Depuis le week-end du 18 et 19 février, une nouvelle concernant Richard Gere ne manque pas d'inquiéter ses nombreux fans à travers le monde. Actuellement en séjour au Mexique en compagnie de sa femme Alejandra Silva et leurs deux fils, l'acteur de 73 ans a été hospitalisé en urgence après avoir été victime d'une forte toux. Pris en charge au sein du centre de Nuevo Vallarta, Richard Gere a été diagnostiqué d'une pneumonie par les médecins.
Post Malone s’est fait interdire l’accès d’un bar en Australie à cause de ses tatouages. Une première pour le rappeur, qui s’est étonné de ce désagrément dans la presse locale.
« Ils m’ont renvoyé pour mes tatouages… Je n’ai jamais vraiment vécu quelque chose comme ça », a-t-il déploré auprès du West Australian.
Mais il faut dire que l’hôtel QT, situé dans la ville Perth, impose un dress code des plus stricts à sa clientèle pour accéder à son bar en rooftop. Sont prohibés les tatouages faciaux, sur le cou, et à caractère offensant. Autant de cases cochées par l’artiste.
Toutefois, face au bad buzz, l’établissement a préféré présenter ses excuses.
« Chez QT, notre objectif est d’accueillir tout le monde et de célébrer le caractère unique de chaque individu. QT est reconnu pour cela depuis de nombreuses années », peut-on lire dans un communiqué de l’hôtel publié par le Daily Mail.
« Cependant, samedi soir, notre sécurité tierce n’a pas exercé la discrétion appropriée et nous en assumons l’entière responsabilité. Nous nous excusons sincèrement auprès des personnes concernées. »
A croire que le « caractère » du rappeur était un tantinet trop « unique » pour l’établissement. Mais qu’importe, puisque Post Malone n’aura eu aucun problème à trouver un autre bar en rooftop pour étancher sa soif ce soir-là, tandis qu’il venait de jouer en première partie des Red Hot Chili Peppers.
Taylor Swift a gagné beaucoup d’argent en 2022. Avec des revenus estimés à 92 millions de dollars, la chanteuse est devenue l’artiste féminine la mieux payée en 2022. A en croire Forbes, qui a publié son classement des professionnels du divertissement les mieux payés de l’année écoulée, 2023 pourrait encore mieux profiter à la pop star.
Rebel Wilson s’apprête à lancer Fluid, une application de rencontre qui, comme son nom le suggère, donnera la part belle à la fluidité sexuelle. Pour ce faire, les utilisateurs n’auront pas à définir leur orientation sexuelle.
« C’est la première application de rencontre où vous n’avez pas à dire si vous êtes hétéro, gay ou bi, et vous n’avez pas à décrire ce que vous cherchez », a expliqué l’actrice à People.
« C’est un peu l’amour sans étiquette ».
« Ce qui est vraiment cool avec cette app, c’est que c’est ouvert à tout le monde », a poursuivi Rebel Wilson. « Vous pouvez juste avoir envie d’accéder à un plus grand horizon de rencontres, comme ce fut mon cas. Ça couvre une large partie du spectre LGBTQ +, mais je pense que même si vous êtes hétéro, vous pourrez utiliser l’app et passer des moments incroyables. »
Ces derniers mois, la vie personnelle de la star de Pitch Perfect a été complètement bouleversée. Après avoir mené une existence strictement hétérosexuelle toute sa vie, elle a succombé au charme de la styliste Ramona Agruma il y a de ça quelques mois et elles filent désormais le parfait amour. En outre, elle a accueilli une petite Royce née par mère porteuse il y a peu de temps.
Au final, pour elle, Fluid est le reflet de son propre parcours amoureux. « Je n’ai jamais pensé que j’étais 100 % hétéro », a-t-elle ajouté. « Je ne sais pas vraiment comment définir ma sexualité, et je sais qu’il y a beaucoup de gens qui n’ont pas l’intention de totalement définir la leur non plus. »
Kad Merad et Julia Vignali ont fini la semaine avec une très mauvaise surprise. Leur domicile a été cambriolé. Une information confirmée par la présentatrice de Télématin dans l’émission Quelle époque ! ce samedi, alors qu’elle était venue assurer la promotion de son nouveau livre, Adieu Bordel ! (éditions Flammarion).
« Je me suis fait cambrioler. Mais en tout cas, c’est vrai qu’avec des événements traumatiques comme celui-ci, c’est très désagréable », a-t-elle déclaré en réponse à Christophe Dechavanne, qui venait d’y faire allusion.
L’information avait été dévoilée auparavant par le Journal du Dimanche. Les cambrioleurs seraient repartis du domicile parisien du couple avec plusieurs objets de valeur, dont des montres et des bijoux.
