17 juin 2022

Dragon Ball : cette relation amoureuse a choqué les fans et les comédiens de doublage

Le film Dragon Ball Super : Super Hero a débarqué au Japon le 11 juin et sa date de sortie française n'est toujours pas communiqué.

Alors que les fans trépignent d'impatience, les comédiens de doublage de la série font la promotion du film au pays du Soleil Levant.

Lors d'une interview, l'actrice qui double Goku, Masako Nozawa, est revenue sur les moments emblématiques de la série animée. Elle a avoué qu'à l'époque, le couple Vegeta / Bulma l'avait beaucoup choqué.

L'actrice en avait discuté avec Hiromi Tsuru, qui prêtait sa voix à Bulma et qui est malheureusement décédée en 2017. Cette dernière était également déconcertée en apprenant que son personnage allait avoir une romance avec Vegeta.

Le Fier Prince des Saiyans ayant un tempéramant ultra volcanique et solitaire (tout le contraire de Bulma), les comédiens (et les fans), n'ont pas compris à l'époque pourquoi Akira Toriyama, auteur de Dragon Ball, avait pris la décision de les mettre en couple.

Toru Furuya, acteur qui double Yamcha, est même allé se plaindre auprès du créateur de la saga. Il ne comprenait pas pourquoi ce n'était pas son personnage qui épousait Bulma, ce qui aurait été plus logique compte tenu de leurs personnalités.

Au final, Toriyama ne s'est jamais justifié de son choix et le couple Bulma / Vegeta est stable depuis de longues années, malgré leurs différences de tempérament. Ils ont même eu un fils, Trunks, qui a joué un grand rôle dans les intrigues de Dragon Ball.

16 juin 2022

Bande-annonce d'After Yang, avec Colin Farrell

Après la série Pachinko sur Apple TV+, le réalisateur Kogonada revient avec un autre drame familial, sur grand écran cette fois, After Yang. Montré pour la première fois lors du 74e Festival de Cannes dans la sélection Un Certain Regard, il sera visible dans les salles de cinéma dès le 6 juillet.

On y retrouve Colin Farrell en père de famille, vivant dans un futur proche, où chaque foyer possède un androïde domestique, appelé « techno-sapiens ». Dans la famille de Jake, il s’appelle Yang, et veille plus particulièrement sur la jeune Mika, assurant pour cette petite fille adoptée d’origine chinoise, un rôle de tuteur, d’ami, de confident. Aussi, le jour où Yang tombe en panne, Jake met toute sa vie en pause pour tenter de le réparer. Mais le parcours va se révéler beaucoup plus compliqué que prévu, et va mettre Jake aux prises avec des questionnements existentiels et intimes vertigineux.

Au côté de l’acteur irlandais, on retrouve Jodie Turner Smith (Anne Boleyn) dans le rôle de Kyra, la mère, Justin Min (Umbrella Academy) est Yang, et pour Mika, la jeune fille adoptée, on retrouve Malea Emma Tjandrawidjaja pour son premier film.

Samuel L. Jackson "préfère jouer Nick Fury" que gagner des Oscars

S'il a aujourd'hui un Oscar qui orne sa cheminée - un Oscar d'honneur reçu en 2022 pour l'ensemble de sa carrière - Samuel L. Jackson n'a pas du tout envie de courir après les rôles à statuettes ! Comme il le confie dans une récente interview avec le Los Angeles Times, l'acteur culte de Pulp Fiction préfère largement jouer dans des blockbusters Marvel qui rapportent des milliards au box-office :

"J'ai bien entendu été blasé par ce sujet, à me dire que j'aurais dû gagner un Oscar pour ceci ou que j'aurais dû gagner pour cela, mais ce n'est pas arrivé... Une fois que j'ai surmonté ce sentiment, il y a de nombreuses années maintenant, ça n'a plus été un gros problème pour moi ! Je prends toujours du plaisir à aller à la cérémonie des Oscars. J'ai toujours hâte de recevoir un panier-cadeau parce que j'ai remis un prix [Rires] Je donne des trucs à mes proches ; ma fille et ma femme repartent avec des trucs. C'est cool… Mais sinon, je suis passé à autre chose."

