29 décembre 2022

Playmate Playboy, actrice : le tragique destin d'Yvette Vickers

Egérie de films de série B, ex Playmate du magazine Playboy dans les années 1950, surtout connue pour avoir incarné la femme de 50 pieds dans le petit classique de SF L' Attaque de la femme de 50 pieds en 1958, Yvette Vickers a connu son heure de gloire, fut-elle finalement assez éphémère, avant de tomber dans l'oubli et un anonymat complet. Jusqu'à un dénouement aussi tragique que sordide, qui n'est d'ailleurs pas sans rappeler la funeste fin de trajectoire de l'ex enfant star des studios Disney, Bobby Driscoll.

Née le 26 août 1928 et originaire du Missouri, Yvette Vickers grandit avec des parent artistes musiciens de jazz. Enfant, elle voyage ainsi souvent, accompagnant ses parents au gré des tournées musicales aux quatre coins du pays. Ce n'est que lorsqu'elle entre à l'université de Californie, à Los Angeles, qu'elle se découvre un intérêt pour les cours de théâtre et, in fine, décide de devenir actrice.

Après avoir tourné quelques spots publicitaires pour une marque de shampoing, elle effectue de petites apparitions à la télévision, et décroche un premier rôle au cinéma, même s'il n'est pas crédité, dans Boulevard du crépuscule, en 1950. Durant plusieurs années, elle se contentera de nombreuses petites apparitions dans les films, notamment dans l'unique oeuvre signée par James Cagney, A deux pas de l'enfer, en 1957.

Ce n'est qu'avec L'attaque de la femme de 50 pieds, en 1958, qu'elle parvient à décrocher un premier rôle. Dans ce film de SF signé par Nathan Juran, elle y incarne la belle Honey Parker; maîtresse d'un homme marié (William Hudson) qui cherchera avec elle à se débarrasser de son encombrante épouse.

Ci-dessous, la bande-annonce du film, qui fera d'ailleurs l'objet d'un remake en 1993, avec Daryl Hannah qui reprendra le rôle jadis tenu par Yvette Vickers.

S'il reste de la série B, le film lui permet de gagner à nouveau un premier rôle l'année suivante, dans L'Attaque des sangsues géantes. Séduit par sa plastique avantageuse, Hugh Hefner approche Vickers pour lui proposer de devenir la Playmate du mois dans son magazine Playboy, en juillet 1959. Sorti juste avant le film, le magazine Playboy fait beaucoup pour la notoriété soudaine d'Yvette Vickers, qui s'affiche désormais aux bras de conquêtes comme Cary Grant, Lee Marvin ou Jim Hutton. Si elle s'est mariée trois fois, elle n'aura jamais d'enfant.

Sa notoriété est aussi soudaine qu'éphémère, bien qu'elle joue par exemple en 1963 dans Le Plus sauvage d'entre tous de Martin Ritt, dont la tête d'affiche est Paul Newman. Les propositions se raréfient de plus en plus, ne tournant qu'un épisode de série TV de ci, de là. Elle essaie de se remettre en selle avec la série Switch dans les années 70, mais la tentative fait long feu. Complètement éclipsée dans les années 80, elle fera une ultime tentative de retour sur les écrans en 1991, dans un film intitulé Evil Spirits.

Sur la fin de sa vie, Yvette Vickers devient paranoïaque, persuadée que les gens la suivent en permanence, buvant beaucoup d'alcool, et en surpoids important. Elle vit le plus clair de son temps complètement recluse, dans une petite maison située à Beverly Hills.

En avril 2011, sa voisine, Susan Savage, inquiète de ne pas la voir depuis longtemps, donne l'alerte. Elle découvre le corps de l'actrice dans une pièce à l'étage de sa maison, après avoir enfoncé une porte barricadée. Le corps d'Yvette Vickers se trouvait au milieu d'une montagne de détritus, vêtements et courriers selon le Los Angeles Times, qui rapportait l'information.

La police qui s'est rendue sur les lieux fut horrifiée par sa découverte : le corps d'Yvette Vickers était littéralement momifié. Son décès remontait à au moins un an, compte-tenu de l'état avancé de momification de la malheureuse actrice.

