20 juin 2022

Festival du film de Cabourg 2022 : le palmarès

Cabourg a décerné hier soir son palmarès qui se divise comme à son habitude en deux parties. D’un côté le Comité des Swann chargé de départager les films plus romantiques sortis depuis l’édition précédente du festival. De l’autre un jury présidé cette année par Diane Kurys qui devait faire son choix parmi 6 nouveautés en compétition

Côté Swann d’Or, c’est Pascal Elbé qui s’est imposé, en meilleur film, avec son très autobiographique On est fait pour s’entendre dont il tient le premier rôle avec Sandrine Kiberlain…

Sandrine Kiberlain particulièrement à l’honneur hier soir puisque son Une jeune fille qui va bien a remporté, lui, le Swann d’Or du meilleur premier long métrage et son interprète, Rebecca Marder, le Swann de la Révélation féminine, la toute première récompense de son parcours comme elle l’a expliqué dans un discours très émouvant.

Premier trophée aussi pour son homologue masculin, Yasin Houicha, héros de Fragile d’Emma Benestan, passé trop inaperçu lors de sa sortie en salles (ex- aequo avec Timothée Robart des Magnétiques). Les Swann d’Or du meilleur acteur et de la meilleure actrice sont, quant à eux, revenus à Swann Arlaud pour sa composition en Yann Andrea dans Vous ne désirez que moi de Claire Simon et Fanny Ardant pour Les Jeunes amants de Carine Tardieu, repartie, elle, avec le Swann de la meilleure réalisation, remis par la fille de la regrettée Solveig Anspach qui avait initié avant sa disparition, ce projet inspiré par sa propre mère. Absent sur la côte normande, Mathieu Amalric a, lui, été récompensé par le Prix Gonzague Saint- Bris de la meilleure adaptation pour Serre- moi fort.

Bien présente, Françoise Fabian a, elle délivré un superbe discours – dédié à Jean- Louis Trintignant, son partenaire de Ma nuit chez Maud – en recevant son Swann d’honneur des mains d’Aure Atika qui jouait sa fille dans Rose de Aurélie Saada.

Le jury de Diane Kurys a, lui, choisi de primer Nelly & Nadine, un documentaire du suédois Magnus Gertten narrant une histoire d’amour entre deux jeunes femmes née une veille de Noël 1944 au cœur du camp de concentration de Ravensbrück où elles étaient toutes les deux retenues prisonnières. Un film aussi plébiscité par la jeunesse et qui, grâce à cette double mise en lumière, pourrait trouver un distributeur en France. Quant au public qui s’est pressé pendant 4 jours dans les salles du festival du film romantique 2022, il a lui récompensé Maria rêve, le premier long métrage de Lauriane Escaffre et Ivo Müller avec Karin Viard et Gregory Gadebois, dont nous vous confions hier tout le bien que nous en pensions. On pourra découvrir cette comédie romantique en salles le 28 septembre.

Ron Perlman nous parle de Hellboy 3 et de sa divergence avec Guillermo del Toro

Presque 15 ans après la sortie du deuxième opus, Les Legions d'Or Maudites, Hellboy n'a toujours pas eu droit à la conclusion de sa trilogie. Mais la franchise de Guillermo del Toro, adaptée des comics, n'est pas encore morte et enterrée. Elle a survécu au reboot porté par David Harbour, alors Ron Perlman veut encore y croire... même s'il avoue que Guillermo del Toro n'est pas sur la même longueur d'ondes :

"On ne parle pas de Hellboy 3, Guillermo et moi. Il sait ce que je pense et je sais ce que lui pense. Du coup, on n'en parle pas... Enfin, parfois... mais très rarement", nous confie l'acteur de 72 ans, que Première a croisé au 61e festival de télévision de Monte-Carlo.

Le cinéaste mexicain a depuis été oscarisé (pour La Forme de L'eau) et enchaîne les longs-métrages, de Pacific Rim à Pinocchio, en passant par Nightmare Alley.

"Lui a tourné la page, mais moi je vois les choses différemment. J'ai le sentiment qu'il faut absolument qu'on finisse cette trilogie", poursuit Ron Perlman. "Parce que nos films Hellboy ont été pensés pour être en trois parties. Sauf qu'on n'en a fait que deux ! L'histoire n'est pas terminée. Il faut qu'on raconte ce qui se passe ensuite (...) A la fin du deuxième volet, Liz est enceinte et elle attend des jumeaux. Mais on ne sait pas si Hellboy va accomplir sa destinée, qui est de détruire le monde, ou s'il va aller contre et le payer de sa vie. Ca, ça devait être dans le troisième film, mais comme il n'y a pas de Hellboy 3..."

