14 février 2022

DC Comics dévoile des images de Dwayne Johnson en Black Adam, Aquaman 2, The Batman et The Flash pour le Super Bowl

Soirée électrique pour Dwayne Johnson. Non content de lancer le SuperBowl LVI depuis le terrain du SoFi Stadium de Los Angeles au milieu des joueurs des Rams et des Bengals, le comédien (et ancien catcheur et footballeur américain) a également dévoilé son visage en Black Adam dans de nouvelles images du film DC Comics, quelques mois après un teaser mystérieux dans lequel il "gardait la capuche".

Intégrées à un montage promotionnel "The World Needs Heroes" regroupant les quatre sorties cinéma 2022 estampillées DC, ces quelques séquences présentent également ses partenaires de jeu, de Pierce Brosnan aux super-héros Atom Smasher, Cyclone et Hawkman. Réalisé par Jaume Collet-Serra (Jungle Cruise), le film est attendu le 27 juillet sur les écrans.

La vidéo propose également des images de The Batman, sans doute LE film DC le plus attendu cette année qui débarque sur nos écrans le 2 mars, de The Flash porté par Ezra Miller, à voir le 2 novembre 2022, et deux plans de Jason Momoa et son nouveau costume noir dans Aquaman and the Lost Kingdom, qui déferlera dans les salles obscures au mois de décembre. Alors, "Are you in" ? 

Mort du réalisateur Ivan Reitman


"Notre famille pleure la perte inattendue d'un mari, d'un père et d'un grand-père qui nous a appris à toujours rechercher la magie dans la vie." C'est par ce communiqué, relayé par Variety, que Jason Reitman, réalisateur du récent SOS Fantômes : l'héritage et sa famille ont annoncé la disparition à l'âge de 75 ans du cinéaste Ivan Reitman, célèbre pour avoir donné vie aux chasseurs de spectres de Ghostbusters.

Décédé dans son sommeil, ce spécialiste de la comédie, auteur de grands succès familiaux, aura "apporté rire et bonheur à d'innombrables personnes dans le monde".

Né en Tchécoslovaquie après la Seconde Guerre mondiale, Ivan Reitman débarque au Canada à l'âge de 4 ans avec sa famille. Pendant ses études, il réalise et produit plusieurs courts-métrages, avant de fonder une société de distribution spécialisée dans le cinéma non commercial.

Il entre peu de temps après à la télévision en tant que producteur. C'est là qu'il fait la connaissance de Dan Aykroyd, qui sera à l'affiche de certains de ses films, à qui il confie la présentation d'une émission, Greed. C'est également grâce à la télévision qu'il fera la rencontre de deux acteurs qui collaboreront avec lui par la suite, Bill Murray et John Belushi. Les trois participent à la création de la série satirique The National Lampoon Show.

Après ce début de carrière dédié au petit écran, Ivan Reitman se lance dans la réalisation de son premier long-métrage en 1971, Foxy Lady, qu'il produit également. Accumulant les fonctions de producteur et de réalisateur, il ne rencontre son premier succès qu'en tant que producteur avec American College, réalisé en 1977 par John Landis.

Son premier grand succès derrière la caméra intervient en 1984, avec S.O.S. Fantômes. Il y dirige Bill Murray, qui devient une star avec ce rôle, Dan Aykroyd, Sigourney Weaver, Ernie Hudson, Harold Ramis et Rick Moranis.

Spécialiste de la comédie, il donne son premier contre-emploi à Arnold Schwarzenegger avec Jumeaux, film dans lequel l'ancien Monsieur muscle joue le rôle du jumeau de Danny DeVito. Le tandem Arnold Schwarzenegger-Ivan Reitman se reformera à deux reprises avec Un flic à la maternelle et Junior.

En 1989, cinq ans après le premier volet, l'équipe de S.O.S. Fantômes se réunit pour une suite qui connaitra également un vif succès. Tout comme Président d'un jour avec Kevin Kline et Sigourney Weaver.

Bien que ses derniers films aient moins bien marché, notamment Six jours sept nuits, malgré la présence de Harrison Ford, il continue de creuser le sillon de la comédie avec le décalé Evolution, Ma super ex, emmené par Uma Thurman, ou la romcom Sex Friends.

Egalement producteur, il avait produit In the Air de son fils Jason Reitman, qui lui avait valu une nomination à l'Oscar, ainsi que les récents Baywatch, Space Jam : Nouvelle Ère ou S.O.S. fantômes: L'héritage.

Il préparait le film Les Triplés, la suite de Jumeaux emmenée par Arnold Schwarzenegger, Danny DeVito et Eddie Murphy.

