25 janvier 2024

Bande-annonce de Fighter

Explosions en pagaille, courses-poursuites nerveuses entre avions de chasse, sublimes couchers de soleil sur le tarmac immaculé… Autant d’éléments qui rappelleront aux spectateurs la beauté et la puissance de Top Gun : Maverick, événement cinéma de l’année 2022. Sauf que ces images ne proviennent absolument pas du dernier opus de la saga Top Gun, mais bien de Fighter, la petite bombe du début d’année.

Loin de souffrir de la comparaison avec le géant hollywoodien, Fighter semble déterminé à l’égaler sur tous les aspects ! Aussi sublime qu’impressionnante, la bande-annonce de ce film indien convainc en quelques secondes par la qualité de ses effets spéciaux, la chorégraphie de ses affrontements aériens et le drame qui se dégage de ses magnifiques plans crépusculaires.

Fighter raconte le parcours du talentueux Shashmer Pathania (Hrithik Roshan), un ambitieux jeune pilote appelé à devenir héros de l’armée indienne. Conflits d’autorité, rivalités, entraînements intensifs et dangerosité de ses missions, Shashmer sera confronté à de nombreux obstacles avant d’atteindre son rêve : pouvoir accomplir son devoir pour son pays.

Fascinant miroir culturel et politique du Top Gun : Maverick de Joseph Kosinski, Fighter n’en est pas pour autant un remake, loin de là ! Les spectateurs pourront apprécier nombres de différences, notamment dans la représentation de personnages féminins forts, relativement absents du film porté par Tom Cruise. En effet, la brillante Deepika Padukone, actrice majeure du cinéma indien contemporain et égérie Louis Vuitton, y incarne la talentueuse et attachante capitaine d’escadron Minni Rathore, qui ne manquera pas de devenir une icône pour ceux qui la découvriront à l’écran !

Écrit et imaginé avant la sortie de Maverick, Fighter a vu sa sortie repoussée à de maintes reprises en raison de la pandémie de COVID-19, retardant son lancement à 2024. Mais pour le réalisateur Siddharth Anand, nommé à trois reprises aux Filmfare Awards (prestigieux équivalent indien des Oscars), l’enjeu est de taille !

Un an seulement après l’immense réussite critique et commerciale de son dernier film, Pathaan, qui figure parmi les dix plus grands succès indiens de tous les temps, Siddharth Anand semble prêt à réitérer l’exploit avec Fighter. Son nouveau long-métrage est tout simplement l’un des plus ambitieux de tous les temps pour une production indienne, avec un impressionnant budget de 250 crore, soit l’équivalent d’environ 30 millions de dollars.

Un véritable roller coaster visuel à découvrir dès maintenant au cinéma, mais aussi en IMAX 3D et 4DX pour multiplier vos sensations et rejoindre directement Shashmer Pathania et Minni Rathore dans leurs missions en haute altitude !

Deux ans après Plan Cœur, Netflix signe une nouvelle série comique française avec Guillaume Labbé et Manu Payet

Après Plan cœur, l’actrice, réalisatrice et scénariste Noémie Saglio sera bientôt de retour sur Netflix avec une nouvelle série. C'est la plateforme américaine de streaming qui a elle-même partagé la nouvelle ce jeudi 25 janvier sur le réseau social Instagram.

Baptisée Burn(es) out, cette série comique s’intéressera à la déconstruction de la masculinité toxique. Elle suivra Cédric, Tom, Jérémie et Tonio, quatre amis dont les vies amoureuses et professionnelles sont chamboulées par les femmes de leur vie. Tous peinent à trouver leur place et à trouver l’amour dans une société qui remet de plus en plus en question le patriarcat, et les prive donc progressivement de leurs privilèges.

Pour incarner ce groupe d’amis de longue date, Noémie Saglio a fait appel à Manu Payet, Antoine Gouy (le fidèle partenaire d’Assane Diop dans Lupin), Vincent Heneine (The Eddy, J’ai menti, Panda), ainsi qu'un acteur bien connu des fans de Plan cœur, à savoir Guillaume Labbé (Je te promets, Escort Boys, Les yeux grands fermés).

Pour l’heure, aucune date de diffusion n’a encore été communiqué. Néanmoins, Netflix a fait savoir dans un communiqué que le tournage a débuté le 8 janvier dernier à Paris et devrait se dérouler entre la capitale et la région Auvergne-Rhône-Alpes.

