M Pokora est un papa heureux. Il vit une belle histoire d'amour avec Christina Milian qu'il a rencontrée à Saint-Tropez. Le coup de foudre a été immédiat entre les deux artistes. Et depuis, ils ne se sont plus jamais quittés. De cette union sont nés deux enfants, Isaiah et Kenna. Christina Milian était déjà maman d'une petite Violet, aujourd'hui âgée de 11 ans. Une belle famille recomposée que M Pokora chérit plus que tout. Et malgré la difficulté de s'occuper de deux enfants en bas âge, il n'a jamais été aussi heureux comme il le confiait dans les colonnes de Télé 7 Jours le 9 novembre 2022. "Mon esprit est constamment occupé par ma famille, je n'ai plus de moments d'ennui. C'est 'Papa ! Papa !' toutes les deux secondes ! Ce n'est pas facile tous les jours ! Mais c'est tellement de bonheur, de nouveaux rires au quotidien, de nouveaux mots, de nouvelles expressions, de nouvelles blagues... Mes enfants me surprennent chaque jour. Mais il faut bien admettre que lorsque vous avez deux enfants avec seulement quinze mois d'écart, c'est un sacré travail !" explique le chanteur, visiblement fier de sa petite famille.
03 juillet 2023
Catherine Matausch réagit à ses adieux sur France 3 brutalement coupés par la pub
Le dimanche 2 juillet 2023, Catherine Matausch ne l'oubliera sans doute jamais. La journaliste a fait ses adieux aux éditions nationales du 12/13 et du 19/20 de la chaîne France 3, trois jours seulement après ceux de Carole Gaessler. À la place, un nouveau projet de France Télévisions, Tempo, va faire son entrée et remplacer les JT nationaux de la chaîne par des JT réalisés par les 24 antennes régionales. Interrompue par Francis Letellier pendant le journal, Catherine Matausch a eu droit à un magnéto retraçant les plus grands moments de sa carrière. Émue au moment de reprendre l'antenne, la journaliste s'est lancée dans un discours, sous les applaudissements de son équipe présente sur le plateau.
Malheureusement, les mots de Catherine Matausch ont été brutalement interrompus par la publicité et la fin de son discours n'a finalement pas été diffusée sur France 3. Heureusement, la journaliste de 63 ans a pu compter sur la bienveillance de Laurent Delahousse. Au moment de prendre l'antenne sur France 2, il n'a pas manqué de diffuser la fin de ses adieux, sans oublier de lui adresser un adorable message : "Chapeau Catherine, je salue ta passion et ton professionnalisme, et je t'embrasse très fort", a-t-il déclaré. Au lendemain de ce couac télévisé, la principale intéressée a réagi...
Lors d'un entretien pour Télé-Loisirs, publié ce lundi 3 juillet 2023, Catherine Matausch est revenue sur ce couac qui a fait le tour de la Toile : "Sur le coup, je ne l'ai pas su, on me l'a dit après. C'est le directeur de l'information, Alexandre Kara qui m’en a parlé. Il a tout de suite eu l'idée de diffuser la partie manquante sur France 2", a-t-elle révélé, précisant qu'une seule glace sépare les deux plateaux. Émue par les mots de Laurent Delahousse, Catherine Matausch a fait son éloge : "Il m'a offert un joli bouquet, il a été très élégant. (...) Finalement, j'étais ravie que la partie manquante soit lancée par lui, je trouvais que c'était un joli signe", a-t-elle avoué.
En ce qui concerne sa réaction face à ce problème technique, la journaliste est loin d'en vouloir à la production : "Je peux être exaspérée pour d'autres choses. (...) Cet incident était déjà un moment passé. (...) Ce sont des erreurs, les accidents font partie de la vie. Une fois que c'est fait, c'est fait, on passe à autre chose", a-t-elle conclu. Un départ à jamais gravé dans sa mémoire.
Barbie interdit au Viêtnam : pourquoi le film avec Margot Robbie et Ryan Gosling ne sortira pas ?
"Cette Barbie est une sirène", "Cette Barbie est avocate", "Cette Barbie est Présidente"… Telles étaient quelques-unes des taglines que nous pouvions lire sur les affiches-personnages du très attendu film de Greta Gerwig, qui ont fait sensation en ligne.
Mais pas de trace d'un "Cette Barbie est privée de sortie au Viêtnam", qui aurait surpris plus d'un spectateur. C'est pourtant ce dont le long métrage vient d'écoper selon Variety, qui invoque une explication géopolitique et diplomatique.
