sur X

Une fan de la chanteuse Hoshi a dû renoncer à se rendre au concert de l’artiste pour payer les frais vétérinaires de son chat. Touchée par sa situation, Hoshi lui a offert deux places pour son prochain show, rapporte France 3 Occitanie.

C’est sur X que la jeune femme a raconté son histoire. Cette Lorraine de 25 ans devait se rendre à une représentation de la chanteuse avec son colocataire, mais les choses ne se sont pas passées comme prévu. En effet, son chat, le bien nommé Ed Sheeran, est tombé malade et elle a été contrainte de débourser 4.000 euros pour le soigner.

Elle a alors mentionné la chanteuse dans son message, sans grand espoir. « Je savais qu’elle était active sur X, qu’elle essayait d’être proche de ses fans, mais quand j’ai posté le message, j’avais peut-être trois likes ! », a-t-elle confié. Or l’artiste a dépassé ses espérances. Hoshi a non seulement réagi à son histoire mais lui a également demandé de lui envoyer un message privé afin de pouvoir lui offrir deux places de concert.

« Quand j’ai lu la notification, ça m’a paru surréaliste. On a mis du temps à comprendre que ce n’était pas un faux compte, que c’était bien elle », explique le colocataire de la jeune femme. Une fois la surprise passée, elle a contacté la musicienne, qui comme promis a pris ses coordonnées pour les transmettre à son équipe.

Ce n’était pas la première fois que les deux colocataires renonçaient à un concert de Hoshi. À deux reprises, ils avaient raté la chanteuse de peu : « Je devais aller la voir à Metz, mais le concert a été annulé. Puis on devait aller la voir à Sète, on avait nos places, mais on a eu le Covid ! » Cette fois, les deux amis devraient pouvoir réaliser leur rêve à Montpellier le 14 mars prochain.

06 mars 2024

Adriana Karembeu traumatisée par son expérience dans Danse avec les stars

Adriana Karembeu peut se targuer d'avoir tous les talents. Et la télévision française ne se prive pas de les utiliser en s'offrant les services de l'ancienne top model, aussi à l'aise sur les hauts plateaux d'Ethiopie dans Rendez-vous en terre inconnue que dans les cellules de Fort Boyard, ou encore en auto-stoppeuse de charme dans Pékin Express. Ce samedi 9 mars, la longiligne blondinette sera comme un poisson dans l'eau en commentant pour Prime Video une nouvelle édition du Top Model International, aux côtés de Ricky Whittle, comédien vu dans NCIS.

En habituée des tapis rouges, Adriana Karembeu n'appréhende pas cette nouvelle mission, même si elle pourrait être amenée à danser avec son acolyte pour lancer les hostilités. Cette arabesque à deux pourrait alors lui rappeler le temps des prime time de Danse avec les stars.

Arrivée quatrième d'une édition remportée par M. Pokora, la maman de Nina s'est toujours montrée dure envers ses propres prestations. "J'étais archi nulle. Les gens ont voté pour moi parce qu'ils sont gentils et indulgents, mais je ne le méritais pas du tout", avait confié l'ex-partenaire de Julien Brugel, dans le podcast Femmes Actuelles. Alors que la nouvelle saison du concours a démarré, sans élimination pour le moment, l'ambassadrice de la Croix Rouge est revenue sur "cette grosse déception", qui lui a laissé des souvenirs peu glorieux.

"Qu’est-ce que j’ai souffert !", a-t-elle lâché sur le plateau du Buzz TV. "J’ai failli mourir tellement c’était compliqué. Je ne savais pas danser, c’était un cauchemar, je préfère danser en boîte de nuit." D'ailleurs, aucun conseil de Chris Marques ne lui sert aujourd'hui pour enflammer les dancefloors. Des réminiscences qu'elle a décidées d'envoyer valser.

