30 avril 2024

Jeff Bridges confirme son retour dans Tron 3

Jeff Bridges confirme son grand retour dans la saga Tron pour Ares, le troisième opus que tourne en ce moment Joachim Rønning (Maléfique 2) avec Jared Leto, Evan Peters, Greta Lee, Gillian Anderson, Jodie Turner-Smith, Hasan Minhaj, Arturo Castro, Cameron Monaghan et Sarah Desjardins. Invité dans The Film Comment Podcast, le comédien de 74 ans, qui était au cœur du premier opus de Steven Lisberger sorti en 1982, dans le rôle du "gamer" Kevin Flynn, a expliqué :

"Je m'envole ce dimanche pour participer au troisième chapitre de l'histoire de Tron. Jared Leto en est la star. Je suis très anxieux de travailler avec lui. J'ai toujours admiré son travail."

Variety partage ses propos tout en précisant que cet entretien a été enregistré il y a quelques semaines et qu'à présent, Jeff Bridges a déjà tourné toutes ses scènes. Le site américain partage alors d'autres propos du comédien à propos de ce que les fans peuvent attendre de ce nouveau volet de Tron en cours de fabrication chez Disney.

"Vous savez, je n'aimais pas trop mon apparence dans le précédent (Tron : l'héritage, de Joseph Kosinski, 2010, blockbuster dans lequel il était rajeuni en numérique, ndlr). Je trouvais que je ressemblais plus à Bill Maher qu'à moi-même. C'était un peu bizarre."

Jeff Bridges ajoute alors avoir l'espoir que le troisième opus soit très différent en terme de visuels, car tourné dans davantage de vrais décors, avec moins de CGI.

"Il y aura moins de trucs en IA, promet-il. La production aura recours à davantage de véritables décors, j'en ai vu des superbes quand j'étais sur le plateau. On verra bien !"

Pour l'instant, Tron : Ares n'a pas de date de sortie. On a seulement vu sa première photo officielle. Jeff Bridges a lui aussi été immortalisé sur le tournage, mais pas en costume : Disney a partagé un souvenir de lui en pleine lecture du scénario.

Apartment 7A va raconter les origines de Rosemary's Baby

Voilà une nouvelle qui devrait ravir les amateurs de sensations fortes, avec un penchant pour les histoires traitant de satanisme. Variety nous apprend ce jour que Paramount+ vient d’annoncer que le préquel du film culte Rosemary's Baby, intitulé Apartment 7A, avec Julia Garner et réalisé par Natalie Erika James, sera diffusé en exclusivité sur la plateforme avant la saison d'Halloween.

Ce classique de l'horreur de Roman Polanski a été produit par Paramount en 1968. Il met en scène Mia Farrow et John Cassavetes dans le rôle d'un jeune couple qui tente de fonder une famille mais qui se retrouve tourmenté par d'étranges voisins après avoir emménagé dans un vieil immeuble, et considéré par leur ami comme une demeure maléfique.

Selon le synopsis officiel, Apartment 7A se déroule à New York en 1965 et raconte donc "l'histoire qui se déroule avant Rosemary's Baby, en explorant ce qui s'est passé dans l'appartement avant que Rosemary et son mari n'y emménagent.

Alors qu'une jeune danseuse en difficulté subit une blessure dévastatrice, elle se retrouve attirée par des forces obscures lorsqu'un couple âgé, étrange et bien connecté, lui promet une chance d'accéder à la gloire."

Commandé par Paramount+, le film présente une jolie distribution avec entre autres : Dianne Wiest (Mayor of Kingstown), Jim Sturgess (Across the Universe) et Kevin McNally (Joshamee Gibbs dans les films Pirates des Caraïbes).

"Apartment 7A est le moyen idéal de lancer la saison d'Halloween", a déclaré Jeff Grossman, vice-président exécutif de la programmation chez Paramount+, dans un communiqué annonçant la sortie du film en streaming. "La réalisatrice Natalie Erika James et l'équipe créative prodigieuse ont créé une nouvelle œuvre glaçante et intelligente dans le genre."