"Elle était un esprit très indépendant. Jusqu'à la fin, elle reçevait de nombreuses cartes postales et lettres de fans lui demandant des photos dédicacées" raconta Susan Savage. Le fait est qu'elle est morte dans l'oubli et l'indifférence générale la plus totale. Apprenant son décès, Hugh Hefner lâcha : "elle a eu une vie pleine. Mais le fait qu'elle ait pu mourir sans ami qui s'en aperçoive immédiatement, c'est très triste".

Bill Cosby annonce ses plans de tournée pour 2023

A 85 ans, devenu aveugle à cause d’un glaucome et toujours accusé d’agression sexuelle, Bill Cosby a tout de même espoir de remonter sur scène l’année prochaine. Après avoir effectué moins de trois ans de prison pour une première condamnation annulée l’année dernière, l’humoriste vient en effet d’annoncer ses plans pour l’année à venir.

Et ça sera donc en tournée, comme il l’a déclaré dans l’émission de radio américaine WGH Talk. « Oui, parce qu’il y a tellement d’humour dans les histoires que je raconte. Il y a des années de cela, peut-être 10 ans, j’ai trouvé que c’était mieux de les dire après les avoir écrites », a-t-il assuré.

Son dernier stand-up remonte à 2015, à Atlanta en Géorgie, pour son spectacle Far From Finished. Bill Cosby avait ensuite été jugé dans le procès intenté par Andrea Constand, qui l’accusait d’agression sexuelle. S’il a été condamné en 2018, la sentence a été annulée pour vice de procédure et il a été libéré en juin 2021.

Mais ses soucis judiciaires sont loin d’être derrière lui. S’il a prévu de repartir en tournée, il va devoir accorder son agenda à une nouvelle plainte, lancée par cinq femmes. Les plaignantes ont bénéficié de l’Adult Survivor’s Act de New York, qui offre la possibilité aux victimes d’agressions sexuelles de porter plainte sans délai de prescription. Les faits reprochés à Bill Cosby s’étalent de 1969 à 1995.

« Quand je serai sorti de tout ça, j’ai le sentiment que je serai capable de me produire sur scène et d’être le Bill Cosby que mon public connaît », a-t-il promis.

Son porte-parole, Andrew Wyatt, a confirmé à Variety que l’acteur souhaite entamer sa tournée « au printemps ou à l’été prochain ».

Nicolas Cage aimerait jouer dans une comédie musicale

Alors qu'on l'attend dans son premier western début 2023, The Old Way, ainsi qu'en Dracula dans Renfield, Nicolas Cage révèle à Empire qu'il est loin d'avoir réalisé tous ses rêves en matière de rôles inattendus au cinéma. A 58 ans, la star de Volte/face et de Benjamin Gates, qui s'est bien amusée à jouer avec sa propre carrière dans Un talent en or massif, cette année, aimerait par exemple tourner dans une comédie musicale. Et Cage a même un rôle idéal en tête...

"Je n'ai encore jamais tourné dans une comédie musicale, et c'est quelque chose que j'aimerais essayer, détaille l'acteur. Je ne suis pas un très bon chanteur, mais j'étais correct dans Sailor et Lula, enfin je trouve. J'ai quand même abimé ma voix depuis à force de chanter faux 'Purple Rain' dans des karaokés. Mais bon, je crois que je pourrais faire un bon Ponce Pilate dans Jesus Christ Superstar."

Cet opéra rock de Andrew Lloyd Webber et Tim Rice est un succès sur scène depuis les années 1970, et il a déjà été porté à l'écran en 1973 par Norman Jewison. Dans la pièce originale, Ian Gillan jouait Jésus Christ et Murray Head était Judas. Ponce Pilate était lui incarné par Barry Dennen. Dans le film, ce dernier a repris son rôle, mais les deux premiers comédiens ont été remplacés respectivement par Ted Neeley et Carl Anderson.

