28 octobre 2024

Rachel Zegler soutient Chappell Roan contre les trolls qui l’accablent

Rachel Zegler est à fond derrière Chappell Roan dans la résistance qu’elle mène face aux trolls. Pour celle qui fait l’objet d’attaques incessantes depuis qu’elle a été choisie pour incarner Blanche-Neige dans l’adaptation en prises de vues réelles de Disney, il était important de montrer son soutien à la chanteuse qui est devenue la cible privilégiée des trolls.

« La seconde où l’on perd son anonymat, on perd tout ce qui va avec, notamment son confort. J’aurais aimé avoir la présence d’esprit de le dire comme Chappell l’a fait. Je pense qu’elle est brillante », a confié Rachel Zegler à Teen Vogue, en référence aux propos de la chanteuse qui a comparé la célébrité à « un mari violent ».

« Les gens qui sont en colère contre elle sont des idiots qui ne savent tout simplement pas ce que c’est de ne plus avoir une once d’intimité », a poursuivi Rachel Zegler.

La comédienne, qui a quitté X à cause de la toxicité de la plateforme, s’est également indignée du traitement réservé aux femmes célèbres sur les réseaux.

« J’ai vu des femmes être démolies toute ma vie. Jameela Jamil, pourquoi ? Taylor Swift, pourquoi ? Jennifer Lawrence, pourquoi ? Anne Hathaway, pourquoi ? Halle Bailey, pourquoi ? Et maintenant, ils s’en prennent à Chappell. Je les emmerde ! » Un bel élan de solidarité féminine qui fait plaisir à voir !

Omar Sy tacle Canal+ où il a fait ses débuts

S’il est reconnaissant envers Canal+ pour avoir lancé sa carrière, Omar Sy a quelques réserves sur les derniers changements de la chaîne. L’acteur n’a pu s’empêcher de glisser une remarque piquante sur l’état actuel du groupe Canal+, devenu en 2014 une filiale du groupe de Vincent Bolloré, Vivendi, au moment d’aborder les 40 ans de la chaîne cryptée et ses propres débuts réussis en son sein aux côtés de Fred Testot dans la série humoristique, SAV des émissions.

Or, Omar Sy ne semble pas reconnaître la quatrième chaîne qui lui a permis de se faire un nom dans le cinéma après la fin du SAV en 2012. « C’est Canal qui m’a fait basculer dans cet autre monde. Après, quand tu vois la chaîne aujourd’hui, tu te demandes comment elle peut porter le même nom », a-t-il déclaré lors d’un entretien avec la Tribune du Dimanche publié le 27 octobre. « Canal, c’était d’abord synonyme de révolution télévisuelle. Elle faisait toujours basculer le pays dans ce qu’il allait être. Et à cette époque, c’était toujours dans le bon sens ».

Le comédien s’accroche malgré tout à ses bons souvenirs et aux opportunités obtenues grâce au groupe, qui lui a « tout appris ». « J’étais un gamin, je n’avais que 19 balais. Donc quand je suis arrivé, j’observais et j’apprenais », a-t-il confié, avant d’exprimer sa reconnaissance envers Alain De Greef, ancien directeur des programmes de Canal +. « C’était un mec patient qui nous a laissés grandir dans une espèce de laboratoire […] Canal fut donc mon centre de formation », a-t-il reconnu.

Canal+ diffusait autrefois des émissions phares, comme Le Grand Journal et Les Guignols de l’info, qui se sont arrêtées en 2017 et 2018. Plus récemment, le groupe a été dans la tourmente à l’annonce par l’Arcom du retrait de la TNT l’an prochain de sa chaîne C8, qui diffuse notamment l’émission Touche pas à mon poste ! de Cyril Hanouna. Canal+ a contesté cette décision et attend une réponse au mois de novembre.

Laurent Delahousse émoustillé devant une archive de Line Renaud, elle se gausse

A 96 ans, Line Renaud aura marqué plusieurs générations de Français. Actrice, meneuse de revue, femme engagée, chanteuse, elle a réussi à marquer de son empreinte indélébile le coeur et la mémoire de son public. Ce 27 octobre 2024, l’artiste était l’invitée de Laurent Delahousse dans l’émission 20h30 le dimanche. Au cours de son entretien, celle qui est revenue sur sa carrière mais aussi sur ses histoires d’amour, a pu revoir des images d’archive, où elle apparaît bien plus jeune.

