24 janvier 2022

Harry Potter : Rupert Grint veut bien rejouer Ron mais à une condition !

Le 1er janvier 2022, Salto mettait en ligne l’émission Harry Potter : Retour à Poudlard, marquant les retrouvailles des acteurs de la célèbre franchise à l’occasion des 20 ans de la sortie du premier film. De quoi raviver la flamme auprès des aficionados de la saga et, surtout, les questions autour d’un éventuel prochain long-métrage mettant en scène Harry, Ron et Hermione.

De passage dans l’émission Good Morning Britain, Rupert Grint a été interrogé sur un potentiel neuvième épisode. Serait-il partant pour retrouver l’univers magique créé par J.K. Rowling ? “Je ne peux vraiment pas penser à une raison de ne pas le faire. J'aime ce personnage, j'aime ce monde. C'est une grande partie de ma vie”, a-t-il répondu, donnant espoir à tous les Potterheads du monde entier.

Le comédien a d’ailleurs avoué ressentir “une sorte d’appartenance envers Ron” mais avoir néanmoins “adoré voir la pièce” Harry Potter et l’Enfant maudit, qui se déroule 19 ans après les événements du dernier roman. “Et c'était un vrai plaisir de voir quelqu'un d'autre prendre le contrôle de ce corps”, a-t-il ajouté.

Se replonger lui-même dans la peau du meilleur ami d’Harry Potter ne semble en tout cas pas le rebuter, à condition, bien sûr, de ne pas être le seul ! “Je (reviendrais) si les autres le faisaient, je pense … ouais !”, a ainsi tenu à préciser Rupert Grint.

Il ne lui reste donc plus qu’à convaincre Daniel Radcliffe et Emma Watson qui ont toujours semblé un peu plus frileux à l’idée de reprendre leurs rôles ! En revanche, pas besoin de chercher très loin pour un réalisateur : Chris Columbus a d'ores et déjà fait part de son envie de rediriger le trio dans l'adaptation cinématographique de L'Enfant Maudit. À bon entendeur... 

Most Wanted Criminals : Julian McMahon quitte le série après 3 saisons

Coup de théâtre dans Most Wanted Criminals : après Nathaniel Arcand et plus récemment Kellan Lutz, qui avait fait ses adieux à la série au terme du premier épisode de la saison 3 en septembre dernier, c'est au tour de Julian McMahon, alias Jess LaCroix, de quitter le navire en cours de route !

Star de Most Wanted Criminals depuis son lancement en janvier 2020 sur la chaîne CBS aux États-Unis, Julian McMahon, que les fans de Charmed et de Nip/Tuck connaissent bien, a en effet annoncé ce week-end son départ dans un communiqué relayé par Deadline.

"Durant les derniers mois, les producteurs de Most Wanted Criminals et moi avons eu des discussions au sujet de mon départ pour poursuivre de nouveaux défis créatifs et de la transition pour le personnage de Jess LaCroix", explique le comédien dans son message destiné aux fans du spin-off de F.B.I., dont le titre en VO est "FBI : Most Wanted". "Ces conversations nous ont permis d'orchestrer mon départ de manière cohérente et productive".

"J'aimerais exprimer ma gratitude et mon admiration pour les producteurs Dick Wolf et Peter Jankowski. Je suis extrêment fier du travail que nous avons accompli ensemble, et je place le développement de la série et mon personnage de Jess tout en haut de mes expériences professionnelles. Et je souhaite à mes partenaires de jeu, aux équipes, et à la série le plus grand succès".

Selon Deadline, le dernier épisode avec Julian McMahon sera tourné cette semaine et sera diffusé le 8 mars aux États-Unis. On ignore quelle porte de sortie sera réservé au personnage de Jess LaCroix, mais Most Wanted Criminal devrait introduire un nouveau lead d'ici la fin de sa troisième saison, afin de combler le vide laissé par le départ de Julian McMahon.

En France, la saison 2 inédite de Most Wanted Criminal est actuellement proposée chaque mardi à 21h sur Série Club, avant une diffusion prochaine sur TF1.

