29 mai 2023

Arnold Schwarzenegger raconte comment son père l’a rendu accro au sport dès son plus jeune âge

Aujourd’hui encore, Arnold Schwarzenegger ne démarre pas une journée sans faire un minimum d’exercices. Un véritable mode de vie qu’il doit avant tout à son éducation, et plus particulièrement à son père.

« Vous savez, je ne me considère pas comme quelqu’un de discipliné. Parce que faire du sport le matin est quelque chose que je fais depuis que je suis petit », a expliqué à Entertainment Tonight l’acteur qui, à 75 ans, revient dans la nouvelle série d’action-comédie sur Netflix, intitulée FUBAR.

« Je me souviens que mon père me disait, “ Tu ne peux pas prendre ton petit-déjeuner en premier, tu dois le gagner. Tu dois faire 200 abdos et autant de pompes. ” C’est comme ça que j’ai grandi et c’est toujours ce que je fais aujourd’hui. »

Mais pour l’icône hollywoodienne, il ne s’agit plus de faire du sport pour obtenir ou garder son physique hors normes, mais tout simplement pour se sentir bien.

« J’ai juste besoin d’avoir mon heure de sport et puis de faire un peu de vélo histoire de maintenir mon cardio », a poursuivi Arnold Schwarzenegger.

« Ça vous permet juste de vous sentir bien, peu importe ce que vous faites. Que vous fassiez une série, un film ou même que vous soyez en train d’écrire un livre ou de préparer un discours. Peu importe ce que vous faites, vous avez besoin de vous sentir en forme et plein d’énergie. » 

Kim Kardashian revient sur son « merveilleux » mariage avec Ye

Même si la séparation a été difficile, Kim Kardashian n’a aucun mal à qualifier de « merveilleux » le temps passé avec Ye.

D’ailleurs, elle ne considère pas du tout la fin de leur relation comme un échec. Pour autant, la star aurait aimé comprendre plus tôt qu’il est impossible « d’aider quelqu’un qui ne veut pas être aidé ».

« Vous ne pouvez pas projeter vos croyances sur quelqu’un qui pense complètement différemment de vous et le forcer à les partager », a expliqué Kim Kardashian au micro du podcast de Jay Sherry On Purpose.

« C’est okay d’avoir des points de vue différents. C’est comme ça que tourne le monde. Mais si vous n’êtes pas alignés sur les mêmes valeurs fondamentales, alors il est aussi normal de vous rendre compte que la vie est très courte et que vous feriez mieux de trouver des gens en phase avec vos croyances. »

Nicki Minaj bloque un fan qui a dessiné un portrait d’elle très peu flatteur

Visiblement peu encline à l’autodérision, Nicki Minaj a bloqué manu militari le compte d’un fan qui venait de publier un portrait d’elle peu flatteur sur Twitter.

Or, cet internaute au coup de crayon hasardeux répondant au nom de Jase assure qu’il avait seulement voulu faire de l’humour. « Mon Dieu, ma reine, c’était une blague. S’il te plaît, débloque-moi », a-t-il écrit en légende du screenshot d’un message de notification de Twitter lui indiquant qu’il avait été bloqué par la rappeuse.

N’ayant reçu aucune réponse au bout de deux jours, l’internaute a de nouveau tenté de plaider sa cause, assurant à Nicki Minaj et ses fans qu’il regrettait son geste. Malheureusement pour lui, les adeptes les plus zélés de l’artiste qu’on surnomme les Barbz ne lui ont montré aucune compassion.

« C’est censé être de l’abstrait ? », a lâché un internaute, un autre ajoutant : « Je peux encore le voir quand je ferme les yeux. »

Pour Florence Pugh, les réseaux sociaux sont un moyen de mieux contrôler son image

Si Florence Pugh n’a aucun souci à se montrer au naturel sur ses réseaux, c’est avant tout pour garder le contrôle sur son image. En effet, l’actrice de 27 ans déteste l’idée de se construire une image glamour si c’est pour être surprise sous un jour peu flatteur par des paparazzi la prochaine fois qu’elle sortira ses poubelles.