Et force est de constater que Laurent Delahousse n’est pas resté de marbre devant la beauté de Line Renaud : “J’étais pas mal foutue à l’époque”, lance l’ancienne actrice, dans un sourire. Ce à quoi le journaliste répond : “Je trouve… Est-ce que j’ai le droit de le dire ? Vous étiez pas mal du tout, vous étiez très belle et vous l’êtes encore”. 

Un joli compliment pour celle qui s’est également confiée au sujet de sa vision de la fin de vie, "arrivera, le plus loin possible". Mais pour Line Renaud, le moment venu, elle décidera de sa mort : "Quand elle viendra à ma porte, je lui dirai : 'entrez'. Voilà ce que je pense. Je pense que lorsqu'on sait qu'il n'y a plus rien à faire, que c'est une question de mois et que ça sera des mois dans la souffrance, dans la douleur alors, allez-y, partez. Je partirai”, confie-t-elle, bouleversante.

Hors de question pour Line Renaud de mourir dans la douleur. “Pourquoi souffrir deux mois de plus quand on sait qu'on peut arrêter ça ? Je demanderai, quand on arrive là avec moi, je demanderai à partir, à ce qu'on me fasse partir", a-t-elle déclaré.

Aya Nakamura prise à partie par Alain Finkielkraut, il ne s’arrête plus

Une performance qui a fait le tour du monde… Vendredi 26 juillet 2024, depuis le pont des Arts, Aya Nakamura a enchaîné deux de ses tubes avant d’interpréter une version revisitée du titre For me formidable, de Charles Aznavour. "C’était trop bien. Je suis trop fière de moi. Je suis contente. C’est un show de plus qui a été fait", avait indiqué la chanteuse un mois plus tard dans une vidéo partagée sur TikTok.

Si Aya Nakamura a de nombreux fans, Alain Finkielkraut n’en fait pas parti. Samedi 26 octobre 2024, sur le plateau du Figaro, le philosophe et académicien a déploré : "Quant à l’image d’Aya Nakamura, elle était absolument consternante. Ce qu’elle chante d’abord, on ne le comprend pas. C’est quand même… Personne n’a jamais compris ses chansons. J’ajoute qu’elle a été condamnée pour violences conjugales".

Très remonté, le philosophe a lâché : "Et en plus, on l’a fait - c’était ça, la gloire - sortir de l’Institut (Institut de France qui abrite notamment l’Académie française). L’Institut, on est là pour défendre la langue française, et tout d’un coup, c’est Aya Nakamura qui reprend le flambeau alors que dans son rapport à la langue française est pour le moins distendu".

Pour conclure, Alain Finkielkraut a ajouté : "Mais qui sommes-nous, nous, les académiciens ? Des vieux cons. D’ailleurs, certains académiciens, hélas, ont intériorisé ce reproche. C’est un peu comme l’Éducation nationale avec Bourdieu. Donc, dès qu’il s’agit de défendre la langue, il y a toujours un académicien, ou deux, ou trois qui disent : Non, non, il faut justement respecter dans la langue le principe d’hospitalité, sinon ça va être rétrécissement".

Sur X (ex-Twitter), où la séquence a été relayée, les internautes ont été nombreux à être révoltés par ces propos. "Ce n'est pas lui, avec ses a priori qu'il justifie en se décrivant comme un vieux schnock, qui va redonner le goût de la langue française aux nouvelles générations" ; "Incroyable d’être aussi sournoisement raciste jusqu’à essayer de nous convaincre qu’il est victime d’agression via la langue française et qu’il faut sauver le soldat Finkielkraut", peut-on lire.

D’autres ont ajouté : "Vous défendez une certaine langue bourgeoise, il n'a jamais été interdit de chanter ni en patois ni avec des néologismes. La langue appartient à tout le monde !" ; mais aussi : "Il fait une obsession sur Aya. Il y a une pléiade de chanteurs qui continuent à perpétuer la langue française. Aya Nakamura est un produit système qu’on aime ou pas. Foutez lui la paix. Ou allez à Garnier".

Heat : Al Pacino confirme que le lieutenant Hanna est accro à la coke

Al Pacino vient de publier ses mémoires, et au sein de ce livre intitulé Sonny Boy, il confirme une théorie de fans concernant l'un de ses films cultes, Heat. Dans ce thriller de Michael Mann, il interprète le lieutenant Vincent Hanna, obsédé par son enquête sur le malfrat Neil McCauley (joué par Robert De Niro). Un rôle dans lequel le comédien de Scarface et de L'Impasse est particulièrement exubérant. Il a notamment effrayé son partenaire de jeu Hank Azaria lors du tournage d'une scène culte, au cours de laquelle il se met à hurler sur un suspect.

