06 avril 2021

Line Renaud : sa lettre poignante adressée aux députés

C’est un combat qui lui tient à cœur. Samedi 3 avril, Line Renaud a envoyé une lettre aux députés dans laquelle elle évoque un sujet particulièrement sensible à ses yeux, à savoir l’euthanasie. Un message, de l’actrice et chanteuse, qui intervient à quelques jours de l’examen de la proposition de loi du député Olivier Falorni, du groupe Libertés et Territoires, comme le précise un article de Paris Match publié lundi 5 avril. Cette dernière qui institue un “droit à une fin de vie libre et choisie” est “un texte très important. Capital même”, d’après l’artiste aujourd’hui âgée de 92 ans, qui a commencé sa lettre par ces mots. Elle réclame la liberté pour chacun de “mourir dans la dignité.”

Si l’interprète de la mère d’Antoine Bailleul dans le film “Bienvenue chez les Ch’tis” a décidé d’en faire son cheval de bataille, ce n’est pas un hasard. Comme elle l’explique dans son texte, également publié sur son compte Twitter, elle a rencontré de nombreuses personnes qui auraient aimé pouvoir choisir de mourir à un certain moment. C’est le cas de son mari, Loulou Gasté, de sa mère mais également de “tant de malades du sida” qu’elle a rencontrés au cours de sa vie : “La dernière en date est celle de la mère d'une amie qui travaille à mes côtés depuis très longtemps. Elle a dû supporter une souffrance atroce que la loi actuelle n'a pas un instant permis de soulager.” Et d’ajouter : “Aussi admirables soient-ils, les médecins n'ont pas été en mesure d'empêcher ce calvaire et cette femme ne s'est pas éteinte paisiblement, dignement, ainsi qu'elle le souhaitait.”

Line Renaud n’en est pas à son premier combat. Depuis 35 ans, elle est engagée dans la lutte contre le VIH et le Sida. L’actrice et chanteuse est également cofondatrice et vice-présidente du Sidaction, depuis 1994. Une place qu’elle ne laisserait pour rien au monde. “C’est devenu ma raison d’être. Je crois que ça m’était destiné, je suis jusqu’au-boutiste et j’aime les gens”, a-t-elle d’ailleurs précisé dans une interview accordée au Parisien, samedi 27 mars. Une personnalité et un dynamisme qui lui permettent de continuer à se battre pour différentes causes.

Jada Pinkett Smith ose des confidences très intimes sur sa vie sexuelle

En juillet dernier, Jada Pinkett Smith, en présence de son mari Will Smith, avait déjà reconnu avoir eu une liaison passée avec le jeune rappeur August Alsina, dans Red Talk Table. C’est dans la même émission diffusée sur Facebook qu’elle a échangé sur la sexualité avec sa fille Willow le 30 mars dernier. Face à sa mère, la jeune femme de 20 ans n’a pas hésité à parler d’homosexualité, du moins de son attirance pour les filles. « Je n’ai pas l’impression d’être amoureuse d’une femme pour le moment, mais j’ai vraiment le sentiment que cela pourrait arriver, parce que j’ai déjà eu des sentiments très forts pour des femmes », a confié Willow Smith.

Des propos relayés par Pagesix qui n’ont pas choqué sa maman, bien au contraire, puisqu’au même âge que sa fille, celle qui a épousé Will Smith en 1997 était aussi attirée par les femmes. Selon ses propres termes, elle « s’épanouissait beaucoup » auprès d’elles. « Deux fois je suis tombée amoureuse d’une femme », a reconnu Jada Pinkett Smith dans Red Talk Table. Les habitués du programme n’ont sans doute pas été étonnés. En 2019, l’épouse de Will Smith était allée plus loin en révélant croire aux bénéfices de la polygamie, ou plutôt de la « polyfidélité ». À l’époque, elle s’imaginait bien fidèle à deux personnes en même temps, de sexe différent : un homme et une femme. Ainsi, elle serait comblée.

