30 mars 2021

Lindsay Lohan vend aux enchères son nouveau single sous forme de NFT

Si vous étiez encore perplexes face à l’explosion des cours des cryptomonnaies et plus récemment des jetons non fongibles, les NFT, sachez en tout cas que Lindsay Lohan s’est lancée à corps perdu dans ce business clivant. Pour le prouver, la star propose son nouveau single, Lullaby, sous forme de NFT, aux enchères. Pour l’instant, et alors qu’il reste encore un peu plus de deux jours pour enchérir, il faudra débourser plus de 500.000 « Tron », la cryptomonnaie créée par l’entrepreneur Justin Sun (qui avait lancé les hostilités en déboursant 300.000 « Tron » le week-end dernier), soit environ 33.000 dollars.

« Cela fait maintenant longtemps que j’enregistre de la musique. Je ressens une certaine sérénité lorsque je vais en studio et c’est une sorte de solitude. Une zone de confort. Cette chanson signifie vraiment quelque chose pour moi parce que nous grandissons tous avec des berceuses et je voulais en créer une moi-même. Ma voix à vos oreilles… Lullaby », avait annoncé l’actrice de Mean Girls dans un communiqué pour expliquer son incursion dans le monde de la finance digitale.

Lindsay Lohan, qui n’est pas forcément connue pour son sens des affaires (son « beach club » de Mykonos, où elle tournait une émission de télé-réalité pour MTV, a été fermé il y a deux ans alors que la série a été annulée à l’issue de sa première saison), a récemment été interviewée par le très sérieux magazine Forbes, dans lequel elle déclare tout son amour pour les cryptomonnaies, qui représentent selon elle l’avenir. « Ce n’est qu’une question de temps avant que tout le monde à Hollywood et au-delà s’implique. Peut-être verrons-nous la tokenisation des films, et de la façon dont les artistes sont payés pour leurs films, leur musique et leur art. Je vois un avenir où les crypto, les NFT et la blockchain seront la norme, plutôt que l’exception », a-t-elle expliqué.

Une analyse qui se défend notamment à cause des faibles montants que les plateformes de streaming reversent aux artistes. Comme le révélait l’artiste canadien Pierre Lapointe au gala de l’Adisq en 2019, « pour un million d’écoutes de ma chanson Je déteste ma vie (dont j’ai écrit les paroles et la musique) sur l’application Spotify, j’ai touché 500 dollars ».

Bande-annonce d'Un homme en colère avec Jason Statham dans un remake du Convoyeur

Après s'être aventuré du côté des Disney Live avec Aladdin, Guy Ritchie est revenu à ses premières amours en signant The Gentlemen. Ce retour aux sources se poursuit aujourd'hui puisqu'il renoue avec l'un de ses acteurs fétiches, Jason Statham, qu'il n'avait pas dirigé depuis Revolver en 2005. Et ces retrouvailles se font autour du remake du Convoyeur de Nicolas Boukhrief, intitulé Un homme en colère.

Sorti en avril 2004 sur nos écrans, Le Convoyeur a très vite tapé dans l'œil des Américains puisqu'un remake avait été annoncé quelques mois plus tard. Mais les choses ont traîné, le projet passant notamment entre les mains de F. Gary Gray puis Josef Wladyka (Narcos). Dans la version de ce dernier, le personnage principal, initialement joué par Albert Dupontel, devait être une femme incarnée par Sandra Bullock.

C'est finalement Jason Statham qui interprète le mystérieux H, convoyeur de fond fraichement engagé qui surprend ses collègues par l’incroyable précision de ses tirs de riposte alors qu’ils subissent les assauts de braqueurs expérimentés. Car si l'original prenait des allures de polar avec un fond social, Guy Ritchie a visiblement opté pour une histoire de vengeance qui s'annonce particulièrement musclée au vu des images dévoilées.

Également porté par Josh Hartnett, Scott Eastwood ou Holt McCallany, Un homme en colère est censé sortir sur nos écrans le 12 mai. Sous réserve, bien évidemment, de la réouverture des salles.

 

Qui a tué Sara ? sur Netflix : une date pour la saison 2 du thriller mexicain

Nouvelle série à suspense qui cartonne sur Netflix, Qui a tué Sara ? est une création originale mexicaine disponible depuis le 24 mars. Ce thriller composé de 10 épisodes raconte la vengeance d’Alejandro "Alex" Guzman (Manolo Cardona) à sa sortie de prison après 18 ans passés derrière les barreaux pour le meurtre de sa soeur Sara (Ximena Lamadrid), qu’il n’a pas commis.

