15 novembre 2021

Adele cash sur sa perte de poids : elle répond aux critiques

Six ans après son dernier album, Adele revient avec 30, qui sort le vendredi 19 novembre. Pour parler plus en détails de cet album, qui évoque notamment son divorce compliqué avec le chef Simon Konecki, elle s'est entretenue avec Oprah Winfrey, dans un décor ressemblant à celui de l'entretien choc de Meghan et Harry. Adele a alors évoqué son divorce difficile, mais également sa perte de poids. Les deux sont liés. Elle a mis du temps à se remettre de cette étape si compliquée. "Ça a été un processus : le processus du divorce, le processus de devenir une mère seule (…). Le processus de s'en sortir pour soi-même, chaque jour, d'être là pour soi-même chaque jour. (…) J’ai jonglé avec tout ça, or je n'avais plus envie de le faire."

L'un des impacts de cette rupture se voit grandement sur la chanteuse puisqu'elle a perdu 45 kilos à cause de son envie de gérer au mieux son anxiété. "J’ai fait les crises d’angoisse les plus terrifiantes de ma vie après avoir quitté mon mariage. Elles m’ont complètement paralysée, et ça m'a vraiment perturbée, car je n'avais plus aucun contrôle sur mon corps. J'ai remarqué que je n'étais pas anxieuse lorsque j’étais à la salle de sport, alors c'est devenu mon moment à moi", a confié Adele à Oprah Winfrey.

Sa grande perte de poids a été vivement critiquée, que ce soit par le public ou par les médias. "Je ne suis pas surprise, parce que mon corps a été objectivé durant toute ma carrière. Je suis soit trop grosse, soit trop mince. Soit je suis sexy, soit je ne le suis pas", a-t-elle constaté. Cependant, elle n'en tient pas vraiment compte de ces critiques et surtout, elle ne veut pas se sentir responsable des sentiments des autres personnes. "Cela me fait de la peine si ma perte de poids a fait que certaines personnes se sentent mal vis-à-vis de leur corps - mais ce n’est pas mon travail de gérer ça. J’essaie déjà de gérer ma propre vie. Je ne peux pas m'ajouter une autre inquiétude."

Patrick Bruel cash sur la fin de sa carrière

La Bruelmania n'est pas près de disparaître. Il y a peu, Patrick Bruel a retrouvé le bonheur de monter sur scène, après un temps d'arrêt provoqué par l'épidémie de Covid-19. Si l'artiste continuait de pousser la chansonnette à travers des lives virtuels, le manque de la scène s'est rapidement fait ressentir. Un simple mauvais souvenir désormais, puisqu'il parcourt à nouveau l'Europe avec un spectacle acoustique, guitare à la main. Au lendemain de sa prestation au théâtre Anthéa d'Antibes, Nice-Matin s'est entretenu avec l'interprète de Alors regarde.

Quand il a commencé sa carrière musicale, Patrick Bruel ne s'imaginait pas l'avenir qui l'attendait : "J'ai écrit Rendez-vous dans dix ans, mais en vrai, je ne me suis jamais projeté, même sur dix ans. Et ce n'est toujours pas le cas. Tout est arrivé très vite, sans que je m'en rende compte." Et si depuis il s'est fait une place de choix auprès du public, sa notoriété n'étant plus à faire, il n'a pas l'intention de ranger sa guitare de sitôt. Ce métier l'enchante et il compte bien le pratiquer encore longtemps : "Arrêter ? Jamais ! Je n'ai jamais ressenti d'usure, connu l'ennui, ou fait quelque chose que je n'avais pas envie de faire."

Sur scène depuis plus de quarante ans, Patrick Bruel s'émerveille toujours autant. Le temps n'a pas eu raison de l'artiste aux multiples talents. "Ma capacité d'émerveillement est intacte, je suis joyeux de rencontrer des gens, de partager. Il n'y a aucune lassitude chez moi." Même pendant le confinement, l'acteur n'a jamais imaginé mettre un terme à sa carrière, bien au contraire : "Pendant le confinement, je me suis aperçu à quel point c'était ma vie d'être sur scène, de chanter, de jouer la comédie, de faire des films. Je pourrais m'arrêter, me dire que c'est bon. Ben non, ce serait une punition."

