05 septembre 2022

Charlize Theron livre ses secrets de beauté à l'approche de la cinquantaine

A 47 ans, on peut dire que Charlize Theron n’a pas vraiment l’air de subir les affres de l’âge. Pourtant, l’actrice est plutôt minimaliste sur le plan de sa routine beauté, d’autant plus que ses deux filles ne lui laissent pas une minute de libre. Fort heureusement, il leur arrive de prendre soin d’elles toutes ensemble !

« J’élève deux filles en tant que mère célibataire alors je n’ai pas beaucoup de temps. Et pour être honnête, quand j’ai du temps libre, ce n’est pas pour le consacrer à faire des soins beauté. Ça va plutôt être, quelle série Netflix je peux dévorer ? Quel livre je peux lire ? Mais le fait est que j’ai deux filles qui aiment se faire belle », a confié la star de Fury Road à Vogue. « La cadette va toujours proposer de faire un masque de nuit - on met les masques et elle gère ça. C’est vraiment son truc. Il y a beaucoup de, “est-ce que je peux te maquiller ?”, ou, “je peux te mettre de la crème sur les pieds ?” Elle adore les produits de beauté et elle me pique toujours les miens. »

Mais même si elle ne consacre pas beaucoup de temps à sa routine beauté, Charlize Theron a tout de même un petit secret pour préserver sa peau : ne jamais sortir sans crème solaire. « Je mets toujours, toujours de la crème solaire. Je ne sors pas sans ça, quoiqu’il arrive. Même s’il fait gris, je mets toujours de la crème solaire », a-t-elle rabâché, avant de souligner l’importance que le parfum avait pour elle. « La chose que j’aime le plus avec le parfum, c’est que c’est le plus petit acte que vous pouvez faire pour vous, mais qui a des effets gigantesques. Je trouve que le parfum stimule l’humeur. C’est juste tellement facile et j’en tire pleinement avantage. »

Toutefois, Charlize Theron s’est bien gardée de révéler sa fragrance favorite. Il faut dire qu’elle reste l’égérie du J’adore de Dior et ce, depuis plus de 15 ans !

Ozzy Osbourne annonce quitter les Etats-Unis pour retourner vivre au Royaume-Uni à cause des tueries de masse

C’est décidé, Ozzy Osbourne va reprendre le chemin de sa mère patrie après plus de 25 ans passés aux États-Unis. Un choix qu’on pourrait croire motivé par la nostalgie ou les problèmes de santé de la rock star, mais pas du tout. En réalité, le choix du prince des ténèbres est motivé par l’explosion des violences par arme à feu et des tueries de masse qui ensanglantent l’Amérique du Nord au quotidien.

« J’en ai marre que des gens se fassent tuer tous les jours. Dieu sait combien de personnes ont été abattues lors de fusillades dans des écoles. Et il y a eu cette fusillade de masse à Vegas lors de ce concert… C’est fou, puta*n », s’est-il étonné lors d’un entretien accordé au Guardian, en référence au drame qui a coûté la vie à 60 personnes lors d’un festival de musique country organisé à Las Vegas en 2017.

Et Sharon Osbourne d’abonder dans son sens : « L’Amérique a tellement changé. Ce ne sont pas du tout les États-Unis d’Amérique. Il n’y a rien d’uni là-dedans. C’est un endroit très étrange où vivre en ce moment ».

Mais quelque part, Ozzy Osbourne est aussi habité par le besoin de retrouver ses racines. « Je ne veux pas mourir en Amérique. (…) Je suis Anglais. Je veux rentrer », a-t-il tranché, avant de révéler que le grand retour était fixé à février 2023.

On conclura en rappelant qu’il est difficile de contredire le constat du chanteur et son épouse. D’après la base de données Gun Violence Archive, 450 tueries de masse ont eu lieu aux États-Unis depuis le début de l’année, en sachant que ce qualificatif désigne une fusillade ayant blessé ou tué au moins quatre personnes. Au terme de l’année 2021, 691 tueries de masse avaient été répertoriées.

