Beverly Hills 90210 restera le Hélène et les garçons à la sauce américaine, avec des jeunes gens, beaux et riches dans les quartiers cossus de Los Angeles. La série adolescente, et son fameux générique, sont entrés dans la culture populaire, au point d'être à l'origine d'une vague de prénoms américains en France. Mais vingt ans après le lancement de la première saison du soap californien, les interprètes de Dylan, Brandon, Brenda, Kelly, et bien d'autres connaissent un funeste destin.
01 janvier 2024
Stéphane Plaza évoque sa “mort présumée” depuis les accusations de violences conjugales
L’année 2023 aura marqué un tournant certain dans la carrière de Stéphane Plaza. L’animateur vedette du groupe M6 a en effet attiré tous les regards ces derniers mois après les accusations de violences conjugales qui le touchent. Plusieurs témoignages avaient été cités dans une longue enquête dans les colonnes de Médiapart. Par le biais de son avocate, l'agent immobilier de 53 ans a formellement nié les faits qui lui sont reprochés, dénonçant des "accusations fantaisistes".
Face à cette tempête médiatique, Stéphane Plaza - défendu depuis le début par son acolyte Karine Le Marchand - n’a jamais cessé de poster ses habituels messages motivants sur les réseaux sociaux. Pour autant, l’agent immobilier a été très touché par les accusations portées à son encontre comme il l’a affirmé dans son post du dimanche 31 décembre 2023. Dans ce long message destiné à faire le bilan de son année écoulée, Stéphane Plaza écrit ces quelques mots : “Je pensais que l’année où Maman s’était envolée vers les cieux, aurait été l’unique année éprouvante de ma vie. Malheureusement, 2023 le fut aussi ! Mon image salie à vie, me définissant comme un monstre et ma mort présumée. Ça fait beaucoup pour retrouver le sourire”, commence-t-il.
Malgré tout, Stéphane Plaza indique tenter tant bien que mal d’aller de l’avant : "À peine sorti de l’œil du cyclone, une tempête renaît ! Et quand elle disparaît, elle laisse derrière elle un temps orageux. Malgré cela, je reste le même, un homme aimant, respectueux, et toujours engagé contre la cause qu’il défend. Le meilleur est à venir. Un chapitre se clôture et un nouveau livre s’ouvre à vous !”, écrit-il par ailleurs, en concluant en adressant ses voeux de bonne santé à sa communauté. Une publication très largement likée par ses fans.
Anne-Claire Coudray lassée de travailler le week-end ? Elle répond
De joker de Claire Chazal à titulaire du poste, Anne-Claire Coudray a toujours travaillé les samedis et dimanches. Là où la grande majorité des Français s'adonnent aux petits plaisirs de la vie, la maman d'Amalya se pointe à la tour de TF1 pour présenter les journaux du week-end. Et ça fait huit ans que ça dure, sans que la complice de Gilles Bouleau n'exprime la moindre contrariété. Au contraire, ce sont ses collègues qui jalousent sa position.
Pour autant, la Rennaise a dû se résoudre à plusieurs changements pour assurer son job, comme raccrocher les spatules de ski ou arrêter les déplacements en scooter. Quant à ses looks, elle est "astreinte à une forme d'exemplarité, à un certain classicisme verbal et corporel, mais ça va avec la mission d'informer".
A l'heure de sabrer le champagne, Anne-Claire Coudray a tiré un bilan positif de cette année 2023 dans les colonnes de Télécâble Sat Hebdo. "Avec l'équipe, nous avons atteint notre maturité. Nous sommes assez contents de tout ce que nous avons mis en place", a souligné la journaliste, copiée par les rivaux de France Télévisions. Elle ne s'imagine pas travailler ailleurs ou sur un autre créneau. "Le tout c'est de trouver son équilibre. J'ai sacralisé le lundi et le mercredi pour passer du temps avec mon mari et ma fille", a-t-elle répondu lorsque nos confrères lui ont demandé si une certaine lassitude pointait le bout de son nez. "J'aime beaucoup travailler le week-end. J'ai la chance d'avoir deux journaux : le 13h et le 20h, avec deux tons différents. C'est passionnant", ajoute la grande optimiste, féministe et engagée. 2024 devrait donc s'inscrire dans la continuité des années précédentes.
