26 octobre 2021

Bande-annonce de Princesse Dragon

Poil n'est pas un dragon comme les autres. Plus jeune fille d'un puissant dragon, elle n'est pas recouverte d'écailles et ne peut pas voler : l'enfant a une apparence humaine, et des cheveux sauvages d'une jolie couleur verte émeraude. Élevée par son père malgré sa différence, la jeune fille quitte la grotte familiale lorsque son dragon de père doit payer la Sorcenouille de son deuxième bien le plus précieux. Celui-ci offre alors Poil. Plongée dans une infinie tristesse, elle décide de s'enfuir et se lance dans un voyage à la découverte du monde des hommes. À leur contact, elle apprendra l'amitié, la solidarité, mais aussi la cupidité qui semble ronger leur coeur. Devenue l'amie de Princesse, elle devra se faire à la vie de château... ou pas. 

Tel est l'histoire du nouveau dessin animé de Jean-Jacques Denis et Anthony Roux intitulé Princesse Dragon, distribué par Gebeka Films. Présenté pour la première fois au Festival d'Annecy en juin dernier dans la catégorie des WIP Feature, Princesse Dragon se présente comme un film initiatique mêlant les sujets de l'amitié, de la différence et de l'identité à la découverte du monde des humains et des adultes. Produit par Patricia Robert (Ankama), Princesse Dragon est daté pour le 15 décembre prochain.

The Good Doctor : l'acteur Osvaldo Benavide quitte la série

Les départs dans Good Doctor se font de plus en plus nombreux. Après celui d'Antonia Thomas, qui incarnait Claire Browne, à la fin de la saison 4, c’est un autre chirurgien qui va faire ses adieux à la série médicale.

TVLine vient en effet de révéler que la dernière recrue de Good Doctor, Osvaldo Benavides, quitte le show porté par Freddie Highmore quelques mois seulement après avoir été promu régulier. Pour le moment, ni la chaîne, ni le studio, ni l’acteur n’ont voulu communiquer sur les raisons de ce départ.

Osvaldo Benavides est apparu pour la première fois en tant que guest dans le final en deux parties de la saison 4, qui sera diffusé demain soir à partir de 21h05 sur TF1. Son personnage, Dr Mateo Rendón Osma, faisait la rencontre de l’équipe chirurgicale de St. Bonaventure au Guatemala, où ils s’étaient rendus pour aider les patients d'un hôpital rural.

Ce chirurgien local avait immédiatement noué des liens profonds et même développé une romance avec le Dr Audrey Lim (jouée par Christina Chang). Osvaldo Benavides avait été promu régulier au moment de l’annonce du départ d'Antonia Thomas, en juin dernier.

Dans le premier épisode de la saison 5 de Good Doctor, diffusé le 27 septembre aux Etats-Unis, Mateo arrivait à San José pour poursuivre sa relation avec Lim, qui lui offrait un poste de chirurgien à St Bonaventure. Mais le nouvel arrivant était embauché à l'essai en raison de problèmes juridiques, et devait être supervisé par un autre titulaire, le Dr Marcus Andrews (joué par Hill Harper).

Avant le lancement de la saison 5, le producteur exécutif David Shore avait déclaré à TVLine que le drame juridique du Dr Mateo Rendón Osma allait "faire planer une ombre" sur son travail. "Au niveau de sa formation, c'est un médecin assez expérimenté", avait-il expliqué.

"Mais à cause de son passé, de son histoire, il va devoir apprendre à ravaler un peu sa fierté". Pour l’heure, nous ne savons pas encore comment ce départ sera inclus dans les scénarios.

Le projet d'un festival Netflix provoque la colère des distributeurs

Netflix, bientôt au cinéma ? Le géant du streaming aurait contacté plusieurs salles en France dans l'objectif d’organiser un festival pour ses productions originales. Selon les informations du Film Français, l’événement se tiendrait du 7 au 14 décembre prochain avec l’aide d’un prestataire, The Festival Agency. De son côté, la plateforme précise que la manifestation serait “relativement modeste”, avec l’envie de proposer des films déjà disponibles en ligne.