Guillermo del Toro a d'ailleurs déjà mis un terme définitif à la rumeur il y a quelques années, refermant ce chapitre de sa carrière. "Ce n'est pas tellement qu'on a une divergence d'opinion à ce sujet, Guillermo et moi, c'est surtout qu'on a une divergence d'agendas ! Lui fait d'autres choses..." termine d'expliquer Ron Perlman.

L'acteur n'est pas brouillé avec le réalisateur pour autant, puisqu'il est apparu dans Nightmare Alley en début d'année et sera l'une des voix du prochain Pinocchio de Netflix. En espérant encore, qu'un jour, il dira OK pour Hellboy 3.

"Je vous ai donné ma position. Je ne veux jamais dire jamais..." conclut Ron Perlman.

MTV : Chris Evans préfèrerait rejouer la Torche des 4 fantastiques plutôt que Captain America

Actuellement en pleine promotion de Buzz l'Eclair, le spin-off de Toy Story dont il prête sa voix au héros, Chris Evans a expliqué il y a quelques jours à ComicBook.com qu'il ne comptait pas revenir dans le costume de Captain America, personnage qu'il a incarné de 2011 à 2019 pour Marvel : "Cela semble être quelque chose que les gens aimeraient voir alors je ne veux décevoir personne, mais ça me semble difficile... C'était une si belle aventure et j'en suis tellement content. C'est tellement précieux pour moi. Pour que je revienne, il faudrait que ce soit parfait. Ce serait juste effrayant de remuer quelque chose qui m'est si cher. Ce rôle signifie tellement pour moi. Donc, le revisiter, cela signifierait accepter un défi énorme, il faudrait un projet massif."

Interviewé par MTV depuis, il a précisé qu'il se verrait bien en revanche revenir dans le costume de Johnny Storm, alias La Torche Humaine dans Les 4 Fantastiques. "Ce serait bien, non ? Personne ne m'en a jamais parlé, et je sais que je n'ai plus la même apparence. C'était il y a 15... près de 20 ans. Oh mon Dieu, je suis vieux ! Mais j'aime vraiment ce personnage. Je crois qu'ils préparent quelque chose avec Les 4 Fantastiques ? (...) J'adorerais ça. Ce serait plus facile de me vendre ça qu'un retour en Cap. Vous voyez ce que je veux dire ? Cap est trop précieux pour moi, je ne veux pas pervertir cette belle expérience. Mais Johnny Storm, je trouve qu'il n'a pas vraiment eu le succès qu'il méritait. C'était avant que Marvel trouve sa patte... J'adorais ce rôle. Alors qui sait ?" Chris en profite ensuite pour féliciter Hayley Hatwell, qui joue toujours l'Agent Carter (le premier amour de Steve Rogers/Captain America) chez Marvel. 

Pour bien comprendre l'ampleur qu'aurait son retour en Johnny Storm, il faut savoir qu'il l'a interprété en 2005 et 2007 pour Tim Story, dans des blockbusters produits par la 20th Century Fox qui ont bien marché sans pour autant connaître le succès fous des Avengers, qui ont suivi quelque temps plus tard chez Disney-Marvel. Puis cette histoire a été remakée (avec Michael B. Jordan dans son rôle, en 2015) juste avant que le studio ne rachète la Fox et ne parle d'un nouveau blockbuster à venir sur Les 4 Fantastiques. Il se pourrait que plusieurs incarnations se croisent à l'écran dans ce futur blockbuster, depuis la mise en place du "multivers" dans Spider-Man : No Way Home et Doctor Strange in the Multiverse of Madness. Rien ne dit pour l'instant que le studio fera revenir le casting original, ou le suivant, mais c'est une possibilité, sur le papier. Notez qu'un nouvel acteur est apparu sous les traits de M. Fantastique dans le dernier super-film du studio (si vous voulez en savoir plus, c'est ici, mais attention aux spoilers !).

Paul Walker va recevoir une étoile posthume sur le Hollywood Boulevard

La Chambre des Commerces de Hollywood vient de dévoiler la liste des personnalités qui seront à l'honneur cette année en obtenant une étoile à leur nom sur le Hollywood Boulevard. Celle-ci se divise en plusieurs catégories (cinéma, télévision, chanson...) et dans la première, sept personnalités sont mentionnées, dont deux décédées : Paul Walker, le comédien phare de la saga Fast & Furious recevra son étoile à titre posthume, tout comme Juanita Moore, la comédienne nommée aux Oscars en 1960 pour Mirage de la vie, de Douglas Sirk.