Le Seigneur des Anneaux : une première bande-annonce pour la série Amazon

Durant la mi-temps de la finale du championnat de fooball américain qui a vu les Los Angeles Rams triompher des Cincinnati Bengals, plusieurs bandes-annonces événement ont été dévoilées au public, dont celle très attendue de la série Le Seigneur des Anneaux.

Attendu pour le 2 septembre prochain sur Amazon Prime Video, ce prequel directement inspiré des écrits de J.R.R. Tolkien s’intitule Les Anneaux de Pouvoir ; se déroulant plusieurs millénaires avant l’intrigue des trilogies signées Peter Jackson, la série retrace la création des célèbres anneaux magiques par le sorcier Sauron.

Immortalité des elfes oblige, plusieurs personnages du Seigneur des Anneaux apparaîtront dans le programme : c’est notamment le cas de la reine Galadriel (la suédoise Morfydd Clark succède à Cate Blanchett dans le rôle) ou d’Elrond (auparavant interprété par Hugo Weaving et désormais incarné par Robert Aramayo, le Ned Stark jeune de Game of Thrones).

Tournée pour un budget d’environ 500 millions de dollars, la série Les Anneaux de Pouvoir proposera ainsi des batailles épiques implaces hommes, elfes, nains et autres créatures de la Terre du Milieu, tandis que le tournage a semble-t-il pu s’effectuer en grande partie dans les décors naturels de la Nouvelle-Zélande, là même où Peter Jackson avait tourné ses trilogies du Seigneur des Anneaux et de Bilbo le Hobbit.

Considérée comme l’une des séries les plus attendues de l’année, Le Seigneur des Anneaux : Les Anneaux de Pouvoir sera diffusée en exclusivité sur Amazon Prime Video dès le 2 septembre prochain.

13 février 2022

Flavie Flament “inspirante” : les mots touchants de son fils aîné, Antoine

À l’occasion du vingtième anniversaire de Stars à domicile, l’émission culte de TF1 fera son grand retour sur nos écrans le vendredi 18 février prochain. L’animatrice iconique du programme, Flavie Flament, reprendra son rôle dix-ans huit ans après la fin du premier chapitre. Ce samedi 12 février, elle était interviewée dans 50’ inside sur TF1. Filmée dans les coulisses du show, la présentatrice de 47 ans, hantée par le souvenir de Jean-Luc Delarue, s’est confiée sur son retour à l’antenne de la première chaîne, après s’être surtout consacrée à la radio ces dernières années. Alors qu’elle apparait en plein shooting photo officiel de l’émission, on apprend que le photographe n’est autre que… son fils, Antoine, né de son premier mariage avec le réalisateur Bernard Flament et le grand frère d'Enzo. Le jeune homme de 26 ans a livré des mots touchants sur sa mère face à la caméra.

"Mon regard est un peu biaisé puisque c’est ma mère aussi. Donc j’ai un regard d’enfant et, maintenant que je bosse, un regard un peu plus professionnel, et pour moi, c’est un modèle", a assuré Antoine avec fierté. "Elle est inspirante, elle a un truc, j’ai mis du temps avant de le comprendre. En grandissant, je me suis rendu compte qu’elle arrivait à être proche des gens, proche de ses équipes aussi. Je pense que les gens l’aiment et qu’elle aime les gens aussi. Elle le rend bien", a-t-il conclu. De son côté, Flavie Flament, qui est également revenu sur le viol qu'elle a subi, a déclaré : "C’est un vrai plaisir de travailler avec lui. Sur les photos prises par Antoine, je m’y retrouve."

Jennifer Lopez a été très impressionnée par sa première rencontre avec Barbra Streisand

Jennifer Lopez se souvient très bien du jour où elle a rencontré Barbra Streisand qui, de son propre aveu, est l’une de ses plus grandes idoles. C’était au début des années 2000, lors d’une soirée organisée par l’agent Ed Limato en marge des Oscars.

« Ed avait l’habitude d’organiser une grosse fête chaque année la veille des Oscars, où tout le monde allait. C’était en 2002 ou 2003. J’y suis allée avec Ben (Affleck) et j’ai rencontré Barbra Streisand pour la première fois. Elle est venue me voir et je me suis dit, "Oh mon Dieu, je suis une si grande fan". Et elle m’a dit, "Commet tu fais ça ?" Et j’ai rétorqué, "Comment je fais quoi ?" Et elle a répondu, "Pour être si célèbre ?" », a raconté la pop star à Rolling Stone.

Une question qui n’a pas manqué de troubler Jennifer Lopez, au même titre que l’intérêt démesuré que portait Barbra Streisand pour le diamant que Ben Affleck lui avait offert pour leurs fiançailles. « Elle était obsédée par les diamants », a-t-elle poursuivi.