Anne Roumanoff : cette étonnante raison pour laquelle elle a refusé de participer à Danse avec les stars

Anne Roumanoff fait partie de ses rares humoristes appréciées des téléspectateurs. Longtemps au côté de Michel Drucker avec sa chronique On ne nous dit pas tout dans le talk-show Vivement dimanche, elle n'hésite pas à régulièrement faire des apparitions sur le petit écran, sans en faire trop. Pas question pour elle de multiplier les participations aux émissions et aux autres jeux télé. L'ancienne compagne de Philippe Vaillant préfère se concentrer sur ses spectacles. Interrogée par le site belge Télépro, la comédienne de 58 ans s'est confiée sur sa prise de distance avec la télé. "Le but n'est pas non plus de passer à la télé, a-t-elle lancé. Je pense pas que cela fasse l'existence d'un artiste. Il faut aller à la télé de temps en temps pour qu'on aille voir vos spectacles mais ce n'est pas un but en soit d'être tous les jours à la télé, franchement non".

Si Anne Roumanoff a refusé de participer à Fort Boyard et Mask Singer, elle a aussi et surtout balayé une sollicitation pour Danse avec les stars. "Il ne faut pas accepter tout. Quand je ne sens pas un truc, je ne le fais pas. Encore une fois, la télé pour la télé ne m'intéresse pas. La télé est un moyen pour rentrer en contact avec les gens mais ça peut être aussi dévorant, ça prend de l'énergie, du temps. Faut être sympa...", a-t-elle expliqué.

Anne Roumanoff n'est pas non plus attirée par l'argent que pourrait lui rapporter une participation à Danse avec les stars. "Je fais un spectacle, ça rapporte aussi de l'argent. En plus, je ne sais pas danser, a-t-elle expliqué. Danse avec les stars, on a dû me le proposer une ou deux fois et c'est tout. On ne me l'a pas proposé récemment. Je n'allais pas me ridiculiser. Je ne sais vraiment pas danser et pas chanter. Je suis une sous-douée". Les fans d'Anne Roumanoff ne sont pas près de la voir se déhancher sur TF1.

Léa Seydoux juge Hollywood : "Il est plus facile d’être une femme à l’écran en Europe"

Actuellement à l’affiche de Dune 2, où elle incarne Lady Margot, Léa Seydoux continue de séduire Hollywood. Elle s’était déjà fait remarquer dans deux autres mega-franchises, Mission Impossible et James Bond. Et on l’a vu aussi chez Quentin Tarantino (Inglourious Basterds, en 2009), Woody Allen (Minuit à Paris, en 2011), Yorgos Lanthimos (The Lobster, en 2015), Wes Anderson (The French Dispatch, en 2021) ou David Cronenberg (Les Crimes du futur, en 2022).

Pour autant, l’actrice française n’a jamais vraiment franchi le pas et continue de privilégier la France et l’Europe, enchainant les grands rôles pour Bruno Dumont (France), Arnaud Desplechin (Roubaix, une lumière, Tromperie), Mia Hansen-Love (Un beau matin) et Bertrand Bonello (La Bête). Bientôt, on la retrouvera aussi chez Quentin Dupieux (A notre beau métier). 

Lors d’une interview pour le magazine Harper’s Bazard, Léa Seydoux a expliqué pourquoi elle se sentait plus à l’aise sur le Vieux Continent. Agée de 38 ans, la star estime qu’il est plus facile de vieillir en Europe qu’à Hollywood. 

"Je trouve qu’en Amérique l’industrie est rude pour les femmes. C’est dur pour les femmes d’y vieillir. Je n’ai pas envie d’avoir peur de ne plus être désirable ou de perdre mon contrat. En Amérique l’économie prime, et quand faire de l’argent devient une priorité on perd sa liberté. Je ne suis pas à l’aise avec le fait qu’il faille cocher toutes les cases. Il est plus facile d’être une femme à l’écran en Europe."

"J’ai plus plus de liberté parce que je suis une actrice européenne, ce qui me convient", poursuit-elle. "Je n’essaie pas d’être populaire, je veux juste prendre du plaisir. En Amérique, il faut se conformer. Je ne veux pas m’adapter au système, je veux que le système s’adapte à moi !"

De nombreuses actrices, y compris américaines, partagent ce constat. "Il y a clairement moins de bons rôles pour les femmes de mon âge", juge Kirsten Dunst, qui fêtera ses 42 ans cette année, dans une récente interview. Elle explique notamment qu’on ne lui a offert que des rôles de "maman triste" depuis sa prestation dans The Power of the Dog de Jane Campion. Ce qui explique pourquoi elle a fait une pause de deux ans avant de tourner dans Civil War, le nouveau film d’Alex Garland qui sort en France le 24 avril. 