Malgré des moyens conséquents et un sens aigu de l’enquête, Alex va voir son désir de justice mis à mal puisqu’il se frotte à la riche et puissante famille Lazcano, dont l’aîné Rodolfo (Alejandro Nones) était l’ancien petit-ami de Sara.

D’épisode en épisode, les rebondissements s’enchaînent et les secrets se dévoilent jusqu’à un climax étonnant qui redistribue toutes les cartes de cette investigation musclée signée par le créateur chilien José Ignacio Valenzuela, un expert des soap operas.

Le dernier chapitre de Qui a tué Sara ? s’achevait avec un teaser annonçant une deuxième saison, déjà tournée selon la version mexicaine de GQ. Face au succès de la série sur la plateforme, Netflix a annoncé que la saison 2 du thriller mexicain sera disponible le 19 mai prochain via Twitter.

Par ailleurs, Variety annonce l'arrivée de trois nouveaux acteurs au casting : Matías Novoa, Daniel Giménez Cacho et Antonio de la Vega. Les fans n’auront donc pas beaucoup de temps à attendre avant de découvrir la vérité sur la disparition de Sara.

Thor 4 : un rôle secret pour Russell Crowe

Un nouveau nom au casting de Thor - Love and Thunder ! Et pas des moindres, car c'est Russell Crowe qui rejoint la distribution du film Marvel réalisé par son compatriote néo-zélandais Taika Waititi et qui se tourne actuellement en Australie.

L'acteur oscarisé pour sa prestation dans Gladiator avait d'ailleurs été aperçu en compagnie de Taika Waititi, Chris Hemsworth ou Natalie Portman à un match de rugby, et c'est Deadline qui confirme ce que beaucoup ont alors pensé.

Sans préciser son rôle, tenu secret, même s'il devrait s'agir d'un caméo amusant (comme celui de Matt Damon, qui sera de retour après son apparition en Loki de théâtre dans l'opus précédent) que la production espère garder secret.

Attendu à partir du 4 mai 2022 dans nos salles, Thor - Love and Thunder marquera la seconde incursion de l'acteur chez les super-héros, neuf ans après sa participation à Man of Steel, du côté de DC, où il incarnait Jor-El, le père de Superman. On le retrouve d'ailleurs dans le nouveau montage de Justice League lorsqu'un extrait de dialogue issu du film sorti en 2013 se fait entendre.

Reste maintenant à savoir quel sera le rôle de Russell Crowe. Et s'il croisera Christian Bale, son partenaire de 3h10 pour Yuma, qui sera quant à lui le méchant de l'histoire : le terrible Gorr, également appelé Le Massacreur de Dieux.

Cosmocats : le réalisateur Adam Wingard prépare l'adaptation ciné de la série culte

Adam Wingard n'en a pas fini avec les animaux qui se bagarrent ! Après Godzilla vs Kong, attendu pour le 19 mai, le cinéaste va réaliser une adaptation de Cosmocats, sous la houlette de Warner Bros.

Pour rappel, Cosmocats est une série d'animation en 130 épisodes diffusés entre 1985 et 1989. Elle suit une équipe de félins humanoïdes menée par le jeune seigneur Starlion. Ils s'échappent de leur planète, Thundéra, avant qu'elle n'explose.

Celle-ci a été détruite par les mutants de PlunnDarr, qui pourchassent les derniers survivants. Les Cosmocats vont, au terme d'un très long voyage à travers l'Espace, atterrir en catastrophe sur une planète étrange : la troisième Terre.

Adam Wingard souhaite réaliser le film en CGI et compte bien "repousser les limites de ce qui a été fait en matière d'images de synthèse." Il a aussi tenu à rassurer les fans, confirmant qu'il entendait respecter l'univers et l'esthétique de la série.

"Ça ne ressemblera pas à l'adaptation de la comédie musicale Cats. Cosmocats est un projet dont j'ai toujours rêvé", a-t-il confié à Deadline.

Réussira-t-il à remettre au goût du jour une série qui semble être tombée dans l'oubli ? En plus de ce projet, Wingard travaille également sur un remake de Volte/Face.

Black Widow : nouvelle date de sortie française pour le film Marvel avec Scarlett Johansson

Ce n'est pas franchement une surprise : depuis les débuts du Marvel Cinematic Universe, et à l'instar de la grande majorité des blockbusters, chaque opus sort sur nos écrans avant de débarquer dans les salles américaines.