Sigourney Weaver n'a aucune intention de prendre sa retraite de sitôt

Inutile de parler de retraite à Sigourney Weaver. Comme elle l’a expliqué lors d’un entretien accordé au magazine Interview, l’actrice de 72 ans ne voit pas pourquoi elle arrêterait un travail qui la stimule autant. Toutefois, il n’est pas rare qu’elle soit la personne la plus âgée sur ses tournages, ce qui n’est pas sans la faire réfléchir.

C’était de nouveau le cas sur celui de Call Jane, son prochain film, dont elle partage l’affiche avec Elizabeth Banks. « Je devais être la personne la plus âgée sur le tournage. Alors oui, il y a toujours un moment où je me dis, "Oh mon Dieu, ça recommence" », a concédé la star d’Alien. « Puis je ressens la joie explosive de donner vie à cette personne. Et c’est la chose la plus stimulante du monde », a poursuivi Sigourney Weaver.

Un avis que rejoint Elizabeth Banks, également présente lors de l’entretien. « J’espère ne pas (prendre ma retraite bientôt), parce que j’aime probablement ce que je fais plus que jamais », a livré la star de Hunger Games.

Quoi qu’il en soit, Sigourney Weaver n’est pas près de déserter les affiches et on la retrouvera dès décembre prochain dans la suite si attendue d’Avatar.

Sharon Stone a dû reconstruire son visage avec des injections de Botox après son AVC

Sharon Stone a dû reconstruire son visage avec des injections de Botox après son AVC. En 2001, alors qu’elle n’était âgée que de 43 ans, la star de Basic Instinct a été une victime d’une grave attaque cérébrale qui a bien failli lui coûter la vie. Et s’il lui était arrivé de faire appel à la chirurgie esthétique par coquetterie, elle ne pensait pas que ce serait un jour une nécessité.

« Il y a eu une période où, avec la célébrité, j’ai fait des injections et ce genre de choses », a-t-elle d’abord concédé à Vogue Arabia.

« Et puis j’ai eu cette attaque massive, et neuf jours d’hémorragie du cerveau. Alors j’ai dû faire plus de 300 injections de Botox et de fillers pour redresser une partie de mon visage », a poursuivi Sharon Stone. Ce qui lui apparaissait comme un « petit luxe » était soudain devenu « une sorte de besoin neurologique massif et douloureux ».

Meghan Markle affirme être racisée depuis son mariage avec le prince Harry

Pour le deuxième épisode de son podcast Archetypes, Meghan Markle a eu le plaisir de recevoir Mariah Carey. Et il aura paru naturel aux deux femmes d’aborder une problématique à laquelle elles pouvaient s’identifier toutes les deux, à savoir leur condition de femmes métisses au teint pâle. L’occasion pour la diva de se souvenir à quel point elle ne parvenait pas à trouver sa place étant enfant, là où Meghan Markle n’a rien vécu de tel.

En effet, la duchesse estime avoir été perçue comme racisée qu’à partir du moment où elle a commencé à fréquenter le prince Harry.

« Ce que je veux dire, c’est que s’il y a eu un moment de ma vie où on s’est concentré sur ma race, ça n’a été qu’une fois que j’avais commencé à sortir avec mon mari », a précisé Meghan Markle.

« Puis j’ai commencé à comprendre ce que c’était d’être traitée comme une femme noire. Parce qu’avant ça, j’avais été traitée comme une femme métisse. Et les choses changent vraiment », a-t-elle ajouté.

Laverne Cox a été confondue avec Beyoncé lors d’un match de l'U.S. Open

Laverne Cox a été confondue avec Beyoncé lors d’un match de l’U.S. Open, et ça l’amuse beaucoup ! En effet, la star d’Orange is the New Black était présente pour assister à la victoire de Serena Williams sur Danka Kovinic, la championne disputant sa dernière compétition avant de prendre sa retraite des courts de tennis.