Enfin, Barbra Streisand s’est sentie suffisamment en confiance avec sa cadette pour lui confier qu’elle n’avait jamais été à l’aise avec la célérité et qu’elle continuait à avoir un trac monstrueux en montant sur scène. « Elle me disait toutes ces choses. J’étais vraiment surprise. Je ne l’avais jamais imaginée comme ça, c’est resté en moi », a conclu Jennifer Lopez.

Blur pourrait se reformer n'importe quand d'après Graham Coxon

Une reformation de Blur est-elle d’actualité ? Tout est possible ! C’est en tout cas la position du guitariste Graham Coxon qui estime que le groupe de légende n’a pas forcément dit son dernier mot.

« Je pense que Blur sera toujours capable (de se réunir), et quand ce sera le bon moment et que les étoiles seront alignées, nous serons toujours en mesure de faire quelque chose d’intéressant », a-t-il affirmé lors d’un passage dans le podcast Rockonteurs.

Depuis leur séparation en 2003, le groupe mené par Damon Albarn s’est retrouvé à diverses occasions, comme en 2009 lors du festival de Glastonbury. Un souvenir qui reste impérissable pour Graham Coxon.

« C’était bien parce je jouais (les chansons) d’une manière complètement différente. Je suis devenu d’autant plus reconnaissant pour tout ce qu’on avait eu », a poursuivi le musicien, assurant qu’il n’y avait aucun ressentiment entre les membres du groupe.

Récemment, Jesus Jones a appelé Blur à se reformer pour rendre hommage à Andy Ross, le producteur qui les avait signés et qui s’est éteint à l’âge de 66 ans il y a quelques semaines. Alors, qui sait, peut-être que le retour de Blur pourrait survenir bien plus tôt qu’on pourrait le croire.

Inventing Anna sur Netflix : qui est Anna Delvey, la croqueuse de diamants qui a inspiré la série ?

Accro au luxe et experte en mensonges, Anna Sorokin a dupé son monde. Née en Russie et issue d’une famille de classe moyenne, elle s’est immiscée au cœur de la bourgeoisie new-yorkaise grâce à son alter ego : Anna Delvey. Un personnage inventé de toutes pièces avec sa propre histoire et son propre passé.

Durant quatre ans, de 2013 à 2017, la jeune femme a toujours joué le jeu à la perfection, comme une actrice professionnelle qui confectionne son rôle. À la seule différence qu’il est question ici d’escroquerie et d’une importante somme d’argent volée. Histoire croustillante pour le public mais dramatique pour les victimes, l’affaire fait l’objet d’une série Netflix, Inventing Anna.

Si cette adaptation prend quelques libertés avec la réalité, une grande partie des événements racontés se sont réellement produits. Elle se présente comme une riche héritière allemande, fille d’un important homme d’affaires, pourtant il n’en est rien. Le père d’Anna Sorokin est un chauffeur routier et sa mère une femme au foyer.

Lorsque ses parents quittent la Russie pour l’Allemagne, la jeune fille commence à rêver. Ambitieuse, intelligente et sûre d’elle, elle aspire à un destin exceptionnel. Tout commence en 2013, avec un stage décroché au magazine Purple, à Paris. Elle a alors 22 ans. Installée dans la capitale, Anna Sorokin fréquente une autre sphère, plus branchée. C’est à ce moment qu’elle décide de changer son nom en Delvey, pour effacer ce qu’il reste de ses origines.

À l’aise dans sa nouvelle vie, elle affirme être bien plus qu’une stagiaire et se fait un nom. Les rencontres s’enchaînent et son charisme lui permet de se créer un véritable réseau. En l’espace de deux ans, Anna Delvey - ou Sorokin, au choix - devient une star dans une microsociété huppée. Elle voyage, se fait payer des chambres d’hôtel et promet de rembourser ceux qui mettent la main au porte-monnaie. Une promesse qu’elle ne tiendra jamais.

En 2015, elle s’installe à New York et va encore plus loin. Elle fait des chèques en blanc, continue d’arnaquer ses amis et annonce même un projet ambitieux, la Anna Delvey Foundation. Entre galerie d’art et boîte de nuit, cet établissement est pensé pour devenir le nouveau lieu incontournable des soirées de Manhattan. Pour cela, elle tente d'obtenir des prêts de 20 millions de dollars. Les investisseurs sont réticents et ne mordent pas à l’hameçon. Le navire Sorokin commence à tanguer.

Les mois passent et les dépenses exorbitantes de la prétendue jet-setteuse éveillent les soupçons. Un voyage à Marrakech va tout changer. Alors qu’elle visite la ville marocaine avec l’une de ses amies, Rachel DeLoache Williams, iconographe au magazine Vanity Fair, Anna Delvey fait ses valises avant de régler la note. La facture s’élève à 62 000 dollars. C’est à sa “meilleure amie” de passer à la caisse.