« Je n’irais jamais montrer un aspect de moi tout en sachant que ça va me nuire. Mais je ne veux pas non plus que quelqu’un se fasse de l’argent en me surprenant en train d’être moi-même », a-t-elle expliqué au Time. « Je veux tout leur donner. »

Une technique adoptée par Florence Pugh alors qu’elle a grandi à une époque où on célébrait autant les stars pour leurs apparitions sur les tapis rouges qu’on les dépréciait pour avoir « l’air normal » en privé.

« Quand j’ai commencé, je voulais avoir le contrôle de ce que les gens voyaient de moi sans pour autant chercher à les duper », a-t-elle continué. « Je pense qu’une partie de ma présence en ligne où j’essaye de paraître normale est un moyen d’avoir le contrôle là-dessus. »

Voilà pourquoi Florence Pugh n’a aucun problème à poster des selfies peu flatteurs sur ses réseaux !

Pour Jeff Bridges, se sortir du Covid a été pire que son cancer et la chimiothérapie


Jeff Bridges l’assure, se débarrasser du Covid a été plus éprouvant que de lutter contre le cancer. Mais encore faut-il préciser que l’acteur de 73 ans a été touché par le virus alors même qu’il subissait une chimiothérapie pour traiter un lymphome diagnostiqué en octobre 2020.

« J’ai reçu une lettre de la part de la clinique où je suivais ma chimiothérapie qui m’informait que j’avais contacté le Covid », a raconté la star de The Big Lebowski qui occupe la dernière couverture de AARP The Magazine.

« Je n’avais pas de système immunitaire pour lutter contre le virus. La chimio l’avait anéanti, ce qui a rendu les choses très, très dures. Pour moi, le cancer n’était rien comparé au Covid. »

Du coup, Jeff Bridges a dû rester hospitalisé pendant une longue période afin de lutter contre les deux maladies à la fois. Et s’il ne doutait pas de sa capacité à en réchapper, l’acteur admet qu’il était inquiet concernant son aptitude à un jour reprendre le chemin des plateaux de tournage.

« Je ne pensais pas pouvoir retravailler un jour, vraiment », a-t-il continué. « Alors au départ, je me suis dit, “On verra.” Puis à la fin, c’est devenu, “Peut-être que je vais pouvoir”. Je dois admettre que j’étais encore effrayé à l’idée de retourner travailler. Et puis j’ai fini par penser que c’était un cadeau qui m’était offert. »

Et quelque temps après, Jeff Bridges était sur pied pour terminer le tournage de la première saison de The Old Man.

Cannes 2023 : Le geste post-Palme d'or inattendu de Jane Fonda expliqué

La séquence n'est pas passée inaperçue, samedi soir : tout juste honorée de la Palme d'or pour son film Anatomie d'une chute, la réalisatrice française Justine Triet (La Bataille de Solférino) a oublié le diplôme qui accompagnait ce prix en partant saluer le jury qui venait de l'honorer. Jane Fonda, qui était à ses côtés sur la scène, lui a alors jeté, et le parchemin a touché la cinéaste visée dans le dos, sans qu'elle ne s'en aperçoive. L'actrice s'est ensuite avancée vers elle pour lui donner le fameux sésame, puis une fois que Triet a découvert son oubli, elles sont revenues au centre de la scène.

Ce geste de Jane Fonda a été beaucoup commenté sur les réseaux sociaux, puis dans les médias, entraînant des réactions parfois exagérées : certains ont osé assurer que la comédienne hollywoodienne avait jeté son prix à Justine Triet, fâchée après son discours politisé. Connaissant les convictions de la star de 85 ans, on a du mal à croire qu'elle ait été vexée par les propos de Triet, ou qu'elle ait quoi que ce soit à lui reprocher quant à ses valeurs de gauche... Fonda défend les droits des femmes depuis des décennies, tout comme les droits civiques et sociaux de son peuple (elle a par exemple médiatisé son cancer pour dénoncer le système de santé défaillant aux Etats-Unis) ou la protection du climat - ce qui lui vaut encore aujourd'hui d'être régulièrement arrêtée au cours de manifestations.

Pourtant, la séquence a beaucoup tourné, de façon tronquée : mieux vaut la voir en entier pour se faire une idée plus précise de ce qui s'est réellement passé. Certes, ce jeté de diplôme n'est pas le geste le plus distingué qui soit sur la scène d'un festival de cinéma, mais en observant bien toute l'extrait, cela relève très clairement d'un réflexe. Jane Fonda n'est pas fâchée, mais surprise que Triet ait pu partir sans prendre son prix. Elle lui a visiblement envoyé (avec une précision certaine !) sans réfléchir, et comme cette dernière ne s'est pas aperçue de son oubli, elle a continué à attirer son attention jusqu'à ce qu'elle récupère son papier.