La publication avait, dans un premier temps, estimé le préjudice à 200.000 euros, avant de corriger pour annoncer qu’il s’agissait de « près de 400.000 euros ». Le forfait aurait été découvert par Julia Vignali, en rentrant chez elle dans l’après-midi de jeudi dernier.
C’est d’ailleurs après avoir récupéré son trophée, en salle de conférences, qu’il a confié aux médias combien tout, dans le tournage du film Elvis, le rend nostalgique.
« Ça me manque beaucoup. Cette expérience me manque. La terreur que je ressentais tous les jours ne me manque pas, mais l’exaltation que vous ressentez avec ça, ça me manque. Les gens avec qui j’ai pu faire le film me manquent, ils sont devenus comme une famille pour moi et ils me manquent vraiment beaucoup », a déclaré l’acteur de 31 ans, comme le relaye Variety.
Ne plus être dans la combinaison d’Elvis Presley lui « manque beaucoup » également, tout comme cette « impression de se tenir sur une scène mondiale » et de « voir les choses comme Elvis aurait pu les voir ».
L’exercice auquel se prête Austin Butler pendant cette saison des récompenses est d’autant plus délicat que la famille du King est endeuillée depuis le décès, début janvier, de Lisa Marie Presley d’une crise cardiaque. Le jeune comédien était devenu proche du clan.
« C’est inimaginable combien cette période a été tragique, vous savez, et le deuil est un long processus. Mon cœur et mon amour ont toujours été avec (les Presley). Je me sens honoré d’avoir été accueilli dans cette famille. C’est un moment doux-amer », a-t-il ajouté.
Austin Butler n’en a pas encore fini avec Elvis Presley, puisqu’il est nommé dans la catégorie Meilleur acteur aux Oscars. La cérémonie aura lieu le 12 mars.
Dean Fleischer Camp, le cinéaste à l'origine de Marcel le coquillage avec ses chaussures, nommé aux prochains Oscars pour le meilleur film d'animation, est le réalisateur choisi pour le remake de Lilo & Stitch. Pour rappel, le long-métrage original de Chris Sanders et Dean DeBlois sorti en 2002 raconte le lien entre une jeune fille hawaïenne, Lilo, et un extraterrestre ressemblant à un chien, Stitch, qui a été génétiquement conçu pour être une force destructrice.
Le comédien Zach Galifianakis a conclu un accord pour jouer dans l'adaptation, selon The Hollywood Reporter, mais les détails de son rôle sont encore secrets. Ce projet marquera son retour au cinéma de studio pour la première fois depuis le film Disney Un raccourci dans le temps sorti en 2018. L'acteur a été une figure incontournable du grand écran pendant de nombreuses années grâce à la franchise Very Bad Trip. Depuis la fin des années 2010, cependant, Galifianakis s'est tourné vers la télévision, en co-créant et jouant dans Baskets pour FX. Concernant le reste du casting de Lilo & Stitch, le studio mène actuellement une large recherche pour trouver les actrices qui joueront Lilo et sa grande sœur.
Notamment connu pour avoir signé L'Ours et la poupée ou encore Péril en la demeure (qui lui avait valu le César du Meilleur réalisateur en 1986), le metteur en scène français Michel Deville s'est éteint ce jeudi 16 février à l'âge de 91 ans.
Ancien assistant d'Henri Decoin, Michel Deville commence à réaliser des films en pleine Nouvelle Vague (à laquelle il n'appartiendra pas). Après Une Balle dans le canon, premier film policier cosigné par Charles Gérard, il signe Ce soir ou jamais (1961) avec la scénariste Nina Companeez. C'est le coup d'envoi d'une collaboration privilégiée qui s'étalera sur 11 films et durera jusqu'en 1971, donnant une véritable unité de ton à la première partie de l'oeuvre de Deville.
Tous deux façonnent des comédies brillantes et pleines de fantaisie, qui sont autant de variations sur les émois sentimentaux et érotiques de jeunes gens ; Adorable Menteuse en 1962, A cause, à cause d'une femme l'année d'après, ou encore Benjamin ou les Memoires d'un puceau en 1968. L'équilibre y est tenu entre le versant ludique de Deville et le marivaudage moraliste propre à Campanéez. Lorsque l'univers de Deville prend le dessus dans la collaboration, cela donne Bye bye, Barbara (1969), film aux ruptures de ton insolites et aux digressions déroutantes. Lorsque c'est l'inverse, cela donne Raphaël ou le débauché (1971).
Sans sa scénariste fétiche, Deville adopte un ton plus âpre. Le Dossier 51 (1978), où il s'interroge de manière implacable sur la manipulation et joue sur l'ambiguïté des êtres, marque une charnière dans son cinéma qui va se diversifier en chevauchant les genres. Avec Eaux profondes (1981) il analyse avec une grande finesse les jeux pervers et meurtriers du couple Trintignant-Huppert.