Parmi les œuvres proposées : The Power of the Dog de Jane Campion, Malcolm & Marie de Sam Levinson, Pieces of a Woman de Kornél Mundruczó, The Harder They Fall de Jeymes Samuel, Don't Look Up : Déni cosmique d’Adam McKay, The Lost Daughter de Maggie Gyllenhaal, Clair-Obscur de Rebecca Hall, The Hand of God de Paolo Sorrentino et The Guilty d’Antoine Fuqua.

Si une telle idée peut ravir bon nombre de cinéphiles, le Syndicat des Distributeurs Indépendants (SDI) et les Distributeurs Indépendants Européens Réunis (DIRE) ne l'entendent pas de cette oreille. Les deux syndicats ont publié, ce 25 octobre 2021, un communiqué pour exprimer leur colère. “Choqués”, ils expliquent :

“A l’heure où de nombreux films, victimes des 7 mois et demi de fermeture des salles, peinent à trouver une exposition à la hauteur de leur potentiel, nous dénonçons la tenue d’un tel festival qui s’apparente à une campagne marketing de grande échelle, une bande-annonce promotionnelle géante pour inciter des spectateurs de cinéma à s’abonner à un service payant.”

Depuis quelque temps, la plateforme sort ses plus gros films les mercredis, jour symbolique réservé aux sorties des films dans les salles françaises. Les syndicats reprochent notamment à Netflix de “transformer les cinémas en antichambre de ses services”. “Vous rendez-vous compte qu’une attraction à court terme de vos spectateurs est un suicide à moyen terme pour nos professions respectives ?”, poursuivent-ils dans le communiqué.

Le Film Français informe que le Syndicat du Cinéma d’Art, de Répertoire et d’Essai (SCARE) s’est opposé à l’organisation de cet événement, mais laisse tout de même le choix à ses adhérents. En France, une poignée d’établissements n’a pas encore confirmé leur participation, mais une partie des réseaux de MK2 et d’Utopia se disent intéressés.

25 octobre 2021

Michael Jordan : ses baskets emblématiques vendues à un prix record

Il est de ses légendes qui transcendent les générations et culminent au panthéon de leurs arts respectifs. Parmi ces derniers, l’un d’entre eux a fait briller les yeux de millions d’enfants à travers le monde grâce à son élégance et son style inhabitable : Michael Jordan. En près de vingt ans de carrière, le GOAT (Greatest Of All Time) a marqué de son impressionnante empreinte les parquets de la NBA. Sextuple champion de la ligue de basketball professionnel, cinq fois élus MVP de la saison, sacrés dix fois meilleur marqueur, « Air Jordan » a même reçu les honneurs olympiques en s’imposant avec la « dream team » américaine en 1984 et 1992.

Une légende qui est aujourd’hui à la tête d’un véritable empire financier, ayant développé son propre modèle de chaussure avec l’équipementier Nike et étant à la tête de sa propre marque qui habille notamment les joueurs du Paris Saint-Germain. Il a même récemment fait l’objet d’un documentaire, The Last Dance, retraçant sa longue carrière sur la plate-forme Nettflix. Le rêve américain dans toute sa splendeur.

Même retiré des terrains de baskets, le géant d’1m98 continue d’étonner ses nombreux et nombreuses fans, en témoigne l’annonce tonitruante de la maison de vente Sotheby's ce dimanche 24 octobre. Lors d'une vente aux enchères, cette dernière a en effet annoncé avoir vendu l’une des paires de chaussures de la légende pour la somme record de 1,5 millions de dollars ! De couleurs rouge et blanche, elles avaient été portées en 1984 lors du cinquième match de la saison régulières lorsqu’il portant la légendaire tunique des Chicago Bulls : « Les chaussures de sport les plus précieuses jamais proposées aux enchères, les Nike Air Ships de 1984 portées par Michael Jordan pendant la saison régulière, viennent d'être vendues à 1 472 000 dollars lors de notre vente de luxe à Las Vegas » a ainsi fièrement annoncé la maison de vente sur Twitter.

