25 avril 2023

Amel Bent apporte son soutien à une femme contrainte de subir une intervention chirurgicale lourde

Amel Bent est une maman comblée. Le 7 avril dernier, la chanteuse a annoncé la naissance de son troisième enfant, un petit garçon prénommé Zayn. "M O N P R I N C E. Heureuse et émue de vous annoncer la naissance de mon petit prince. En forme et en bonne santé grâce à Dieu. Merci pour tous vos messages d’amour et de bienveillance tout au long de cette grossesse que j’ai partagé avec vous. Maintenant, un peu de repos et beaucoup de câlins avant de vous retrouver. Love", a-t-elle écrit sur Instagram après son accouchement. Le petit garçon vient rejoindre ses sœurs aînées, Sofia, âgée de 6 ans, et Hana, 4 ans. "Quand ils sont petits c’est compliqué. C’est pas facile ce métier avec des enfants, a notamment confié la chanteuse lors d’une séance de coaching avec ses talents de The Voice. C’est une bataille quand on a décidé d’être chanteuse. Parfois je doute, je me pose des questions sur ma présence sur scène en tournée : est-ce qu’ils n’ont pas besoin de moi au moment où je suis en train de prendre du plaisir ? Il y a tout le temps cette culpabilité."

Lundi 24 avril, sur Instagram, Amel Bent a tenu à apporter son aide à une famille touchée par la maladie. "Je ne le fais pas souvent mais j’ai rencontré cette famille à l’hôpital, j’ai ressenti la peine, l’angoisse et le désespoir. On peut toutes et tous être un jour dans ce genre de situation donc je partage cette cagnotte avec vous… Si vous pouvez aider même un peu c’est jamais rien", a-t-elle écrit dans story, en joignant un lien vers une cagnotte Leetchi lancée par la belle-mère d’une femme qui doit subir une opération chirurgicale "lourde et onéreuse". "Faute d'une assurance maladie française qui pourrait couvrir ses frais médicaux puisque étrangère, cette cagnotte est la raison pour laquelle je ne demande pas mais j'invite toute personne qui veut et peut faire quelque chose de bien à aider ma belle-maman dans sa guérison et ce dans les meilleures conditions", a-t-elle expliqué. Une belle initiative.

Ayem bloquée au Maroc : ce projet solidaire qu'elle souhaite mettre en place

Ces derniers mois n'ont pas été des plus simples à vivre pour Ayem Nour. Après avoir été accusée par Vincent Miclet, son ex-compagnon, d'avoir enlevé leur fils pour partir en séjour au Maroc, la jeune femme aurait récemment été placée sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter le pays. "Malgré cela, elle a tenté de quitter le Maroc, avant d’être bloquée par la police de l’air et des frontières marocaine" a déclaré l'avocat de l'homme d'affaires dans les colonnes du Parisien.

Depuis, les jours passent et semblent se ressembler pour l'ex-candidate de téléréalité. Alors que son fils serait "déscolarisé depuis plus de cinq mois" d'après nos confrères, Ayem Nour est toujours contrainte de séjourner dans un hôtel dans l'attente de regagner l'hexagone. Un temps libre qui lui permet de réfléchir à ses futurs projets professionnels.

C'est sur Snapchat, ce lundi 24 avril, qu'Ayem Nour a fait part de sa dernière idée : celle de créer une association pour venir en aide aux femmes qui traversent le même type d'épreuve qu'elle. "J'espère pouvoir créer une association avec toutes ces personnes qui m'écrivent pour accompagner toutes ces femmes qui vivent la même chose que moi, et qui n'ont pas la possibilité d'avoir l'impact médiatique que j'ai la chance d'avoir", a-t-elle confié.

"Je parle avec beaucoup de mamans, de femmes qui vivent des histoires similaires à la mienne et qui n'ont pas la chance d'avoir la parole", a-t-elle ajouté. Une idée qu'elle compte faire émerger une fois qu'elle aura "résolu les choses ou gagné le combat" contre son ex-compagnon. "J'ai juste envie que les choses s'apaisent", a-t-elle tenu à préciser. 