L'une des scènes de Barbie montrerait en effet la Ligne en neuf traits. Soit la démarcation indéfinie qui délimite une portion de la mer de Chine méridionale sur laquelle la Chine affirme détenir une souveraineté territoriale. Ce que le Viêtnam voit comme une violation de la sienne.
Bien que méconnue d'une partie du grand public, cette Ligne en neuf traits, dont l'ONU a unanimement reconnu la non-validité en 2016 (ce que la Chine conteste toujours), a causé des soucis à d'autres longs métrages ces dernières années : le film d'animation Abominable de Dreamworks, retiré des salles après une semaine d'exploitation, ou l'adaptation du jeu vidéo Uncharted.
Si la présence à l'écran de cette délimitation aurait pu être vue comme une manière d'ouvrir à Barbie les portes des salles chinoises, devenues un secteur clé à Hollywood, il n'en est rien car une sortie n'est pas prévue sur place.
On peut en revanche se demander si Greta Gerwig et la Warner iront jusqu'à retirer cet élément jugé problématique de la scène en question, pour permettre à Barbie de sortir au Viêtnam, où le film porté par Margot Robbie et Ryan Gosling était attendu à partir du 21 juillet.
Jonathan Majors : de nouvelles accusations révélées par une enquête
En mars dernier, alors qu'il venait d'enchaîner Ant-Man et la Guêpe : Quantumania et Creed III, et qu'il doit toujours être le futur grand méchant du Marvel Cinematic Universe, Jonathan Majors était arrêté, suite à une accusation de violences domestiques.
Alors que la question de son avenir au sein du MCU se pose (et qu'il se murmure que son rôle dans la saison 2 de Loki serait très réduit, voire supprimé), cette enquête parue dans Rolling Stone ne devrait pas arranger son cas à Hollywood. Car elle s'appuie sur une vingtaine de sources pour dépeindre un homme abusif. Dans les sphères pro et privée.
L'article fait état d'au moins deux relations dans lesquelles Jonathan Majors a eu un comportement toxique. Un ami de l'une de ses ex-compagnes raconte même qu'il est allé jusqu'à étrangler cette dernière, tandis que d'autres sources emploient le terme de "torture émotionnelle" pour qualifier son comportement avec une autre.
Des accusations que Jonathan Majors, par la voix de son avocat, nie en bloc. Et son équipe affirme avoir envoyé à Rolling Stone les témoignages de six femmes dont il a été plus ou moins proches et qui donnent une meilleure image de lui. Sauf que, jointes par le média, trois d'autres elles affirment ne pas avoir autorisé la divulgation de l'échange. Et une autre que sa prise de parole avait été pré-écrite, en plus de ne "pas être véridique."
Des comportements abusifs également exercés en-dehors de cette sphère privée. Et notamment lorsqu'il a fait pleurer plusieurs membres du département des costumes du film Devotion, sorti l'an dernier aux États-Unis, un témoignage évoquant une situation "limite abusive", quand une autre personne parle du "malin plaisir" que semblait prendre l'acteur à agir de la sorte.
Le tournage de Magazine Dreams, drame à venir sur le bodybuilding, aurait quant à lui été le théâtre de coups donnés à un membre de la production, et d'intimidation physique envers un autre, donnant lieu à une plainte. Ce à quoi l'avocat de Majors aurait rétorqué en mettant en avant la méthode de travail de son client, qui "peut parfois être mal interprétée et vue comme de l’impolitesse."
Une intensité déjà vue dans ses cours d'art dramatique à l'école de Yale. Si ce n'est qu'elle a conduit à plusieurs altercations avec ses camarades, dont l'un affirme que beaucoup se sentaient "en danger physique à ses côtés." Et qu'un mail avait dû être envoyé aux élèves, avec quelques rappels sur les convenances lors des répétitions à la suite de l'un de ces incidents.
Accusé depuis le mois de mars d'agression physique, de harcèlement aggravé , de tentative d'agression et de harcèlement, auxquels il devra prochainement répondre, Jonathan Majors pourrait voir sa carrière stoppée brutalement s'il était reconnu coupable. Et ce alors que son avocat clame toujours son innocence et prétend pouvoir le prouver.