Le comédien décédé à seulement 40 ans, en 2013, dans un accident de voiture, ne sera pas le seul acteur de la saga à être acclamé en 2023, puisque Ludacris fait lui aussi partie de la liste. On note ensuite la présente de Uma Thurman, la star de Kill Bill, Bill Pullman (Independence Day), Vince Vaughn (Serial Noceurs, True Detective), et John Waters, le réalisateur de Cry Baby. Deadline publie ici la liste complète des 24 personnalités concernées pour 2023. 

Ce n'est pas la première fois qu'une étoile est remise ainsi à titre posthume. En juin 2021, on avait appris que l'interprète de Leia dans la saga Star Wars allait recevoir cet honneur, en étant sélectionnée parmi les personnalités de 2022. Une décision immédiatement saluée par son partenaire de jeu Mark Hamill, qui a joué son frère Luke Skywalker, ainsi que par ses fans, dont certains avaient décidé de lui fabriquer quelque temps plus tôt une étoile sur le Walk of Fame, à défaut d'une officielle.

Marvel : la star de la série n'aime pas le Hulk de Mark Ruffalo et du MCU

Si la série She-Hulk : Avocate, prévue pour le 17 août 2022 sur Disney +, marquera les débuts de Tatiana Maslany dans le rôle de Jennifer Walters / She-Hulk, elle marquera également le retour de Mark Ruffalo dans le rôle de Bruce Banner / Hulk. C’est en 2012 que ce dernier est apparu dans la peau du héros vert dans le premier volet de la saga Avengers, avant de faire de multiples apparitions remarquées dans différents projets de la franchise.

Au cours de la dernière décennie, Ruffalo a reçu de nombreuses éloges pour sa performance dans le MCU, mais il y a une personne qui n'est absolument pas fan de sa version du personnage. Lou Ferrigno, qui a joué dans la série L’Incroyable Hulk dans les années 1970, a en effet exprimé son dégoût pour la dépendance de Marvel aux images générées par ordinateur.

Dans une récente interview pour le Washington Times, l'acteur a partagé ses sentiments à ce sujet et s’est dit prêt à écraser "tous les CGI" dans les films de super-héros de Marvel. Il y déclare que quelque chose se perd lorsque le personnage aux manières douces du Dr Bruce Banner se transforme en une version générée par ordinateur d'un homme devenu bête.

"Bien que j'apprécie le travail visuel incroyable que ces artistes produisent, il manque les qualités de performance humaines brutes que je pense que seul un acteur peut jouer. Surtout quand il s'agit de Hulk”, a déclaré Ferrigno, aujourd'hui âgé de 70 ans.

Le bodybuilder à la retraite affirme que les Avengers plus récents et Hulk manquent de certaines des qualités humaines essentielles pour amener le personnage de comics à la peau verte à la vie. "Ce qu'il se passe, c'est que [dans] les deux premiers films de Hulk, les CGI s'amélioraient, mais [dans] le dernier, Endgame, j'ai été déçu. Parce que Hulk doit être hideux, il doit être une créature", avait précédemment proclamé Ferrigno au Hamilton Comic-Con Canadien. "Vous voyez dans Endgame, Mark Ruffalo – je pense que cela a beaucoup à voir avec lui et Disney – je n'aimais pas la façon dont il décrivait [Hulk]. Cela a enlevé cette beauté, cette qualité de Hulk. C'est pourquoi beaucoup de gens ont aimé la série."

L'année dernière, l’acteur avait également tweeté à ce sujet : "Je ne peux pas penser à un autre super-héros qui ne soit pas en costume ou en images de synthèse. J'ai travaillé très dur sur mon alimentation et mon exercice pour Hulk. Je n'allais laisser personne tomber. Hulk était aussi mon héros quand j'étais enfant." 

Des propos qui ont provoqué de nombreuses réactions de la part des fans de l’univers Marvel qui ont rapidement mentionné Dave Bautista (Drax) et Chris Hemsworth (Thor), entre autres, en tant qu'acteurs qui s'entraînent physiquement dur pour leurs rôles. 

Cependant, la plupart des adeptes de la franchise semblent satisfaits de la version CGI du personnage de Mark Ruffalo, ce qui n’est toutefois pas le cas de She-Hulk : Avocate. En effet, lorsque la première bande-annonce de la série est sortie, les critiques sont tombées. Alors que beaucoup étaient enthousiasmés par le ton léger de la série et les connexions Marvel, d'autres n'étaient pas satisfaits par les images de synthèses. Marvel a depuis pris les devants, révélant une version déjà mise à jour de la bande-annonce qui montre quelques différences subtiles dans le travail CGI sur le visage de l'héroïne.