"Je ne veux pas laisser l'Académie des Oscars décider si ma carrière est un succès ou un ratage", insiste-t-il. "Mon critère de réussite est mon bonheur : suis-je satisfait de ce que je fais ? Je ne fais pas des films pour chasser les statuettes. "Si vous faites ce film, vous gagnerez un Oscar !" Non, merci. Je préfère jouer Nick Fury. Ou m'amuser à être Mace Windu avec un sabre laser à la main !"

Samuel L. Jackson va au bout de son idée et explique qu'il préfère abandonner les rôles aux Oscars pour faire des films "que les gens veulent voir ! C'est le gars que j'ai choisi d'être et ça me va. Je suis satisfait parce que c'est qui je suis. Je suis le gars qui balance des répliques que les gens impriment sur des T-shirts. Il y a des acteurs qui font toute leur carrière et personne ne peut citer une seule de leurs répliques..."

Equalizer 3 avec Denzel Washington : Dakota Fanning au casting

Deadline officialise le lancement d'Equalizer 3 en annonçant que le réalisateur des deux premiers opus, Antoine Fuqua, va retrouver Denzel Washington pour cette suite, mais aussi embaucher Dakota Fanning. Un duo qui se connaît bien, puisqu'il y a 18 ans, ils incarnaient les héros de Man on Fire, l'un des meilleurs films d'action de Tony Scott. Fillette au moment du tournage (elle avait dix ans à sa sortie en 2004), elle était très touchante aux côté de Denzel qui jouait son garde du corps dépressif, reprenant goût à la vie en étant chargé d'assurer sa sécurité, avant qu'elle ne soit kidnappée par un cartel. Elle s'est depuis construit une carrière riche et éclectique, en signant pour de nombreux projets de films et de série, par exemple le drame de SF La Guerre des mondes, de Steven Spielberg, le biopic rock Les Runaways, dans lequel elle jouait Cherry Curry face à Kristen Stewart en Joan Jett, ou encore la saga Twilight, où elle interprétait Jane Volturi et The Alienist, une série médicale historique portée par Daniel Brühl.

On ne sait pas encore qui elle incarnera dans Equalizer 3, mais cela devrait bientôt être précisé. Après le succès du premier opus, un thriller violent qui a récolté 190 millions de dollars dans le monde, en 2014, Antoine Fuqua a sorti sa suite quatre ans plus tard, qui a rapporté la même somme au box-office. Dans le premier, le héros vengeait une jeune prostituée incarnée par Chloë Moretz, tabassée par son proxénète. Dans la suite, il vengeait la mort de son amie jouée par Melissa Leo. Ce troisième épisode, toujours écrit par Richard Wenk, sortira le 1er septembre 2023 dans les salles américaines.

Le cinéma immersif arrive en France avec Terminator 2

Vous faites partie de cette extrême minorité qui a toujours rêvé de vivre dans l'univers de Terminator ? Ah ! La belle vie de résistant plongé dans la guerre contre les machines sur une Terre ravagée par l'Armageddon nucléaire... ou bien vivre dans la peau d'un T-800, impitoyable corps d'acier traquant les derniers humains pour établir à jamais la domination de Skynet... Cool, non ? C'est ce que propose, à peu de choses près, la "première expérience de cinéma immersif en France" consacrée à Terminator 2 : Le Jugement dernier de James Cameron. Les Français de Dream Factory ont importé chez nous le concept de "Secret Cinema" : un jeu de rôle grandeur nature où l'on investit des lieux recréant l'univers d'un film, avec des comédiens costumés, où les participants reçoivent également un rôle et des missions à effectuer... Il y a eu des "Secret Cinema" Moulin rouge, Blade Runner ou Star Wars, pour vous donner une idée de la chose.