Rym Renom s'exprime sur les « fausses informations » et les nombreuses critiques qui l'ont affectée
Ceux pour qui l'année 2023 a été rude ont été bien contents qu'elle se termine enfin. Après une séparation douloureuse, un nouveau déménagement et de nombreuses critiques plutôt virulentes sur la Toile, Rym Renom a décidé de s'exprimer sur son compte Instagram. La maman de Maria-Valentina et d'Alma a fait le bilan de son année et même si elle a connu de nombreuses difficultés et épreuves, elle tente de garder le cap. "[Il] faut dire que cette année a apporté d’énormes changements dans ma vie personnelle et professionnelle. J’ai essayé de faire de mon mieux pour cacher ma peine et montrer un sourire quand je n’en avais vraiment pas envie", avouait-elle d'abord. Elle poursuivait : "J’ai également changé énormément de choses en moi pour m’écouter un peu plus. J’ai aussi réalisé un de mes rêves : vivre à Bali. Ça faisait tellement longtemps que j’attendais ce moment, j’ai réussi, et je suis heureuse là-bas, voir mes filles grandir dans un environnement qui leur correspond me remplit de joie et de fierté".
L'ex de Vincent Queijo revenait également sur les nombreuses critiques et commentaires désobligeants qu'elle reçoit de plus en plus fréquemment ces dernières semaines. Critiquée sur son choix de s'affirmer davantage en tant que femme et sur les photos qu'elle poste sur Instagram, la maman a décidé de mettre fin au débat. "J’ai également reçu de nombreuses critiques sur les réseaux, tant pour les décisions que j’ai prises que pour mes photos qui ont dérangé certaines personnes", confiait-elle. Et d'ajouter : "Il y a eu aussi des fausses informations qui m’ont affectée, mais je ne suis pas quelqu’un qui parle beaucoup, encore moins pour régler les choses sur les réseaux". La maman fait ici référence au fait que certains ont affirmé qu'elle faisait partie d'une secte et qu'elle avait trompé son mari avec une femme. "Je préfère laisser parler plutôt que perdre mon temps à vouloir m’exprimer. Heureusement que je suis mentalement forte, et que ma vraie communauté, celle qui me soutient depuis toujours, est là", pouvait-on lire .
Rym Renom reconnaissait que même si elle a été "au plus mal", elle est parvenue à voir la lumière au bout du tunnel. Sa vie professionnelle a, par exemple, connu "un grand changement très positif". Elle concluait reconnaissante : "Ce 2023 n’a pas été facile, mais j’ai aussi beaucoup grandi et surtout appris à m’écouter. Du coup, merci à toi, 2023, car grâce à tout cela, aujourd’hui j’essaierai de prendre les meilleures décisions pour continuer ma vie comme il me semble. En 2024, je suis prête à réaliser mes rêves et réussir ma vie. Aujourd’hui, je souris pour de vrai, je me sens bien et prête". Un long message qui a réjoui bon nombre de ses fans mais qui a aussi agacé plusieurs internautes.