Et Black Widow ne fera pas exception puisque le film porté par Scarlett Johansson, récemment repoussé de deux mois, doit désormais sortir le 7 juillet en France et deux jours plus tard aux États-Unis.

Premier long métrage de la Phase IV du Marvel Cinematic Universe, récemment lancée sur petit écran avec la série WandaVision puis Falcon et le Soldat de l'Hiver, Black Widow remontera quelque peu le temps. Réalisé par Cate Shortland, le long métrage se déroulera en effet entre les événements de Civil War et Infinity War. Et il nous présentera notamment la famille de l'héroïne.

Attendu le même jour dans les salles américaines et sur Disney+ outre-Atlantique (moyennenant un supplément en plus de l'abonnement), Black Widow est pour l'instant exclusivement réservé aux cinémas en France, où il ne pourra pas procéder de la même façon, chronologie des médias oblige. Mais l'évolution de la situation sanitaire dans l'Hexagone, et son impact sur la culture, pourrait changer la donne.

En attendant, et dans le même temps, la branche française de Disney a également communiqué la nouvelle date de Shang-Chi and the Legend of the Ten Rings, premier film Marvel porté par un super-héros d'origine asiatique. Initialement attendu au mois de juillet, le long métrage a cédé la place à Black Widow. Et il sortira désormais le 1er septembre. Ce qui signifie que nous devrions voir quatre opus du MCU en 2021 :

Black Widow : 7 juillet

Shang-Chi and the Legend of the Ten Rings : 1er septembre

Eternals : 3 novembre

Spider-Man - No Way Home : 15 décembre

29 mars 2021

Harvey Weinstein de nouveau ciblé par des accusations de tentative viol et d'agression sexuelle

Nouvelle accusation de tentative de viol et d’agression sexuelle contre Harvey Weinstein. Le producteur déchu, qui purge actuellement une peine de 23 ans de prison après avoir été reconnu coupable de viol et agression à Manhattan, est accusé par une actrice du nom de Hayley Gripp. D’après sa plainte, déposée devant la cour supérieure de Los Angeles et relayée par NBC News, elle affirme avoir été victime des agissements de celui qui était alors patron de Miramax, en 2012, lorsqu’elle n’avait que 19 ans.

Les faits présumés se seraient déroulés à l’hôtel Beverly Hilton. Alors qu’elle attendait une audition, une « associée » d’Harvey Weinstein l’aurait abordée pour lui proposer de rencontrer un producteur important. Le producteur en question était Weinstein lui-même, sauf qu’il s’est fait passer pour « Dom ». Après avoir bu un verre de vin, l’actrice affirme avoir brièvement perdu connaissance, et c’est lors de son réveil qu’elle s’est aperçue de ce qu’il se passait.

D’après sa plainte, Hayley Gripp a été confrontée à un Harvey Weinstein surexcité, qui lui touchait les parties génitales et l’avait plaquée contre une table basse. En se débattant pour lui échapper, elle aurait cassé un de ses faux ongles en acrylique, dont elle se serait ensuite servie pour blesser le producteur au scrotum. Laissant le producteur ensanglanté au niveau de ses parties intimes, Hayley Gripp aurait alors réussi à s’échapper. Si elle avait jusqu’ici choisi de ne pas révéler ce qu’il lui était arrivé « craignant d’être inquiétée pour s’être défendue », selon son avocat Eric Lerner, elle souffrirait depuis les faits de stress post-traumatique.

« Ce procès vise à permettre à Mme Gripp de reprendre son pouvoir, de devenir une survivante et non une victime, et d’obtenir réparation pour les crimes sexuels dont elle a été victime. Elle a subi des dommages réels et durables. Harvey Weinstein, ainsi que ceux qui l’ont aidé à perpétrer ces crimes d’agression sexuelle et de tentative de viol contre Mme Gripp, doivent être tenus responsables d’avoir ruiné sa vie », a indiqué maître Lerner à TMZ.

Les avocats d’Harvey Weinstein ont de leur côté nié en bloc ces nouvelles accusations, indiquant qu’il s’agissait d’une manœuvre pour obtenir de l’argent. « M. Weinstein nie catégoriquement les allégations formulées à son encontre dans la plainte qui est sortie de nulle part et a l’intention de se défendre vigoureusement contre cette action en justice », ont-ils fait savoir. Dans un communiqué, Harvey Weinstein affirme même qu’il est prêt à être soumis à un détecteur de mensonges pour prouver qu’il ne connaît pas et n’a jamais rencontré Hayley Gripp.