En attendant, Plan cœur est toujours à (re)découvrir sur Netflix. Pour rappel, la série de Noémie Saglio raconte l’histoire d’Elsa (Zita Hanrot), une jeune femme qui n’arrive pas à oublier son ex. Pour l’aider, ses amies embauchent un escort boy et lui font la surprise. Sauf que le plan marche un peu trop bien… Diffusée entre 2018 et 2022 sur la plateforme américaine de streaming, Plan coeur compte trois saisons.

Anne Hathaway quitte une séance photo Vanity Fair en soutien aux salariés de Condé Nast

Anne Hathaway n’a pas tergiversé : dès qu’elle a été informée par un de ses assistants que le personnel des différents magazines du groupe de presse Condé Nast appelait à la grève, elle a quitté la loge où elle se faisait coiffer et maquiller. L’actrice du Diable s’habille en Prada se trouvait dans les locaux de Vanity Fair pour participer à une séance photos, hier. Le shooting n’avait pas commencé lorsqu’elle a claqué la porte.

« Ils n’ont même pas commencé à prendre des photos. Une fois qu’Anne a appris ce qu’il se passait, elle s’est levée de sa chaise de maquillage et est partie », a assuré une source à Variety.

Son équipe aurait été « notifiée par un employé de la SAG-AFTRA de conseiller à Hathaway de soutenir l’arrêt de travail ». Anne Hathaway n’a pas fait de commentaire sur son soutien au débrayage.

Le début du mouvement de grève, qui implique, le personnel de Vogue, Vanity Fair, Allure, GQ, Architectural Digest, Glamour, Self, Bon Appetit et Teen Vogue, coïncide avec le moment où l’académie des Oscars a annoncé ses nominations pour 2024. Et ce n’est bien entendu pas un hasard ! Comme Anne Hathaway, les stars du cinéma ont de fortes relations de proximité avec la presse mode et beauté de luxe. La soirée Vanity Fair après la cérémonie de récompense est notamment l’une des plus courues.

Plus de 400 journalistes et employés se mobilisent en raison de l’annonce, en novembre, du licenciement de 5 % de la masse salariale de l’entreprise, soit 270 employés selon le New York Times, et plus de 300 selon The Media Leader. La récente fusion annoncée par Anna Wintour du site musical Pitchfork avec le magazine masculin GQ a visiblement été la goutte d’eau. Celle qui est responsable du contenu mondial de Condé Nast depuis 2020 n’aurait même pas retiré ses lunettes noires pour annoncer à la rédaction du site la nouvelle et les inévitables licenciements qui en découlent, à commencer par celui de la rédactrice en chef, Puja Patel.

24 janvier 2024

Eva Mendes félicite Ryan Gosling après sa nomination aux Oscars et tacle ses détracteurs

Les nominations pour la 96e cérémonie des Oscars sont tombées, ce mardi 23 janvier. Si la France a levé son verre en l'honneur de Justine Triet, dont le film Anatomie d'une chute a récolté cinq nominations, la déception fut immense pour Barbie. Véritable carton au box-office en 2023, avec pas moins d'1,4 milliard de dollars engrangés, le film de Greta Gerwig a décroché huit nominations. Une excellente nouvelle, surtout pour Ryan Gosling et America Ferrera, tous deux respectivement nommés dans les catégories Meilleur acteur dans un second rôle et Meilleure actrice dans un second rôle. Mais les fans du long-métrage au message féministe sont sortis de leurs gonds, furieux de l'absence de nominations des deux femmes les plus importantes du film, Greta Gerwig, la réalisatrice, mais aussi Margot Robbie, l'actrice principale.

Dans le traditionnel communiqué publié après l'annonce des nominations, Ryan Gosling n'avait pas manqué de souligner l'absence de sa camarade de jeu et de la cinéaste dans la liste des nommés. "Il n'y a pas de Ken sans Barbie, et il n'y a pas de film Barbie sans Greta Gerwig et Margot Robbie, les deux personnes à qui l'on doit le plus ce film rentré dans l'histoire et célébré dans le monde entier. Aucune reconnaissance ne serait possible pour quiconque dans le film sans leur talent, leur courage et leur génie. Dire que je suis déçu qu'elles ne soient pas nommées dans leurs catégories respectives serait un euphémisme", a-t-il déclaré.