Les autorités mettent la main sur l’arnaqueuse, tandis que des hôtels et des restaurants portent plainte. Au total, la somme de son butin s’élève à 275 000 dollars. Elle est arrêtée et envoyée à la prison de Rikers Island. En avril 2019, elle est condamnée pour vol aggravé et encourt une peine de quatre à douze ans de prison.

Grantchester sur France 3 : une saison 6 qui va "changer la donne" selon la créatrice

Will Davenport et Geordie Keating reprennent du service dans la saison 6 de Grantchester qui débarque ce dimanche 13 février à partir de 21h10 sur France 3.

Dans cette nouvelle salve d’épisodes, le duo improbable, campé par Tom Brittney et Robson Green, va de nouveau devoir travailler ensemble pour résoudre différentes affaires dont un meurtre survenu alors que tout le monde était en vacances.

Cette saison 6 va, selon Daisy Coulam, la créatrice de la série, “changer la donne” pour de nombreux personnages, notamment Leonard (Al Weaver). Il va en effet se retrouver au milieu d’un potentiel scandale quand une personne va menacer de révéler son homosexualité, qui était considéré comme un crime en Angeterre jusqu’en 1967.

L’arrivée de Johnny, un ancien ami de l’armée de Geordie devenu aujourd’hui un avocat défendant les criminels, va mettre à mal son amitié avec Will.

L’inspecteur de police va s’engager dans une voie sombre. Will va alors tenter de son mieux pour qu’il ne se fasse pas consumer par cette noirceur. Une nouvelle femme va également faire son arrivée dans la série et elle va attirer l’attention de Will.

Du côté du casting, cette saison 6 de Grantchester verra le retour de Robson Green et Tom Brittney dans la peau de Geordie Keating et Will Davenport, mais aussi de Tessa Peake-Jones (Mrs. Chapman), Al Weaver (Leonard Finch), Kacey Ainsworth (Cathy Keating), Oliver Dimsdale (Daniel Marlowe), Nick Brimble (Jack Chapman) et Bradley Hall (Larry Peters). Melissa Johns, une actrice vue dans Life et Coronation Street, va rejoindre la distribution pour cette saison 6 dans la peau de Miss Scott.

12 février 2022

Jennifer Lopez estime avoir « survécu » dans l’industrie du divertissement grâce à son éducation

Jennifer Lopez n’aurait jamais eu les épaules pour affronter l’industrie musicale si sa mère, Guadalupe Rodríguez, ne l’avait pas éduquée à la dure. « Écoutez, ma mère était aussi une mère fun. Ma mère a aussi été la mère qui m’a fait aimer les comédies musicales et m’a initiée à tous les styles de musique. Je suis une show girl grâce à ma mère », a expliqué la star de 52 ans à Rolling Stone.

« Mais je suis aussi capable de survivre aux choses auxquelles j’ai survécu dans ce business parce que ma mère était dure. Je ne pense pas qu’elle était en mesure de se rendre compte de ce à quoi elle me préparait, mais elle l’a fait », assure JLo.

Quoi qu’il en soit, Jennifer Lopez s’est toujours vue comme une outsider pour avoir connu le succès après avoir grandi dans une famille populaire du Bronx.

« J’ai toujours eu l’impression que je partais de tout en bas. Toujours. J’ai toujours eu l’impression que j’étais celle qui n’était pas censée se trouver dans la pièce du simple fait d’être portoricaine, du Bronx et qui plus est une femme. Vous voyez ce que je veux dire ? Toutes ces choses. Ne pas être née dans une famille avec de l’argent. Connaître personne dans ce business. Je suis juste arrivée en disant, "Merde, je vais juste essayer. Je vais essayer de faire ma place" », a-t-elle continué.

Gigi Hadid rne voulait pas dire que Rihanna attend des jumeaux


Non, Gigi Hadid n’a jamais sous-entendu que Rihanna attendait des jumeaux. En effet, la pop star a annoncé il y a peu qu’elle attendait son premier enfant avec A$AP Rocky, exhibant un ventre bien rond sur Instagram.

Gigi Hadid s’était alors empressée de féliciter le couple, écrivant « trois anges » en commentaire de la publication. Et de nombreux internautes ont alors supposé que Gigi Hadid entendait par là que Rihanna attendait des jumeaux. Mais il n’en est rien.

« Je viens d’avoir vent de ce remue-ménage. Je voulais dire, rih/rocky/bébé lol », a rapidement corrigé Gigi Hadid.