Proposant pas mal d'impros au cinéaste, Al Pacino a clairement incarné son personnage comme étant accro à la cocaïne, mais il ne reste plus de trace évidente de cet aspect de la personnalité de Hanna dans le montage final. Invité dans le podcast de Marc Maron pour parler de son ouvrage, l'acteur de 84 ans confirme l'existence d'une scène au cours de laquelle le public aurait dû voir ce personnage consommer explicitement de la drogue, mais il explique que le réalisateur a finalement décidé de la couper au montage.

"Pleins de gens n'étaient pas au courant, raconte-t-il. J'ai dû cacher ça pendant plus de 20 ans, mais je crois qu'il y a une bonne raison (pour laquelle la consommation de drogue n'est finalement pas dans le film). Je jouais de toutes façons quelqu'un de très nerveux, tendu. Et dans ma version, il prenait de la cocaïne, oui, mais je ne sais pas si c'était le cas du véritable gars dont on s'est inspirés pour le film ? En tout cas, le personnage que j'ai composé en consommait, oui."

Pour Pacino, le fait que son personnage soit accro à une telle substance était importante pour comprendre toutes les facettes de sa personnalité :

"Vous savez, au départ il y avait une scène où j'allais dans un club et on me voyait clairement en prendre. On me voyait sniffer, et je suis certain que ce personnage avait de bonnes raisons de faire ça."

Mann a-t-il préféré couper cette séquence plus explicite pour ne pas montrer une image trop négative de son modèle, le vrai policier qui a inspiré le lieutenant Hanna ? Al Pacino n'en dit pas plus à ce sujet à propos de Heat. En revanche, il s'amuse du fait que malgré ce rôle "fou", et celui de Tony Montana dans Scarface, il n'a jamais consommé ce genre de drogue :

"Jamais de la vie, je me dois de le dire. Personne ne me croit, mais je le dis quand même car c'est la vérité : je n'ai jamais pris de coke de toute ma vie."

Il y a deux ans, au moment où Michael Mann s'apprêtait à publier la suite/préquel de Heat en roman, Pacino avait déjà évoqué le sujet de l'addiction de son personnage lors d'une présentation du film, tout juste restauré en 4K, animée par Christopher Nolan. Il a aussi soumis l'idée d'engager Timothée Chalamet si Michael Mann voulait adapter son livre sur grand écran. Le comédien de 27 ans incarnera-t-il bientôt à son tour le lieutenant Hanna ?

Here, le film qui réunit Tom Hanks et Robin Wright, se fait massacrer par la presse américaine

Pendant plus de 30 ans, chaque film de Robert Zemeckis était un évènement. Toujours à la pointe des effets visuels et de la narration, le cinéaste américain affiche un CV remarquable, de la trilogie Retour vers le futur, en passant par Qui veut la peau de Roger Rabbit, Forrest Gump, Contact ou Seul au monde. 

Son inspiration a commencé à décliner avec le passage au XXIe siècle, mais cela donnait encore des bons films avec des grands moments de cinéma, comme Flight ou The Walk. Mais depuis quelques années, ça devient très compliqué pour ce bon vieux Bob qui reste sur deux gros échecs : Sacrées Sorcières, sorti directement sur HBO Max en 2020, en pleine pandémie, et son décevant remake en live action de Pinocchio pour Disney+. 

Malgré ces désillusions, Zemeckis garde encore la confiance des gros studios, notamment grâce au soutien indéfectible de Tom Hanks, qui est la star de son nouveau film, Here – Les plus belles années de notre vie, qui bénéficiera d'une sortie en salle avec un budget de 50 millions de dollars. Robin Wright en est aussi, tout comme le scénariste Eric Roth, le directeur de la photographie Don Burgess et le compositeur Alan Silvestri. Soit l’équipe de Forrest Gump. De quoi espérer un retour en forme du réalisateur de 72 ans ? 