Maeva Ghennam dévoile son nouveau look
Maeva Ghennam a enfin séché ses larmes. Et ce n'était pas gagné ! En mai dernier, elle s'était confiée en pleurs aux internautes au sujet de sa dernière opération de chirurgie esthétique qui s'était mal terminée. Opérée du nez, sa cicatrice s'était rouverte en raison de sa lèvres supérieure "trop lourde". Un cauchemar par la candidate des Marseillais qui avait même reçu l'interdiction de parler par son médecin. Des semaines plus tard, la jeune femme a retrouvé le sourire et a même pris une grande décision : "attendre le mariage et pratiquer l'abstinence". Une annonce inattendue pour les fans de la star téléréalité qui est bien décidée à prendre un nouveau départ. Galvanisée par sa bonne résolution, Maeva a également décidé de passer par la case relooking. La belle brune a décidé de changer de tête et devenir... blonde.
"J'ai quelque chose à vous annoncer... Mes bébés, vous avez déjà ressenti cette envie d'aller chez le coiffeur pour une nouvelle coupe, une nouvelle couleur, pour marquer un changement de votre vie ? Aujourd'hui, c'est ce que j'ai fait, je me suis fait blonde. Nouvelle couleur pour une nouvelle vie", a-t-elle déclaré sur la story de son compte Instagram. Quelques heures plus tard, Maeva Ghennam a posté des photos d'elle avec sa nouvelle couleur. "Ça fait 10 ans que j’avais arrêté d’être blonde. Vous aimez ?", a-t-elle demandé aux internautes en immortalisant sa longue chevelure devenue dorée. A son plus grand soulagement, la demoiselle a fait l'unanimité. "Trop beau", "J’aime trop", "Non on n'aime pas, on adore", "Magnifique", "Ça te fait un visage plus doux" ou encore "Canon, ça te va trop bien", peut-on lire en commentaires.
50 Cent : le rappeur annonce une ultime tournée mondiale avant de faire ses adieux à la scène
Coup de tonnerre pour le rap américain. Eminem, Jay-Z, Snoop Dogg, Kendrick Lamar, Drake, 50 Cent ou encore Dr. Dre, les États-Unis ont fait naître des stars mondiales ces dernières décennies. Mais plus le temps avance, plus les icônes de la musique laissent leur place aux plus jeunes. Cette fois, c'est 50 Cent, qui fêtera ses 48 ans le jeudi 6 juillet, qui a choisi de mettre un terme à sa carrière de rappeur très prochainement. Alors que son album culte Get Rich or Die Tryin' fête ses 20 ans, l'auteur-compositeur-interprète s'apprête à lancer une ultime tournée mondiale. Après ça, il fera ses adieux à la scène en tant que rappeur : "Je ne pourrai plus le faire comme ça", a confié le rappeur lors d’un entretien avec nos confrères de l’AFP.
Le rappeur qui vient de se produire à l'Afro Nation au Portugal va ensuite se consacrer à d'autres activités loin de la musique, notamment sa branche de spiritueux… C'est donc une page qui se tourne pour les fans de rap : "Mes activités de producteur de films et shows TV ne me le permettent plus, a ajouté 50 Cent. Avec mes productions […], je parle directement à mon public cible, je ne veux pas le perdre", a-t-il conclu.
50 Cent profite donc des 20 ans de son album phénomène Get Rich or Die Tryin’ pour proposer une ultime tournée à ses fans, qui passera par les États-Unis, l’Europe, le Royaume-Uni puis l’Océanie : "On a vendu 600.000 tickets, sans doute impressionnant pour d'autres, mais je suis 50 Cent", a-t-il avoué. Il ne s'arrête pas là, puisqu'il aimerait se produire dans d'autres territoires qu'il n'a jamais eu l'occasion de visiter dans le passé. Pour rappel, il passera par la France à l'automne, avec notamment un concert événement le 3 novembre prochain à Paris La Défense Arena.
En revanche, un seul détail pourrait le faire revenir sur sa décision et lui donner l'envie de continuer dans la musique : tourner avec "Eminem et Dr. Dre". Mais, pour Curtis James Jackson III, c'est peine perdue. "Je ne pense pas que ça pourra se faire", a-t-il avoué. Une chose est sûre, il aura conquis le cœur de nombreux amateurs de musique ces dernières années.