Comme à l'accoutumée, ces derniers ne se sont pas gênés pour le lui faire savoir en commentaire de sa publication. "'J'ai appris à m'écouter, je m'écoute, j'apprends sur moi, j'apprends à m'aimer, moi, moi, moi....' Qu'est-ce que ça soûle", regrettait une première utilisatrice d'Instagram. Et une autre de faire remarquer : "L’égocentrisme à son plus haut niveau". Une abonnée regrettait le fait que la vidéo postée par l'ex-participante de Mamans et célèbres "manque de naturel". "C'est dommage... J'ai du mal à croire tout ce qu'elle dit, on dirait un texte répété", indiquait cette même internaute déçue. Puis, une autre de voler au secours de la maman de Maria-Valentina : "Bah après, c’est son compte aussi, et elle parle d’elle même, enfin..". Le mot de la fin revenait à une fan de l'ex-star de La villa des coeurs brisés : "Tu as totalement raison de dire que c'est triste que les femmes ne se soutiennent pas, je dirais même pire : certaines se rabaissent gratuitement, et c'est vraiment dommage, j'espère sincèrement que 2024 nous rapprochera toutes de la sororité". À en croire les commentaires sous la publication de Rym Renom, le chemin risque d'être encore long…
Après 52 ans de règne, la reine du Danemark Margrethe II annonce son abdication
Elle était sur le trône depuis la mort de son père, Frédéric IX, en 1972. La reine Margrethe II née à Copenhague, en 1940, a fêté son jubilé d'or, soit ses 50 ans de règne, le 14 janvier 2022. À la presse danoise, elle avait confié par le passé : "Je resterai sur le trône jusqu’à ce que j’en tombe". Il semblerait qu'elle ait finalement changé d'avis à en croire son annonce de ce dimanche 31 décembre. Affaiblie après sa lourde intervention chirurgicale du dos en février dernier, la monarque s'est remise en question. Cette opération et la difficulté de sa convalescence ont "donné lieu à des réflexions sur l’avenir, sur la question de savoir s’il était temps de transférer les responsabilités à la génération suivante", avait-elle confié lors de son retour.
Dimanche 31 décembre, elle a donc décidé d'annoncer la fin prochaine de son règne. Lors de son discours du Nouvel An, elle déclarait : "J’ai décidé que c’était le bon moment. Le 14 janvier 2024 – 52 ans après avoir succédé à mon père bien-aimé – je quitterai mon poste de reine du Danemark. Je laisse le trône à mon fils, le prince héritier Frederik". Elle ajoutait : "Ce soir, je tiens tout d'abord à vous remercier. Merci pour la chaleur et le soutien immenses que j'ai reçus au fil des années. Un merci aux différents gouvernements, avec lesquels il a toujours été gratifiant de travailler, et au Parlement danois, qui m'a toujours accueilli avec confiance"..
"Mes remerciements doivent aller aux très nombreuses personnes qui, lors d'événements spéciaux ainsi que dans la vie de tous les jours, m'ont entourée, moi et ma famille, de paroles et de pensées affectueuses. Ces années ont été comme un collier de perles", indiquait-elle avec poésie. La reine du Danemark continuait reconnaissante : "Le soutien et l'assistance que j'ai reçus au fil des années ont été décisifs pour que je puisse mener à bien ma tâche". Au sujet de son fils et de la relève qu'il s'apprête à prendre avec son épouse, elle se voulait confiante. "J'espère que le nouveau couple royal recevra la même confiance et la même affection que j'ai reçues. Ils le méritent ! Le Danemark le mérite !", continuait-elle enthousiaste.
Puis de conclure : "Je terminerai donc mon dernier discours du Nouvel An avec les mots que je dis habituellement : Dieu sauve le Danemark, Dieu vous garde tous". Depuis, Mette Frederiksen, la Première ministre, a déclaré dans un communiqué : "Beaucoup d’entre nous n’ont jamais connu d’autre monarque. La reine Margrethe est l’incarnation même du Danemark et, au fil des ans, elle a mis des mots et des sentiments sur ce que nous sommes en tant que peuple et en tant que nation". Créatrice de costumes et scénographe, la reine polyglotte a également tenté l'expérience de la traduction sous un pseudonyme et en collaboration avec son époux. Ensemble, ils ont notamment traduit, en 1981, Tous les hommes sont mortels, un roman de Simone de Beauvoir.
Kim Glow prend une décision radicale concernant son avenir en France pour 2024
Le 21 décembre dernier, Kim Glow se confiait au plus mal à ses abonnés. Elle révélait qu'après avoir laissé sortir son chien Tigger, celui-ci est allé se battre avec des sangliers qui encerclaient la demeure de la candidate de télé-réalité. "Ils étaient quatre, et des bœufs, hein. À vue d'œil, je dirais qu'ils faisaient 80 kg […] Je crois que c'étaient des mâles. Heureusement que ce n'était pas une femelle avec des bébés, parce que je crois que mon chien serait mort", confiait-elle encore sous le choc. Elle poursuivait en expliquant que son compagnon avait dû sortir pour tenter de disperser les animaux qui s'étaient invités sur sa propriété.