Le fou rire de Samuel Etienne face à sa collègue, surprise en plein sprint

Les aléas du direct... Ce lundi 15 novembre, Samuel Étienne était aux commandes d'un nouveau journal télévisé dans la matinale de France 2. Mais alors qu'il s'apprêtait à énoncer les titres du JT de 6 heures, l'intéressé a été quelque peu perturbé à la vision d'une silhouette se dirigeant à toute allure vers le plateau. Il s'agissait en réalité d'Alix Bouilhaguet, éditorialiste politique sur la chaîne, qui a entrepris un sprint afin de rattraper son retard au moment de la prise d'antenne. "Bonjour à tous, bon réveil, bienvenue dans votre 6 heures info sur France 2", a-t-il déclaré, avant de voir sa collègue rejoindre précipitamment le plateau. "Bonjour Alix !", s'est-il exclamé, hilare. "Ah c'est génial ! Et oui, vous êtes bien en direct ! Démonstration !", a poursuivi Samuel Étienne, qui a mis un peu de temps avant de retrouver son sérieux.

"L'essentiel de l'actualité avec, suspens intolérable, Clémence de la Baume pour le JT et aussi Alix Bouilhaguet, dont vous avez pu observer la magnifique foulée féline et aérienne à l'instant. Alix, comment ça va ?", a demandé le journaliste et animateur de France télévisions à sa consoeur. "Mais ça va très bien ! Je suis ravie d'être avec vous", a-t-elle confié, enthousiaste. Et Samuel Étienne de rebondir : "Moi j'ai vu une silhouette arriver, je me suis dit : 'tiens, il se passe quelque chose d'important'. Mais c'est juste Alix Bouilhaguet qui nous rejoint pour parler de politique juste après le JT", a commenté le papa de Malo et Solal.

Après son entrée remarquée sur le plateau du journal télévisé de France 2, l'intéressée en a dit plus sur le sujet dont elle allait parler ce lundi 15 novembre : "Je vous parlerai des Républicains. On va revenir sur leurs difficultés à exister. Ils ont un mois, ils ont un petit peu peur d'être pris en embuscade entre Emmanuel Macron et Éric Zemmour", a-t-elle expliqué, avant d'être à nouveau titillée par Samuel Étienne : "Avec le deuxième débat qui a eu lieu hier soir entre les cinq. Alix Bouilhaguet et sa magnifique foulée juste après le JT", a-t-il déclaré, en faisant référence à son entrée en plateau pour le moins originale. Une petite remarque qui a fait sourire l'éditorialiste.

La Mort aux trousses : comment Alfred Hitchcock a filouté le studio pour faire son film

Alfred Hitchcock n'était pas le dernier à manipuler ses collaborateurs pour arriver à ses fins. En témoigne cette anecdote autour de la préparation de l'un de ses classiques, La Mort aux trousses, l'histoire d'un publiciste pris par erreur pour un espion et se retrouvant traqué de toutes parts.

Alors lié au studio MGM, Hitchcock est assigné à mettre en scène The Wreck of the Mary Deare, l'histoire d'un coupable idéal, un remorqueur entraîné bien involontairement dans une affaire qui le dépasse. Ernest Lehman est engagé pour écrire le scénario adapté du roman éponyme, mais ne parvient pas à un résultat satisfaisant et en informe le cinéaste.

Ce dernier lui annonce alors qu'il a "une autre idée". Dès lors, les deux hommes commencent à coucher sur le papier cette "nouvelle idée" sans prévenir la MGM. Lorsque les producteurs ont été informés (et mis devant le fait accompli), ils ont laissé Hitchcock faire ce nouveau projet, intitulé North By Northwest, ou La Mort aux trousses.

Finalement, The Wreck of the Mary Deare a bien vu le jour à la MGM sous le titre français Cargaison dangereuse, présentant l'affrontement entre Gary Cooper et Charlton Heston sous la houlette de Michael Anderson.