Anne-Claire Coudray : ce qu’elle ne peut plus faire depuis qu’elle présente le JT de TF1
Difficile à croire, mais la journaliste Anne-Claire Coudray est déjà aux commandes des journaux du week-end de TF1 depuis dix belles années. En juillet 2012, elle devient la remplaçante (joker) de Claire Chazal à la présentation des journaux de 13 heures et 20 heures du week-end, mais également du magazine Reportages sur la chaîne. Mais, c'est finalement en 2015 qu'elle remplace Claire Chazal, désignant Audrey Crespo-Mara comme joker. Depuis son arrivée sur la Une, Anne-Claire Coudray doit respecter certaines règles et parfois faire face à de vrais défis. Souvenez-vous, le 14 juillet 2021, la journaliste avait sauté en chute libre lors du défilé. Le 14 juillet prochain, c'est un nouveau rendez-vous qui l'attend : elle aura la chance de réaliser des figures acrobatiques en Alpha Jet avec la Patrouille de France. Des expériences hors norme pour la star du JT, qui a dû changer quelques habitudes dans son quotidien depuis son arrivée chez TF1.
Lors d'un entretien accordé à nos confrères de Télé 7 Jours, la collègue de Gilles Bouleau a tenu à assurer que la chaîne ne l'interdisait pas de pratiquer certaines activités, sportives, ou non : "Non, notre seule obligation, en tant que présentateur, c'est d'être à l'antenne à l'heure", a-t-elle révélé. En revanche, la journaliste a pris les devants et s'est elle-même fixée quelques limites : "Bon, c'est vrai que j'ai arrêté de me déplacer à scooter et que j'évite d'aller skier l'hiver. (...) Mais vous le voyez bien, personne ne m'a empêchée de sauter en parachute", a-t-elle avoué.
En revanche, Anne-Claire Coudray a révélé avoir mis un terme à une habitude bien précise avant de passer à l'antenne : "On évite tous de prendre l'ascenseur avant le JT, pour ne pas rester coincé dedans à la dernière minute. Sinon, je choisis moi-même mes vêtements. Ce qui est vrai, c'est que je suis astreinte à une forme d'exemplarité, à un certain classicisme verbal et corporel, mais ça va avec la mission d'informer", a-t-elle conclu.
Jessica Errero critique le comportement des producteurs de cinéma à l’égard des candidats de télé-réalité
Jessica Errero s'est fait connaître du grand public en participant à deux éditions des Marseillais ainsi qu’à la deuxième saison de Moundir et les Apprentis Aventuriers. Puis, fin 2017, elle a annoncé son choix (momentané) d’arrêter la télé-réalité. Elle a alors tenté de devenir actrice et a décroché un rôle dans plusieurs épisodes de la série Demain nous appartient.
Cependant, cinq ans plus tard, celle qui est en couple avec Fanny Salvat ne croule pas sous les projets. La faute, selon elle, à cette étiquette de candidate de télé-réalité qui lui colle à la peau. "J’ai passé de trop nombreux castings où les réalisateurs étaient séduits par mes compétences de comédienne et où ça finissait par bloquer au niveau de la production à cause de mon passé en téléréalité", avait-elle expliqué en février dernier à TV Mag, alors qu'elle s'apprêtait à participer de nouveau aux Apprentis Aventuriers.
Ce 3 juillet, alors qu’elle débarque au casting de l’émission C’est la famille sur W9, Jessica Errero a évoqué une nouvelle fois ce sujet auprès de Télé-Loisirs. "Quand nous sommes issus de la télé-réalité, les producteurs ne nous donnent pas forcément la chance de nous épanouir dans ce milieu. Sur dix personnes, une personne va te faire confiance jusqu'au bout, les neuf autres vont te dire que tu as du talent", a-t-elle raconté avant d'ajouter : "Globalement, les réalisateurs vont te dire oui pour un rôle mais une fois dans les mains des productions, on se fait recaler parce qu’on a fait de la télé-réalité".
"Sans prétention, je pense avoir du talent", a-t-elle assuré à nos confrères. Pour percer, elle a décidé de s’expatrier aux États-Unis. "J’ai envie de prouver qu’on peut réussir et que ce n’est pas parce qu'on est passé par la case télé-réalité qu’on est bête ou sans talent", a-t-elle expliqué. Les caméras de C’est la famille la suivront donc dans cette tentative de percer sur grand écran. Une manière de conjuguer télé-réalité et envies de comédie.
Ezra Miller nie des accusations de comportement inapproprié
Si The Flash revêtait une importance capitale pour l'avenir de l'univers DC au cinéma, sa star Ezra Miller a bien failli causer sa perte avant la sortie du film. Il est difficile, à l'heure actuelle, de mesurer l'importance des frasques de l'acteur dans l'échec, déjà acté, du long métrage au box-office. Mais la question de son annulation s'est posée dans les bureaux de la Warner.