Malgré la polémique, Eva Mendes a tenu à saluer la nomination de celui avec qui elle partage sa vie depuis douze ans. "Tellement fière de mon homme. Il a reçu tellement de haine quand il a accepté ce rôle. Tellement de gens ont essayé de se moquer de lui pour l'avoir fait. Malgré les moqueries avec les hashtags #Notmyken et les articles écrits à son sujet, il a créé ce personnage complètement original, hilarant, émouvant, et iconique, qu'il a emmené jusqu'aux Oscars", a-t-elle écrit sur sa page Instagram, ce mercredi 24 janvier. Puis de conclure : "Je suis tellement fière d'être la Barbie de ce Ken". Eva Mendes, première fan de l'homme qu'elle aime !

elon Ashley Graham, les créateurs ne sont toujours pas prêts à intégrer la diversité corporelle

Avec l’avènement des mannequins Plus, ou grande taille, ou tout simplement qui ne correspondent pas aux standards des défilés, on pensait que le changement était en marche du côté de la mode. Force est de constater qu’il y a encore pas mal de progrès à faire côté diversité. C’est Ashley Graham, plutôt bien placée dans le domaine, qui explique que lorsqu’elle demande à des stylistes de créer des vêtements pour elle, on lui répond encore : « Désolé, nous ne pouvons pas, nous n’allons tout simplement pas concevoir quelque chose pour un corps plus grand. »

Comme elle le confiait à People lors de l’appel à casting de Good American à Los Angeles samedi : « Les choses ont énormément changé à certains égards et se sont arrêtées à d’autres. C’est pourquoi je n’arrêterai pas de parler de mon corps et d’habiller des personnes de plus grande taille, juste parce que ce n’est pas encore une norme. » Selon la mannequin de 36 ans, le problème vient surtout de l’industrie elle-même, et du fait que fabriquer des vêtements flatteurs pour les personnes rondes coûte plus cher.

La modèle de renommée mondiale n’a pas caché qu’elle payait parfois elle-même le tissu supplémentaire pour soulager les stylistes qui ne pourraient pas le faire. « Si vous regardez les défilés, peu de choses ont changé. Si vous regardez les créateurs, certains d’entre eux habillent différents types de corps, mais ce n’est pas la norme », poursuit-elle.

La mère de trois enfants ajoute que seuls certains magazines et médias font le choix de l’inclusivité corporelle. « Est-ce de la grossophobie ? Est-ce parce qu’on a peur de donner l’impression d’être tombé dans le piège du mercantilisme ? Est-ce parce qu’on n’a pas la capacité de comprendre ce qu’est le véritable classement des différents types de corps en ce qui concerne la cellulite des seins, du ventre et des fesses ? Je ne sais pas », questionne-t-elle en conclusion.

L’acteur Gary Graham est mort à l'âge de 73 ans

Gary Graham était une figure des séries américaines. Le comédien est mort, à l’âge de 73 ans, à son domicile de Spokane Valley, dans l’État de Washington, après un arrêt cardiaque, selon Sky News.

S’il était surtout connu pour son rôle de l’ambassadeur vulcain Soval dans la série Star Trek : Enterprise, où il avait joué dans douze épisodes, le comédien est également apparu dans plusieurs films et séries télévisées, dont JAG, M.A.N.T.I.S., Starsky et Hutch, Universal Dead, Nip/Tuck, Nash Bridges, Walker Texas Ranger, Shérif fais-moi peur et Ally McBeal.

Susan Lavelle, son ex-femme et mère de sa fille Haylee Graham, a annoncé la nouvelle sur Instagram. « C’est avec une profonde tristesse que je vous annonce que Gary Graham, mon ex-mari, acteur incroyable et père de notre belle et unique enfant ensemble, Haylee Graham, est décédé aujourd’hui, a-t-elle écrit. Nous sommes complètement dévastés, en particulier notre fille. » Elle a précisé que « sa femme, Becky, était à ses côtés », a-t-elle écrit en légende d’une photo de son ex-mari et de leur fille.

Gary Graham avait été le coresponsable de la franchise de science-fiction américaine Alien Nation, diffusée en 22 épisodes entre 1989 et 1990. C’est sur ce tournage qu’il avait rencontré la mère de sa fille. Avant d’être comédien, ce natif de Californie avait étudié la médecine.