Chantal Goya cash sur son rapport à l’argent

Amis depuis de longues années, Michel Drucker et Chantal Goya étaient tous les deux invités dans Ça commence aujourd'hui aujourd’hui le 7 décembre dernier. L’interprète de Pandi Panda était revenue sur les différents passages à vide de sa carrière, et l’animateur en avait profité pour enfoncer le clou, en évoquant les problèmes financiers de la chanteuse et de son mari Jean-Jacques Debout. "Ils ont eu des soucis d'argent, elle et Jean-Jacques, ils en ont gagné beaucoup parce qu'ils ont rencontré un succès fou et ils en ont perdu autant, sinon plus. Ils ont toujours été poursuivis, soit par les impôts ou de temps en temps Jean-Jacques parce qu'il a des problèmes de permis", avait-il expliqué à Faustine Bollaert.

Récemment invitée dans le podcast LA Série, Chantal Goya a confirmé sa mauvaise gestion de l’argent. "Quand j'ai de l'argent, j'ai l'impression d'être au Monopoly. Je distribue toujours l'argent, dès qu'il y en a, ça repart aussi vite. Donc je ne serai jamais quelqu'un qui garde des millions", a déclaré celle qui a été volée début janvier, alors qu’elle priait dans la cathédrale de Strasbourg. Et d'assurer que l'argent n'était ni le "maître", ni le "moteur" de sa vie et de sa carrière.

Chantal Goya préfère "donner" et "partager" l’argent plutôt que le garder pour elle. Mais cela lui joue parfois des tours, comme cette fois où elle a fait face à un "pauvre garçon qui n’avait rien". "Je lui ai donné de l'argent, mais je ne me suis pas rendu compte que je lui donnais 50 euros. Je n'avais plus rien pour rentrer à la maison. Je n'avais plus de quoi prendre le métro, un bus ou un taxi", s’est-elle souvenue. L’artiste a ensuite dû patienter des heures avant qu’un proche ne vienne la chercher en voiture.

Par ailleurs, elle a révélé qu’elle ne touchait pas de pension de retraite : "Je pourrais me plaindre car je n'ai pas de retraite (…) On ne cotisait pas à mon époque". Néanmoins, ce n’est pas pour cela qu’elle poursuit ses concerts. En effet, malgré son âge, la chanteuse pour enfants n’aime pas rester en place. "Rester chez moi à regarder les murs, à quoi ça sert ?", avait-elle lancé à nos confrères de Télé Star, en novembre dernier. 

Mort de Saint Von Colucci : l'acteur canadien décède à 22 ans

On le sait : la chirurgie esthétique peut faire des ravages, et cette histoire en est l'exemple. Saint Von Colucci, un acteur canadien âgé de seulement 22 ans, est décédé cette semaine, indique BFMTV, après avoir réalisé, en un an, pas moins d'une douzaine d'opérations de chirurgie esthétique. Le but ? Ressembler à Jimin, le chanteur du groupe sud-coréen, BTS. Le jeune homme avait déménagé en Corée, en 2019. Selon les informations de son attachée de presse, relayée par le DailyMail, il est décédé le dimanche 23 avril 2023, dans un hôpital local.

Samedi 22 avril, la veille de son décès, Saint Von Colucci a subi des complications à la suite d'une opération. Au mois de novembre dernier, il a été opéré dans le but de se faire retirer des implants dentaires dans la mâchoire. S'il était conscient que l'acte était risqué, l'acteur a finalement développé une infection. Hospitalisé en urgence, l'intervention ne s'est pas déroulée comme prévu : il a dû être intubé avant de décéder.

"C'est une histoire extrêmement tragique et très triste", a annoncé son attachée de presse, précisent nos confrères. Cette dernière a d'ailleurs indiqué que Saint Von Colucci "n'appréciait pas" sa "mâchoire et son menton très carrés", qu'il "trouvait trop larges". Pour tenter de changer son apparence, le jeune acteur a finalement dépensé pas moins de 220 000 dollars pour douze opérations. Parmi elles : un lifting, une rhinoplastie, une blépharoplastie (opération des paupières, NDLR) et une chirurgie des lèvres, a précisé son agent Eric Blake.

Mais pour quelle raison voulait-il absolument ressembler à Jimin, le chanteur du groupe BTS ? Alors qu'il a passé plusieurs années en Corée, il avait réussi à décrocher un rôle très important, dans une série dramatique prénommée Pretty Lies. Projet dans lequel il devait incarner le rôle de Jimin. "Il était très excité, et avait beaucoup travaillé", a tristement conclu son attachée de presse.