Dakota Johnson ne refera jamais un film comme Madame Web

Après le tollé provoqué par la sortie de Madame Web dans lequel elle tient le rôle principal aux côtés de Sydney Sweeney, Isabella Marced et Celeste O’Connor, Dakota Johnson se confie au média Bustle sur cet échec, vite devenu la risée des réseaux sociaux. Rappelons qu'au-delà des critiques négatives, le film n’a engrangé “que” 40 millions de dollars aux Etats-Unis et 100 millions à l’international, trois semaines après sa sortie. Fraîchement rentrée de la tournée promotionnelle du film, Dakota Johnson revient sur son expérience :

“Je n’avais jamais rien fait de tel. Je ne ferais sans doute jamais rien de semblable à l’avenir parce que je fais tache dans cet univers. Maintenant j’en suis consciente. Mais dans cette industrie, parfois on signe pour faire quelque chose en pensant que ça sera telle ou telle chose, et puis on le fait, et ça devient quelque chose de complètement différent, et on se dit : 'Attend, quoi ?'. Mais ça a vraiment été une expérience de vie, et même si ce n’est pas très sympa d’être associée à quelque chose qui se fait descendre en flammes, je ne peux pas dire que je ne comprend pas ces réactions.”

Un plantage en beauté, donc, que l’actrice reconnaît, et qui dépasse même la portée du film. Récemment, c’est l'industrie tout entière qui semble se poser la question de la "super hero fatigue", à laquelle Paul Dano ou encore Chris Evans ont notamment réagi. Pour Dakota Johnson, c’est le système de production de ces films qui doit être remis en cause:

“Faire un film, c’est super dur, et pour ces grosses productions qui arrivent à sortir — et ça commence à arriver aux plus petites, ce qui me fait vraiment peur — les décisions sont prises par des comités alors que l’art survit mal aux passages par les comités. Les films sont fabriqués par un cinéaste et une équipe d’artistes rassemblés autour de cette figure. On ne peut pas faire d’art sur fond de chiffres et d'algorithmes. Je pense depuis longtemps que le public est très intelligent, alors que les cadres des studios pensent le contraire. Le public saura toujours flairer le baratin qu’on veut lui faire avaler.”

Si Sydney Sweeney avait choisi l’humour, Dakota Johnson a donc privilégié l’honnêteté pour commenter les déboires du dernier super-film de Sony, dérivé du spiderverse, lui-même tiré de comics Marvel. En tout cas, ce qui est sûr, c’est que ses fans ne sont pas près de la revoir dans un film de super-héros de si tôt. Non, pour l’instant l’actrice de trente-quatre ans se consacre au club de lecture qu’elle a lancé pour dénicher les histoires que la maison de production qu’elle a cofondée (TeaTime Pictures) pourra transformer en films de demain, un peu à la manière de Reese Witherspoon.

Madame Web est toujours à découvrir en salle.

Une deuxième femme accuse Lomepal de viol, le rappeur en garde à vue la semaine dernière

Une deuxième femme a récemment porté plainte pour viol contre le rappeur Lomepal, confronté la semaine dernière à ses accusatrices lors d’une garde à vue dans le cadre de l’enquête préliminaire le visant à Paris.

Après ces confrontations, dont l’AFP a eu connaissance de sources proches du dossier, la « mesure de garde à vue » du chanteur a été « levée pour poursuite des investigations en préliminaire », a indiqué mercredi le parquet de Paris à l’AFP. Les investigations avaient été lancées après le dépôt en 2020 de la plainte d’une connaissance du rappeur, qui l’accuse de l’avoir violée en 2017 à New York.

Une seconde femme a déposé une plainte fin 2023, dénonçant des faits de viol en 2018 ayant eu lieu en France, ont indiqué mercredi deux des sources proches du dossier. Dans les deux cas, les faits se seraient déroulés « au domicile des plaignantes », a ajouté une autre source proche du dossier.

Convoqué mardi 27 février, le phénomène du rap tricolore a été placé en garde à vue dans les locaux du 3e district de la police judiciaire à Paris, avant d’en ressortir libre le lendemain, détaille une source proche du dossier. « Notre client ne s’exprimera pas pour le moment, car il souhaite laisser la justice travailler sereinement », ont réagi auprès de l’AFP ses avocates, Mes Jacqueline Laffont et Julie Benedetti.