Rendez-vous donc à l’automne sur Paramount+ pour les frissons.

Bertrand Usclat et Broute reviennent sur Canal+

En 2018, Bertrand Usclat décide de parodier le média Brut avec Broute, une série de vidéos d’environ 1 minute, où il interprète différents personnages, tous plus absurdes les uns que les autres.

Pendant 3 saisons, soit 176 épisodes, l’humoriste a repris les thèmes d’actualité pour les parodier, offrant souvent une vision décalée des événements. Proposée à l’origine sur Youtube et les réseaux sociaux, puis à partir de 2019 sur Canal+ dans l’émission Clique, Broute rencontre très vite un franc succès et cumule aujourd’hui plus de 500 millions de vues.

Ce n’est donc pas étonnant que, deux ans après son arrêt, la série soit de retour sur Canal+ avec Broute 24, un nouveau format de 8 épisodes de 20 minutes diffusés sur la chaîne à partir du 29 avril à 22h.

Avec la même équipe à l'écriture et à la réalisation composée de l’humoriste, de Martin Darondeau et de Guillaume Cremonese, ce nouveau format reprendra bien évidemment ce qui a fait le sel de la série d’origine.

Pour l’occasion, Bertrand Usclat campe 8 personnages complètement décalés qui représentent chacun représentant une thématique de la société actuelle : le principal d’un collège au bord de la crise, l’habitant flemmard d’un écovillage, un CRS en manif, un coach en séduction un peu ringard, un maire identitaire forcé d’accueillir une famille de réfugiés dans son village, un jeune papa plus ou moins en congé paternité, un vieux lobbyiste en décalage avec l’époque et le membre d’un groupe polyamoureux un peu (très) jaloux.

“La même chose, mais en plus long”, a ainsi expliqué Bertrand Usclat dans un communiqué de presse. “24 heures pour suivre 8 personnages, dans une nouvelle temporalité, celle de la fiction. Là où la chronique exigeait une bonne formule, une bonne ‘punch’, le temps de la série impose une réflexion assez joyeuse sur la notion de personnage, pris dans un paradoxe lorsque ses valeurs cardinales se confrontent au réel. C’est un principe de comédie vieux comme le monde, mais appliqué aux sujets qui traversent la société actuellement.”

Retrouvez les deux premiers épisodes de Broute 24 le lundi 29 avril à partir de 22h sur Canal+. La série est également disponible en intégralité sur myCanal.

29 avril 2024

La condamnation pour pédopornographie du chanteur R. Kelly confirmée

La cour fédérale de Chicago a rejeté tous les arguments de la défense de R. Kelly. Déjà condamné à trente ans de prison pour crimes sexuels, le chanteur R & B américain a vu sa peine de vingt années de prison pour pédopornographie être confirmée en appel. Agé de 57 ans, Robert Sylvester Kelly de son vrai nom espérait échapper aux poursuites en raison du dépassement du délai de prescription.

L’artiste, mondialement connu pour son tube I Believe I Can Fly et ses 75 millions de disques vendus, avait longtemps régné sur le R & B malgré des soupçons d’agressions sexuelles. Il avait été reconnu coupable en septembre 2021 d’avoir piloté pendant des années un « système » d’exploitation sexuelle de jeunes, dont des adolescentes, et condamné en juin 2022 à trente ans de prison par un tribunal fédéral à New York, peine qu’il purge actuellement.

En février 2023, il avait également été condamné à vingt ans de prison pour production de pédopornographie et détournement de mineur. Le juge avait ordonné qu’il n’exécute qu’un an de prison supplémentaire quand il aurait purgé sa première condamnation.

« Des années durant, Robert Sylvester Kelly a commis des violences sexuelles sur des jeunes filles mineures », selon le jugement prononcé vendredi. « En utilisant un schéma complexe pour faire taire les victimes, il a longtemps esquivé les conséquences » mais « ces crimes l’ont enfin rattrapé ». Des extraits de vidéos montrant des violences sexuelles commises par R. Kelly sur des jeunes filles, dont l’une n’avait que 14 ans, avaient été diffusés pendant le procès.