Mort de François Léotard : l'ancien ministre avait 81 ans

Né en 1942 à Cannes, François Léotard a été maire de Fréjus pendant vingt ans, entre 1977 et 1997, comme l’avait été son père avant lui. Parallèlement député du Var, il a intégré le gouvernement sous François Mitterrand grâce à la cohabitation. En 1986, il est ainsi devenu ministre de la Culture, succédant à Jack Lang. En 1993, lors du second mandat du Président, le centriste est nommé ministre de la Défense dans le gouvernement d’Edouard Balladur.

Président du Parti républicain puis de l’UDF, il s’est éloigné peu à peu de la vie politique à partir de 1997. La fin de sa carrière a été marquée par plusieurs affaires judiciaires, notamment par l’affaire Karachi. En mars 2021, il a été condamné par la Cour de justice de la République à deux ans de prison avec sursis pour complicité d’abus de biens sociaux à l’époque où il était ministre de la Défense. L’homme politique avait fait appel de cette décision, comme les autres condamnés.

Né dans une famille de sept enfants, François Léotard était notamment le frère du chanteur et comédien Philippe Léotard, décédé en 2001. Après la fin de sa carrière politique, il lui avait dédié un livre : À mon frère qui n’est pas mort. Il a écrit d’autres essais et romans lors de la deuxième partie de sa vie, comme Le Silence, qui a remporté le prix Jackie-Bouquin. Marié de longue date à Isabelle, avec qui il vivait à Fréjus, il a eu avec elle un fils, Marc-Antoine, né en 1993.

Ce mardi 25 avril, c’est Emmanuel Macron qui a annoncé son décès sur Twitter. "François Léotard a servi l’État et porté une grande idée de la culture. Avec sa disparition, nous perdons un esprit libre, un homme de livres et d’engagement. Son Var natal, la France qu’il a défendue, la République qu’il aimait éprouvent aujourd’hui une grande perte", a écrit le Président. D’autres personnalités politiques lui ont rendu hommage, comme Renaud Muselier, président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur. "La Région Sud, sa région, s’incline devant la mémoire de François Léotard. Ministre de la Défense, de la Culture, 4 fois député du Var, maire de Fréjus pendant 20 ans, il était un homme d’État et de territoires. Je pense avec émotion à tous les siens et à ceux qui l’ont aimé", a-t-il tweeté.

Frédéric Beigbeder : à Bordeaux, une séance de dédicaces tourne mal

La séance de dédicaces ne s'est pas passée comme prévue. Vendredi 21 avril, l'écrivain et créateur du prix de Flore Frédéric Beigbeder était en séance de dédicaces dans une librairie de Bordeaux pour son nouveau livre Confessions d'un hétérosexuel légèrement dépassé. Mais la rencontre entre l'auteur et le public a été ponctuée par une action d'un groupe de militantes féministes. Plusieurs d'entre elles sont entrées dans la librairie aux cris de "Victime, on te croit ! Violeur, on te voit!", avant d'être évacuées par la sécurité. Des vidéos de la scène ont été partagées sur les réseaux sociaux.

La veille de la séance de dédicaces, des collages féministes avaient été posés sur la devanture de la librairie devant accueillir la rencontre. Les slogans "Personne veut te sucer Beigbeder" et "175 pages de branlette misogyne" étaient ainsi visibles depuis la rue. En plus du contenu de son livre, Frédéric Beigbeder a déclenché depuis plusieurs semaines les réactions des associations féministes à cause de l'interview qu'il a donnée à France Inter le 3 avril dernier. L'auteur y estimait qu'il méritait "une médaille de combattant anti-sexiste" et d'être panthéonisé à sa mort.

Face à la journaliste de France Inter Sonia Devillers, Frédéric Beigbeder expliquait avoir grandi dans "une société très égoïste dans les années 1970–1980 que j’ai beaucoup critiquée", citant "la surconsommation, la destruction de l’environnement par le capitalisme, les violences sexistes dans le milieu du mannequinat ou encore dans l’univers des oligarques russes". "Tout ça, je l’ai fait dans les années 2000, soit quinze ans avant #MeToo, pourquoi donc est-ce que je n’ai pas une médaille de combattant anti-sexiste ?", avait-il alors déclaré.