Coralie Porrovecchio a accouché de son troisième enfant

Coralie Porrovecchio et son compagnon Boubacar Kamara ont vécu une année 2023 riche en émotion. Pour le couple, elle a surtout été l'année de leur somptueux mariage. Cette cérémonie entre l'influenceuse et le joueur de football a réussi à émerveiller leurs deux enfants. En effet, ils sont les parents de Leeroy (né en 2020) et Kingsley (né en 2022). Se dire "oui" et concrétiser cet amour en donnant la vie, voilà comment le couple a décidé de sceller leur relation. Coralie Porrovecchio est donc tombée enceinte de leur troisième enfant.

Très proche de ses abonnées, elle avait décidé de dévoiler sa grossesse sur Instagram le 8 octobre dernier. Dans une vidéo, quelques jours plus tard, son fils Leeroy avait dévoilé la date du terme. Le bébé était prévu pour le mois de janvier. Le 20 décembre 2023, son fils aîné avait également révélé le sexe de l'enfant. "Bonjour tout le monde, j'espère que vous allez bien. J'ai quelque chose à vous dire, quelque chose de très important, quelque chose que vous attendez tous. C'est une petite fille, c'est ma petite sœur. Avec Kingsley, on est trop content."

Le terme a bel et bien été respecté. La petite princesse de Coralie et Boubacar a pointé le bout de son nez en ce mois de janvier. Ce mercredi 24 janvier 2024, la jeune maman a annoncé avoir accouché trois jours plus tôt. Sur Instagram, elle écrit que sa princesse "est venue compléter notre petite tribu ce dimanche 21 janvier 2024". "Grâce à Dieu, tout s’est bien passé et nous sommes sur notre petit nuage !", ajoute-t-elle. Mais comment s'appelle le petit bout de chou ? "Sleeley", indique-t-elle. Un prénom original qui est la contraction des prénoms de ses deux garçons. En sus du prénom, le visage de la petite, en compagnie de son père et ses frères, a été dévoilé.

