05 mars 2022

Mort de l'acteur Mitchell Ryan à l'âge de 88 ans

Les nouvelles se suivent et se ressemblent tristement. Alors que la France pleure la disparition de son présentateur télévisé préféré - Jean-Pierre Pernaut est décédé à 71 ans le 2 mars dernier -, les Etats-Unis viennent eux aussi de perdre une personnalité qui leur est chère. Il s'agit de l'acteur Mitchell Ryan, principalement connu pour avoir incarné le général McAllister, le grand méchant du premier volet de L'Arme fatale, sorti en 1987. L'acteur s'est éteint ce vendredi 4 mars à l'âge 88 ans, comme l'a révélé sa belle-fille dans les colonnes du Hollywood Reporter.

Né le 11 janvier 1934 à Cincinatti, Mitchell Ryan n'avait débuté sa carrière d'acteur qu'à la fin des années 1950. Il avait auparavant servi dans l'armée, la Marine plus précisément. C'est par la série Dark Shadows qu'il avait finalement été révélé au grand public, avant de jouer en 1973 dans le western de Clint Eastwood, L'Homme des hautes plaines. La même année, il avait tenu le rôle principal de la série Chase.

Bien qu'il ait plusieurs fois joué au cinéma - notamment au côté de Jim Carrey dans Menteur, menteur (1997) -, c'est surtout pour ses rôles sur le petit écran qu'était connu Mitchell Ryan. Dans les années 1980, il avait joué dans de très nombreuses séries telles que Dallas, Pour l'amour du risque, L'agence tout risque ou Riptide.

Il avait également joué des rôles plus dramatiques, notamment dans la mini-série sur la guerre de sécession, Nord et Sud puis à la fin des années 1980, dans Santa Barbara. Mais s'il est un visage si familier des téléspectateurs, c'est avant tout grâce à ses apparitions dans Les Craquantes, Rick Hunter, Arabesque ou encore Le Rebelle. Côté vie privée, Mitchell Ryan avait épousé Lynda Morse en 1972, avant de divorcer quelques années plus tard. Le couple avait eu trois enfants.

Guerre en Ukraine : le producteur ukrainien Denis Ivanov demande le boycott des films russes

Il faut arrêter de soutenir la Russie et boycotter ses films. Voilà, en substance, le point de vue de Denis Ivanov. Le producteur ukrainien, connu pour les films Donbass, The Tribe et Black Level, notamment, s’est livré à une charge violente contre la guerre lancée par Vladimir Poutine dans son pays. Évoquant clairement un « génocide contre les Ukrainiens », il insiste pour que l’industrie du cinéma ne se rende plus complice du gouvernement russe.

« La plupart des réalisateurs russes de "l’opposition" ne peuvent travailler que parce qu’ils ont été autorisés à le faire par le régime de Poutine. Ils ont leur rôle dans la pièce, écrite et mise en scène au Kremlin. La présentation de leurs œuvres lors de festivals de cinéma n’a qu’un seul but : montrer faussement que la Russie fait partie du monde dit civilisé. À l’intérieur de la Russie, chaque participation d’un film à un festival de cinéma serait le signe que "les affaires continuent", même en période de massacres de civils ukrainiens », écrit le producteur dans une lettre ouverte relayée par Variety.

Denis Ivanov va également jusqu’à encourager les réalisateurs russes à se joindre au mouvement, en refusant de représenter la Russie lors des festivals. « Refuser de représenter leur pays dans les événements internationaux et faire une déclaration à ce sujet. Cet acte de solidarité serait le message anti-guerre le plus clair et le plus éloquent pour le monde et les Ukrainiens. (…) Ce n’est pas le bon moment pour les tapis rouges pour nos chers collègues russes », a ajouté le producteur.

Certains festivals internationaux se sont engagés à refuser strictement les films russes, comme ceux de Stockholm et de Glasgow, tandis que le festival de Cannes s’est pour le moment contenté d'annoncer qu’il refuserait « les délégations officielles russes et n’accepte pas la présence de personnes liées au gouvernement russe », tout comme la Mostra de Venise.