Il poursuit sa peinture de la perversion dans Péril en la demeure (1985), film labyrinthique où se côtoient femmes fatales, bourgeois calculateurs et fausses ingénues, qui lui vaut le César du Meilleur réalisateur. Mais il tempère son pessimisme par le plaisir de filmer et de jouer avec les mots, comme le démontre un an après l'éblouissant Paltoquet.
Dans La Lectrice, il manie encore cette étrangeté de ton par laquelle il se livre à une peinture acide de son temps (qu'on retrouvera dans Toutes peines confondues en 1992, ou La Divine poursuite en 1997). En 2002, il traite de la France de Vichy dans Un monde presque paisible. En 2005, Michel Deville revient dans un registre plus léger avec Un fil à la patte, pièce comique et vaudevillesque de Georges Feydeau, adapté par sa femme et collaboratrice Rosalinde Deville, qui traite entre autres du désir, du plaisir et de l'argent.
Avec un CV pareil, Amir Haddad appartient à la catégorie des hyperactifs. De ceux qui ne supportent pas l'oisiveté des dimanches, ses grasses matinées et ses brunchs à pas d'heure. Après la scène et les studios d'enregistrement, l'artiste révélé par The Voice a décidé de brûler les planches pour incarner le destin extraordinaire d’Alfred Nakache dans Sélectionné. Un défi excitant que ce travailleur-né n'a pu refuser et pour lequel il s'est investi en prenant notamment des cours de natation et d'acting.
Cette boulimie d'activité, le papa de Mikhaël la cultive depuis son enfance, et continue de l'entretenir en acceptant les challenges les plus fous. Ce passionné de triathlon participera normalement au majestueux marathon de New York en novembre prochain si toutes les conditions sont réunies. "J'ai envie de le faire. Je suis en train de vérifier pour m'inscrire. J'adorerais le faire", a confié celui qui voue un véritable "amour" au sport.
Encore faut-il que l'entourage de ce téméraire suive le rythme effréné de ses plannings chargés. Ce qui n'a pas toujours été le cas lorsque celui qui a grandi à Tel-Aviv s'est installé en France à l'âge de 29 ans. Car, en Israël, il y a école le dimanche. "Une fois arrivé ici, c'était compliqué", a-t-il confié au JDD, au sujet du septième jour de la semaine où tourne tout au ralenti. Et d'expliquer ce qui l'a longtemps contrarié : "J'avais l'impression que l'on m'obligeait à rester chez moi, je ne pouvais pas contacter mes équipes pour bosser, tout le monde était off. J'avais un sentiment de vide". Néant dominical qu'il a désormais comblé par une vie de famille bien remplie.
Sa grâce et son talent ont fait d’elle l’une des actrices les plus courtisées du cinéma français. 23 ans après ses débuts au cinéma, Laetitia Casta est de retour sur les planches dans Clara Haskil - Prélude et fugue, un seul-en-scène où elle incarne la pianiste d'origine bulgare méconnue du grand public et pourtant qualifiée de génie par ses contemporains. "Il y a des endroits où on pouvait s'accorder Clara Haskil et moi. L'exigence de ce personnage, torturé mais aussi humble à la fois, et avec beaucoup de générosité m'a demandé beaucoup de résilience", a expliqué la comédienne lors d’un entretien accordé à RTL. Au cours de cette interview, Laetitia Casta, qui incarne dans sa nouvelle pièce une femme forte et ambitieuse, s’est également confiée sur sa vision du féminisme : "Je n'ai pas besoin de le revendiquer parce que c'est une chose qui fait partie de moi. J'ai plutôt été exposée au monde, je ne me suis pas vraiment protégée ; aussi parce que j'ai rencontré des êtres incroyables qui m'ont donné une colonne vertébrale très très forte", a-t-elle expliqué.
Lors de son entretien accordé à RTL dimanche 19 février, Laetitia Casta s’est notamment confiée sur sa dyslexie. Si ce trouble du langage écrit peut l’handicaper dans la vie, la comédienne ne rencontre aucun problème sur les planches. "Quand on est sur scène, on n'a pas ce problème là. C'est chez moi, ça ne se passe qu'à la maison et je fais rire tout le monde avec ça", a expliqué la femme de Louis Garrel.
Pour cette grande timide, le théâtre a été le moyen de découvrir une autre facette de sa personnalité. Lorsqu’elle a été initiée à cette discipline à l’âge de de 12 ans, cela a été une "révélation". "J'étais très timide. S'exposer devant les autres. C'était comme si j'avais allumer un feu de cheminée qui ne s'était jamais éteint. C'était pas du tout cérébral mais physique", a-t-elle ajouté. Un parcours inspirant.