César 2024 : la liste des nominations

César de la meilleure actrice

Marion Cotillard pour Little Girl Blue

Léa Drucker dans L’Été dernier

Virginie Efira dans L’Amour et les Forêts

Hafsia Herzi dans Le Ravissement

Sandra Hüller dans Anatomie d’une chute

César du meilleur acteur

Romain Duris pour Le Règne animal

Benjamin Lavernhe dans L’Abbé Pierre - Une vie de combat

Melvil Poupaud dans L’Amour et les Forêts

Raphaël Quenard dans Yannick

Arieh Worthalter dans Le Procès Goldman

César de la meilleure actrice dans un second rôle

Leïla Bekhti dans Je verrai toujours vos visages

Galatea Bellugi dans Chien de la casse

Élodie Bouchez dans Je verrai toujours vos visages

Adèle Exarchopoulos dans Je verrai toujours vos visages

Miou Miou dans Je verrai toujours vos visages

César du meilleur acteur dans un second rôle

Swann Arlaud dans Anatomie d’une chute

Anthony Bajon dans Chien de la casse

Arthur Harari dans Le Procès Goldman

Pio Marmaï dans Yannick

Antoine Reinartz dans Anatomie d’une chute

César de la révélation féminine

Céleste Brunnquell dans La Fille de son père

Kim Higelin dans Le Consentement

Suzanne Jouannet dans La Voie royale

Rebecca Marder dans De grandes espérances

Ella Rumpf dans Le Théorème de Marguerite

César de la révélation masculine

Julien Frison dans Le Théorème de Marguerite

Paul Kircher dans Le Règne animal

Samuel Kircher dans L’Été dernier

Milo Machado Graner dans Anatomie d’une chute

Raphaël Quenard dans Chien de la casse

César du meilleur scénario original

Justine Triet, Arthur Harari pour Anatomie d’une chute

Jean-Baptiste Durand pour Chien de la casse

Jeanne Herry pour Je verrai toujours vos visages

Nathalie Hertzberg, Cédric Khan pour Le Procès Goldman

Thomas Cailley, Pauline Munier pour Le Règne animal

César de la meilleure adaptation

Valérie Donzelli, Audrey Diwan pour L’Amour et les Forêts

Vanessa Filho pour Le Consentement

Catherine Breillat pour L’Été dernier

César de la meilleure réalisation

Justine Triet pour Anatomie d'une chute

Catherine Breillat pour L'été dernier

Jeanne Herry pour Je verrai toujours vos visages

Cédric Kahn pour Le procès Goldman

Thomas Cailley pour Le règne animal

César du meilleur premier film

Léa Domenach pour Bernadette

Jean-Baptiste Durant pour Chien de la casse

Iris Kaltenbäck pour Le ravissement 

Sébastien Vanicek pour Vermines

Stéphan Castang pour Vincent doit mourir

César de la meilleure musique originale

Gabriel Yared pour L'Amour et les forêts

Delphine Malausséna pour Chien de la casse

Vitalic pour Disco Boy

Andrea Laszlo de Simone pour Le règne animal

Guillaume Roussel pour Les trois mousquetaires (partie 1 : D'Artagnan/partie 2 : Milady)

César du meilleur film d’animation

Interdit aux chiens et aux italiens, d’Alain Ughettole

Linda veut du poulet !, de Chiara Malta et Sébastien Laudenbach

Mars express, de Jérémie Périn

César du meilleur film documentaire

Atlantic Bar, de Fanny Molins

Les Filles d’Olfa, de Kaouther Ben Hania

Little Girl Blue, de Mona Achache

Notre Corps, de Claire Simon

Sur l’Adamant, de Nicolas Philibert

César du meilleur film étranger 

L'Enlèvement, de Marco Bellocchio

Les Feuilles mortes, d'Aki Kaurismaski 

Oppenheimer, de Christopher Nolan 

Perfect Blue, de Wilm Wenders 

Simple comme Sylvain, de Monia Chokri 

César du meilleur court métrage d’animation

Drôles d’oiseaux, de Charlie Belin

Été 96, de Mathilde Bédouet

La Forêt de mademoiselle Tang, de Denis Do

César du meilleur court métrage documentaire

L’Acteur, de Hugo David et Raphaël Quenard

La Mécanique des fluides, de Gala Hernández López

L’Effet de mes rides, de Claude Delafosse

César du meilleur court métrage de fiction

L’Attente, d’Alice Douard

Boléro, de Nans Laborde-Jourdàa

Rapide, de Paul Rigoux

César des meilleurs décors 

Emmanuelle Duplay pour Anatomie d'une chute

Angelo Zamparutti pour Jeanne du Barry 

Toma Baquéni pour La Passion de Dodin Bouffant

Julia Lemaire pour Le Règne animal

Stéphaine Taillasson pour Les Trois Mousquetaires

César des meilleurs effets visuels 

Thomas Duval pour Acide

Lise Fischer, Cédric Fayolle pour La Montagne

Cyrille Bonjean, Bruno Sommier, Jean-Louis Autret pour Le Règne animal

Olivier Cauwet pour Les Trois Mousquetaires 

Léo Ewald pour Vermines

César des meilleurs costumes 

Jürgen Doering pour Jeanne du Barry 

Pascaline Chavanne pour Mon Crime 

Tran Nu Yên Khê pour La Passion de Dodin Bouffant

Ariane Daurat pour Le Règne animal 

Thierry Delettre pour Les Trois Mousquetaires 

César du meilleur montage

Laurent Sénéchal pour Anatomie d'une chute

Francis Vesin pour Je verrai toujours vos visages

Valérie Loiseleux pour Little Girl Blue

Yann Dedet pour Le Procès Goldman

Lilian Corbeille pour Le Règne animal 

César de la meilleure photo 

Simon Beaufils pour Anatomie d'une chute

Jonathan Ricquebourg pour La Passion de Dodin Bouffant

Patrick Ghiringhelli pour Le Procès Goldman

David Cailley pour Le Règne animal

Nicolas Bolduc pour Les Trois Mousquetaires

César du meilleur son

Julien Sicart, Fanny Marin, Jeanne Delplancq, Olivier Goinard pour Anatomie d’une chute

Rémi Daru, Guadalupe Cassius, Loïc Prian, Marc Doisne pour Je verrai toujours vos visages

Erwan Kerzanet, Sylvain Malbrant, Olivier Guillaume pour Le Procès Goldman

Fabrice Osinski, Raphaël Sohier, Mattthieu Fichet, Niels Barletta pour Le Règne animal

Dvavid Rit, Gwennolé Le Borgne, Olivier Touche, Cyril Holtz, Niels Barletta pour Les Trois Mousquetaires

Bruno Dumont rend hommage aux space operas avec l’affiche de L’Empire

Il y a quelques semaines, on découvrait stupéfait la bande-annonce de L’Empire, le prochain film réalisé par Bruno Dumont. Le cinéaste nous livre sa version de Star Wars, c’est-à-dire une invasion extraterrestre dans le nord de la France. Un ovni cinématographique de la sorte se devait d’avoir une affiche au niveau de sa proposition.