Quoi qu’il en soit, l'avocate, elle, débarquera, avec critiques de Lou Ferrigno ou pas, sur Disney+ le mercredi 17 août, un rendez-vous que les fans de Marvel ne manqueront sûrement pas.

19 juin 2022

Jennifer Lopez à cœur ouvert sur son enfance, elle se confie sur sa mère

Depuis le 15 juin dernier, Netflix propose à ses abonnés un tout nouveau documentaire sur une célébrité internationale : Jennifer Lopez. Intitulé Halftime, ce programme revient sur la carrière, la vie amoureuse et l’enfance de la chanteuse et actrice de 52 ans. L’occasion d’en savoir plus sur l'éducation à la dure qu’elle a reçue notamment de la part de sa mère, Guadalupe Rodriguez, une Portoricaine de 76 ans. La star a ainsi révélé que celle-ci est quelqu’un de "compliqué" et qu’elle n’a pas forcément eu une vie facile.

"Elle a fait ce qu’elle avait à faire pour survivre et ça l’a rendue forte, mais ça l’a aussi endurcie", a d’abord expliqué Jennifer Lopez, avant de révéler qu’avec ses sœurs Leslie et Lynda, sa mère les "battait pas mal". De son côté, l’intéressée s’est justifiée, en reconnaissant être "loin d’être une mère parfaite". N’ayant visiblement pas de regrets sur la manière dont elle a élevé ses enfants, celle que l’on surnomme "Lupe" a affirmé : "Mais, ce que je peux dire, c’est que j’ai tout fait dans leur intérêt." Sans employer le terme de "violence", elle a assuré avoir été "très exigeante avec elles" pour les aider à s’en sortir dans la vie, "pas pour critiquer, [mais] pour qu’elles visent plus haut".

Concernant sa fille Jennifer, cette ancienne enseignante en maternelle a estimé que c’est celle qui lui "a donné du fil à retordre". "On s’est souvent disputées", a-t-elle déclaré. Pour sa part, la chanteuse s’est remémoré la fois où l’un de leurs clashs l’a conduite à prendre son indépendance. "Ma mère m’a dit : ‘Si tu veux vivre dans cette maison, tu vas faire tes études.’ Nous nous sommes disputées une nuit et je suis partie", a-t-elle raconté. Après cela, la jeune femme de seulement 18 ans s’est retrouvée sans logement et est parvenue à travailler comme clerc de notaire, en combinant des spectacles de danse dans des boîtes de nuit à Manhattan. Ce n’est que quatre ans plus tard qu’elle a connu la lumière en faisant partie des danseuses de Janet Jackson.

Laurence Boccolini se confie sur les attaques sexistes reçues

Interviewée dans les colonnes du Parisien, ce dimanche 19 juin, Laurence Boccolini est revenue sur sa carrière à la télévision, mais aussi à la radio et sur ses projets, que ce soit dans la musique ou dans la fiction. Auprès de nos confrères, la présentatrice de Tout le monde veut prendre sa place a également évoqué les nombreuses critiques qu’elle a pu recevoir depuis qu’elle est connue, mais surtout depuis qu’elle a succédé à Nagui aux commandes du jeu télévisé de France 2.

Catégorique, la maman de Willow a assuré que "tout est plus dur" quand on travaille sur le petit écran et qu’on est une femme, et ce, "physiquement comme moralement". "Les attaques sont beaucoup plus directes et franches", a affirmé Laurence Boccolini, en précisant : "Ce qu’on a dit de moi et sur moi, on ne l’aurait jamais fait avec un homme." Elle a souligné que "plusieurs animateurs [le lui] ont signalé". Depuis qu’elle présente des émissions, l’ex-femme de Mickaël Fakaïlo s’est ainsi rendu compte qu’elle n’avait pas que des soutiens. À l’époque du Maillon faible et de Money Drop, on l’a d’ailleurs, "à chaque fois, donnée perdante". Malgré les nombreuses personnes qui l’ont rabaissée sur son chemin, que ce soit des membres de la profession ou des téléspectateurs non satisfaits, elle a su se faire confiance et avancer, la tête haute.

"Je savais où j’allais, que je pouvais bien le faire, que j’avais travaillé pour", a expliqué Laurence Boccolini, qui a donné un conseil à ses futures consœurs : "Il faut s’accrocher et réussir à convaincre." De plus, l’animatrice a quitté TF1 pour France 2 et, même si elle s’y sent bien, elle a dû accepter d’être moins payée. "L’argent n’est pas un moteur. Je gagne ma vie, mais il faut diviser par cinq ou six par rapport à un prime sur TF1… Mais je ne peux pas faire les choses si je ne prends pas de plaisir ou si je ne travaille pas avec des gens que j’aime bien", a-t-elle affirmé en toute honnêteté.