Un nouveau record - c'est la première fois qu'une paire portée pendant un match est vendue aussi chère - après celui du mois d’août où la maison Christie’s s’était délestée d’une précédente paire du GOAT pour la modique somme de 615.000 dollars. Comme l’explique France Info, cette paire « était un cadeau de la part de Michael Jordan à Tommie Tim III Lewis, qui était ramasseur de balles pour les Denver Nuggets pendant la saison 1984-85 ». À croire que Sotheby's s’est fait une spécialité de la vente de godillots puisque Kanye West, dorénavant appelé Ye, avait proposé une paire de Nike Yeezy 1 achetées 1,8 million de dollars. 

Malika Ménard revient sur ses complexes après avoir été élue Miss France

Malika Ménard ose toujours mettre des mots sur ses maux. Âgée de 34 ans, celle qui est devenue Miss France en 2010, a sorti son premier livre #Fuck les complexes : S'accepter et s'aimer au-delà du filtre des réseaux sociaux, le 14 octobre 2020. Un premier ouvrage dans lequel la copine de Laury Thilleman revient sur ces complexes qui l'ont fait souffrir par le passé. Au média La Provence, la jeune normande qui est devenue influenceuse, avait accepté de revenir sur ces complexes qui l'ont marqués pendant l'enfance. "Quand on parle de son physique et qu'il arrive quelque chose comme ça enfant, ça change forcément la perception que tu as de toi. C'est traumatisant pour toujours. On a des mécanismes de défense différents, on enfouit dans un coin de sa tête, puis ça ressurgit", a-t-elle fait savoir celle qui a été sexuellement agressée à 5 ans.

Désormais trentenaire, Malika Ménard avoue aujourd'hui que certains de ses complexes sont derrière elle. "Ça va mieux, c'est quelque chose que je travaille - La confiance en soi, les complexes... Je ne veux pas passer ma vie à traîner un petit mal-être", avait-elle relaté dans le livre Le Bruit du Bonheur, écrit au profit de l'association Cékedubonheur, le 19 octobre 2021. Pourtant, la jeune femme qui semble apaisée, est revenue sur certains complexes qui sont nés juste après son élection de Miss France.

Dans le cadre de l'émission diffusée sur YouTube, LES COMPLEXES - ENTRE POTES, animée par Ben Névert, Malika Ménard a accepté d'évoquer des complexes, qui sont nés quelque temps après son couronnement au titre de Miss France. "Miss France ne m'a pas créé de complexes, par contre, tu es vachement exigeant avec toi-même et tu mets beaucoup de temps à te défaire de ça. Tu as l'impression d'appartenir à un standard, alors que ce n'est pas le tien. Moi, je n'étais pas apprêtée. On met beaucoup de temps à se défaire et se reconnaître dans le miroir, se familiariser avec soi-même sans maquillage", a-t-elle fait savoir.

Désireuse d'en dire plus au sujet de cette année qui l'a perturbée, la jolie brune a ajouté qu'elle n'arrivait pas à faire la différence entre ce qu'elle était avant d'être Miss France et ce qu'elle est devenue après son sacre. "Il n'y a plus de dissociation avec les deux. Ce qui est long, c'est de retrouver sa
personne. Et sans mentir, je pense que j'ai pris 10 ans", a-t-elle conclu. 

Ed Sheeran testé positif au Covid-19 avant la sortie de son album

Ed Sheeran, star britannique de la pop, a annoncé dimanche avoir été testé positif au Covid-19, à moins d'une semaine de la très attendue sortie de son nouvel album. «Un mot rapide pour vous dire que j'ai malheureusement été testé positif au Covid et que je me mets donc à l'isolement», a écrit sur son compte Instagram le compositeur et interprète du succès mondial Shape of You (2017).

«Je ne vais donc pas pouvoir remplir mes engagements en personne pour l'instant et je vais faire le maximum des interviews et des performances prévues depuis chez moi», a poursuivi le chanteur de 30 ans qui vit dans le Suffolk, dans l'est de l'Angleterre.