Reprenant les codes graphiques des space operas épiques, le poster de L’Empire nous révèle quelques éléments, notamment les dégaines lunaires (sans mauvais jeu de mot) de Camille Cottin et Fabrice Luchini, ainsi qu’un aperçu du vaisseau spatial au bas de l’affiche. L’actrice Anamaria Vartolomei (L’événement) brandit ni plus ni moins qu’un sabre laser au centre du poster, citation assumée de l’univers créé par George Lucas.

Lyna Khoudri, Julien Manier (Jeanne) et Brandon Vlieghe se répartissent autour du point central marqué par la lame bleutée du sabre laser. Nos enquêteurs préférés que Dumont mettait en scène dans sa série P’tit Quinquin sont également présents dans L’Empire. Les deux acteurs Bernard Pruvost et Philippe Jore semblent complètement dépassés en bas de l’affiche, au milieu d’un troupeau de vaches.

L’Empire sortira au cinéma le 21 février 2024.

Après le succès de cette série Netflix, la police de cette bourgade américaine est sous le feu des critiques

Attention, cet article spoile une partie de l’intrigue.

C’est la série documentaire Netflix dont tout le monde parle sur les réseaux sociaux. La vérité kidnappée nous raconte l’histoire rocambolesque d’un couple (Denise et Aaron) victime en 2015 d'une terrifiante effraction avec enlèvement. Alors qu’ils attendent de la police une enquête minutieuse, il se voit finalement accusé d'avoir tout orchestré…

Lorsque Denise est finalement relâchée par son kidnappeur, les enquêteurs ne croient pas un seul mot de son histoire et l’accusent même de rejouer le film Gone Girl dans lequel une femme fait semblant de disparaître pour faire accuser son mari infidèle.

Le troisième et dernier épisode révélera que son kidnappeur existe bel et bien et qu’il a abusé d’elle à plusieurs reprises.

Ce qui ressort de ce documentaire, c’est le peu de valeur donné à la parole d’une femme. Et l’inaction des enquêteurs de la ville de Vallejo qui auraient pu très facilement retrouver la trace de son violeur.

Pire, la série Netflix révèle plusieurs informations à charge contre eux, à commencer par le lien entre l’ex d’Aaron - avec qui il était en mauvais terme - et le détective du FBI.

Quant au chef du département, il aurait demandé à ses équipes de décrédibiliser Denise. Le couple a bien évidemment demandé des dommages et intérêts à la ville de Vallejo, menant à un accord financier de 2,5 millions de dollars.

De ce fait, les enquêteurs ayant travaillé sur l’affaire n’ont jamais été inquiétés. Pas même le détective Mat Mustard, qui n’a jamais voulu croire le couple. Quelques mois après, il sera même nommé agent de l’année.

Une femme se fait kidnapper mais personne ne la croit : cette incroyable histoire vraie cartonne sur Netflix !

Autant de raisons qui ont poussé les abonnés à prendre à partie la police de Vallejo sur les réseaux sociaux et notamment X. Sous le dernier post du commissariat, de nombreux internautes demandent le renvoi de Mat Mustard, ainsi que justice pour Aaron et Denise.

“Mettez Mustard sur l’affaire. Il est tellement efficace. Il représente bien l’incompétence de votre soi-disant département de police. Quelle bande de clowns”

“Virez Mustard maintenant !”

“Ce commissariat est tellement corrompu. Mustard ne devrait pas avoir ce travail. Qui sait combien d’autres personnes ont été traitées comme Quinn et Denise ?”

“L’inspecteur Mustard aurait dû être viré pour ce qu’il a fait aux Quinns. Votre commissariat est la raison pour laquelle les gens ne font plus confiance à la police.”

“Ce que la police a fait à Denise et Aaron est impardonnable. C’est une forme d’abus de la part d’une bande de misogynes. Les femmes doivent éviter Vallejo ou bien tous les policiers travaillant ici doivent être remplacés.”