23 janvier 2022

Une enquête révèle que le prince Harry et Meghan Markle ont été victimes d'une campagne de haine monétisée

Il fait désormais peu de doute que le prince Harry et Meghan Markle ont fait l’objet d’une campagne de haine organisée à but lucratif. Ce sont les conclusions d’un rapport publié par le service d’analyse de données Bot Sentinel en début de semaine.

D’après ce document, plusieurs comptes ont été créés à la seule fin de cibler le couple princier de manière coordonnée sur différentes plateformes dont Twitter et YouTube. Trois comptes baptisés YankeeWally, MurkyMeg et According2taz se détachent du lot. Ils ont servi à créer des « vidéos YouTube de piètre qualité visant Harry et Meghan » en 2019. Ces vidéos ont en tout cumulé plus de 70 millions de vues pour des revenus publicitaires estimés à près de 500.000 dollars.

« Le trio a créé des vidéos haineuses et en grande partie mensongères pour monétiser des théories du complot concernant Harry et Meghan », tout en les relayant sur Twitter via une multitude de faux comptes en majorité suspendus par le réseau social depuis.

« Leurs efforts leur ont permis d’interagir avec des journalistes et des spécialistes de la famille royale qui ont ensuite, dans certaines circonstances, amplifié les mensonges », poursuit le rapport.

Si l’on peut considérer que cette campagne de désinformation haineuse est désormais terminée, on peut supposer qu’elle aura eu un effet durable sur l’image du couple princier qui a choisi d’abandonner ses prérogatives royales en mars 2020. Le prince Harry est depuis en conflit avec sa famille alors qu’il essaye d’obtenir une protection policière lors de ses venues au Royaume-Uni, qu’il souhaite payer lui-même. En effet, d’après son représentant, les Sussex seraient la cible de « menaces extrémistes et néonazies ».

Stevie Wonder s'engage pour protéger le droit de vote des minorités aux Etats-Unis

Mercredi, un projet de loi visant à garantir l’accès au vote des minorités largement défendu par Joe Biden était présenté devant le Sénat américain. Deux jours avant, alors que se tenait le Martin Luther King Jr. Day, jour férié aux Etats-Unis, de nombreuses personnalités ont tenu à s’exprimer en faveur de cette réforme électorale, à l’instar de Stevie Wonder. « Un sénateur qui ne soutient pas le droit de vote aux Etats-Unis ne peut pas dire qu’il soutient la Constitution. Si nos droits vous importent et que vous les soutenez, mettez-vous au boulot », a déclaré l’icône musicale dans un message vidéo publié sur sa chaîne YouTube.

Des mots qui n’ont eu aucun effet sur l’issue du scrutin, bloqué par l’opposition républicaine, et ce notamment grâce au soutien de deux élus démocrates qui ont voté contre leur camp.

En effet, le texte de loi reste en suspens grâce à la règle dite du filibuster qui permet à l’opposition de bloquer les débats tant qu’une majorité des 3/5e – soit 60 sénateurs sur 100 – ne se distingue pas. Or, Joe Biden avait pour ambition de déjouer ce principe afin de faire passer la réforme électorale en force à la majorité simple. Mais les sénateurs démocrates Joe Manchin (Virginie Ouest) et Kyrsten Sinema (Arizona) se sont rangés contre ce bouleversement des règles sénatoriales.

Pour Stevie Wonder, c’est tout simplement une aberration démocratique et lui laisse penser que les élus n’ont pas en ligne de mire la protection des citoyens. « L’obstruction parlementaire ne fonctionne pas en démocratie », a-t-il ajouté. A l’origine, le principe du filibuster est censé pousser les élus des deux camps à parvenir à un compromis en permettant au parti minoritaire d’ajourner le vote d’une loi. Mais en pratique, le recours fréquent au filibuster au sein d’un Sénat américain plus clivé que jamais provoque un enlisement démocratique et rend extrêmement difficile la mise en place de réformes majeures aux Etats-Unis.