« Il a été entendu longuement, a pu répondre précisément et fournir des éléments matériels déterminants », ont-elles assuré. « La qualification pénale des faits allégués est largement sujette à débat. Sa garde à vue a été levée bien avant la fin de la durée légale et sans poursuite. La suite de l’enquête permettra d’établir son innocence », ont encore affirmé ses conseils.

Début août, après la révélation dans la presse de l’enquête, le chanteur s’était exprimé sur son compte Instagram : « Est-ce que j’ai forcé qui que ce soit à faire quoi que ce soit ? Non. Est-ce qu’il y a eu des choses illégales ? Non. Et je ne le laisserai jamais dire ». « Des rencontres de fin de soirée, où on fait l’amour sans se connaître, des relations d’un soir. Et pour moi comme tout le monde, il peut y avoir des incompréhensions, des perceptions différentes », estimait le rappeur parisien.

Il a dénoncé « des histoires délirantes et inventées de toutes pièces qui circulent dans l’industrie musicale ». « On payerait des femmes, on ferait signer des accords de silence, j’en passe. […] Tout cela est absurde et faux », avait-il insisté. Il s’était produit au festival des Plages électroniques à Cannes (Alpes-Maritimes) quelques jours plus tard. En revanche, le festival le Cabaret Vert de Charleville-Mézières (Ardennes) avait annulé son concert prévu mi-août, estimant « qu’un temps de recul et de silence (s’imposait) ».

Le 19 juillet, la rédactrice en chef du média en ligne Joly Môme, Jenna Boulmedais, avait révélé sur Instagram entendre depuis deux ans « des témoignages de femmes ayant subi les gestes déplacés et non désirés d’Antoine Lomepal ». « Toute l’industrie musicale est au courant. Ce silence n’est littéralement plus possible. Voir son nom en tête d’affiche de nombreux festivals également », avait dénoncé celle qui a fait depuis, l’objet d’une plainte de la Fédération française de musique.

Reconnu pour son style et ses textes sentimentaux qui lui ont longtemps valu l’étiquette de « rap rose », Lomepal, de son vrai nom Antoine Valentinelli, a creusé son sillon sur une scène rap très hétéroclite, collaborant avec des poids lourds du rap comme Nekfeu, Orelsan ou Romeo Elvis. En 2017, son premier album, « Flip » fait de lui une star. Vient un an plus tard « Jeannine », mélancolique hommage à sa grand-mère. Son dernier, « Mauvais ordre », est sorti en 2022.

La femme de Bruce Willis pousse un coup de gueule : "Arrêtez de faire peur aux gens !"

Depuis qu'il a été révélé que Bruce Willis souffrait d'aphasie, sa famille donne régulièrement des nouvelles, mais à 68 ans, le comédien phare de Die Hard et du Cinquième élément est officiellement à la retraite.

Cette maladie neurocognitive touche notamment le langage, ce qui empêche la star hollywoodienne d'effectuer correctement son métier d'acteur. Ses filles, son ex-femme Demi Moore ou son épouse, Emma Heming Willis, publient cependant des photos en compagnie de Willis, le montrant heureux, en famille.

Malgré ces tentatives de partager une image positive, cette dernière explique cette semaine regretter que depuis cette annonce, Bruce Willis soit victime de commentaires désobligeants ou affolants sur son état de santé, notamment via les réseaux sociaux.

"On est dimanche matin, et je viens d'avoir un choc, a-t-elle expliqué dans une vidéo postée sur Instagram. Je viens d'être victime d'un clickbait. Je suis là, en train de scroller, je m'occupe de mes affaires, et d'un seul coup je vois un titre en rapport avec ma propre famille. Le titre dit en gros qu'il n'y a plus de joie en mon mari. Sauf que peux vous dire que c'est loin d'être la vérité !"

 "J'ai besoin que la société, et que tous ceux qui écrivent ce genre de titres stupides, arrêtent de faire peur aux gens, poursuit-elle. Arrêtez d'effrayer les lecteurs en leur faisant croise qu'à partir du moment où ils ont appris qu'ils étaient atteints d'une maladie neurocognitive, c'est fini. 'Voilà. C'est la fin. Il faut s'y faire. Il n'y a rien d'autre à voir ici, c'est fini". Non. C'est tout le contraire, ok ?"