Lou Pernaut insultée, elle pousse un coup de gueule

“Apaisez vos cœurs”, c’est par ces quelques mots que Lou Pernaut a tenu à répondre aux insultes dont elle a été une nouvelle fois victime sur TikTok, ce samedi 18 juin. Traitée de “grosse vache”, la fille de Jean-Pierre Pernaut a déploré l’attitude et la violence des propos de certains internautes. La jeune femme de 19 ans a ajouté : “Ne vous étonnez pas si je ne montre jamais mon corps entier sur TikTok ou alors que je galère à faire des post Insta […].”

Très active sur les réseaux sociaux, particulièrement sur la célèbre application de partage de vidéos, Lou Pernaut rend coup pour coup, même si elle n’a pas caché sa lassitude et sa tristesse face à l’attitude et aux mots parfois très durs de certains followers : “Vous me bloquez tellement dans tous mes projets bordel, j’veux juste kiffer ma vie sans votre put… de jugement h24. Même à la télé, même en interview, même en story, même en DM, même dans les coms […].”

Régulièrement prise à partie sur les réseaux sociaux, Lou Pernaut n’hésite pas à répondre à ceux qui ne se gênent pas pour la critiquer. Le 2 avril dernier, elle avait expliqué ne plus supporter les nombreux messages blessants dont elle faisait l’objet. Elle avait raconté qu'à la suite d'une publication où elle avait partagé une photo de sa nouvelle manucure, une internaute pour le moins indélicate avait osé écrire : “C’est bien, vous n’avez pas l’air de trop souffrir de la perte de votre père.” La fille de Nathalie Marquay avait ajouté qu’elle recevait des commentaires de ce type quasiment quotidiennement. Ce qui est sûr, c’est que Lou Pernaut compte bien ne pas subir sans réagir.

Millie Bobby Brown voudrait bien incarner Halsey si un biopic lui était consacré

Si jamais un biopic devait être consacré à Halsey, Millie Bobby Brown sauterait sur le rôle ! La chanteuse était de passage sur le plateau du Tonight Show de Jimmy Fallon lundi où elle a proposé l’idée, mettant en avant sa ressemblance confondante avec la star de Stranger Things.

« Millie serait parfaite. Ce que je veux dire, c’est que c’est troublant à quel point on se ressemble. Genre, on a vraiment l’air d’être des sœurs », s’est étonnée l’interprète de Without Me. Et l’intéressée n’a pas tardé à réagir !

« Tellement partante », a écrit, d’après People, Millie Bobby Brown en légende d’une Story Instagram présentant un extrait de l’interview de Halsey.

Si la chanteuse a abordé ce sujet, c’est parce qu’un biopic sur elle a véritablement été envisagé il y a quelques années. Un projet qui lui avait permis de rencontrer le producteur Alev Aydin, son actuel compagnon et le père de son enfant. En effet, c’est lui qui avait été engagé pour écrire ce film. Mais le long-métrage a finalement été mis au placard, étant donné que la romance née entre les deux collaborateurs entraînait un flagrant « conflit d’intérêts », le producteur étant devenu un protagoniste central dans l’existence de Halsey.

Bradley Cooper confie avoir été transformé par la paternité

La vie de Bradley Cooper a pris un tournant décisif lorsqu’il est devenu père. Et, alors qu’aujourd’hui sa carrière est au beau fixe, rien n’a plus de valeur à ses yeux que les moments passés avec sa fille Lea de Seine, née en 2017 de son union avec Irina Shayk.

« La paternité est… Tout a changé. Chaque chose a été absolument changée ou s’est teintée de glorieuses couleurs du fait que je suis devenu père d’un merveilleux être humain », a confié l’acteur lors d’un passage dans le podcast SmartLess présenté par Jason Bateman, Will Arnett et Sean Hayes.

Si Bradley Cooper ressent d’immenses joies à la découverte d’un scénario, ou sur les plateaux de tournage, les jours passés avec sa fille lui apportent un bonheur sans limite. « Vous avez, genre, 40 de ces moments chaque jour avec votre enfant, et qui apportent le même niveau de joie », a-t-il conclu.

Au final, la paternité a permis à Bradley Cooper de trouver l’amour-propre qui lui avait manqué durant de nombreuses années marquées par le doute et les addictions. Son épanouissement en tant que père va désormais de pair avec sa consécration en tant qu’acteur et réalisateur.