Gims redemande la nationalité française et s’excuse pour la vidéo contre la bonne année

Trois semaines après la polémique, Gims revient sur la vidéo où il demande qu’on arrête de lui souhaiter la bonne année pour des questions religieuses. « Cette vidéo, je la regrette totalement », confie-t-il dans les colonnes du JDD ce dimanche. « C’était un ovni, je ne communique pas comme ça habituellement. Je ne voulais pas blesser des gens. La foi, ça relève de l’intime. Il ne faut pas que les réseaux sociaux soient un tremplin pour parler de ça. Ça ne change en aucun cas mes relations avec mon public, animiste, ­bouddhiste, catholique, musulman… », déclare le chanteur.

« Cette vidéo a été faite avec spontanéité, tard le soir. Je suis vraiment désolé », ajoute-t-il encore. Il rejette sa faute sur la fatigue : « J’étais fatigué, je venais de regarder plein de snaps pour le Nouvel An. J’étais en train de faire le con. » Le chanteur a eu « peur » d’être récupéré à l’approche de l’élection présidentielle : « Quand j’ai vu ma tête partout, sur toutes les chaînes, oui, ça m’a fait peur. Je n’arrivais pas à dormir. »

Ces propos dans la vidéo publiée sur Instagram avaient fait réagir plusieurs personnalités politiques dont Éric Zemmour et Valérie Pécresse, dont il réfute être un soutien. « Je ne soutiens pas Valérie Pécresse. […] Je soutiens sa démarche, en tant que présidente de la région Île-de-France, pour les jeunes talents. […] Les gens pensent que j’appelle au vote, alors que je n’ai pas la nationalité française. Moi-même je ne peux pas voter ! », a appelé celui qui compte redemander la nationalité française, qui lui a été refusée, a-t-il annoncé.

« Je referai une demande de nationalité. Je suis quelqu’un de très patient, pas du genre à baisser les bras », a-t-il déclaré à l’hebdomadaire. L’auteur-compositeur-interprète, né Gandhi Djuna à Kinshasa en 1986, est arrivé en France à l’âge de deux ans, de parents qui fuyaient à l’époque le Zaïre du président Mobutu Sese Seko.

« Il me manque “le papier officiel”. Mais ça, ça ne dépend pas que de moi. Apparemment le refus est lié à un délit que j’aurais commis quand j’étais mineur. Mais mon casier est vierge », détaille le rappeur. Le quotidien Le Parisien, qui publie une enquête sur Gims, présente cependant une autre version. Sa première demande de naturalisation est déposée en 2013, mais « la procédure s’enlise » .

Selon « un ancien ministre de l’Intérieur » interrogé par le journal, le refus finalement essuyé en 2017 est dû à « des défauts de paiement d’amendes pour des délits routiers et son incapacité à établir en France le centre de ses intérêts matériels ». Le chanteur résidant une bonne partie de l’année à Marrakech au Maroc.

Gims aurait relancé sa demande en 2018, évoquant le sujet auprès de l’épouse du président Brigitte Macron, sans plus de succès, d’après Le Parisien. Ne pas être Français, « c’est l’un de mes plus grands regrets. Tous mes souvenirs sont en France. […] Quand je voyage au Qatar, aux Etats-Unis… je me présente comme un artiste français. Pas congolais », conclut-il dans les colonnes du JDD.

Nightmare Alley : il existe un autre film tiré du même livre

Nightmare Alley, c'est le onzième long métrage signé Guillermo del Toro. Et le premier depuis les 4 Oscars (dont ceux du Meilleur Film et du Meilleur Réalisateur) reçus par La Forme de l'eau en 2018. Co-écrit avec Kim Morgan, le scénario nous plonge dans les années 40 et les coulisses d'une fête foraine, où le charismatique Stanton Carlisle (Bradley Cooper) se trouve une famille d'adoption alors qu'il traverse une mauvaise passe et semble cacher un lourd secret.

Il ne faut pas longtemps au spectateur pour comprendre que Guillermo del Toro est comme un poisson dans l'eau au sein de cet univers forain, lui dont chaque opus ressemble à une déclaration d'amour envers les monstres et créatures en tous genres. Et on comprend vite ce qui a pu l'attirer dans cette histoire… dont il n'est pas l'initiateur. Car Nightmare Alley est adapté du roman homonyme signé William Lindsay Gresham en 1946. Et transposé au cinéma l'année suivante.