Ici, vous allez pouvoir incarner des résistants du futur envoyés par John Connor dans le Los Angeles de 1995 pour protéger Sarah et John Connor des machines tueuses. On pourra explorer librement sept lieux différents tirés du film de James Cameron : la salle d'arcade, le bar des bikers, l'hôpital psychiatrique, un camp dans le désert, le laboratoire de Cyberdyne, la fonderie où disparaît le T1000... et un lieu inédit, le point de départ de l'expérience intitulée No Fate, le QG de la Résistance à Paris en 2022. L'expérience est censée durer plus de 3 heures, mais ne propose pas la projection du film à la fin.

Les sessions commencent aujourd'hui 16 juin, et auront lieu du jeudi au samedi, à 19h et 19h30, et les dimanches à 14h ou 14h30. Le lieu : la Tour Orion (un nom très Skynet) à Montreuil, au métro Croix de Chavaux, à deux pas de l'excellent cinéma le Méliès.

Avatar, le dernier maître de l'air aura droit à une trilogie au cinéma

En février 2021, nous apprenions qu'un film d'animation tiré de la célèbre animée Avatar, le dernier maître de l'air, allait voir le jour.

Aujourd'hui, Paramount Animation et Nickelodeon précisent qu'une trilogie est en préparation ! Selon ComingSoon, c'est Lauren Montgomery qui se chargera de réaliser le premier épisode.

"Les créateurs de la série animée, Michael Dante DiMartino et Bryan Konietzko, souhaitent développer cet univers avec nous. On garde cette famille unie avec l'expertise de Lauren Montgomery à la réalisation.

Elle a fait un travail tellement magnifique sur la série originale et continuera avec la mise en scène de ce premier long-métrage", a déclaré Ramsey Naito, président du département animation chez Paramount et Nickelodeon.

En effet, la cinéaste a déjà officié sur la série originale en tant que storyboardeuse. Diffusée entre 2005 et 2008, Avatar, le dernier maître de l'air se compose de 61 épisodes répartis sur 3 saisons. Le show a connu un immense succès. Il est désormais disponible en intégralité sur Netflix, pour ceux qui voudraient se faire un avis.

M. Night Shyamalan en a tiré une adaptation live en 2010, mais elle n'a pas rencontré le succès escompté. Handicapé par des critiques majoritairement négatives, le long métrage avait néanmoins rapporté près de 320 millions de dollars dans le monde, pour un budget de 150, ce qui est loin d'être honteux. Mais pas suffisant pour que les deux suites prévues voient le jour.

Avatar nous plonge dans un monde divisé entre quatre civilisations liées à des éléments : les tribus de l'eau, le royaume de la terre, les nomades de l'air et la nation du feu, qui a semé le guerre et la destruction pendant le siècle qui a précédé le début du récit.

Prisonnier des glaces tout au long de ces cent années, le jeune Aang découvre qu'il est l'Avatar, celui qui peut rétablir l'équilibre dans l'univers. Mais il lui faut, pour cela, apprendre à maîtriser tous les éléments.

Joker 2 en comédie musicale ? Joaquin Phoenix en parlait déjà en 2019

Si la possibilité de voir Lady Gaga en Harley Quinn n'était pas plus inattendue que cela, apprendre que la suite de Joker, intitulée Folie à deux, pourrait être un film musical en a surpris plus d'un. En plus de prouver que Todd Philips allait opter pour un vrai parti-pris, audacieux, au lieu de simplement remettre le couvert pour surfer sur le succès du long métrage, qui avait rapporté plus d'un milliard de dollars de recettes dans le monde en 2019, avant de décrocher deux Oscars, dont celui du Meilleur Acteur pour Joaquin Phoenix.

Dès la sortie du premier volet, l'interprète d'Arthur Fleck avait pourtant laissé entendre que Joker et comédie musicale n'étaient pas incompatibles, lorsque le magazine Première l'interrogeait sur une éventuelle suite : "Je pense que le pouvoir de fascination du personnage est sans fin. Il peut s’épanouir dans plein d’environnements différents", répondait-il alors.