L’avocate du chanteur, Jennifer Bonjean, a déclaré qu’il ferait appel devant la Cour suprême. « Nous sommes déçus du jugement mais notre combat est loin d’être terminé », a-t-elle assuré dans un communiqué selon des médias américains.

Pendant des décennies, le succès de R. Kelly avait été terni par des soupçons de violences sexuelles, objets de rumeurs persistantes. Il était longtemps parvenu à les faire taire avec des accords financiers prévoyant des clauses de confidentialité.

Johnny Depp se confie sur la façon dont la célébrité l’a changé

À Johnny Depp, le concept de « vie normale » semble tout bonnement surréaliste. Après bientôt quatre décennies à évoluer sous les projecteurs, l’acteur, dont la carrière reste au point mort depuis la fin de ses procès en diffamation, a eu le temps de méditer sur sa condition.

« Ma vie est scrutée depuis l’âge de 23 ans. Aujourd’hui, j’en ai 60. C’est long ! », a-t-il déclaré lors d’un entretien accordé à Metro. « La célébrité a de drôles d’effets sur un homme. Cette chose vous frappe et vous ne pouvez plus aller nulle part sans que les gens vous regardent. C’est une façon très intéressante de grandir. Mais après 38 ans… »

« La première chose qui est vraiment folle, c’est de s’attendre à ce que quelqu’un qui a vécu dans ce genre de situation soit un tant soit peu normal. Pour ne rien arranger, je n’étais pas normal avant tout ça », a poursuivi Johnny Depp. « J’ai donc dû adapter mon monde à la façon dont je devais vivre. Comment est-ce que je vis ? Je vis derrière des fenêtres. Je vis derrière les vitres des voitures, des trains, des avions, des chambres d’hôtel… des putains de vitres ! »

Récemment accusé par Lola Glaudini de l’avoir agressée verbalement sur le tournage de Blow (2001), Johnny Depp semble bien loin de retrouver la place qu’il occupait dans la constellation hollywoodienne. C’est donc en Europe qu’il tente de relancer sa carrière. Après une prestation largement commentée dans Jeanne du Barry de Maïwenn sous la perruque de Louis XV, Johnny Depp est attendu au tournant avec Modi, un biopic consacré au peintre Amedeo Modigliani pour lequel il est passé derrière la caméra. Le premier rôle a été confié à Riccardo Scamarcio qui, décidément abonné aux peintres, a incarné Caravage dans le biopic signé Michele Placido et sorti en 2022. On y verra également Al Pacino, celui-ci ayant participé à la production du film.

Arnold Schwarzenegger et Sylvester Stallone se remémorent le temps où ils étaient des rivaux

S’il y a bien une rivalité qui a fait les beaux jours du cinéma d’action dans les années 80 et 90, c’est celle qui opposait Arnold Schwarzenegger et Sylvester Stallone. Et alors que la hache de guerre est enterrée depuis bien longtemps, les deux « haltères ego » peuvent aujourd’hui se dire combien ils avaient eu conscience dès le départ que cette compétition, parfois grotesque, les poussait vers l’avant.

« Il n’y a pas de doute là-dessus : Il m’a beaucoup aidé dans ma carrière parce que j’avais un objectif que je pouvais poursuivre », a concédé le Terminator, avant de laisser la parole à Rambo lors d’une interview vidéo conjointe avec TMZ diffusée par la Fox.

« Quand il est arrivé, je me suis dit qu’il y avait enfin quelque chose qui me motivait », a enchaîné Sylvester Stallone. « Dès que je l’ai vu, j’ai eu l’impression de deux mâles alpha qui s’affrontaient. Parce qu’il apparaissait, si j’ose dire, comme une concurrence, une menace, quel que soit le mot que vous voulez utiliser. »

Une rivalité qui a rapidement payé puisque, dès 1977, Sylvester Stallone avait décroché l’Oscar du Meilleur film pour Rocky tandis qu’Arnold Schwarzenegger avait été élu Nouvelle star de l’année lors des Golden Globes.