Avant de signer pour une potentielle comédie musicale, Nic Cage doit revenir dans un film indépendant de Kristoffer Borgli (Sick of Myself) au pitch fou : dans Dream Scenario, il jouera "un professeur devenant subitement une célébrité en apparaissant la nuit dans les rêves de tout le monde." Produit par A24, ce projet est actuellement en tournage.

Pour ses 100 ans, Stan Lee aura un documentaire sur Disney+

Né le 28 décembre 1922, Stan Lee est décédé en 2018, à l'âge de 95 ans. Depuis hier, les hommages pleuvent sur la toile, de James Gunn (qui a adapté Les Gardiens de la Galaxie pour Marvel) à Dwayne Johnson (la star du super-film concurrent Black Adam lui a écrit un long message sur Twitter) en passant par Christopher Lloyd, le célèbre Doc de Retour vers le futur. 

Disney+ a également posté un message en l'honneur du co-créateur de Spider-Man, tout en annonçant qu'il serait au coeur d'un documentaire prochainement sur Disney+. Dès 2023. "100 ans de rêve. 100 ans de création. 100 ans de Stan Lee", écrit le compte officiel de la plateforme de streaming, avant de partager ce teaser composé de ses multiples caméos au sein des blockbusters de la saga.

Notez qu'en 2020, un film sur Stan Lee et Jack Kirby avait été annoncé à Hollywood, son scénario figurant sur la célèbre "Black List" des meilleurs scripts du moment. Pour l'instant, ce projet de biopic n'a pas été officialisé. Disney avait aussi fait savoir cette année-là que Marvel ne comptait pas ressusciter d'acteurs en numérique dans ses super-productions à venir, mais quelques mois plus tard, le retour de Stan Lee pour l'un de ses célèbres caméos a finalement été évoqué. Stan Lee Universe, LLC et Disney ont signé en mai dernier un contrat sur 20 ans pour exploiter le nom, la voix et l'image du célèbre créateur de comics Marvel. 

Mort d'Italo Bettiol, le créateur de Chapi Chapo

Créateur de Chapi Chapo, série d'animation mythique des années 1970 qui a fait les belles heures de l'ORTF, Italo Bettiol s'est éteint mercredi 28 décembre à l'âge de 96 ans à son domicile d'Aniane dans l'Hérault.

Natif de Trieste, diplômé des Beaux-Arts de Milan, il avait quitté l'Italie en 1947 pour venir s'installer en France avec son ami Stefano Lonati. Les deux fondèrent en 1968 la société Belokapi, qui produira entre autre de nombreuses séquences de l'émission jeunesse mythique L'île aux enfants, diffusée sur l'ORTF de septembre 1974 à janvier 1975.

Le 16 octobre 1974, un garçon bleu et une fille rose coiffés de chapeaux géants en feutrine font leur apparition sur l'ORTF dans la série animée en stop motion Chapi Chapo, dont la musique du générique fut créée par François de Roubaix.

Ce programme jeunesse, mettant en scène ces deux petites marionnettes évoluant dans un univers abstrait peuplé de cubes multicolores, était composé de 60 épisodes de 5 min. Il fera le tour du monde, jusqu'aux Etats-Unis où il sera diffusé dans l'émission Pinwheel sur la chaîne Nickelodeon.

Netflix : les twittos se déchaînent contre Happy Nous Year, un film qu'ils n'ont même pas vu !

En ligne depuis ce 28 décembre sur Netflix, Happy Nous Year échauffe les esprits sur les réseaux sociaux. Cette comédie romantique en huis clos de Frank Bellocq - le créateur de la série Soda - réunit Kev Adams et Camille Lellouche.

L’histoire est simple : deux inconnus, en route pour leur fête du nouvel an, se retrouvent coincés dans un ascenseur. Forcés de patienter, ils n’ont d’autres choix que d’apprendre à se connaître. L’intégralité de ce moyen métrage - d’une durée de 59 minutes - se déroule donc dans cet espace restreint avec néanmoins quelques scènes de flashback pour étoffer l'intrigue.