« J’ai l’impression que si je devais trouver deux personnes de sexe différent avec lesquelles je suis vraiment connectée et que nous avons un lien romantique et sexuel, je ne ressentirais pas le besoin d’aller essayer en trouver plus », avait expliqué sur Facebook Jada Pinkett Smith. Au contraire, elle considère que la monogamie développe la jalousie et empêche d’évoluer. Il n’est donc pas totalement impossible qu’après les révélations concernant son idylle passée avec le rappeur August Alsina, la maman de Willow et Jaden Smith, âgée de 49 ans, se voit prochainement attribuer d’autres idylles avec un autre homme, voire une femme.

Le look de Jill Biden jugé trop trash

Personne n'est à l'abri de la police de la mode, pas même Jill Biden. Ce lundi 5 avril, le style vestimentaire de la Première dame américaine était l'un des sujets les plus commentés sur le réseau social Twitter suite à une photographie prise à la descente du Air Force One ce jeudi 1er avril. Jill Biden était vêtue d'un blazer, d'une jupe en cuir à volants, de bas en résilles et de bottines de couleur noire. Un look qui n'a pas fait l'unanimité sur la Toile, ce qui lui a valu de nouvelles moqueries.

"Madonna a appelé et veut récupérer son style trash", "C'est gênant pour une première dame d'être habillée de manière aussi trash", peut-on lire sur le réseau social. D'autres internautes n'ont pas hésité à comparer le style de Jill Biden à celui de Melania Trump : "Je n'ai jamais été fan de Mélania, mais elle était de loin la première dame la plus présentable, elle était absolument magnifique à chaque fois qu'elle était en public", "Melania avait beaucoup plus de classe que Jill". Un flot de réactions jugées sexistes par quelques internautes, qui ont rapidement pris la défense de Jill Biden.

Si Jill Biden a été victime de moquerie à cause de son style vestimentaire, certains internautes ont tenu à féliciter le fait que la première dame porte un masque à chacune de ses sorties : "Petite remarque, Mme Biden portait un masque sur cette photo, contrairement à votre Melania qui n'en portait jamais", "Au moins elle porte un masque et fait attention, elle..." peut-on lire. D'autres ont salué la prise de risque de la First Lady âgée de 69 ans : "Si mes jambes étaient aussi belles que celles de Jill Biden dans ces filets de pêche et ces bottines, je porterais exactement la même tenue", "Je ne supporte pas forcément Jill Biden, mais je pense que son style lui va et qu'elle donne de son maximum pour être fashion". Des arguments de défense qui feront sûrement plaisir à l'intéressée.

Catherine Zeta-Jones se confie sur les hauts et les bas avec Michael Douglas

Envers et contre tous, Catherine Zeta-Jones et Michael Douglas n'ont pas failli. Les deux acteurs constituent l'un des couples phares de la planète Hollywood. Mariés depuis 20 ans, les tourtereaux auront traversé plusieurs tempêtes. Pourtant, à en croire Catherine Zeta-Jones, ils en sont ressortis encore plus soudés. Dans une interview au Wall Street Journal, la comédienne de 51 ans révèle le secret de la longévité de cette union. "Tout d'abord, nous nous amusons beaucoup ensemble", confie-t-elle. Avant d'en dire plus sur la réalité de son couple : "Mon mari a 25 ans de plus que moi, ce n'est pas un secret. Quelle que soit la relation, ce ne serait pas normal s'il n'y avait pas de hauts et de bas".

Ce qui a permis de les faire tenir : "l'amour et le respect". "Nous n'avons jamais perdu notre sens de l'humour et nous apprécions la compagnie de l'autre", poursuit-elle. Les deux acteurs, parents de deux enfants (Dylan, né en 2000, et Carys, née en 2003), ont donc tenu bon, malgré les épreuves. En 2004, le couple a notamment été victime de harcèlement de la part d'une femme, qui ne cessait d'envoyer des lettres, de passer des coups de fils anonymes et de proférer des menaces de mort. Quelques années plus tard, Catherine Zeta-Jones a été diagnostiqué bipolaire, l'obligeant à être hospitalisée à plusieurs reprises en 2011 et 2013. Autant d'expériences qui ont amené le couple à prendre une pause en août 2013 pour "travailler sur leur mariage". Une trêve de quelques mois à l'issue duquel il s'est réconcilié et renouvelé ses voeux. Plus récemment, en 2018, Michael Douglas a fait l'objet d'accusations d'agression sexuelle, qui n'ont pas manqué d'ébranler la famille.