Contredisant les projections test qui avaient fuité l'an dernier, les premiers avis de la presse américaine ne sont guère rassurants. Présenté à Los Angles dans le cadre de l’AFI FEST (organisé par l’American Film Institute), Here n’a pas vraiment séduit les critiques qui ont pu assister à sa projection. Adapté de la bande dessinée du même nom de Richard McGuire, le film raconte l’histoire d’un lieu à travers les âges et les époques, où des défilent des générations d'hommes et de femmes des temps préhistoriques jusqu'à nos jours. 

"Le concept est incroyablement ambitieux. L’exécution est digne d’un diner-spectacle", résume sans détour la critique de The Wrap, qualifiant Here de "réunion fade de Forrest Gump". "Même quand Zemeckis essaie, à la fin, de nous faire ressentir que les gens ont aimé cette maison après avoir passé leur vie à dire qu’ils la détestaient, ce n’est pas cathartique. C’est vide et pas convaincant." 

Variety compare de son côté Here à "une installation de musée", expliquant que le concept de la caméra fixe en point de vue ne fonctionne pour un film. Pas plus que les effets spéciaux utilisés pour rajeunir Tom Hanks et Robin Wright : "Avec cette horrible technologie de remplacement des visages, les acteurs ressemblent plus à des Sims en haute définition qu’à une version jeune d’eux-mêmes."

"La caméra de Don Burgess ne quitte son plan fixe dans le salon qu’à la toute fin, se promenant autour de la maison pour nous montrer la petite banlieue qui l’entoure. Mais un faux colibri manifestement numérique vient nous rappeler que presque tout est synthétique dans Here", enfonce le Hollywood Reporter. 

Certains critiques défendent toutefois le film, qui affiche pour le moment un score de 31% d’avis positifs sur Rotten Tomatoes, mais sans grande conviction, à l’image d’Indiewire : "Si vous avez un jour été ou vécu dans une maison et vous êtes demandé qui avait été ici avant vous, Here fera écho en vous. Mais si vous n’êtes pas curieux, alors il n’y a au bout du compte rien, absolument rien, ici pour vous".

Here sortira en France le 6 novembre prochain.

Hearts & Minds : 49 ans après sa sortie, ce chef-d'oeuvre absolu reste malheureusement invisible en France

S'il diffère naturellement par sa forme des oeuvres fictionnelles, le champ émotionnel ouvert par le documentaire peut être d'une puissance absolument dévastatrice. Parce qu'il aborde des sujets touchant parfois à l'intime, des questions qui nous heurtent profondément et nous interrogent, sur notre rapport au monde, aux autres et au vivant.

"Nous devons être prêt à nous battre au Viêtnam. Mais la victoire finale dépendra du cœur et de l'esprit des hommes qui vivent là-bas". Ce sont les termes d'un très fameux discours prononcé par le président américain Lyndon B. Johnson, le 4 mai 1965. "Gagner le cœur et l'esprit des hommes", une formule qu'il a même martelé pas moins de 28 fois dans ses discours, entre 1964 et 1968.

C'est aussi le nom choisi par le cinéaste Peter Davis pour son extraordinaire documentaire, l'un des plus importants jamais réalisés, qui eut un immense impact émotionnel et politique : Hearts & Minds.

La guerre du Viêtnam survient à un moment où les conventions hollywoodiennes sont en train de craquer et le gouvernement, voulant la maintenir dans un cadre limité, se garde bien de mobiliser les cinéastes pour leur faire glorifier un conflit de plus en plus impopulaire.

Hearts & Minds fut l'un des tout premiers films à pointer publiquement les agissements -secrets ou non- de la politique extérieure des Etats-Unis, montrant "à chaud" les séquelles de la guerre du Viêtnam. C'est qu'au moment où le documentaire est réalisé, les Etats-Unis étaient encore en pleines négociations secrètes avec le Nord Viêtnam pour tenter de mettre un terme au conflit, négociations qui aboutiront aux Accords de Paris en 1973.

Projeté au Festival de Cannes en 1974, il reçu un accueil très favorable. Mais sa distribution aux Etats-Unis posa problème. Devant son sujet sulfureux, le distributeur du film jeta l'éponge, tandis que les risques de procès se multiplièrent, retardant d'autant la sortie du film sur le territoire américain. Peter Davis réussit finalement à trouver un nouveau distributeur, et le film sortit en 1975, quelque temps avant la cérémonie des oscars, d'où il repartira auréolé de l'Oscar du Meilleur documentaire.

L'annonce de la récompense fut conspuée par certains, jugeant le film anti-américain, tandis que d'autres applaudirent. Frank Sinatra, qui était maître de cérémonie pour la remise des Oscars en 1976, dénonça publiquement le documentaire et la récompense qu'il obtint.