Alors pourquoi ce film, en apparence inoffensif, suscite autant de réactions enflammées sur Twitter ? Sans l’avoir même visionné - de leur propre aveu -, beaucoup s’en sont pris au titre et son jeu de mots plutôt facile, mais surtout aux têtes d’affiche, Kev Adams et Camille Lellouche, deux habitués de la scène. “Ma définition de l’angoisse”, peut-on lire sur l’un des tweets.

D’autres reprochent au film de plagier l'une des intrigues de Happy New Year. Dans cette comédie chorale de Garry Marshall, deux personnages, joués par Ashton Kutcher et Lea Michele, se retrouvent eux aussi coincés dans un ascenseur le soir du nouvel an.

Certains extraits sont quant à eux pointés du doigt, comme cette séquence dans laquelle le héros interprété par Kev Adams confond le personnage Calimero et le chanteur Calogero :

Pas sûr que ce sens de l'humour soit au goût de tout le monde. Toujours est-il que le meilleur moyen de juger un film et sa qualité reste encore de le voir pour se faire son propre avis.

Mort du réalisateur Ruggero Deodato

Ruggero Deodato commence comme figurant, mais après avoir été recalé de l'audition d'un film de Federico Fellini, renonce à sa carrière d'acteur pour s'intéresser à la réalisation. Il débute comme assistant de Roberto Rossellini (avec Le Général de la Rovere) ou Carlo Ludovico Bragaglia (Maciste dans la vallée des lions).

De 1959 à 1968, il travaille sur près de 30 films dont plusieurs de Sergio Corbucci (notamment le célèbre Django), mais aussi Le Chevalier de Maupin de Mauro Bolognini et Danse macabre d'Antonio Margheriti.

Comme il est de coutume à l'époque afin de faire passer certains films italiens pour des productions hollywoodiennes, il adopte le pseudonyme de Roger Rockfeller pour ses deux premiers longs métrages de réalisateur en 1968 : Fenomenal e il tesoro di Tutankamen et Gungala la pantera nuda. Il touche ensuite à tous les genres, du drame (Le Dernier souffle) au film catastrophe (SOS Concorde).

Mais c'est véritablement avec le cinéma d'horreur que Deodato va se forger un public fidèle. Après un premier essai, Le Dernier monde cannibale (1977), il sort le film qui choque une génération : Cannibal Holocaust (1980). Avec des images extrêmement violentes (et le réel massacre d'animaux à l'écran), le réalisateur fait croire que les meurtres du film sont bien réels. Le film fait scandale, et le monde retient le nom de Ruggero Deodato.

Fort de ce choc, Deodato poursuit avec le thème horrifique avec Amazonia : la jungle blanche (1985), Body Count, Les Tueurs de la pleine lune et Angoisse sur la ligne.

En parallèle, il continue de tourner des sujets de séries B très divers comme Atlantis Interceptors, le nanardesque The Barbarians ou encore Les petites canailles. Les films sont très inégaux, mais ses aficionados lui restent fidèles.

La fin des années 80 et du cinéma d'exploitation italien marque le début des difficultés pour Deodato. Il concentre alors son activité à la télévision, où son talent pour les images chocs n'a plus lieu de citer. Il tentera de revenir à l'horreur avec Ballad in Blood en 2016, l'histoire d'un trio d'amis se réveillant au lendemain d'Halloween pour constater que l'un de leurs collocataires est mort.

Il s'agira de son dernier long métrage de cinéma en solo. Alors qu'il venait d'annoncer travailler sur des jeux vidéo inspirés de Cannibal Holocaust, le journal italien Il Post annonce ce 29 décembre son décès à 83 ans.