"Une suite cherche en général à reproduire ce qui a marché dans le premier film, mais avec Joker, on pourrait aller vraiment n’importe où. Pour fêter la fin du tournage, j’ai pris vingt classiques de l’histoire du cinéma, j’ai photoshoppé la photo du Joker sur chacun d’eux et j’ai offert le tout à Todd. Rosemary’s Baby, Le Parrain, Chantons sous la pluie… C’était une manière de dire : on peut mettre le Joker à toutes les sauces. Dans une comédie musicale, n’importe où, il y a de quoi faire. On peut l’emmener partout."

Joaquin Phoenix et Todd Philips avaient-ils déjà envisagé de faire une suite musicale ? Où l'idée est-elle née lorsque le projet a commencé à se concrétiser ? Nul doute que les principaux intéressés en parleront au moment de la sortie de Joker - Folie à deux, que l'on imagine intervenir à l'automne 2023, pour rester sur le créneau qui avait souri au premier.

The Boys : Arnold Schwarzenegger inquiet du rôle de son fils Patrick dans le spin-off

Arnold Schwarzenegger a été pour le moins déconcerté lorsque son fils, Patrick Schwarzenegger, lui a montré des photos du tournage de The Boys Presents: Varsity, le spin-off à venir de The Boys. Basée sur les comics de Garth Ennis et Darick Robertson, The Boys s’est rapidement taillée une réputation sulfureuse en devenant l’une des séries de super-héros les plus populaires du moment. L’humour noir et le gore, étant sa marque de fabrique.

Avec un tel succès, en toute logique, Amazon a décidé d’étendre l’univers de The Boys et d’en faire une franchise. Un premier spin-off en animation, The Boys Presents: Diabolical, a été sorti en mars dernier. Varsity, en revanche, sera en live-action. La série est actuellement en tournage et va présenter un nouveau groupe de super-héros.

Au cours d’une interview pour Variety pour sa nouvelle série The Staircase, Patrick Schwarzenegger a également parlé de Varsity. Bien qu’il n’ait pas confirmé qu’il joue un personnage nommé Golden Boy, l’acteur a avoué avoir montré des photos du tournage à son père et en a profité pour partager la réaction de ce dernier.

"Il m’a regardé et il m’a dit : "Mais qu’est-ce que tu tournes, bordel ?" Et je lui ai répondu : "C’est cette série qui s’appelle The Boys… Il faut que tu regardes un épisode pour comprendre, sinon je ne peux pas expliquer ce qui s’y passe. "

Compte tenu de la réputation de The Boys, avec son lot de sexe et de violence, il n'est pas difficile d'imaginer pourquoi Arnold a dû écarquiller grand les yeux en voyant les photos partagées par son fils, surtout s'il n'a jamais vu la série. On peut aussi supposer que Varsity va peut-être monter d’un cran à ce niveau.

En effet, la série se concentrera sur un groupe de jeunes adultes au collège de super-héros de Vought dont les limites physiques, sexuelles et morales seront mises à rude épreuve. Autant dire que ça va être la folie !

Polémique Buzz l'éclair : ces gens sont des idiots selon Chris Evans

Le baiser de la discorde... En mars dernier, les employés de Pixar critiquaient la censure des gestes d'affection entre personnes du même sexe de leur maison-mère Disney dans une lettre-ouverte.

Suite à cette montée au créneau, Disney prenait une décision historique : réintroduire un baiser entre deux femmes dans le film Buzz l'éclair.

De nombreuses critiques de conservateurs ont alors émergé et le long-métrage a été interdit dans 14 pays d'Asie et du Moyen-Orient (à ce jour).

En pleine promotion, le comédien Chris Evans, qui prête sa voix au Ranger de l'espace dans ce film qui revient sur l'origine du personnage qui a inspiré le jouet d'Andy, a qualifié d'"idiotes" les personnes qui s'opposent à la diversité et à une représentation plus inclusive dans les oeuvres audiovisuelles.

Interrogé par l'agence Reuters, l'interprète de Captain America déclare : "La vérité est que ces gens sont des idiots. Chaque avancée sociale de l'Histoire américaine et de l'Histoire de l'humanité est un signe d'évolution et c'est ce qui nous rend meilleurs.

"Il y aura toujours des gens qui ont peur et qui tenteront de s'accrocher au monde d'avant. Mais ces gens-là mourront comme des dinosaures."