Ce n'est pas le seul "coup fourré" d'Alfred Hitchcock durant la préparation de La Mort aux trousses. Alors qu'il tournait Sueurs froides, son film précédent, l'acteur James Stewart était persuadé que l'un de ses metteurs en scène fétiches allait le choisir pour le rôle de Roger Thornhill, le héros de La Mort aux trousses. Sauf qu'Hitch voulait quelqu'un d'autre.

Pour jouer ce personnage d'un individu pris pour un espion qui va démasquer une machination, Hitchcock veut Cary Grant. Comme James Stewart se montre toujours aussi insistant, le réalisateur décide de retarder volontairement l'annonce de son choix de casting, pour que Stewart soit obligé de partir tourner un autre (grand) film, Autopsie d'un meurtre, avec Otto Preminger.

Ce n'est qu'alors qu'Hitchcock propose le rôle de Roger Thornhill à Stewart, en sachant pertinemment qu'il ne peut l'accepter, et finit par engager Grant en toute tranquillité.

Doctor Strange 2 : le film Marvel repart en tournage

Est-ce la raison du report de sa sortie de mars à mai 2022 ? Selon The Hollywood Reporter, Sam Raimi et Benedict Cumberbatch vont reprendre le chemin des plateaux pour une session de reshoots de Doctor Strange 2. Ce qui, sur le papier, est très fréquent lorsqu'il s'agit de blockbusters de cette trempe. Pour faire des ajustements et tourner les scènes post-générique par exemple. Et l'acteur les avait lui-même annoncés fin octobre.

Mais cela ne prend généralement pas autant de temps qu'ici. Car l'équipe du film Marvel serait mobilisée pour un minimum de six semaines, et à raison de six jours pour chacune d'entre elles, ce qui est colossal. Assez pour que l'on redoute des coulisses houleuses.

Selon le Hollywood Reporter, ces prolongations seraient dues à des facteurs logistiques et non créatifs. Et deux des six semaines de tournage seront consacrées à des prises de vues qui n'avaient pu avoir lieu pendant le tournage principal, la disponibilité des acteurs ayant été mise à mal par des questions liées au Covid.

Remplaçant de Scott Derrickson, qui avait quitté le projet pendant la pré-production, Sam Raimi devrait être de retour pour ce que l'on annonce comme une cominaison de reshoots et de scènes additionnelles. Et il sera assisté par Michael Waldron, scénariste sur Loki, ainsi que par des équipes ayant récemment travaillé sur des ajouts dans Spider-Man No Way Home et la série Moon Knight, dont les premières images ont été dévoilées il y a quelques jours.

A l'heure actuelle, nous ne savons pas encore quel autre acteur que Benedict Cumberbatch sera impliqué. Ni de quoi parlera vraiment le film. Mais il est d'ores et déjà certain qu'il s'intitulera Doctor Strange in the Multiverse of Madness, qu'il pourrait ouvrir de nombreuses portes au sein du Marvel Cinematic Universe, et qu'il sortira dans nos salles le 4 mai 2022.

Les Gardiens de la Galaxie 3 : Sylvester Stallone annonce une bonne nouvelle en vidéo

La semaine dernière, James Gunn annonçait avoir entamé les prises de vue des Gardiens de la Galaxie 3 avec une photo du casting principal : Chris Pratt, Zoe Saldana, Dave Bautista, Sean Gunn, Karen Gillan, Pom Klementieff et les petits nouveaux Will Poulter et Chukwudi Iwuji.

Un groupe d’acteurs qui vient d’être rejoint par nul autre que Sylvester Stallone, qui reprendra donc le rôle du légendaire capitaine Ravageur Stakar Ogord, introduit dans le second volet où il réglait ses comptes avec Yondu (Michael Rooker).

C’est le comédien lui-même qui a confirmé son retour dans le MCU en postant sur Instagram une vidéo en direct du tournage. Il y montre le fonctionnement d’une machine qui permet aux équipes techniques de dupliquer le visage d’un acteur en son absence. Une technologie régulièrement utilisée à Hollywood.

Sylvester Stallone est actuellement un homme bien occupé : avant de retrouver James Gunn et ses comparses, il avait notamment mis en boîte ses scènes du quatrième Expendables, qui marquera sa dernière incursion dans la franchise qu’il a lancée en 2010.