Pas de quoi en tirer des conclusions hâtives, donc : les deux femmes se sont ensuite prises dans leurs bras, pendant que Justine Triet laissait éclater sa joie. Elle a ensuite rejoint son compagnon Arthur Harari pour le photocall de la Palme. 

La Petite Sirène : la poupée d'Halle Bailey est devenu l'un des jouets les plus vendus aux États-Unis

À Hollywood, la sortie d’un blockbuster est toujours accompagnée d’une série de produits dérivés. La commercialisation de ces jouets et accessoires peut rapporter plusieurs milliards de dollars. Et sur ce marché, Disney est roi. Forcément, l’arrivée de La Petite sirène en salle est l’occasion parfaite pour le studio de faire des bénéfices.

Créée par l’entreprise Mattel, la poupée à l’effigie d’Halle Bailey, qui incarne Ariel, est devenue l’un des jouets les plus vendus aux États-Unis. Sur le site Amazon, elle se classe numéro dans le classement des ventes. Dans certaines enseignes américaines, comme Target, elle est tout simplement en rupture de stock.

Si aucun chiffre ne permet d’évaluer plus précisément l’ampleur de ses ventes, ce succès dit quelque chose de l’engouement suscité par le choix de l’actrice pour jouer le rôle-titre. La partie était pourtant loin d’être gagnée.

Le 3 juillet 2019, la chanteuse Halle Bailey est annoncée au projet. La nouvelle donne lieu à un déferlement de messages haineux, pour la plupart racistes, sur les réseaux sociaux. L’objet de cette colère ? La couleur de peau de la jeune femme, noire. Dans la version animée de 1989, Ariel est blanche et pour certains, la pilule est difficile à avaler.

Devant une telle réponse négative, la firme publie un communiqué quelques jours plus tard pour rappeler que l’héroïne est avant tout un personnage fictif, une sirène, insinuant que sa couleur de peau importe peu. Une évidence, d’autant plus que l’adaptation du studio Disney n’a plus grand chose à voir avec le conte danois d’Andersen.

En ligne, les détracteurs, principalement des adultes, lancent même le hashtag #NotMyAriel - Pas ma Ariel en français - avec une multitude de montages incriminant la jeune comédienne alors âgée de 19 ans. Cette dernière finit par sortir du silence, un mois plus tard, en août 2019, au micro de Variety : “J’ai l’impression de rêver, je me sens chanceuse et je ne prête pas attention à la négativité.”

Le réalisateur Rob Marshall doit, lui aussi, s’expliquer dans Entertainment Weekly : “Nous avons vu tout le monde et toutes les ethnies. Nous avons simplement cherché la meilleure actrice pour Ariel. Point final.” Aucune explication n’est parvenue à calmer le jeu des plus indignés.

En septembre 2022, lorsque la première bande-annonce du film est dévoilée, plusieurs vidéos de petites filles noires réagissant aux images envahissent la Toile. Beaucoup laissent éclater leur joie - et leur étonnement - de voir une héroïne qui partage leur couleur de peau. Dans une interview accordée à The Guardian, l’actrice explique : “Enfant, voir une Ariel noire aurait changé ma vie.”

Le succès du produit dérivé confirme que la participation d’Halle Bailey répond à une vraie attente. Celle d’un jeune public qui voit, dans la représentation de cette nouvelle Ariel, un type d’héroïne d’ordinaire plus discret sur les écrans. 