Pourtant, les deux époux n'ont cessé de se soutenir, se reposant sur leur grande complicité. C'est ce dernier élément que Catherine Zeta-Jones met en avant dans son interview au Wall Street Journal. "Mon mari et moi passons beaucoup de temps ensemble parce que, contrairement à beaucoup d'autres couples, nous n'avons jamais travaillé avec des horaires réguliers. Parfois, je travaille 16 heures par jour, puis pendant un certain temps, je ne travaille pas du tout. Il fait la même chose. Donc, nous avons beaucoup de temps où il n'y a que nous", révèle-t-elle. Une recette de bonheur qui semble fonctionner.

La forme de l’eau : La plainte pour plagiat contre Guillermo del Toro a été abandonnée

C’est officiel, Guillermo del Toro est bel et bien l’auteur de La Forme de l'eau. Pourquoi seulement maintenant, alors que le réalisateur a toujours été crédité comme le coauteur du scénario ? Tout simplement parce que David Zindel, le fils de l’auteur Paul Zindel, affirmait dans une plainte déposée en 2018 que le film n’était qu’un plagiat de l’œuvre de son père, Let Me Hear You Whisper. Après presque trois ans de procédure, l’affaire n’ira pas plus loin et la famille Zindel jette l’éponge, d’après The Hollywood Reporter, qui cite Searchlight, le studio qui a produit le film.

« David Zindel, le fils de Paul Zindel, auteur de Let Me Hear You Whisper, reconnaît, sur la base d’informations confidentielles obtenues au cours de la procédure judiciaire, que ses allégations de plagiat sont sans fondement. Il reconnaît que Guillermo del Toro est le véritable créateur de La Forme de l’eau. Toute similitude entre les deux œuvres est fortuite », peut-on lire dans le communiqué.

On ignore si un règlement a l’amiable a été trouvé entre les deux parties, mais c’est probable, dans la mesure où la cour d’appel du 9e Circuit, devant laquelle était présentée l’affaire, devait entendre cette semaine des rapports et témoignages d’experts. Un procès était même prévu pour juillet. Les avocats de la famille Zindel n’ont pas répondu aux requêtes du Hollywood Reporter, mais d’après la publication, il est clair que les deux camps se sont mis d’accord pour mettre un terme à une procédure sans doute déjà très coûteuse.

Sorti en 2017, La Forme de l’eau racontait l’histoire d’amour entre la femme de ménage d’un laboratoire scientifique qui décide de libérer une créature amphibienne détenue dans le centre. Le livre de Paul Zindel, de son côté, s’intéressait à la relation entre une femme de ménage et un dauphin dans un laboratoire de recherche. Guillermo Del Toro avait reconnu des similitudes entre les deux œuvres, mais a toujours affirmé qu’il n’avait jamais lu le roman ni vu la pièce qui l’adaptait.

ADN, Wakanim, Crunchyroll : les animés du 6 au 13 avril

Fruits Basket (ADN, Wakanim)

Après une première adaptation diffusée il y a vingt ans et restée inachevée, le très populaire shojo Fruits Basket, va enfin voir son final animé grâce à son reboot de 2019. Reprenant le projet de zéro, sous la direction du studio TMS Entertainment, l'oeuvre de Takaya Natsuki nous raconte le quotidien compliqué de de la jeune Honda Toru, une lycéenne orpheline qui découvre malgré elle le secret de ses camarades de classe, Yuki et Kyo Soma.

Tous deux issus d'une famille maudite, ils sont condamnés à se transformer en un animal du zodiaque, chaque fois qu'une personne du sexe opposé les étreints. Ce scénario, aux premiers abords, plein d'humour et décalé, a pourtant su se démarquer des autres mangas du genre grâce à la profondeur de son récit.

Tantôt comique, tantôt très sombre, Fruits Basket aborde avec justesse de nombreuses thématiques graves telles que le deuil, la manipulation mentale et les violences physiques. Avec une touche de romance et agrémenté de personnages terriblement attachants et de références mythologiques, on ne peut qu'être emporté par cet anime.