"Je pense qu'il ne faut pas leur prêter attention, il faut aller de l'avant et aller dans le sens de l'évolution qui nous rend plus humain."

Chris Evans avait déjà exprimé à Variety à quel point il était fier et heureux que Pixar ait rétabli la scène du baiser dans le film :  "C'est merveilleux, ça me rend heureux. Je suis même un peu agacé que ce soit encore un sujet de discussion aujourd'hui. L'objectif est d'arriver à faire en sorte que ce soit la norme. Nous devons faire des films en représentant toutes les catégories de la société."

L'acteur ajoutait ensuite : "C'est un honneur pour moi de faire partie d'un film qui franchit ces étapes, mais le but est de regarder en arrière et d'être simplement choqué qu'il nous ait fallu autant de temps pour y arriver".

Le comédien regrette ainsi que cette scène furtive soit autant sujette à discussions et à controverses et explique son admiration à l'équipe de Pixar pour s'être battue afin de réintroduire la scène.

Buzz l'éclair sort dans nos salles obscures le 22 juin prochain. Mis en scène par Angus Maclane, le long-métrage raconte la véritable histoire du légendaire Ranger de l’espace qui, depuis, a inspiré le jouet d'Andy dans Toy Story.

Après s’être échoué avec sa commandante et son équipage sur une planète hostile située à 4,2 millions d’années-lumière de la Terre, Buzz l’Eclair tente de ramener tout ce petit monde sain et sauf à la maison.

Pour cela, il peut compter sur le soutien d’un groupe de jeunes recrues ambitieuses et sur son adorable chat robot, Sox. Mais l’arrivée du terrible Zurg et de son armée de robots impitoyables ne va pas leur faciliter la tâche, d’autant que ce dernier a un plan bien précis en tête…

Amber Heard : cette grosse erreur qu'elle aurait commise lors de son interview à NBC

Amber Heard a décidé de parler à coeur ouvert. Désavouée par le tribunal de Fairfax (Virginie), qui a donné raison à son ex-mari Johnny Depp en la condamnant à 15 millions de dollars de dommages et intérêts pour diffamation, l'actrice de 36 ans entend bien redorer sa réputation. Face aux nombreux détournements d'elle sur les réseaux sociaux, elle a décidé de donner une autre image d'elle-même grâce à un entretien avec Savannah Guthrie dans l'émission Today, diffusée sur la chaîne NBC. Dans la première partie de cet entretien, diffusé ce mardi 14 juin, elle a ainsi reconnu une partie de ses torts, son absence de mea culpa lui ayant été reproché jusqu'ici.

Même si elle ne cache pas avoir elle aussi fait "des choses horribles" durant sa relation avec Johnny Depp, Amber Heard tient toutefois à souligner qu'elle a "toujours dit la vérité". C'est pourquoi elle a bien l'intention de maintenir ses accusations "jusqu'à (sa) mort". Mais en faisant ainsi, la star d'Aquaman pourrait avoir commis une grave erreur.

En accusant de nouveau son ex-mari de faits pour lesquels elle a pourtant été reconnue coupable de diffamation, Amber Heard pourrait s'exposer à de nouvelles poursuites qui pourraient lui coûter très cher. C'est ce qu'explique l'avocate Nicole Haff, qui travaille chez Romano Law, au Daily Mail. La loi dispose en effet qu'une "personne qui répète ou republie la diffamation sera soumise à la même responsabilité que l'éditeur du matériel diffamatoire original".

"Une déclaration diffamatoire est considérée comme publiée lorsqu'elle est communiquée soit intentionnellement, avec une véritable malveillance ou un mépris téméraire, soit par négligence, à une personne autre que la personne diffamée", ajoutent les textes de loi, comme le précise l'avocate au célèbre journal britannique. Il n'en demeure pas moins que pour cette dernière, il est peu probable que Johnny Depp et ses avocats la poursuivent de nouveau. La raison ? Amber Heard a déjà fait savoir qu'elle ne serait pas en mesure de payer la somme qu'elle lui doit...