Combinant des images filmées des combats, images d'archives et témoignages de vétérans et activistes anti guerre, personnalités politiques mais aussi des acteurs de premier plan comme le général Westmoreland, commandant des opérations militaires américaines de la guerre du Viêtnam entre 1964 et 1968, Hearts & Minds est une radiographie dévastatrice et bouleversante d'une nation en proie au doute et déchirée par ce conflit, dont les plaies ne se sont jamais refermées.

L'occasion aussi de lancer un vibrant appel à un éditeur vidéo; ce chef-d'oeuvre du documentaire n'ayant hélas jamais eu les honneurs d'une parution en DVD chez nous, encore moins en Blu-ray. Il reste en tout cas un énorme travail pour évangéliser autour du film : il n'a que quatre malheureuses notes sur sa fiche...

La bande-annonce de la série Sexe Intentions est là !

Chose promise chose due. Annoncée en 2023, la série Cruel Intentions (Sexe Intentions) débarque très bientôt sur nos écrans. Prime Video vient de dévoiler la bande-annonce de la saison 1 et malgré quelques différences avec le film de 1999, l’ambiance et le ton sont assez fidèles.

L’action de la série se déroule dans une prestigieuse université de Washington. Deux élèves, demi-frère et demi-sœur impitoyables, sont prêts à tout pour rester au sommet. Après qu'un brutal incident survenu durant un bizutage menace tout le système de l'université, ils feront tout ce qui est nécessaire pour préserver leur pouvoir et leur réputation – quitte à séduire la fille du vice-président des États-Unis.

Le célèbre roman français de Choderlos de Laclos, maintes fois adapté au cinéma et à la télévision, a une nouvelle fois servi d’inspiration dans ce Cruel Intentions : il est question de pouvoir et domination de l’autre, de réputation, de jeu de séduction et de romance… Exit Sarah Michelle Gellar, Ryan Phillippe et Reese Witherspoon, Prime Video a misé sur des visages peu connus ici :

Sarah Catherine Hook (Conjuring 3 : Sous l’emprise du Diable) dans le rôle de Caroline, Zac Burgess (Totally Completely Fine) dans celui de Lucien, Khobe Clarke (Yellowjackets) pour camper Scott, Brooke Lena Johnson (You) dans celui de Béatrice. Enfin, Sara Silva (The Boys) a été choisie pour incarner CeCe.

Sur le papier, cette série teen et sulfureuse a tout pour plaire au public de Prime Video. Et la bande-annonce nous donne un bon aperçu de ce qui l'attend, même si cette nouvelle version de Cruel Intentions se veut un peu plus moderne avec le personnage d’Annie Grover (Savannah Lee Smith) ne compte pas se laisser séduire facilement.

Le rendez-vous est donné au 21 novembre.

26 octobre 2024

Laurent Delahousse reçoit Line Renaud : sa déclaration bouleversante sur sa fin de vie

Line Renaud multiplie les interventions télévisées pour s'exprimer sur la fin de vie depuis quelques mois. Son dernier film, Le prochain voyage (2023), suit d'ailleurs un couple d'octogénaires qui, se sachant condamnés par la maladie, choisit de se donner la mort. L'actrice française, aujourd'hui âgée de 96 ans, ne fait toutefois pas que jouer dans des longs-métrages qui traitent de la liberté de choisir sa fin de vie.

Elle participe en effet activement à ce débat en donnant des interviews dans la presse écrite comme à la télévision. En février dernier, Line Renaud a ainsi déjà parlé de ce sujet lors d'un passage dans l'émission Sept à Huit. À la même époque, c'est dans un autre entretien avec Télé 7 jours qu'elle a abordé cette question. Et la célèbre comédienne va encore revenir sur la fin de vie ce dimanche 27 octobre, dans une interview avec Laurent Delahousse, sur France 2.

L'entretien entre Laurent Delahousse et Line Renaud s'annonce émouvant et poignant. Le journaliste de France 2 a en effet réussi à obtenir une interview de l'actrice, qui sera diffusée dimanche prochain. Néanmoins, quelques extraits sont déjà disponibles sur les réseaux sociaux, puisque France Info a diffusé une petite partie de l'émission sur Twitter. La comédienne a profité de cette discussion avec Laurent Delahousse pour réitérer ses propos sur la fin de vie.