Régulièrement aperçu dans les pages "faits divers", Ezra Miller a été vu en train d'étrangler une femme à la sortie d'un bar en Islande avant d'être accusé de trouble à l'ordre public et de harcèlement à Hawaï, de recevoir des ordonnances restrictives pour des mineures de 12 et 18 ans. Et d'être arrêté en 2022, dans le Vermont, pour un cambriolage dont il a reconnu les faits.
Au final, le long métrage DC a "seulement" été reporté pour laisser la situation se calmer, et l'une des ordonnances a été levée ce vendredi 30 juin. C'est dans ce contexte qu'Ezra Miller s'est exprimé sur le sujet, d'abord par le biais de son avocate :
"L'ordonnance originale, demandée par Shannon Guin au nom de son enfant mineur, reposait sur de fausses allégations", affirme Marissa Elkins.
Selon elle, le comédien n'a "jamais été seul avec l'enfant et n'a jamais interagi avec lui au-delà de deux brèves entrevues qui ont eu lieu en présence de plusieurs autres adultes." Et Ezra Miller n'aurait jamais été en possession d'une arme dans ces moments, contrairement à ce qui avait été dit.
"Les ordonnances restrictives ne sont pas destinées à être utilisées comme des armes par ceux qui cherchent l’attention ou la célébrité fugace de tabloïds."
"Ce qui est frustrant pour Ezra, c'est que Guin a émis ces fausses accusations à une époque où iel luttait contre d'importants problèmes de santé mentale, et était dans l'impossibilité de se rendre au tribunal pour se défendre contre les affirmations fallacieuses de cette personne." Deadline a ensuite pu se procurer un communiqué rédigé par le principal intéressé.
"Je me sens réconforté par le résultat d'aujourd'hui et très reconnaissant, en ce moment, envers celles et ceux qui se sont tenus à mes côtés et ont cherché à faire en sorte que cette utilisation abusive flagrante du système d’ordonnances de protection soit interrompue."
"Les ordonnances restrictives visent à assurer la sécurité des personnes, des familles et des enfants qui sont en danger. Elles ne sont pas destinées à être utilisées comme des armes par ceux qui cherchent l’attention ou la célébrité fugace de tabloïds, ou une espèce de vengeance personnelle, quand il y a des gens qui ont un besoin réel et urgent de ces services."
"J’ai été injustement et directement pris pour cible par une personne qui, selon les faits, a des antécédents de manipulation et de destruction." La seconde ordonnance émise à l'encontre d'Ezra Miller reste, en revanche, toujours en vigueur à l'heure actuelle.
Netflix : Sylvester Stallone va avoir droit à son documentaire
Depuis plus de trente ans, les amateurs du cinéma d’action américain se rangent en deux catégories : les fans d'Arnold Schwarzenegger et ceux de Sylvester Stallone.
Si les deux sections de spectateurs se sont finalement réunies grâce aux collaborations des deux action heroes (via notamment la trilogie Expendables), chaque cinéphile possède néanmoins son préféré parmi ces deux mastodontes du blockbuster US.
Ces dernières semaines, Netflix a gâté les fans de l’ancien gouverneur de Californie, en proposant non seulement sa toute première série comme interprète principal Fubar, mais également une passionnante série documentaire en trois épisodes retraçant les trois vies de Schwarzenegger : l’Athlète, l’Acteur et l’Américain.
Mais les inconditionnels de Stallone ne seront pas en reste, puisque la plateforme diffusera dès le mois de novembre prochain un film documentaire sobrement intitulé Sly, consacré à la vie et à la carrière de l’interprète de Rocky et de Rambo.
Leçons de vie et anecdotes sur ses plus grands films sont attendues dans cette nouvelle production Netflix dédiée à l’acteur/réalisateur de 76 ans.
Tandis que Fubar s’est vue accorder une seconde saison par Netflix, la série Tulsa King dans laquelle apparaît Sylvester Stallone a elle aussi connu le succès sur la plateforme Paramount+. La preuve s’il en fallait encore une que les légendes du cinéma ne meurent jamais, et que l’amour des fans pour leur idole est lui aussi immortel.
Le documentaire Sly est à retrouver en exclusivité sur Netflix en novembre prochain.