"Vous commencez un nouveau chapitre de votre vie, et ce chapitre est bien rempli, laissez-moi vous dire ce que c'est précisément, annonce-t-elle alors, quelques mois après avoir déjà demandé à ce que son mari soit respecté. Il est rempli d'amour, il est rempli de connexions avec les autres, il est rempli de joie, il est rempli de bonheur. Ceux qui n'ont pas pris le temps d'apprendre correctement en quoi consistaient ces maladies neurocognitives... comment pouvez-vous oser dire des choses comme ça ? Je vois passer des titres choc, les uns après les autres, qui sont remplis d'erreurs, de désinformation. Et je ne parle pas seulement de ma propre famille, je parle de tout ce qui est écrit sur la démence, soit disant pour ouvrir l'esprit des gens, des propos qui sont dits en public. Et après vous vous demandez pourquoi il y a autant d'anxiété et de dépression dans notre société.

Je crois vraiment qu'une bonne partie de cela relève du putaclic, de la manière dont on nous présente ces choses, dont ont nous les balance sous le nez en nous laissant une demi-seconde pour comprendre l'information."

Bande-annonce de Sky Dome 2123

En l’an 2123, la sécheresse a ravagé notre planète. Pour préserver la Terre, la société est forcée de sacrifier une partie de la population. Les personnes de plus de 50 ans seront transformées en arbres, pour permettre d’humidifier et faire respirer la Terre. Stefan, le personnage principal, assiste à la condamnation prématurée de sa femme, Nora, happée par un système implacable. Stefan prend alors tous les risques pour dévier ce destin funeste.

Sky Dome 2123 est le premier film de Tibor Bánóczki et Sarolta Szabó. Pour présenter leur concept, ces derniers ont invoqué une problématique climatique, en phase avec l’actualité :

"Le réchauffement climatique, les réfugiés climatiques, la pandémie, la guerre, la crise énergétique. Le descriptif "Poly-Crise" fait désormais partie de nos vies. La science-fiction, c’est imaginer un avenir possible. Or Sky Dome 2123 semble correspondre à ce qui passe ici et maintenant."

"Sky Dome 2123 est notre réponse à la question : "À quoi ressemblera le futur de l’humanité ?". Le film n’a jamais eu pour vocation de donner une réponse facile et rassurante à cette question. Dès les premières esquisses, nous avons voulu raconter une histoire différente", détaillent aussi les réalisateurs.

Ils revendiquent le caractère hybride de leur film d’animation, entre prises de vues réelles et rotoscopie. Les personnages s’articulent avec un réalisme confondant, comme calqués sur le visage d’un acteur ou d’une actrice. Le casting rassemble des acteurs connus du grand écran hongrois : Tamás Keresztes et Zsófia Szamosi forment le couple déchiré par cette tension végétale, au cœur de leur histoire d'amour.

Sky Dome 2123 sortira le 24 avril 2024.

Alerte à Malibu : un remake est prévu !

Retour à la plage ! Comme l’a révélé Deadline en avril 2023, une nouvelle série Alerte à Malibu a été mise en chantier pour la chaîne américaine Fox. A cause de la grève massive qui est survenue à Hollywood l’an dernier, ce projet a été mis en suspens… Mais il est de nouveau sur les rails aujourd’hui !

En effet, le network vient de commander un épisode pilote pour Baywatch (nom du show en version originale). Si le résultat convient aux dirigeants de la Fox, une première saison sera alors commandée en vue d’une diffusion pour l’été suivant.

Lara Olsen sera en charge de l’écriture de ce potentiel reboot. Celle-ci officiera aussi en tant que showrunneuse. Par le passé, elle a collaboré sur plusieurs séries à succès telles que 90210 Beverly Hills – Nouvelle génération, Reign : Le Destin d’une reine ou encore Private Practice, le spin-off de Grey’s Anatomy.

Pour le moment, aucune annonce concernant le casting de cette mouture d’Alerte à Malibu n’a encore été faite. Pour rappel, le show original compte 11 saisons et 243 épisodes. Il a été diffusé aux Etats-Unis entre 1989 et 2001. Les saisons 1 à 9 se déroulaient à Los Angeles, puis les saisons 10 et 11 prenaient place à Hawaï.