Jon Bon Jovi ne regrette pas du tout de s’être marié si jeune


Au premier abord, on imagine la vie amoureuse d’une rockstar de l’acabit de Jon Bon Jovi plutôt animée, ne serait-ce que dans les premières années de sa carrière. Pourtant, l’artiste n’a jamais quitté Dorothea Hurley, son premier amour rencontré au lycée.

En avril 1989, ils sont partis se marier à Vegas sur un coup de tête au beau milieu de la tournée New Jersey et ne se sont plus jamais quittés.

« On était à Los Angeles, en Californie, durant la tournée New Jersey. Et en ouvrant les rideaux de ma chambre d’hôtel, il y avait un grand panneau d’affichage avec tout le groupe qui fixait ma fenêtre », a raconté Jon Bon Jovi à People en amont de la sortie de Thank You, Goodnight : The Bon Jovi Story, une série documentaire consacrée à la carrière du groupe. « Nous avions une soirée de libre et j’ai dit à ma petite amie, qui était ma fiancée à l’époque : "J’ai besoin de planer davantage – j’ai une idée. J’ai une idée. Allons à Las Vegas maintenant”. Elle m’a répondu : “Maintenant ?”. J’ai dit : “Maintenant”. »

Arrivés à Vegas, Jon et Dorothea Bon Jovi se sont dit « oui » avec, pour témoin, le chauffeur de taxi qui les avait amenés jusque-là. Mais la lune de miel fut de courte durée tant la nouvelle de ce mariage en cachette a mis en ébullition leurs proches.

« Ça a choqué beaucoup de monde. Le groupe, le management, les agents, les avocats, les parents, et j’en passe », s’est encore souvenu Jon Bon Jovi. « C’est une honte, car ça aurait dû être un moment magnifique. Mais après l’avoir fait, les gens ont essayé de nous l’enlever, jusqu’à ce que je me lève et que je dise : “Attendez une minute, pourquoi est-ce qu’on vivrait notre vie pour les autres ?” Et 35 ans plus tard, nous sommes toujours mariés. »

La guitare utilisée par John Lennon sur Help bientôt mise aux enchères

La guitare utilisée par John Lennon lors de l’enregistrement de Help va être vendue aux enchères. L’instrument, une douze cordes de la marque Framus, peut également être entendu sur le titre Norwegian Wood présent sur Rubber Soul, mais cette fois-ci sous les doigts de George Harrison.

Darren Julien, co-fondateur de la maison de vente Julien’s Auctions qui organise la mise à prix de ce morceau d’histoire de la musique, est particulièrement heureux d’avoir pu tenir cet objet entre ses mains. « Retrouver cet instrument remarquable, c’est comme trouver un Rembrandt ou un Picasso perdu, a-t-il confié au Guardian. Et il sonne encore comme dans un rêve. »

L’instrument avait été oublié pendant près de cinquante ans par son propriétaire qui l’avait reçu en cadeau de la part de Gordon Waller, membre de Peter and Gordon, un duo très populaire dans les années 1960 qui avait collaboré avec John Lennon et Paul McCartney. Une guitare que Darren Julien a bien évidemment fait authentifier en plus d’aller la voir de ses propres yeux au Royaume-Uni.

« Le grain de bois d’une guitare est comme une empreinte digitale : il n’y a pas deux guitares identiques », a-t-il expliqué. « Non seulement le grain de bois correspond parfaitement à la guitare jouée par John et George, mais il en va de même pour le pickguard, qui peut être reconnu sur une photo. Comme la guitare est restée intacte pendant environ cinq décennies, elle est dans l’état esthétique exact où elle se trouvait lorsque John et George l’ont jouée. »

Alors nul doute que cet objet d’exception fera monter les enchères lors de la vente qui aura lieu les 29 et 30 mai prochains au Hard Rock Cafe de New York ainsi qu’en ligne.

Mufasa se dévoile dans la bande-annonce du nouveau Roi Lion

Rafiki prend la parole. Le jeune babouin nous présente ce lion qui va "changer nos vies pour toujours", dans la somptueuse bande-annonce de Mufasa, alias Le Roi Lion, le vrai, avant Simba (voir ci-dessous).