Son prochain album, «=», doit sortir le vendredi 29 octobre, il avait donc des représentations et interviews prévues dans ce cadre. Ed Sheeran s'était produit le 17 octobre à Londres lors de la cérémonie de remise des prix Earthshot pour le climat, organisés par le prince William.Son nouvel album marque le retour du chanteur, qui avait pris une pause après la naissance à l'été 2020 de sa fille. Le Royaume-Uni, l'un des pays les plus touchés par la pandémie en Europe avec près de 140.000 morts, connaît actuellement l'un des plus forts taux de contaminati on au monde.

Grâce à la vaccination, le nombre d'hospitalisations et de décès reste moins élevé que lors des précédentes vagues mais augmente, poussant de plus en plus de scientifiques à réclamer le retour de certaines restrictions comme le port du masque en intérieur, ce que refuse pour l'instant le gouvernement.

Amel Bent révèle être enceinte de son troisième enfant

C’est dans l’émission Sept à Huit, sur TF1, qu' Amel Bent a confirmé la rumeur qui courait depuis plusieurs mois : oui, elle est bel et bien enceinte de son troisième enfant. Une bonne nouvelle pour la chanteuse, qui a révélé également que ce bonheur arrive après un drame. La maman de deux enfants, âgés de 5 et 4 ans, a en effet subi une fausse couche.

« Ça y est, je viens de passer le premier trimestre, et j’ai normalement un bébé qui va naître dans quelques mois. J’ai vécu les trois premiers mois en apnée, en faisant beaucoup trop de prises de sang. Chaque petit changement, chaque petite douleur c’est "Est-ce que le cœur bat toujours ?", "Est-ce que ça va, c’est bien accroché ?", "Est-ce que je ne vais pas vivre ce que j’ai vécu avant ?" », a-t-elle confié, manifestement toujours éprouvée par l’épreuve qu’elle a vécue, en plein tournage de la saison 10 de The Voice, fin 2020.

Dans l’entretien, Amel Bent va plus loin sur la douleur qu’a représentée pour elle cette perte. « Très vite, je commence à ressentir aussi dans les jours qui suivent d’autres sensations que je connais moins… Ça commence par des crampes au niveau du ventre. (…) En fin de compte c’est la désillusion, puisque quand j’arrive chez le médecin et qu’on fait l’échographie, il me dit effectivement que je suis en train de perdre le bébé que j’attendais. C’est un choc parce que, mine de rien, à partir du moment où on a fait un test de grossesse et qu’il s’avère être positif, on est enceinte. (…) Quand on vous dit : "Vous êtes enceinte mais vous n’aurez pas d’enfant", c’est dévastateur », a-t-elle expliqué.

Après la diffusion de l’entretien, l’interprète de Ma Philosophie a posté un message à l’attention de ses fans sur Instagram. Elle les y remercie pour leurs « nombreux messages » de soutien. « Mettre ma pudeur de côté pour me raconter, c’est prendre la parole avec fierté au nom de toutes les femmes, car 1 femme sur 4 a traversé ou traversera cette terrible épreuve. Continuons de libérer la parole pour que ces tabous n’en soient plus », a-t-elle partagé.

Mort du réalisateur et metteur en scène de théâtre Marcel Bluwal

Il appartenait à la race des pionniers. Marcel Bluwal avait 96 ans, et l'une des carrières les plus foisonnantes de la télévision française.

Né dans un milieu populaire mais cultivé, Marcel Bluwal se prend très tôt de passion pour la littérature et surtout pour le cinéma, où il passe des journées entières. Echappant de justesse à la rafle du Vel' d'Hiv, le jeune Bluwal passe deux années reclus dans une pièce minuscule en compagnie de sa mère. Un épisode qui marquera sa vie à jamais.

Après la Seconde Guerre Mondiale, il entre à la toute jeune ORTF (Office de Radio-Télévision Française) comme réalisateur au département Jeunesse, il y reste 4 ans. Puis il se lance dans les dramatiques en direct, un exercice dans lequel il excelle. Son chef-d'oeuvre, Dom Juan ou Le Festin de Pierres d'après Molière avec Michel Piccoli dans le rôle-titre, lui vaut les louanges de la profession et la reconnaissance publique. Il reviendra toute sa carrière à la dramatique et à l'adaptation des monuments de la littérature (Dostoïevski, Hugo, Marivaux...), fidèle en cela aux pionniers de la télévision, qui voyaient dans ce médium un moyen d'éveiller le plus grand nombre à la culture et à la beauté.