Il est également en pleine promotion de sa version "Director's Cut" de Rocky IV, qui contiendra 40 minutes de scènes supplémentaires. Aucune date de sortie n’a pour l’instant été annoncée pour la France, contrairement aux Gardiens de la Galaxie 3 qui débarquera en salles le 3 mai 2023.

L'Arme fatale 5 : Mel Gibson va réaliser le film

À 65 ans, Mel Gibson est-il trop vieux pour ces conneries ? Visiblement non ! Après le décès du réalisateur Richard Donner en juillet dernier, on pensait le projet définitivement rangé dans un tiroir. Que nenni ! Le comédien et cinéaste, légendaire Martin Riggs dans les 4 volets de L'Arme Fatale, va prendre les rênes du 5ème film.

Pour rendre hommage à Richard Donner, Mel Gibson a annoncé qu'il allait mettre en scène lui-même L'Arme Fatale 5. L'acteur a révélé l'information lors d'un événement se déroulant à Londres.

"Mel Gibson vient juste de confirmer qu'il y aura bien un 5ème volet de L'Arme Fatale et qu'il allait le réaliser", a partagé le comédien Mariano Cabrera sur Twitter.

Dans un entretien accordé au Daily Telegraph publié le 29 décembre 2020, Richard Donner avait annoncé la mise en chantier de la 5ème itération des aventures de Riggs et Murthaugh. Ces superflics légendaires ont été incarnés par Mel Gibson et Danny Glover dans quatre films, de 1987 à 1998.

Malheureusement, le cinéaste est décédé à 91 ans avant d'avoir pu aller au bout de son idée. Lors de cette interview, Richard Donner avait donné quelques indices sur L'Arme Fatale 5 : 

"Ça sera le chapitre final", avait-il précisé. "C'est un devoir et un privilège de réaliser ce projet. C'est très excitant, en vérité ! Mais ça sera le dernier, je vous le promets." Le cinéaste était pourtant relativement pessimiste en février 2018, interrogé par Maltin on Movies :   

"Le film doit s’appeler Lethal Finale. C’est très sombre. Nous étions tous prêts à nous lancer et maintenant, Warner Bros. nous refait ses vieux tours. Pas vraiment Warner Bros, le type qui dirige le studio est génial, mais il y a ces gens au département juridique qui négocient de la manière la plus contre-productive qui soit. 

On devrait les envoyer dans un studio et les faire travailler avec les producteurs, les réalisateurs et les acteurs, pour qu’ils apprennent comment on fait un film, et négocier ensuite. Mais c’est vraiment délicat. Je voulais conclure sur une note d’émotion, et je ne pense pas que ça sera possible", déplorait-il à l'époque.

Est-ce que Mel Gibson va continuer sur la même voie que Donner ? Réponse dans quelques temps, quand on en saura un peu plus sur la direction que prendra cet épisode final. Le retour de Riggs et Murtaugh, bonne ou une mauvaise idée ? On vous laisse en débattre. En attendant, vous pouvez toujours vous rabattre sur la série TV qui a rebooté la saga.

14 novembre 2021

Snoop Dogg veut prendre la direction de Death Row Records, son tout premier label

Snoop Dogg se voit bien à la tête de Death Row Records, son tout premier label. « Je devrais diriger cette boîte. Comme mon poste chez Def Jam. Death Row représente plus pour moi parce que j’ai aidé à le créer », a posé le rappeur lors d’un passage dans le podcast Million Dollaz Worth of Game.

Pour Snoop Dog, qui est effectivement devenu consultant pour Def Jam il y a quelques mois, Death Row n’en serait pas en mauvaise posture aujourd’hui s’il en avait les rênes. Selon lui, s’il avait été en charge cinq ans en arrière, il aurait signé les artistes les plus prometteurs de la côte ouest, que ce soit Roddy Ricch, Ty Dolla $ign ou encore YG. Oui mais voilà, Death Row est actuellement aux mains de Blackstone Group et on ne voit pas trop comment Snoop Dogg pourrait peser sur les décisions du fonds d’investissement. A moins bien sûr que le contexte change.