Après un twist qui aura laissé plus d'un spectateur sans voix en fin de saison 2, le final de la série a finalement débuté ce lundi 5 avril sur Wakanim et arrivera dans le courant du mois sur ADN. 

Arrête De Me Chauffer, Nagatoro (Crunchyroll)

Alors qu’il se rend à la bibliothèque, Senpai devient un jour la cible d’une fille plus jeune que lui. Cette élève qui le taquine, l’aguiche et le tourmente s’appelle Nagatoro ! 

À la fois ennuyeuse, mais adorable, elle ne cesse de s’en prendre à Senpai. Mais où veut-elle en venir, finalement ? Et si ses caprices agacent le garçon, ils pourraient bien l’aider à sortir de sa timidité...

Déjà, un titre pareil ne peut que susciter la curiosité ! Arrête de me chauffer, Nagatoro est adapté d’un manga édité en France depuis le 12 mars chez Noeve Grafx. L’anime est produit par le studio Telecom Animation Film (Tower of God).   

Disponible le 10 avril sur Crunchyroll, cette petite pépite haute en couleurs met en scène une héroïne complètement barrée, qui fait penser à une Harley Quinn en puissance. Une bonne dose de fun en perspective, notamment grâce au personnage de Nagatoro et son visage extrêmement expressif !

Vivy -Fluorite Eyes Song- (Wakanim)

Première Intelligence Artificielle du genre humanoïde, Vivy n'a été créée pour servir de divertissement dans un parc d'attraction. Condamnée à n'être qu'un objet d'amusement pour les clients, sa vie bascule pourtant le jour elle fait la rencontre de Matsumoto.

Cette IA venant du futur lui annonce alors qu'une guerre se prépare entre les personnes comme eux et les humains. Ensemble, ils ont 100 ans pour changer le cours de l'Histoire, et empêcher le conflit !

Scénarisée par le brillant Nagatsuki Tappei (à qui l'on doit notamment Re:ZERO) et animée par Wit Studio (responsable des premières saisons de L'Attaque des Titans), cette oeuvre originale a tout pour être une pépite. Son pitch, qui n'est pas dans rappeler la série populaire américaine Westworld, promet d'allier suspense et science-fiction, tout en exploitant les notions d'humanité et de sentiments.

Avec un univers cyberpunk prometteur, et adouci de quelques musiques et séquences émotions, nul doute que Vivy -Fluorite Eye's Song- saura convaincre les amateurs du genre et intriguer les non-initiés.

Harvey Weinstein fait appel de sa condamnation et demande un nouveau procès

Le 11 mars 2020, la Cour Suprême de New York condamnait Harvey Weinstein, reconnu coupable d'agression sexuelle et de viol, à 23 années de prison. Un an plus tard, l'ex-producteur fait appel de sa condamnation, via son avocat Barry Kamins, qui demande à ce qu'un nouveau procès ait lieu.

Et ce dernier s'appuie sur sept arguments :

le jury n'était pas impartial selon lui

les aveux de témoins des actes dont Harvey Weinstein était accusé n'étaient pas appropriés

la cour a commis une erreur en refusant le témoignage d'un expert de la défense

l'accusation de viol au troisième degré était prescrite car datant du début des années 90

les chefs d'accusation d'agression sexuelle reposaient sur des allégations prescrites

les verdicts de culpabilité ne s'accordaient pas avec le poids des preuves

la peine prononcée était sévère et excessive

Barry Kamins déclare également que les accusations découlent du comportement présumé de son client avec les femmes à Hollywood : "Les journalistes de plaidoyer ont publié de nombreuses allégations non-vérifiées contre M. Weinstein", peut-on lire dans le dossier déposé. "Et en quelques mois, un nouveau mouvement, connu grâce au mot-dièse #MeToo, a vu le jour."

Regrettant que son client soit devenu "le grand méchant des médias" et qu'il ait écopé d'une peine aussi lourde alors qu'il n'avait jamais été condamné auparavant et souffre de graves problèmes de santé, Barry Kamins demande donc que l'accusation de viol au troisième degré soit rejetée pour prescription et qu'un nouveau procès soit ordonné sur un seul chef d'accusation d'acte sexuel criminel au premier degré.