28 décembre 2022

Les confidences de Louis Bertignac sur son addiction à la drogue

Le guitariste d’un groupe de rock qui devient accro à la drogue, un cliché ? Louis Bertignac, du groupe Téléphone, a bien été addict à l’héroïne, mais c’était avant de jouer avec Jean-Louis Aubert, Corine Marienneau et Richard Kolinka. Et, d’ailleurs, quand il était sur scène avec Téléphone, il n’était pas défoncé. Dans le podcast Addiktion, du médecin, psychiatre et addictologue Laurent Karila, Louis Bertignac a expliqué qu’il avait découvert la drogue, ou plutôt les drogues, au lycée, dans les années 1970. « J’ai essayé un peu de tout, toutes les drogues dures pour commencer, mais genre essayé, juste une fois chacune. J’ai essayé l’héroïne, la morphine et la cocaïne en shoot. J’avais dix-sept ans, j’étais en première ou en terminale, je ne sais plus », a-t-il révélé, précisant qu’ayant « un esprit assez scientifique », il voulait « savoir de quoi il s’agissait vraiment ». « Ce n’était pas pour m’accrocher, juste pour tester le truc. Et en fait, il y a aucun de ces trois essais qui m’ont plu. »

Par contre, ce qui a plu a Louis Bertignac à cette époque, ce sont « les clopes déjà, et le cannabis, juste après je m’y suis mis ». « C’était habituel. J’allais chez les potes, on fumait un pétard. […] C’était devenu une habitude », a-t-il révélé. Puis, il a (re)découvert l’héroïne. « C’est un copain qui m’a fait découvrir l’héroïne en suiffant et avec des petites doses. Et là, ça me faisait moins peur et j’avoue que j’ai aimé la sensation que ça m’a apporté. » Et cette fois-ci, Louis Bertignac est devenu un consommateur régulier. « Je pense que le quart de gramme me durait facilement une semaine, voire dix jours. C’était des toutes petites quantités, des petites lignes, quand les copains se faisaient une grande ligne de dix centimètres, la mienne c’était un centimètre parce que j’avais quand même peur que ça m’abîme. »

« Je n’aimais pas du tout jouer défoncé », a complété Louis Bertignac. « Quand j’étais avec Téléphone, à l’époque où j’étais vraiment dans l’héroïne, j’allais jamais répéter défoncé, et quand je partais en tournée, c’était justement la décroche. Je reconsommais quand la tournée était terminée et que je rentrais à Paris, sinon jamais. »

Et à l’ex de Carla Bruni de préciser : « Pendant Téléphone, chaque départ en tournée, c’était une occasion de décrocher. Alors pendant les deux/trois premiers concerts, je suais beaucoup et j’étais un peu fébrile, comme quand on décroche. » Le guitariste a fini par arrêter l’héroïne, mais aussi la cigarette et le cannabis. Aujourd’hui, il ne fume plus que la cigarette électronique.

Kelly Helard se confie sur la maladie chronique dont elle souffre

Alors que la plupart des influenceuses vendent à leurs abonnés une image de leurs vie et de leur apparence particulièrement éloignée de la réalité, certaines tiennent à se montrer sincères et transparentes sur leur quotidien. C'est le cas notamment de Kelly Helard, l'une des mères de famille les plus appréciées de l'émission Mamans & célèbres, dans laquelle les téléspectateurs la suivent dans sa vie de femme, de compagne et de maman, avec son époux Neymar et ses deux enfants, Lyam et Lyana. En novembre dernier, Kelly Helard partageait des clichés de son mariage, organisé au bord de la mer en petit comité, un moment suspendu dans le temps pour le couple et leurs enfants, plus unis que jamais.

Si Kelly Helard a enfin su trouver son équilibre, l'influenceuse n'a jamais caché avoir traversé des périodes très sombres, notamment lorsqu'elle se battait contre ses addictions. "J'étais déjà un peu tombée dans la drogue avant à cause de mon ex, pour tenir en boîte de nuit. C'était occasionnel. Mais ensuite je suis vraiment tombée dedans quand j'ai voulu maigrir. C'était matin, midi et soir. J'ai réussi à perdre énormément mais aujourd'hui, quand je revois les photos de l'époque, je me trouve horrible", avait-elle confié dans les colonnes de PurePeople, en juillet dernier.