« Les professionnels du cinéma ukrainien sont maintenant partis à l’armée, ou aident en tant que volontaires, ou se protègent des missiles russes dans des abris, ou évacuent leurs familles de la zone de guerre. Leur "expression artistique" est limitée par ces circonstances. En leur nom, je demande de soutenir notre boycott du cinéma russe dans toutes les manifestations cinématographiques internationales et dans toutes les organisations internationales jusqu’à ce que le gouvernement russe finisse à La Haye », a conclu Denis Ivanov.

Lady Gaga sera finalement présente aux Oscars, mais pour remettre un prix

Lady Gaga a beau être absente des nommés aux Oscars cette année, ça ne veut pas dire qu’on ne la verra pas pour la grand-messe du cinéma américain. La chanteuse et actrice, dont la performance dans House of Gucci avait été encensée par la critique (mais apparemment pas autant appréciée par ses pairs), fera partie des stars invitées à monter sur scène pour remettre un prix.

« Nous sommes ravis d’accueillir sur la scène des Oscars les premiers membres d’une équipe exceptionnelle qui nous aideront à célébrer le pouvoir du cinéma et à honorer les meilleures œuvres de l’année », a déclaré Will Packer, le producteur de la cérémonie, dans un communiqué relayé par Vulture.

Parmi les autres stars du cinéma qui remettront des prix, on retrouvera notamment Kevin Costner, Zoë Kravitz, Rosie Perez, Chris Rock, et Youn Yuh-jung. Mais attention, la liste ne s’arrête pas là, et devrait s’agrandir dans les jours à venir, d’après l’agence AP.

Cette année, la production a choisi trois présentatrices pour lancer la soirée. Regina Hall, Amy Schumer et Wanda Sykes seront en effet chargées d’animer la remise de prix, qui aurait lieu, comme d’habitude, au Dolby Theatre de Los Angeles.

Le film de Jane Campion The Power of the Dog part favori, avec 12 nominations, suivi de près par Dune, de Denis Villeneuve, qui concourt pour 10 statuettes. La cérémonie sera diffusée en direct aux Etats-Unis sur la chaîne ABC, et en France sur Canal Plus, le 27 mars prochain.

Mick Jagger produit un documentaire en quatre parties sur James Brown

Mick Jagger produit actuellement un documentaire consacré à James Brown pour A & E Network. Baptisé James Brown : Say It Loud, ce programme en quatre parties sera diffusé courant 2023 comme le révèle le NME.

Dans un communiqué, le leader des Rolling Stones s’est dit ravi de participer à ce projet qui reviendra sur le parcours d’une de ses plus grandes idoles. « C’était un showman brillant qui m’a inspiré dès le départ et était profondément engagé dans le mouvement des droits civiques. J’ai toujours admiré James Brown et tant appris de lui », a écrit Mick Jagger.

Pour le batteur Questlove et le rappeur Black Thought, tous deux membres fondateurs des Roots, James Brown n’a pas seulement marqué l’histoire de la musique à jamais. Il a aussi profondément influencé la culture américaine dans son ensemble.

« La vie de James Brown est une histoire cruciale faite de luttes, de rédemption et de foi en sa propre identité et nous sommes honorés d’avoir la chance de la partager », ont écrit à leur tour les deux musiciens.

Michael Douglas incarnera Benjamin Franklin, le père fondateur des Etats-Unis, dans une mini-série Apple TV+

Michael Douglas va incarner Benjamin Franklin dans une mini-série Apple TV+. En plus de camper le rôle de cette figure historique américaine incontournable, l’acteur portera la casquette de producteur exécutif pour cette série adaptée du livre de Stacy Schiff A Great Improvisation : Franklin, France, and the Birth of America.

Comme l’indique le titre de cet ouvrage qui a remporté un prix Pulitzer, la trame se concentrera sur le voyage diplomatique effectué par Benjamin Franklin en France afin d’obtenir un soutien dans la guerre d’indépendance qui opposait les colonies américaines au Royaume-Uni.

Côté écriture, le scénario a été confié à Kirk Ellis qui a notamment travaillé sur une série de 2008 produite par HBO consacrée à John Adams, le second président des États-Unis, et qui avait été largement récompensée lors des Emmy Awards comme le souligne The Hollywood Reporter.