Isolée sur les réseaux sociaux de la radio publique, la vidéo avait ensuite été partagée par plusieurs femmes qui répondaient directement à l'auteur en expliquant les agressions sexistes et sexuelles qu'elles auraient subies de sa part et s'indignant pour ces raisons qu'il réclame "une médaille de combattant anti-sexiste".

Apolline de Malherbe traitée de “charognarde” : révélations sur une célèbre politique

C’est une voix et un visage bien connus des Français. Apolline de Malherbe, qui a pris la relève de Jean-Jacques Bourdin, est la présentatrice de la matinale Apolline matin, diffusée à la fois sur RMC et sur RMC Story depuis août 2020. Elle est également en charge de l’interview politique de 8 h 30, que l’on peut suivre en simultanée sur BFMTV. Invitée de L’interview du Buzz TV, diffusée par Le Figaro, ce lundi 24 avril, la journaliste de 43 ans a fait quelques confidences sur les coulisses de son métier. Elle a notamment fait des révélations marquantes sur Mathilde Panot.

Apolline de Malherbe a effectivement reçu la députée de La France Insoumise le 28 mars dernier. Elle l’avait interrogée au sujet de son annonce par erreur de la mort d’un manifestant de Sainte-Soline, survenue la veille. "Sans le diffuser par respect pour elle, nous avions l'extrait de sa déclaration. Mais c'était important de comprendre ce qui avait pu la motiver à faire ça", s’est remémoré la journaliste dans L’interview du Buzz TV. Apolline de Malherbe a ensuite assuré avoir reçu un appel musclé de la cheffe du service presse de La France Insoumise après son entretien avec Mathilde Panot. "Elle m'a dit que j'étais une charognarde", a-t-elle précisé.

Pour rappel, le 28 mars, l’échange entre Apolline de Malherbe et Mathilde Panot à l’antenne de BFMTV et RMC avait été plutôt tendu. "Est-ce que vous regrettez d'avoir eu ces propos hier ?" avait demandé la mère de quatre enfants à son invitée. "Bien sûr que je le regrette, par ailleurs, je pense que ce serait bien de ne même pas le dire dans cette interview", s’était agacée la femme politique. "Non mais vous auriez pu être en direct Mathilde Panot, je voulais simplement comprendre pourquoi vous avez dit ça", avait poursuivi la pugnace intervieweuse. "C’est une information qu'on m'a donnée et sur laquelle je suis ensuite revenue auprès des journalistes en leur disant : 'Arrêtez tout, l'information n'est pas confirmée'", s’était défendue l’Insoumise.

Tir mortel d’Alec Baldwin : après la reprise du tournage, l’acteur brise le silence

La vie d'Alec Baldwin a pris une tournure tragique, le 21 octobre 2021. Alors qu'il tournait Rust, un western dont il est l'acteur principal, le comédien a accidentellement tiré sur la directrice de la photographie du film, Halyna Hutchins, décédée peu de temps après le drame. Elle avait seulement 42 ans. Ayant également blessé le réalisateur Joel Souza, la star hollywoodienne était en partie depuis tenue pour responsable par la justice. Accusé d'homicide involontaire pendant près d'un an et demi, Alec Baldwin a vu les poursuites contre lui formellement abandonnées le 21 avril dernier, à la lumière de “faits nouveaux” méritant d'approfondir l'enquête. Le tournage du long-métrage sur lequel l'accident s'est produit a donc pu reprendre aux États-Unis.

Ce lundi 24 avril, l'acteur a partagé un premier aperçu de Rust sur son compte Instagram avec, en légende du cliché, un mot concernant l'affaire qui l'accaparait jusqu'ici. “Nous avons tourné Supercell [un thriller prochainement en salles, ndlr.] à Billings. Nous sommes maintenant à l'extérieur de Bozeman pour terminer Rust. Le Montana est magnifique. Je suis reconnaissant pour tout le soutien que j'ai reçu ici”, a sobrement écrit l'ex-mari de Kim Basinger sur le réseau social.