La maman de Talia reprenait ensuite son téléphone pour annoncer qu'elle avait trouvé une solution pour les prochaines fois où un tel incident arriverait. "Je vais m'inscrire à la chasse pour avoir un permis et une arme légale de chasse", débutait-elle. Et de préciser : "Pas pour chasser, mais on est dans une forêt ici, j'entends des chasseurs tirer et pourtant, on est envahis de sangliers. […] Si j'ai le choix entre sauver mon chien ou les sangliers, bien évidemment, ça sera mon chien […] Je ne veux plus jamais prendre de risque". La jeune femme soulignait ensuite le fait qu'elle songerait à "buter le sanglier [seulement] si la vie de [son] chien est en danger".
Bien lancée sur les annonces radicales, Kim Glow postait plusieurs clichés d'elle et sa fille ce 1er janvier pour souhaiter ses meilleurs voeux à ses abonnés. "Bonne année à chacun d’entre vous ! Que cette nouvelle année soit remplie de joie, de succès et de moments inoubliables. Puissiez-vous réaliser vos rêves et relever tous les défis avec courage. Que la santé, la prospérité et le bonheur vous accompagnent tout au long de 2024", commençait-elle par écrire. Puis de faire une annonce qui risque de faire couler beaucoup d'encre… Elle assurait : "Cependant, mon cœur est un peu triste, car le pays que j’ai tant aimé, la France, est devenu un lieu où l’insécurité règne".
"On ne peut plus célébrer le Nouvel An sans penser à se protéger, protéger sa maison, entourés d’amis, de chiens, de sécurité armée, alarme, caméra, et tous les attirails…", regrettait-elle. Kim Glow concluait alors : "C’est triste de voir un tel changement, et dès que mes projets actuels prendront fin, je partirai rapidement, déçue de la peur que ce pays a engendrée en moi". "Nous avons la même pensée, nous partons avec nos deux filles de la France", lui écrivait une abonnée. La maman n'a pas précisé la destination de choix mais elle ne manquera sûrement pas de le confier à ses milliers abonnés
Le court-métrage anniversaire de Disney est disponible
Alors que 2023 s'achève bientôt, le studio Disney décide de conclure ses festivités du centenaire en offrant son cadeau. Le court-métrage anniversaire Il était une fois un studio est disponible gratuitement sur YouTube. Le film réunit en huit minutes l'intégralité des personnages du studio, héros comme méchants, dans une joyeuse ambiance de photo de classe.
Sous l'impulsion de Mickey Mouse et de Minnie, tout le monde s'active et sort de son univers pour se rassembler. Donald rouspète face à la lenteur de Flash, le paresseux de Zootopie, Vaiana s'inquiète pour Polochon et Dingo tente désespérément d'avoir tout le monde sur la photo ! Conclu par la douce mélodie du générique reprise en coeur par tous les personnages, ce petit film ravira les fans de Disney et sera peut-être la vraie douceur de ce centenaire.
Mort de l'acteur Tom Wilkinson à l'âge de 75 ans
Le comédien britannique, célèbre pour The Full Monty, grand succès critique et public de l'année 1997 au cinéma, qui lui avait personnellement valu un BAFTA, avait 75 ans. Débutant sa carrière d'acteur en Angleterre dès les années 1970, il est apparu dans de multiples films populaires, d'Au nom du père (1993) à Mission : Impossible : protocole fantôme (2011) en passant par Shakespeare in Love (1998), Eternal Sunshine of the Spotless Mind (2004) ou Batman Begins (en 2005, dans le rôle de Carmine Falcone).
Egalement prolifique au théâtre et à la télévision, Tom Wilkinson a été nommé deux fois aux Oscars au cours de sa carrière : dans la catégorie meilleur acteur pour In the Bedroom, en 2002 (mais c'est Denzel Washington qui a gagné la statuette cette année-là pour Training Day), puis en 2009 pour son second rôle dans Michael Clayton - Javier Bardem fut alors vainqueur grâce à son personnage terrifiant de No Country for Old Men.