En effet, d’après l’interprète de Drop It Like It’s Hot, Blackstone Group pourrait se séparer du label d’ici peu, laissant la porte ouverte à un vent de renouveau. « Ça chauffe beaucoup là-bas et ce n’est pas bien géré. Mais un petit oiseau m’a dit que les choses pourraient aller dans mon sens (…). Si je peux faire exploser Def Jam, qu’est-ce que je pourrais faire avec Death Row ? Imaginez ça », a-t-il ajouté

Le rappeur fut, avec Dr. Dre et 2Pac, à l’origine des premiers succès de Death Row chez qui il a sorti Doggystyle (1993) ainsi que Tha Doggfather (1996) avant de partir chez No Limit Records.

Mariah Carey lance une collection d’articles de Noël à son image

Mariah Carey vient d’annoncer l’arrivée d’une collection d’articles lifestyle autour du thème de Noël. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la diva n’a pas fait les choses à moitié. Elle a en effet développé, avec l’aide de NECA, toute une gamme de produits qui lui ressemblent et reflètent ses activités favorites à l’approche des fêtes de fin d’année auxquelles, comme chacun sait, elle voue un véritable culte.

« Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais Noël c’est un peu mon truc ! J’ai eu beaucoup de plaisir à créer cette ligne car j’ai ajouté ma propre touche festive aux produits traditionnels de Noël. J’y ai travaillé toute l’année et il est enfin temps de partager ma collection de Noël avec vous tous », a déclaré l’interprète d’All I Want for Christmas (is You) dans un communiqué promotionnel.

Parmi les produits proposés par Mariah Carey, on trouve d’épaisses chaussettes, un plaid ou encore du papier cadeau et des cartes de vœux affublés d’une version cartoon de la star et de ses fidèles compagnons canins. Et les toutous ne sont pas en reste puisque la collection comprend également d’adorables tenues festives réservées à nos amis à quatre pattes.

« Trouver des cadeaux mignons puis les emballer dans du papier, décorer ma maison, me blottir dans une couverture de Noël polaire que mes enfants m’envient déjà, et le meilleur de tous – habiller mes chiens », voilà à quoi ressemble Noël pour Mariah Carey.

Si vous êtes fans de la chanteuse et que vous rêvez de passer Noël comme elle, les articles sont en précommande à cette adresse.

Lady Gaga portait une robe pare-balles à l’investiture de Joe Biden

Lady Gaga ne l’avait encore jamais révélé, mais la robe Schiaparelli qu’elle portait lors de l’investiture de Joe Biden était confectionnée avec un tissu pare-balles ! « C’est l’une de mes tenues préférées. Je portais ce design Schiaparelli pour l’investiture, et personne ne le sait, mais c’est une robe pare-balles », a-t-elle confié au Vogue britannique.

Mais si la pop star a choisi cette robe pour venir chanter l’hymne national américain lors de la cérémonie solennelle organisée devant le Capitole de Washington en janvier dernier, ce n’est pas uniquement pour la protection qu’elle lui offrait. Non seulement elle avait été charmée par l’imposante broche d’or en forme de colombe qui l’accompagnait au niveau de la poitrine, mais l’origine de ce vêtement lui importait aussi beaucoup sur le plan symbolique.

« Quand j’ai vu cette colombe dorée, je savais que c’était la bonne pièce. Je savais que Schiaparelli était une maison italienne, c’était quelque chose que je voulais vraiment pour mes origines, en tant que femme italo-américaine qui doit chanter le départ du quarante-cinquième président (Donald Trump) et invite le quarante-sixième président à prendre ses fonctions », a expliqué Lady Gaga.

Ce fut donc une journée exceptionnelle pour la chanteuse et elle appréhendait évidemment ce grand moment. Fort heureusement, le marines Evan Campbell qui l’accompagnait ce jour-là avait su trouver les bons mots pour la mettre à l’aise. « Je n’oublierai jamais d’avoir parlé à ce jeune homme avec qui j’étais. Il me demandait si j’étais nerveuse, et j’ai dit oui. Mais parfois, la mode peut vraiment vous donner des ailes… comme une colombe », s’est-elle souvenue.