Dwayne Johnson révèle la date de sortie de Black Adam

"La hiérarchie de la puissance dans l’univers DC va changer". La voix de Dwayne Johnson résonne dans Times Square dans une vidéo Instagram pour la promo de Black Adam, son futur film de superhéros. L’acteur tout-puissant vient donc d’annoncer avec fracas la date de sortie américaine : ce sera pour le 29 juillet 2022. Pour faire court, Black Adam est la némésis de Shazam version dark, doté des pouvoirs des dieux du panthéon égyptien. De quoi détrôner Superman lui-même ? On laisse les spécialistes en débattre.

Le film est réalisé par Jaume Collet-Serra, qui a signé plein de thrillers avec Liam Neeson, comme Sans identité, Non-stop et Night Run, et a réalisé pour Disney l’adaptation cinéma de l’attraction Jungle Cruise avec Emily Blunt et The Rock, dont la sortie est calée pour l’instant au 31 juillet prochain. Côté superfilms DC, The Suicide Squad de James Gunn, dont une bande-annonce mouvementée a été révélée la semaine dernière, sortira en août 2021. Après Black Ada, on devrait voir The Flash en novembre 2022, Aquaman 2 en décembre 2022 et Shazam ! Fury of the Gods en juin 2023.

Paramount prépare un autre film Transformers hors de l'univers principal

Les robots ont de l'avenir ! Un nouveau film Transformers, encore un, est en préparation chez Paramount. Et le projet va déjà de l'avant puisque le studio a engagé le réalisateur Angel Manuel Soto (qui fera bientôt le film fantastique Blue Beetle pour Warner) et le scénariste de la série Netflix Daredevil, Marco Ramirez, pour porter le projet.

Selon le Hollywood Reporter, il s'agira d'un film indépendant - donc pas lié directement à la franchise précédente - et qui sera développé en dehors de l'univers principal de Transformers. Lui se poursuivra toujours, de son côté avec un autre réalisateur, Stephen Caple Jr. (Creed II), qui sera ainsi le septième de la franchise suivant les cinq films de Michael Bay et le spin-off Bumblebee (de Travis Knight). 

Le producteur historique de Transformers, Lorenzo di Bonaventura, devrait être impliqué dans une certaine mesure dans ce spin-off cinématographique, tout comme les dirigeants de Hasbro. On n'en sait pas beaucoup plus, mais cela confirme que Paramount n'en a pas fini avec sa saga qui lui a déjà rapporté presque 5 milliards de dollars au Box office mondial.

William Shatner n'a jamais regardé un épisode de Star Trek

William Shatner vient d'avoir 90 ans, et pour fêter ça, il a été invité dans l'émission Couch Surfing de PeopleTV (visible en anglais sur le site d'Entertainment Weekly) à revenir sur sa carrière au sein d'une longue interview vidéo, où il révèle... qu'il n'arrive pas à regarder Star Trek ! Un comble pour l'interprète du Capitaine Kirk, qui était au cœur de la saga de 1966 à 1994. Si la série de Gene Roddenberry a changé sa vie, et qu'il adore le fait qu'elle donne de l'espoir aux spectateurs, il n'aime pas se voir dans le show, explique-t-il. Ni dans les films, d'ailleurs : "Je n'ai jamais regardé Star Trek. Il y a plein d'épisodes que je ne connais pas, et quelques films aussi. J'ai réalisé l'un deux (le cinquième, L'Ultime frontière, sorti au cinéma en 1989, ndlr), donc celui là j'ai dû le regarder, mais c'est dur à voir pour moi car je n'aime pas mon apparence, ni ce que je fais à l'écran."

Conscient de la popularité de Star Trek depuis plus de 50 ans, l'acteur canadien suggère ensuite que le succès de la saga réside dans le fait qu'elle donne de l'espoir au public : "Nous sommes au bord de l'extinction. Nous nous empoisonnons nous-même, mais la Terre survivra en tuant ce petit cancer, c'est à dire les humains, à la manière du corps qui détruit un virus en augmentant sa température. La Mère Nature va finir par se débarrasser de nous, car nous sommes des parasites. Mais nous ne sommes pas obligés de vivre comme ça. Nous pourrions passer le reste de notre vie à essayer de vivre mieux sur la Terre. Le fait que l'action de Star Trek se déroule dans 400 ans, c'est une sorte de promesse, ça dit que si on fait les choses bien, nos enfants et petits enfants pourront vivre une vie décente. Star Trek donne de l'espoir, c'est le message de cette série, et je pense que c'est ce qui la rend si populaire."