Sorti en octobre 1947 aux États-Unis, et l'été suivant en France, le long métrage a été réalisé par Edmund Goulding (qui avait notamment participé à la mise en scène d'Une nuit à l'opéra des Marx Brothers sans être crédité). Et il a changé de titre en traversant l'Atlantique, pour devenir Le Charlatan.

Une manière d'annoncer la couleur pour ce pur film noir là où, en conservant son appellation originale, la version de Guillermo del Toro, tout en restant dans le même genre et sans verser dans le surnaturel, insiste d'entrée de jeu sur sa stylisation et l'aspect cauchemardesque de certaines séquences.

Incarné par Bradley Cooper dans la seconde version, Stanton Carlisle avait les traits de Tyrone Power en 1947. Soit la star du Signe de Zorro (1940), qui allait ensuite tourner dans l'adaptation de Témoin à charge mise en scène par Billy Wilder, avant de mourir d'une crise cardiaque sur le tournage de Salomon et la reine de Saba en 1959.

Désireux de s'éloigner des rôles de héros bondissants et romantiques, c'est lui qui avait acquis les droits du roman pour casser son image et porter le film sur ses épaules, malgré le scepticisme de son entourage. Et c'est après avoir tourné dans Le Fil du rasoir sous sa direction qu'il retrouve Edmund Goulding, et ses talents de séducteur collent parfaitement avec le pouvoir de fascination que suscite Stanton.

Respectivement interprétés par Cate Blanchett, Rooney Mara, Toni Collette et Richard Jenkins aujourd'hui, Lilith, Molly, Zeena et Ezra Grindle étaient quant à eux joués par Helen Walker, Coleen Gray, Joan Blondell et Taylor Holmes 75 ans plus tôt.

Dans le fond, l'histoire reste la même dans un film comme dans l'autre, à tel point que l'on peut facilement comparer les scènes que les deux ont en commun. Mais on note plusieurs différences sur la forme. Là où Guillermo del Toro souligne d'entrée de jeu le côté trouble de Bradley Cooper avant son arrivée dans la fête foraine, Tyrone Power en fait déjà partie lorsque nous faisons sa connaissance et paraît, à priori, plus normal.

Dans un cas comme dans l'autre, chaque adaptation de Nightmare Alley se penche sur la notion de rêve américain et cette idée de partir de rien pour arriver au sommet. Avant la chute, que chacun préfigure à sa manière : Edmund Goulding cache un indice dans les premiers plans de son opus, et lui donne ainsi la fatalité typique du film noir. Alors que Guillermo del Toro opte pour la forme du conte avec une approche plus stylisée. Et cinéphile.

Bien qu'en noir et blanc, Le Charlatan se distingue, comme beaucoup des films du genre, par son travail sur les ombres, symbole de l'entre-deux moral dans lequel naviguent ses personnages. Un élément que l'on retrouve dans le Nightmare Alley de 2021, avec davantage de couleurs. Comme La Forme de l'eau, le long métrage bénéficie du travail du chef opérateur Dan Laustsen, qui aide le cinéaste à créer une ambiance à la lisière du fantastique alors que le récit n'a rien de surnaturel.

On pense alors au terrifiant Freaks de Tod Browning, avant que le film ne change de décor. Car les films ont également en commun le fait de se diviser en deux moitiés à peu près égales : une dans la fête foraine, l'autre à New York, où Stanton va mettre à profit ses talents pour tenter d'escroquer un homme riche. Beaucoup moins référencé que la version de 2021, qui paraît presque fétichiste dans son approche du film noir, Le Charlatan adopte alors une imagerie plus classique, avec ses costumes, ses buildings, ses ruelles d'où peut surgir un gangster. Et sa femme fatale.

Rarement cité parmi les classiques du film noir (des longueurs et ellipses ainsi qu'un manque d'ampleur dans sa mise en scène lui sont souvent reprochés), Le Charlatan ne manque cependant pas d'atouts, à commencer par sa fin moins convenue qu'il n'y paraît. Le fait que Guillermo del Toro s'y intéresse indirectement, en s'emparant du roman qui l'a inspiré, peut ainsi lui permettre d'être (re)découvert, voire réévalué.