David Hasselhoff campait le rôle de Mitch Buchannon, le chef des maîtres-nageurs surveillant la plage où se déroulaient de spectaculaires sauvetages… Celui-ci donnait la réplique à des partenaires qui, comme lui, sont devenus de véritables icônes du petit écran dans les années 1990.

Alexandra Paul (Stéphanie), Nicole Eggert (Summer), David Charvet (Matt), Pamela Anderson (CJ), Yasmine Bleeth (Caroline), Gena Lee Nolin (Neely), David Chokachi (Cody), Carmen Electra (Lani), Michael Bergin (JD) ou encore Jaason Simmons (Logan) faisaient partie des visages emblématiques de la fiction.

En 2017, Alerte à Malibu a également eu droit à son adaptation cinématographique avec Dwayne Johnson et Zac Efron.

Je suis une légende 2 : Une révélation importante pour la suite du film

Je suis une légende 2, actuellement en pré-production, devrait nous présenter des créatures vampiriques très différentes du premier film. Les Darkseekers, comme on les appelle dans ce récit, seront complètement éloignés de ce qu’ils étaient dans le premier opus de Francis Lawrence.

Le cinéaste Akiva Goldsman, à la tête du projet après avoir co-écrit Je suis une légende, a confirmé que la suite marquerait le retour de Will Smith dans la peau de Robert Neville. Et il sera accompagné de Michael B. Jordan dont le rôle n’est pas encore connu.

D’autres détails révélés par le réalisateur laissent également entrevoir des changements importants pour le prochain film. Dans une interview accordée à Deadline, Akiva Goldsman a expliqué que la suite suivrait les événements de la fin alternative du premier volet.

Dans cette version, Robert Neville se rendait compte que les monstres n’étaient pas aussi stupides qu’il le pensait et que, bien que violents et cannibales, ils étaient capables de réflexion et de plans complexes. Pourtant, lui et Anna (Alice Braga) partaient avec le remède qu’il avait créé dans l’espoir de guérir le monde.

Je suis une légende 2 reprendra 20 à 30 ans après ces événements et le réalisateur a déclaré que l’intrigue serait beaucoup plus proche du roman sur lequel le film original est basé. Cela indique que lorsque Will Smith reviendra, le monde sera bien différent.

Je suis une légende est basé sur le livre du même nom écrit par l’auteur de science-fiction Richard Matheson. L’intrigue suit un homme du nom de Robert Neville, qui se croyait le dernier de la civilisation après une pandémie de vampires (pas de zombies).

Il y a deux types d’infectés : ceux qui étaient essentiellement des cadavres réanimés (plus comme des zombies) et ceux qui étaient techniquement vivants (plus comme des vampires).

Neville consacre alors sa vie, en tant que seule personne immunisée, à tuer les deux types de monstres pendant leur sommeil pendant la journée, tout en en capturant d’autres vivants pour les étudier dans son laboratoire. Mais cela déclenche une sorte de guerre entre lui et les vampires.

Finalement, Neville se rend compte que les vampires ont commencé à s’organiser en groupes sociaux avancés. Bien que la fin du livre soit encore très différente de la fin alternative du premier film, elle suivait toujours l’idée qu’il avait eu tort de tuer et d’expérimenter sur les vampires.

Le fait que la suite ait lieu plusieurs décennies plus tard suggère que les Darkseekers auront eu le temps d’évoluer. Cependant, s’il s’avère que les zombies ne veulent pas être guéris et que les humains non infectés sont minoritaires, cela pourrait conduire à un conflit important.

L’histoire du livre ne dure que quelques années donc la façon dont la société zombie/vampire aurait évolué au fil du temps n’a jamais été explorée. Difficile alors de deviner à quoi ressembleront les monstres dans Je suis une légende 2.

Cependant, si la suite se concentre sur le potentiel civilisé de cette nouvelle société, on peut supposer qu’ils auront l’air un peu moins “sauvages” qu’avant. Peut-être, comme dans l’œuvre littéraire, y aura-t-il plusieurs versions d’humains infectés passant pourtant pour des personnes normales.