Robert Carlyle, son partenaire de jeu dans The Full Monty, qui venait de le retrouver pour une suite en série, diffusée sur Disney+, lui a rendu hommage sur les réseaux sociaux.
"Je suis si triste d'apprendre la disparition de Tom. Il manquera à tous ceux qui ont eu le plaisir de travailler avec lui. C'était un acteur brillant, pas seulement l'un des meilleurs de sa génération, mais de toutes les générations confondues... RIP Tom Wilkinson."
La première version de Mickey Mouse s'apprête à entrer dans le domaine public
Après 95 ans, les droits d’auteur qui protègent les courts-métrages Disney Steamboat Willie et Plane Crazy, les deux premiers films mettant en scène Mickey Mouse en 1928, vont expirer le 1er janvier 2024. La petite souris du début de l’histoire du studio va donc entrer dans le domaine public et pourra faire l’objet d’adaptations libres et de détournements, explique Le Film Français.
Jennifer Jenkins, la spécialiste du domaine public à l’université de Duke, suggère que les artistes pourront à présent faire une “version pour sensibiliser au changement climatique du Bateau à vapeur de Willie, dans laquelle le navire s'échouerait sur le lit d'une rivière asséchée, ou encore une version féministe dans laquelle Minnie tiendrait la barre”.
Néanmoins, il est important de préciser que seule cette version de Mickey est dans le domaine public. Le Mickey contemporain en salopette rouge et gants blancs est encore sous protection disneyenne donc vous pouvez déjà oublier vos idées de remakes farfelus et attendre... encore 80 ans de plus.
Par contre, c’est le moment de se faire plaisir avec le Mickey de Steamboat Willie. Le court-métrage est devenu le jingle d’intro d’un grand nombre de films Disney, avec la fameuse mélodie sifflée par Mickey à la barre de son bateau à vapeur. Maintenant que les fans peuvent faire mumuse avec, ils vont peut-être commencer par lui faire chanter autre chose ?
Double piège : la nouvelle série d’Harlan Coben pour Netflix sera bien différente du livre
Netflix ouvre le bal de l’année 2024 avec Double piège, qui marque sa dernière collaboration avec l’auteur à succès Harlan Coben. Il s’agit là de l’adaptation de son roman éponyme sorti en 2016 et dont voici le synopsis :
Quand Maya, une ancienne soldate, aperçoit soudain sur une caméra espion son mari qu'elle pensait assassiné, elle découvre une conspiration meurtrière ancrée au plus profond du passé. Au casting se retrouvent Michelle Keegan (Maya), Richard Armitage (son mari) et Adeel Akhtar dans le rôle du policier.
Coben ne change pas de style avec cette nouvelle production qui est un thriller en bonne et due forme, avec une histoire de disparition, des secrets révélés, du mystère à gogo et une héroïne qui enquête en dépit du danger. Si Double piège semble être plutôt classique sur le fond et la forme, l’écrivain semble être particulièrement fier de cette adaptation-là.
Dans une interview donnée à Radio Times en octobre dernier, Coben a fait savoir que la fin de Double piège allait en étonner plus d’un, sous-entendant qu’elle serait différente de son roman :
“Vous serez choqués par la fin. On a fait le choix de ne pas avoir de fin ouverte et c’est je pense la meilleure chose à faire quand on binge-watche un programme. Cette fin, on l’a voulu surprenante et émouvante. Notre dernier épisode, est, étonnement le plus court. On a voulu aller à l’essentiel.” (il dure 35 minutes seulement, ndlr).
Un choix scénaristique qu’il justifie dans le but de satisfaire les abonnés de Netflix. Double piège n’aura d’ailleurs pas de saison 2, tout comme les autres séries d’Harlan Coben pour la plateforme, puisqu’elle a été présentée dès le début comme une mini-série. AlloCiné, qui a pu avoir accès aux 8 épisodes en avant-première et confirme que les scénaristes ont pris une direction bien différente du roman et plus ancrée dans la réalité : il y est notamment question de sociétés pharmaceutiques corrompues et d’intelligence artificielle.
Si Double piège ne révolutionne pas le genre, elle respecte réellement son spectateur…