Enfin, c’est Tim Van Patten, autre abonné des Emmy Awards a qui l’on doit certains épisodes des Sopranos et de Boardwalk Empire, qui réalisera cette série sur l’un des pères fondateurs des Etats-Unis.

Présidentielle : Eric Zemmour condamné pour contrefaçon pour son clip de campagne

Le 30 novembre dernier, Eric Zemmour avait utilisé un extrait du film Jeanne d’Arc de Luc Besson ou des bouts de reportages télé pour illustrer son clip de campagne pour la présidentielle. Cela avait créé une vive controverse chez les ayants-droit, qui avaient déposé une plainte pour "contrefaçon de droits d'auteur".

Selon l'AFP, Eric Zemmour et son parti Reconquête ont finalement été condamnés à verser un total de 70 000 euros aux plaignants après l'utilisation non autorisée d'images de films dans son clip. Il s'agit des sociétés Gaumont et EuropaCorp, les réalisateurs Luc Besson et François Ozon ou la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD).

L'équipe du candidat à l'élection présidentielle avait notamment utilisé des extraits des films Jeanne d’Arc de Luc Besson, Un singe en hiver de Henri Verneuil, Dans la maison de François Ozon, Le quai des brumes de Marcel Carné et du documentaire Louis Pasteur, portrait d’un visionnaire.

Eric Zemmour a fait appel de cette décision.

04 mars 2022

Steven Spielberg ressuscitera Bullitt

West Side Story, sorti en décembre dernier, a été un échec cuisant pour Steven Spielberg, récoltant seulement 72 millions de dollars à l'international pour un budget de 100 millions. Pour se consoler, le papa de E.T. tourne en ce moment The Fabelmans, un long-métrage basé sur son adolescence en Arizona.

Après ce projet très personnel, Deadline révèle que le cinéaste serait sur le point de ressusciter une légende hollywoodienne : Bullitt !

Campé par Steve McQueen dans le film culte de 1968, ce personnage de super-flic a marqué les esprits. On se souvient tous de la mythique séquence de course-poursuite dans San Francisco, d'une durée de 10 minutes, qui a époustouflé les spectateurs de l'époque. Encore aujourd'hui, elle reste un sommet du genre.

L'histoire suivait donc Frank Bullitt, un lieutenant de police réputé nerveux. Il est chargé par un politicien ambitieux de protéger Johnny Ross, un gangster dont le témoignage est capital dans un procès où est impliqué l'homme politique.

Malgré les précautions prises par Bullitt et ses hommes, Ross est grièvement blessé, puis achevé sur son lit d'hôpital. Bullitt s'aperçoit alors que la victime n'était pas le vrai Ross.

Spielberg souhaiterait donc ramener à la vie ce super-flic pour l'embarquer dans une toute nouvelle histoire inédite. Il ne s'agirait donc pas d'un remake à proprement parler, comme il a pu le faire avec West Side Story.

Après une comédie musicale et son film autobiographique, voir Spielberg revenir dans le long-métrage d'action est une idée plutôt excitante sur le papier. Le réalisateur de Jurassic Park devrait signer cette oeuvre sous la houlette de Warners Bros. avec Josh Singer au scénario.

Ce dernier a déjà collaboré avec Spielby sur Pentagon Papers. C'est également lui derrière le script de l'oscarisé Spotlight. À noter que le fils de Steve McQueen, Chad, et sa petite-fille, Molly, seront producteurs de cette oeuvre.

Selon Deadline, Spielberg voulait mettre en scène ce film avant The Fabelmans, mais les négociations pour les droits du personnage de Bullitt ont pris plus de temps que prévu. Il devrait donc s'attaquer à cette icône hollywoodienne après le tournage de son film biographique avec Paul Dano et Michelle Williams.

Les amateurs de thrillers noirs, de courses-poursuites et de flics taciturnes seront donc aux anges en apprenant cette nouvelle ! Spielberg va-t-il aller jusqu'à dépoussiérer la mythique Ford Mustang de Bullitt ? Ce bolide légendaire est devenu un véritable phénomène après la sortie du long-métrage en 68, alimentant les fantasmes de tous les fans de voitures puissantes.