En 1962, Bluwal signe un nouveau coup de maître avec Vidocq, une série télévisée portée par Claude Brasseur mettant en images les mémoires du célèbre bandit (et bagnard) devenu policier. Le succès est tel qu'il donnera deux suites à son héros, en 1970 et 1972.

Le cinéma reste pourtant sa première passion. En 1961, des producteurs lui donnent la chance de réaliser son premier long-métrage, Le Monte-Charge avec Robert Hossein et Léa Massari. Adapté d'un roman noir de Frédéric Dard, le film est un modèle de récit pervers particulièrement bien mené. Deux plus tard, Bluwal connaît les honneurs d'une sélection cannoise pour Carambolages, une énorme farce acerbe sur l'arrivisme avec de Funès et Jean-Claude Brialy. Etrillé par la critique, boudé par le public, le film restera une blessure profonde pour son réalisateur, qui rénouera une dernière fois avec le grand écran en 1999 pour Le Plus beau pays du monde, qui revient sur un épisode méconnu de l'Occupation.

Mort de l'acteur James Michael Tyler

Les Friends sont en deuil. Le comédien James Michael Tyler, inoubliable Gunther, barman du Central Perk de la série culte et amoureux secret de Rachel, a succombé au cancer de la prostate qui lui avait été diagnostiqué en 2018.

Si sa maladie l'avait empêché de participer en plateau aux retrouvailles diffusées cette année, il avait tenu à y délivrer un court message vidéo, coiffé d'une casquette du Central Perk. Au-delà de son statut de "septième Friend", ses proches ont tenu à saluer le "comédien, musicien et militant de la lutte contre le  cancer", emporté à l'âge de 59 ans ce dimanche à Los Angeles.

Avant d'incarner le serveur du Central Perk, James Michael Tyler était barman dans un café. Plus précisément au sein d'un établissement répondant au nom de Bourgeois Pig et situé à Los Angeles. Un poste qu'il gardera en parallèle durant les quatre premières saisons de Friends.

En effet, son personnage ne devait au départ n'être qu'un petit rôle. S'il a été choisi pour le rôle de Gunther, c'est parce qu'il était le seul des figurants à savoir faire fonctionner correctement la machine à café du Central Perk. Une qualité pour laquelle l'Américain sera sacrément récompensé : Gunther est, derrière les six principaux héros, le seul personnage à apparaître dans plus de 100 épisodes de la série. 150 pour être précis.

 L'après Friends sera plus compliqué pour le comédien. Après une apparition dans Scrubs (2005), il tourne quelques épisodes de la comédie Modern Music en 2013. Au cinéma, on peut le voir dans Jason's Big Problem (2011), qui ne franchit pas l'Atlantique.

The Last Kingdom : pas de saison 6... mais un film pour conclure la série Netflix

Les fans de The Last Kingdom peuvent se réjouir. Alors que la cinquième saison, en production, a été annoncée comme la dernière, l’épopée d’Uthred de Bebbanburg n’est pas finie pour autant. En effet, Netflix, unique diffuseur de la série britannique depuis la saison 3, va mettre en boîte un film pour conclure le show.

La bonne nouvelle a été annoncée lors du London MCM Comic Con par nul autre qu’Alexander Dreymon, l’interprète d’Uthred. L’acteur a dévoilé le titre du long-métrage, Seven Kings Must Die, produit par Carnival Films.

Selon les informations de Deadline, le tournage de ce film de deux heures commencera en début d’année prochaine à Budapest, peu de temps après la mise en ligne des 10 épisodes de la saison 5 de la série adaptée des romans Les Histoires saxonnes de Bernard Cornwell.

Une bonne partie du casting sera évidemment de la partie avec quelques nouveaux visages pour ce film réalisé par Ed Bazalgette. Même si "la saison 5 conclut parfaitement la série", ce long-métrage est apparu comme une évidence pour le producteur Nigel Marchant parce qu’il y a "toujours eu une histoire supplémentaire qu’[ils voulaient] raconter".