Producteur-star d'Hollywood, Harvey Weinstein a été accusé depuis octobre 2017 de harcèlement, agression sexuelle ou viol par plus de quatre-vingts femmes. Des accusations publiques qui avaient permis une libération de la parole, symbolisée par les mouvements #MeToo et Time's Up.

Loki sur Disney+ : une nouvelle bande-annonce pour la série Marvel avec Tom Hiddleston

Après WandaVision et Falcon et le Soldat de l’Hiver, c’est la série Loki que les fans de Marvel pourront découvrir sur Disney+ dès le 11 juin. Consacré au personnage incarné par Tom Hiddleston, ce show en six épisodes écrits par Michael Waldron et réalisés par Kate Herron va explorer en profondeur les failles temporelles et les réalités alternées. Des thèmes clés dans la phase IV du MCU.

Une nouvelle bande-annonce explosive de Loki en dévoile un peu plus sur l’intrigue de la série. Après avoir volé le Tesseract dans Avengers : Endgame lorsque les Avengers ont tenté de le récupérer en retournant en 2012, Loki est arrêté par les bureaucrates de la Time Variance Authority pour avoir altéré la réalité.

Les Gardiens du Temps, leadés par Mobius (Owen Wilson), vont alors demander à Loki de réparer son erreur qui a créé plusieurs failles temporelles. La bande-annonce évoque un "variant Loki", ce qui annonce sûrement plusieurs versions du Dieu de la Malice.

Par ailleurs, cette nouvelle bande-annonce, avec la date définitive de sortie sur Disney+, est également l’occasion de voir les actrices Gugu Mbatha-Raw, Sophia Di Martino et Wunmi Mosaku en action. Ces nouvelles images nourrissent les rumeurs sur les apparitions de Lady Loki et Kid Loki.

Le Seigneur des Anneaux : l'adaptation soviétique de 1991

"Gardez-le caché, mettez-le en sûreté."

Ce sage conseil de Gandalf à Frodon concernant l'Anneau Unique aurait tout aussi bien pu s'appliquer à l'une des premières adaptations de l'oeuvre de J.R.R. Tolkien. Réalisée pour la télévision soviétique en 1991 et diffusée à une seule reprise, cette version pour le moins déroutante du Seigneur des Anneaux était en effet restée secrète pendant 30 ans.

Pour le plus grand bonheur des curieux (et sans doute au grand dam des puristes), ce téléfilm de 1h50 au budget quasiment inexistant - et qui ferait sans doute passer le Star Wars Holiday Special de George Lucas pour une fresque épique - est donc sorti 10 ans avant la version de Peter Jackson, et environ 12 ans après le long métrage d'animation de Ralph Bakshi. 

05 avril 2021

Jean-Luc Reichmann est malade du Covid : « Ça ratatine complètement »

Personne n’est à l’abri. Alors que la France est repartie pour quatre semaines de «confinement», il est bon de rappeler qu’il ne faut pas se relâcher et prendre un maximum de précautions. Souvent le message passe mieux quand il vient d’une personnalité, et là, c’est Jean-Luc Reichmann qui le dit. L’animateur des 12 Coups de midi est en effet malade du Covid, comme il l’a révélé ce dimanche au micro de RFM, une information relayée par Télé Loisirs. Invité de l’émission de Pascal Nègre, il a dû annuler sa venue en studio mais a maintenu sa participation, à distance.

« Jean-Luc n’est pas en studio, a expliqué Pascal Nègre. Il est chez lui, et moi je suis chez moi d’ailleurs, et en fait Jean-Luc… Tu as le Covid actuellement. » « Grosse catastrophe, a enchaîné l’animateur. Il faut prendre un maximum de précautions et de sécurité. » Il a supposé que la contamination est venue par ses enfants, et confié que la maladie, « c’est vrai que ça ratatine complètement ». Jean-Luc Reichmann est déjà isolé depuis une semaine, et il faut donc s’attendre à des conséquences sur les enregistrements de son jeu quotidien.