Il faudra vraiment s'armer de patience avant d'en savoir plus, le projet étant encore au stade embryonnaire.

Gorge profonde : la sordide histoire du tournage révélée dans un documentaire gratuit

Ecrit en un week-end, tourné en six jours pour 25000 dollars dont 1200 pour son interprète principale, Gorge profonde (Deepthroat en anglais) est un film pornographique devenu un véritable phénomène de société. Sa sortie en pleine révolution sexuelle a fait de ce film d'une heure destiné à un public limité un succès grand public.

Le documentaire Gorge profonde : quand le porno est sorti du ghetto, disponible gratuitement sur le site d'Arte et sur Youtube, revient en détail sur la façon dont l'interdiction du film lui a finalement permis de rassembler plus de public qu'il n'aurait jamais pu l'espérer. Malgré tout, Gorge profonde est tristement célèbre pour une autre raison, car l'actrice principale du film, Linda Lovelace, a été contrainte à faire le film contre sa volonté.

Pour rappel, Gorge profonde possède un scénario complètement farfelu : une femme découvre que son clitoris se trouve au fond de sa gorge. Cependant, à l'époque de sa sortie (1972), parler du clitoris comme source du plaisir féminin est loin d'être une évidence, et par sa grande popularité, Gorge profonde permet de lancer des conversations à ce propos.

Linda Lovelace est immédiatement propulsée star de ce nouveau genre cinématographique (les films pornographiques sortent alors au cinéma) et ne tarde pas à tourner Deep Throat Part II (1974) puis Linda Lovelace for President (1975). Après cette dernière expérience, elle met fin à sa carrière et son histoire aurait pu s'arrêter là.

Sauf qu'en 1980, à la stupéfaction générale, Lovelace révèle dans son autobiographie intitulée Ordeal (Supplice) que durant son mariage avec Chuck Traynor, qui était également son manager, elle était victime de violences, de viols, prostituée et forcée à tourner des films pornographiques, dont Gorge profonde.

Des années plus tard, le réalisateur de ce dernier, Gerard Damiano, a déclaré qu'il n'avait rien constaté de tel sur le plateau de son film et que Lovelace, engagée dans le mouvement féminin antipornographie, était peut-être manipulée à écrire cela.

Quant à Traynor, il a nié ces allégations mais est cité dans le livre de Gloria Steinem (amie de Lovelace) Outrageous Acts and Everyday Rebellions comme étant le "créateur" de Linda Lovelace, et que lorsqu'il l'a connu, celle qui s'appelait encore Linda Boreman était "très timide" et "choquée d'être vue nue par un homme".

Le documentaire Inside Deep Throat sorti en France en 2005 donnera raison à Lovelace, avec notamment le témoignage d'un technicien racontant qu'il pouvait entendre les coups reçus par la comédienne à travers les murs de l'hôtel. 

Gorge profonde : quand le porno est sorti du ghetto montre enfin Lovelace sur les plateaux de télévision en train de défendre son témoignage face à un public qui ne la croit pas et lui reproche de ne pas s'être enfuie pour contrer l'emprise de Traynor. Elle a également dû passer au détecteur de mensonges avant d'être publiée.

Pour en savoir plus, découvrez gratuitement le documentaire ci-dessous, sur le site d'Arte ou sur Youtube.

A noter que les recettes de Deepthroat contribuèrent à créer la société Bryanston Distributing, qui sortira en salles aux Etats-Unis d'autres films pornographiques, mais aussi Massacre à la tronçonneuse et La Fureur du dragon avec Bruce Lee.

Les nouveautés Netflix du 4 au 10 mars

L'incontournable de la semaine

Outlander Saison 6 : Attendue de longue date, et maintes fois repoussée en raison du Covid qui a interrompu son tournage à plusieurs reprises, la sixième saison d'Outlander débarque enfin sur nos écrans.

Adaptation des romans bestseller de Diana Gabaldon, la série suit les aventures de Claire Rendall, une infirmère basculée dans le passé en pleine guerre d'indépendance écossaise et éprise de Jamie, un guerrier des highlands.