"Écoutez, voilà ce que je pense. Je pense que lorsqu'on sait qu'il n'y a plus rien à faire, que c'est une question de mois, et que ce seront des mois dans la souffrance, dans la douleur, alors allez-y. Partez", a-t-elle précisé. Encore une fois, Line Renaud se montre favorable à la liberté de choisir sa fin de vie, notamment dans le cas où celle-ci s'accompagne de souffrances.

Face à Line Renaud, Laurent Delahousse affiche une mine grave. Il faut dire que les propos de l'actrice ne peuvent être écoutés qu'avec sérieux et respect. La comédienne a même cité De Gaulle, selon qui "la vieillesse est un désastre". En revanche, elle a clairement indiqué ne pas être d'accord avec ce point de vue. "Je la vis très bien, ma vieillesse", a-t-elle assuré.

Line Renaud accepte pleinement sa fin de vie. "Mais quand elle frappera à ma porte, je lui dirai : 'entrez'". En d'autres termes, elle ne cherchera pas à s'acharner lorsqu'elle sentira qu'elle devra partir. Selon elle, s'il n'y a "plus rien à faire", "que ce seront des mois dans la souffrance, dans la douleur", alors il faut accepter son sort.

Les propos de Line Renaud sur sa fin de vie n'étonneront personne. L'actrice a déjà exprimé ce point de vue à de multiples reprises. D'ailleurs, l'actrice a publié un livre intitulé Merci la vie !, le 1ᵉʳ février 2024. Pour elle, cet ouvrage est, en réalité, une préparation à un adieu.

Laurent Gerra révèle la drôle de raison pour laquelle Eddy Mitchell ne veut plus refaire de scène à ses côtés

Laurent Gerra était l'invité du jour du journaliste Éric Dussart sur RTL. Roi des imitations, l'humoriste s'est ainsi confié, à la fois sur sa vie professionnelle, comme sur sa vie personnelle. Aussi bien présent à la télévision, en radio que sur les planches de théâtre, Laurent Gerra possède une carrière exceptionnelle et, forcément, de grands amis au sein du monde people.

Sur RTL, Laurent Gerra a ainsi été questionné, notamment, sur son amitié avec un célèbre artiste de la chanson française : Eddy Mitchell. Ensemble, ils ont partagé l'écran pour le film Un père idéal. Pourtant, l'ancien meilleur ami de Johnny Hallyday a confié à Laurent Gerra qu'il ne voulait plus travailler avec lui pour une drôle de raison.

Nul doute que Laurent Gerra a dû mal prendre l'annonce qu'a pu lui faire le célèbre chanteur français : Eddy Mitchell. Et pour cause... Invité sur RTL au micro d'Éric Dussart, l'humoriste a été invité à répondre à de nombreuses questions, tant sur sa vie personnelle que sur ses expériences professionnelles. Visiblement très bien informé, le journaliste vient alors sur le terrain des amis de Laurent Gerra, jusqu'à l'interroger sur le rapport qu'il partage avec... Eddy Mitchell. Ce n'est plus un secret pour personne, l'humoriste et le chanteur sont amis. Mais, toutefois, Eddy Mitchell a fait une confidence assez décevante à son compagnon.

"J'adorerais qu'on refasse un petit peu de scène ensemble, mais il ne veut pas", confie Laurent Gerra au micro de RTL. Forcément, il n'en fallait pas moins pour attiser la curiosité d'Éric Dussart qui, dans la seconde, lui a demandé la raison de ce refus : "Pourquoi il ne veut pas ?". Une question à laquelle Laurent Gerra a donné une réponse qui, pour le coup, est assez étrange.

Sur un air imitant Eddy Mitchell, Laurent Gerra explique la raison, assez étrange, pour laquelle Eddy Mitchell refuse de rejouer avec l'humoriste : "J'en ai marre de la salade gourmande de l'hôtel Mercure de Limoges". Sur le plateau, les rires se sont ainsi succédé. Bien que Laurent Gerra semble avoir tenté de convaincre le chanteur, en lui expliquant qu'il pourrait choisir les restaurants, ce dernier n'a visiblement pas été convaincu.

Fort heureusement, Laurent Gerra raconte cette histoire avec une sérieuse dose d'humour, permettant de comprendre que les deux amis sont en très bons termes : "C'est un ami". Tout est bien qui finit bien, d'autant plus que l'humoriste a encore en tête une potentielle tournée de "quinze dates".