En octobre 2022, un an après le drame, Alec Baldwin avait confirmé avoir trouvé un accord avec la famille d'Halyna Hutchins dans une publication Instagram. L'acteur avait à l'époque relayé un article qui annonçait que Matthew Hutchins, le veuf de la victime, avait été nommé producteur exécutif de Rust et toucherait une partie des bénéfices, à la sortie du film, pour lui permettre de financer les études de leur jeune fils, Andros. “Nous pensons tous que la mort d’Halyna était un accident terrible. Je suis reconnaissant envers les producteurs et l’industrie du divertissement de s’être mis d’accord pour rendre hommage à la dernière œuvre d’Halyna”, avait alors déclaré le mari de la photographe.

La fin d'Obsession sur Netflix a choqué son acteur principal

Attention spoilers ! Cet article révèle l'intrigue de la mini-série Obsession.

Richard Armitage, la star d'Obsession, s'est confié à Hello Magazine sur sa réaction aux événements choquants qui se produisent à la fin de la série de Netflix. Richard Armitage, connu pour ses rôles précédents dans Le Hobbit ou encore Strike Back, discute de son personnage, le Dr William Farrow, et de la série dans son ensemble.

Rappel : après une liaison qui vire à l'obsession, William (Richard Armitage) et sa future belle-fille Anna (Charlie Murphy) se retrouvent à nouveau dans l'appartement de cette dernière. Mais Jay (Rish Shah), le fils de William, se précipite chez sa fiancée et surprend son père et Anna dans un moment de passion.

Choqué par ce qu'il voit, Jay finit par marcher à reculons et tombe par-dessus la rampe de l'escalier de l'appartement du dernier étage. William se précipite pour trouver son fils en train de se vider de son sang sur le sol. À ce moment-là, Anna passe simplement devant eux, William en larmes et Jay poussant son dernier soupir. Après avoir assisté aux funérailles et après que sa femme, Ingrid (Indira Varma), a demandé le divorce, il est clair que William n'a toujours pas oublié Anna.

Au sujet de ces derniers instants et sur les raisons pour lesquelles William veut poursuivre sa relation avec elle, Richard Armitage déclare : "William lui dit 'Je le referais', tout en connaissant l'issue. C'est un événement fatal tellement aléatoire et imprévisible que, si on vous donnait la chance de revenir en arrière, la plupart des gens diraient certainement 'Je m'éloignerais de toi'."

Il poursuit : "Mais il ne le fait pas, il dit : 'Je referais tout ça'. Même en sachant que cela se reproduirait. Je ne sais pas si j'ai connu ce niveau de passion, d'obsession qui me ferait sacrifier toute ma vie pour une seule personne". L'acteur parle également de la réaction des fans : "Je leur demanderais de se mettre à sa place et d'imaginer ce que cela doit être de ressentir quelque chose d'aussi bouleversant. D'une certaine manière, cela lui donne une sorte de renaissance, il se sent renaître."

"Il y a une façon logique de voir les choses, mais je ne la trouve pas. Je devais trouver sa logique, mais elle n'est pas logique. Je suis sûr qu'il y a des gens qui ont été à la limite de cette intensité et qui s'en sont éloignés, mais je pense qu'ils passent le reste de leur vie à se poser des questions sur cette personne. Ils ne peuvent pas se l'enlever de la tête, pour toujours".

Les 7 Mercenaires adapté en série par Nic Pizzolatto

Créateur de True Detective, Nic Pizzolatto avait pour projet de développer un western pour Amazon. L’histoire d’un hors-la-loi qui rassemble un groupe de bandits pour lutter contre une menace venue de son passé. Seulement voilà, ce qui devait être une série originale devient finalement un remake des Sept Mercenaires.

Une volonté de la part de la plateforme qui souhaite piocher dans son catalogue de films de la MGM pour capitaliser sur une œuvre déjà populaire. Fruit du hasard, le scénariste avait déjà coécrit le remake mis en scène par Antoine Fuqua en 2016 avec Denzel Washington et Chris Pratt.

Ce même film était lui-même un remake du célèbre western de John Sturges sorti en 1960 et interprété par Steve McQueen, Charles Bronson ou encore Yul Brynner. Le classique du cinéma hollywoodien s’inspirait déjà fortement des Sept Samouraïs, chef-d’œuvre d’Akira Kurosawa.

Cette nouvelle itération est écrite par Nico Pizzolatto lui-même et souhaite s’inscrire dans la grande tradition des projets épiques sortis durant l’âge d’or du western, qui s’est étalé sur 20 ans.

Aucune information ne révèle, pour le moment, le casting et une date de tournage. Affaire à suivre.