Délestée de plus de 20 kilos, la star de télé-réalité semble aujourd'hui épanouie, elle qui partage régulièrement avec ses abonnés le résultat de ses efforts. Dans une récente vidéo postée sur sa page Instagram, une internaute a fait remarquer à Kelly Helard qu'elle souffrait certainement d'un lipoedème, une accumulation anormale de tissus graisseux qui rend plus difficile la perte de poids. "Renseigne-toi auprès d'un angiologue qui connaît la maladie et qui pourra te la diagnostiquer. Ça expliquerait cette forme de bras et de jambes que tu as qui est typique de la maladie, ainsi que la perte de poids qui est difficile voire impossible quand on souffre de lipoedème. Également si tu as des douleurs dans les jambes et une sensation de lourdeur dans les bras, ça peut être un signe de plus de la maladie", a notamment écrit l'abonnée en question.

Un message auquel a répondu la jeune maman, confirmant les propos de l'internaute. "J'en ai parlé dans mon livre et oui, j'en souffre. Mais en France, on est mal renseigné. Elle n'est pas sévère, mais c'est énervant car je suis à la salle du lundi au vendredi, je fais attention à mon alimentation et je maigris mais moins vite que la normale. Je ne désespère pas, j'ai déjà perdu 30 kilos", a-t-elle révélé. Des confidences sincères, à l'image de Kelly Helard.

Hilary Swank enceinte à 48 ans : la future maman s’affiche avec son baby bump

À 48 ans, Hilary Swank ne pouvait pas espérer "un miracle plus incroyable" que d'attendre des jumeaux. Devant son sapin de Noël, l'actrice engagée prend la pose au naturel dans son pyjama à rayures rouges pour dévoiler son ventre rond. "Tellement reconnaissants pour ces deux cadeaux de toute une vie !, écrit-elle en légende. Joyeux Noël à tous ! En vous souhaitant à tous des miracles dans vos propres vies, quelles que soient les formes qu'ils prennent". Un message ponctué d'émojis "cadeaux" des hashtags "Joyeux Noël" et "Miracles". Une rare photo de la compagne du tennis Ruben Torres commentée par de nombreuses personnalités dont l'actrice Lindsay Lohan qui lui souhaite "un joyeux Noël".

"Vous êtes magnifique !!! Profitez de ce beau cadeau", "Absolument magnifique" ou encore "Je suis si heureuse pour vous", peut-on lire parmi les nombreux messages. Face aux internautes qui s'interrogent sur sa grossesse à 48 ans, Hilary Swank peut compter sur le soutien de ses fans. "J'ai eu mon dernier bébé, une fille à 39 ans ! Elle a presque 16 ans maintenant ! La maternité est merveilleuse ! Profitez-en !", raconte une internaute. Une autre confie : "Vous voir me donne tellement d'espoir dans mon parcours pour devenir une maman dans la quarantaine". "Je viens d'avoir des jumeaux à 47 ans, la meilleure chose qui soit !", témoigne à son tour une autre abonnée.

Invitée sur le plateau de Good Morning America, le 5 octobre dernier, la star de Million dollar baby s'était réjouie d'annoncer sa grossesse : "C’est quelque chose que je voulais depuis longtemps. Je vais devenir maman ! (…) Je n’arrive pas à y croire". Une bonne nouvelle pour l'actrice qui commençait à avoir du mal à cacher son ventre rond sur le tournage de la série Alaska Daily : "Mes vêtements ont commencé à ne plus m’aller. L’autre jour, j’ai dû couper mon jean pour le garder ouvert. Et j’ai mis une veste par-dessus". Pour autant, Hilary Swank confie dans l'émission Extra avoir connu des débuts de grossesse difficiles.

Sujette à "quelques épisodes de nausées matinales", elle raconte : "Mes amis me disent que lorsque vous avez des jumeaux, cela double les hormones, double les maladies, double tout". Quant à son accouchement, prévu le jour du triste anniversaire du décès de son père, elle y voit un signe : "C'est magnifique. Tout s'aligne, et mon père, il était l'une de mes personnes préférées au monde, donc c'est un peu comme... cet hommage de la vie avec leur naissance le jour de cet anniversaire". Avant d'ajouter : "Il serait heureux, ravi pour moi. Il voulait juste que j'aie tout ce que je voulais dans ma vie, alors je sais que ce serait quelque chose qui lui apporterait beaucoup de joie de me voir dans un tel bonheur".