Acquisition oblige, la série sera diffusée sur Netflix chaque lundi à raison d'un épisode par semaine. Une bonne manière pour les fans de faire durer le plaisir, d'autant que cette sixième épisode a été raccourcie à huit épisodes (contre dix pour les précédentes). Mais pas d'inquiétude, puisque la saison 7 - d'ores et déjà commandée - a, quant à elle, été rallongée pour atteindre douze épisodes !

Le vendredi 4 mars

Son vrai visage (nouveauté) : Toni Colette (Nightmare Alley) sera la tête d'affiche de cette nouvelle mini-série policière, adaptée du roman éponyme de Karin Slaughter. L'histoire raconte celle d'une jeune femme (Bella Heathcote) découvrant des aspects inattendus de la personnalité de sa mère récemment décédée. Par le biais de flashbacks, de nombreux éléments du passé vont ressurgir et dévoiler le "vrai visage" de Laura Oliver à sa fille, Andy.

Le mardi 8 mars

Guide astrologique des cœurs brisés Saison 2 : L'un des succès surprise de 2021 nous revient pour une seconde saison. Surnommée le "Bridget Jones italien", cette romcom transalpine suit l'histoire d'Alice, une assistante de production pour la télévision, larguée par son petit-ami et accessoirement collègue de travail.

Dans l'obligation de cotoyer au quotidien son ex, elle va également subir les fiançailles de celui-ci avec sa nouvelle amoureuse. Bien décidée à ne pas abandonner sa quête du grand amour, Alice va placer son destin entre les astres sur les conseils de son collègue et nouvel ami, Tio.

Le mercredi 9 mars

The Last Kingdom Saison 5 : Quelques jours après le lancement événement de Vikings: Valhalla, spin-off de la série Vikings, c'est une autre production historique populaire qui fait son retour sur Netflix. Rappelons par ailleurs que cette cinquième saison de The Last Kingdom sera la dernière !

Le Journal d'Andy Warhol (mini-série) : La vie et la carrière de l'artiste pop Andy Warhol racontée dans une série documentaire de six épisodes. Narré par Rob Lowe, ce programme retrace l'histoire du natif de Pittsburgh, au travers de nombreuses images d'archives, mais également via l'intervention d'artistes l'ayant cotoyé ou ayant été influencés par son travail.

A noter que la mini-série est produite par Ryan Murphy, qui avait mis en scène Andy Warhol sous les traits d'Evan Peters dans la septième saison de sa série horrifique American Horror Story.

Le jeudi 10 mars

Kotaro en solo (nouveauté) : Pépite d'animation japonaise du mois, cette adaptation du manga éponyme de Mami Tsumura (inédit en France), Kotaro en solo suit les aventures d'un garçon de quatre ans, bien décidé à prendre son indépendance vis à vis de ses parents en emménageant tout seul dans un immeuble. Sa personnalité haute en couleur et sa détermination vont très vite l'amener à jouer un rôle dans la vie plus morose de ses voisins de palier.

Déjà disponible

Quai d'Orsay : l'une des meilleures comédies politiques de ces récentes années, réalisée par l'un des plus grands cinéastes français (Bertrand Tavernier) et scénarisée par le réalisateur (Antonin Baudry) du plus grand film d'action français de la décennie (Le Chant du Loup), ça vous parle ?

Vrai-faux portrait de l'ancien Ministre des affaires étrangères Dominique de Villepin, Quai d'Orsay nous offre une plongée plus vraie que nature dans les coulisses du pouvoir. Dans le rôle de l'homme politique, Thierry Lhermitte est impérial, face à un Raphaël Personnaz tout en nuances et un excellent Niels Arestrup (récompensé pour sa performance par le César du Meilleur second rôle masculin).

Nouveautés Prime Video du 4 au 10 mars

Vendredi 4 mars :

Lucy and Desi – Amazon Original

The Boys : Diabolical – Saison 1 – Amazon Original

Star Trek : Picard – Saison 2 – Amazon Original

Power Rangers

Lundi 7 mars :

Lucy

Mardi 8 mars :

Blanche Neige

Sherlock – Saisons 1 à 4