Rafiki va transmettre sa légende à Kiara, fille de Simba et Nala, dans le nouveau film préquel de Disney, qui racontera comment un lionceau "né sans une once de noblesse en lui", va devenir le roi de la savane.

"Racontée sous forme de flashbacks, l'histoire présente Mufasa comme un petit orphelin, perdu et seul jusqu'à ce qu'il rencontre un lion sympathique nommé Taka, l'héritier d'une lignée royale" détaille le synopsis. "Cette rencontre fortuite déclenche le vaste voyage d'un groupe extraordinaire de marginaux à la recherche de leur destin. Leurs liens seront mis à l'épreuve alors qu'ils travailleront ensemble pour échapper à un ennemi menaçant et mortel."

Au casting vocal, on retrouvera (en VO) Aaron Pierre dans le rôle de Mufasa et Kelvin Harrison Jr. dans le rôle de Taka. Tiffany Boone sera Sarabi tandis que Kagiso Lediga reviendra doubler Rafiki. Mads Mikkelsen jouera Kiros, un lion redoutable avec de grands projets. Seth Rogen et Billy Eichner reviendront faire Timon et Pumbaa. Dans le reste du casting, Donald Glover prendra le rôle de Simba et Beyoncé jouera Nala.

Réalisé pa Barry Jenkins, le film sera aussi une comédie musicale avec de nouvelles chansons écrites par Lin-Manuel Miranda (Encanto).

Mufasa : Le Roi Lion mélangera, comme le film live de 2019 qui remakait le classique Disney de 1994, des techniques de réalisation d'action réelle avec des images photoréalistes générées par ordinateur.  Mufasa : Le Roi Lion sortira le 18 décembre 2024 en salles en France.

HPI sur TF1 : la bande-annonce de la saison 4

Un peu moins d’un an après la diffusion du dernier épisode de la saison 3, HPI s’apprête à faire son grand retour sur TF1 le 16 mai prochain à partir de 21h10. Le 29 juin dernier, les scénaristes de la série policière portée par Audrey Fleurot avaient laissé les fans sur un cliffhanger qui avait pris tout le monde de court.

Dans les dernières minutes, Morgan Alvaro apprenait en effet qu’elle était enceinte de plusieurs semaines. Malheureusement, elle ne sait pas qui de Timothée, David ou Karadec (Mehdi Nebbou) est le père de son bébé. Cette saison 4 sera donc pour elle l’occasion d’enquêter sur cette question épineuse, qui devrait tenir les téléspectateurs en haleine pendant plusieurs semaines.

Après avoir posté sur Twitter une première image de la saison 4 de HPI, avec une Morgane Alvaro enceinte jusqu’aux dents, TF1 vient de dévoiler une bande-annonce, qui donne un premier aperçu de ce qui attend notre héroïne dans ces nouveaux épisodes.

Dans cette vidéo, qui nous transporte dans l’univers déjanté de HPI, Morgane cherche le meilleur moyen d’annoncer à Karadec qu’elle est enceinte, et que ce bébé est potentiellement le sien. Malheureusement, depuis les événements survenus dans le final de la saison 3, le policier est peu enclin à l’écouter. Va-t-elle réussir à lui annoncer la grande nouvelle ? Réponse à partir du 16 mai sur TF1.

Les téléspectateurs devront cependant prendre leur mal en patience pour découvrir l’intégralité de la saison 4 de HPI, puisqu’elle sera diffusée en deux parties. Quatre épisodes seront ainsi diffusés à partir du 16 mai. Les quatre suivants seront quant à eux proposés à l’automne prochain.

La raison : le mouvement de grève des techniciens qui a chamboulé le planning de tournage en novembre dernier. La production a pris du retard, ce qui va donc impacter la diffusion de la série policière. Pour l’instant, seuls 6 épisodes de la saison 4 ont été mis en boîte. Le tournage des 2 derniers aura lieu en juin prochain.

Retrouvez la saison 4 de HPI à partir du jeudi 16 mai à 21h10 sur TF1.