28 mai 2023

Cannes 2023 : le palmarès

Palme d'or : Anatomie d'une chute de Justine Triet

Grand prix : The Zone of Interest de Jonathan Glazer

Prix du jury : Les Feuilles mortes d'Aki Kaurismäki

Prix de la mise en scène : La Passion de Dodin Bouffant de Trần Anh Hùng

Prix d'interprétation féminine : Merve Dizdar dans Les Herbes sèches de Nuri Bilge Ceylan

Prix d'interprétation masculine : Kōji Yakusho dans Perfect Days de Wim Wenders

Prix du scénario : Yuji Sakamoto pour Monster de Hirokazu Kore-eda

Caméra d'or : L'Arbre aux papillons d'or de Thien An Pham

Palme d'or du court-métrage : 27 de Flóra Anna Buda

Mention spéciale du court-métrage : Fár de Gunnur Martinsdóttir Schlüter

26 mai 2023

Tina Turner : les causes de sa mort enfin révélées

Chanteuse, autrice, interprète et actrice, Tina Turner a marqué le monde artistique par son talent, sa jovialité, et son énergie. Raison pour laquelle des millions de personnes à travers le monde ont été bouleversées par l'annonce de son décès, le mercredi 24 mai dernier. Une triste nouvelle révélée par son porte-parole dans la presse américaine. "Avec sa musique et sa passion sans limite pour la vie, elle a enchanté des millions de fans à travers le monde et inspiré les stars de demain. Aujourd'hui, nous disons au revoir à une amie très chère qui nous laisse sa plus grande œuvre : sa musique. Toute notre compassion va à sa famille. Tina, tu nous manqueras beaucoup", a-t-il déclaré.

D'après les dires de l'agent de Tina Turner, la star est décédée des suites "d'une longue maladie". Information sur laquelle le Daily Mail est revenu, révélant ainsi les réelles causes de sa mort.

D'après les informations de nos confrères, Tina Turner est morte "de causes naturelles" dans sa maison située en Suisse "après avoir lutté contre un cancer de l'intestin, quatre décennies d'hypertensions artérielles et subi une greffe de rein". Dans ses mémoires, la chanteuse avait révélé qu'elle s'était inscrite dans un organisme spécialisé dans le suicide assisté en Suisse.

Dans l'une de ses dernières interviews date du mois d'avril 2023, Tina Turner évoquait déjà sa mort, en déclarant le souvenir qu'elle souhaite laisser auprès de ses fans. "Je souhaite qu'on se souvienne de moi en tant que reine du Rock'n'roll, ou en tant que femme qui a montré aux autres femmes qu'il est normal de lutter pour le succès avec ses propres règles", a-t-elle déclaré. Un objectif qui semble atteint.

Mort de Samantha Weinstein : l'actrice canadienne est décédée à l'âge de 28 ans

C'est une bien triste nouvelle qui vient d'être annoncée sur les réseaux sociaux, après les disparitions de Tina Turner et de Jean-Louis Murat. L'actrice canadienne Samantha Weinstein est décédée à seulement 28 ans, comme sa famille l'a annoncé récemment sur sa page Instagram, par un texte poignant. "Hello depuis l'autre côté. Sam est décédée le 14 mai à 11h25, entourée des gens qui l'aimaient à l'hôpital Princesse Margaret à Toronto. Après deux ans et demi de traitement pour son cancer, et toute une vie à vadrouiller à travers le monde, à prêter sa voix à une pléthore d'animaux de dessins animés, à faire de la musique, et à en savoir plus sur la vie que la plupart des gens, elle a démarré une nouvelle aventure", peut-on lire en légende de deux clichés de la jeune comédienne, le crâne rasée mais le sourire aux lèvres.

Samantha Weinstein, dont le rôle le plus marquant reste celui dans le remake du film Carrie, sorti en 2013, avec notamment Chloë Grace Moretz, avait également joué dans la série Netflix Captive. L'actrice de 28 ans avait aussi prêté sa voix au personnage de Chikou dans une adaptation 3D de Babar, Les aventures de Badou.

Le 27 avril 2021, l'actrice canadienne avait révélé sur sa page Instagram souffrir d'une rare forme de cancer des ovaires. Samantha Weinstein avait indiqué qu'elle partagerait publiquement son combat contre la maladie, notamment sa chimiothérapie. "Je crois fermement que la représentation dans les médias compte, et le traitement du cancer ne font pas exception. Le cancer peut toucher n'importe qui - j'en suis la preuve vivante. Je pense que si quelqu'un qui souffre d'un cancer où que ce soit me voit vivre ça, peut-être que cela lui donnera aussi une once de force", avait-elle écrit, dans un texte poignant, dans lequel elle déclarait avoir été diagnostiquée trois mois plus tôt.

Samantha Weinstein, qui avait fait preuve d'un optimisme et d'un courage qui forcent l'admiration, aura finalement perdu son combat contre sa maladie