Même s'il est ancré dans les années 40, son propos ne paraît pas daté et ses qualités esthétiques valent le coup-d'œil, sans même chercher à faire de comparaison avec le Nightmare Alley nouveau. Le seul "problème", c'est qu'il n'est actuellement visible qu'en DVD en France.

Palmarès Alpe d'Huez 2022

Le palmarès complet de la 25e édition du Festival de l'Alpe d'Huez :

Grand Prix OCS : Irréductible de et avec Jérôme Commandeur,

Prix spécial du Jury Hiventy : On sourit pour la photo de François Uzan

Prix du public AlloCiné : Jumeaux mais pas trop ! de Olivier Ducray et Wilfried Meance

Prix d'interprétation masculine : le casting d'Au revoir le bonheur de Ken Scott (François Arnaud, Antoine Bertrand, Louis Morissette, Patrice Robitaille)

Prix d'interprétation féminine : Audrey Lamy pour La Brigade de Louis-Julien Petit

Prix du court-métrage : Celle qui n'avait pas vu Friends de Charlotte Gabris

22 janvier 2022

Disney va refaire Les Aristochats, en live action, avec de vrais chats

Après avoir refait La Belle et le Clochard avec de vrais chiens, Disney prépare un nouveau remake d'un de ses classiques d'animation : Les Aristochats.

Cette fois encore, le film sera tourné en prises de vues réelles, et donc présentera de vrais chats, en train de... jouer du jazz et de swinguer ? 

Prévu pour la plateforme Disney Plus, Les Aristochats en live action sera écrit par Keith Bunun, scénariste de En Avant (pour Pixar) et Will Gluck, qui a récemment dirigé Pierre Lapin 2. Aucun réalisateur n'est actuellement attaché au projet. 

En ce qui concerne le style artistique, selon les infos de Deadline, ce remake en poils et en os devrait proposer un look similaire à celui de La Belle et le Clochard (sorti en 2019). Le film en est seulement au début de son développement.

Les Aristochats, sorti en 1970 au cinéma, suit une famille de chats à Paris, qui doit hériter d'une fortune. Mais après que le majordome les ait kidnappés, ils doivent se lier d'amitié avec un matou pour pouvoir rentrer à la maison...

Bande-annonce de Tall Girl 2

Petit teen movie plutôt offensif sorti en 2019 sur Netflix, Tall Girl revient dans une suite mettant toujours en scène Ava Michelle dans le rôle de Jodi. Désormais débarrassée de ses complexes liés à sa grande taille, la jeune fille est devenue une des vedettes de son lycée et va devoir faire face à de nouveaux problèmes, comme on peut le voir dans la bande-annonce mise en ligne par la plateforme. 

Synopsis : Grâce à son discours lors du bal de promo, Jodi (Ava Michelle) a réussi à se défaire de son étiquette de "géante". Elle a maintenant des amis, elle a pris confiance en elle, elle sort avec un garçon et elle a décroché le premier rôle de la comédie musicale de son lycée ! Mais la pression monte et ses appréhensions reviennent... De nouvelles amitiés se forment, tandis que les anciennes sont mises à l'épreuve. Le monde qu'elle s'est construit est en péril, et Jodi réalise que prendre de la hauteur n'est désormais plus suffisant.

Bande-annonce de Vengeance aux poings, avec Iko Uwais

Avis aux amateurs de films de baston. Iko Uwais va très bientôt revenir casser des bouches sur Netflix dans Vengeance aux poings. Un film qui est en fait la suite de la série Wu Assassins, dans laquelle un chef cuisinier de San Francisco nommé Kai Jin (Usais) récupérait des pouvoirs surnaturels pour lutter contre des super méchants. 

Annoncé le 17 février sur Netflix, Vengeance aux poings reprendra les mêmes éléments que la série, avec donc au programme pas mal de baston, en transposant l'histoire à Bangkok. Il faut dire qu’Iko Uwais est un spécialiste du genre. Ce maitre en arts martiaux est notamment connu pour ses rôles dans The Raid 1 et 2, Man of Tai Chi avec Keanu Reeves, Le Réveil de la Force ou encore 22 Miles. Il a récemment rejoint le casting d’Expendables 4, qui doit également sortir cette année.