Une photo de l’actrice, affublée d’une robe noire et d’un masque de la même couleur, a provoqué le trouble dans l’esprit de nombreux internautes qui l’ont confondue avec la chanteuse. L’affaire a occupé Twitter pendant un bon moment… jusqu’à ce que Laverne Cox décide de réagir, non sans se moquer gentiment des fans exaltés de son illustre sosie.

« Ce n’est pas du tout moi qui ai été confondue avec Beyoncé à l’U.S. Open ce soir et qui suis tendance sur Twitter alors qu’Internet frémit de cette erreur d’identité. Ces tweets sont sacrément drôles en tout cas. Amusez-vous bien ! », a écrit Laverne Cox dans une publication Instagram, non sans partager un petit panaché des messages qui l’ont le plus fait rire.

James Bond : Léa Seydoux reviendra-t-elle ?

Y'a-t-il un avenir pour Madeleine Swann (Léa Seydoux) et sa fille dans la saga James Bond ?

Attention, la suite de cet article contient des spoilers si vous n'avez pas encore vu "Mourtir peut attendre".

On le sait, Mourir peut attendre était le dernier film de la franchise 007 pour Daniel Craig. Mais qu'en est-il des autres personnages de la pentalogie commencée en 2006 avec Casino Royale ?

Interrogée par Deadline lors du Festival du film de Telluride où elle était présente, Léa Seydoux s'est exprimée sur un possible retour de son personnage dans les futurs films de la franchise.

"Après tout, je ne suis pas morte. C'est James qui est mort, pas Madeleine. Alors, qui sait ? Peut-être que je vais revenir. C'est comme un peu une "fake news", non ?

Mais si nous sommes sérieux un instant, à la fin du film, Madeleine part avec sa fille parce que James les a sauvées. Il y aura un nouveau Bond parce que celui de Daniel est mort, mais qui peut dire que Madeleine ne reviendra pas ?"

La comédienne modère ensuite ses propos : "Je n'ai pas parlé à Barbara pour savoir si Madeleine ferait ou non une apparition dans un futur film de Bond, beaucoup de choses doivent se passer avant d'en arriver là. Il s'agit juste de spéculations".

On ignore encore qui prendra la suite de Daniel Craig dans le rôle de l'agent 007 et un reboot complet est possible donc tout peut arriver à ce stade.

D'autant plus que les producteurs Barbara Broccoli et Michael G. Wilson ont récemment annoncé que le 26ème volet sera une réinvention de Bond.

Barbara Broccoli a précisé "Nous réinventons le personnage et cela prend du temps. Je dirais que le tournage ne démarrera pas avant deux ans".

Léa Seydoux est actuellement en tournage du film de Bertrand Bonello La Bête (adapté de la nouvelle "La Bête dans la jungle" d'Henry James), aux côtés de George MacKay à Paris.

Brendan Fraser : une standing ovation The Whale à Venise

Cela devrait rester comme l'une des images fortes de ce Festival de Venise, qui se tient en ce moment. Brendan Fraser acclamé lors de la projection de gala de The Whale.

Produit par le studio A24, le film marque le retour de Darren Aronofsky derrière la caméra 5 ans après Mother! avec Jennifer Lawrence et surtout celui de Brendan Fraser dans un premier rôle.

Ce come-back de Brendan Fraser a été vivement acclamé comme on peut le voir dans les quelques tweets ci-dessous. L'acteur n'a pas pu s'empêcher d'écraser quelques larmes au moment de cette standing ovation très émouvante.

Une standing ovation qui contraste néanmoins avec certaines critiques virulentes. Si tous les critiques saluent la performance de Brendan Fraser, parlant déjà de nomination aux Oscars, les retours sont parfois plus mitigés sur le film en lui-même. 

Le film sortira en France le 23 février 2023, en pleine saison des prix aux Etats-Unis. Découvrez quelques photos ci-dessous de la venue de l'acteur Brendan Fraser et de l'équipe de The Whale, hier soir, dimanche 4 septembre 2022, à Venise.

L'acteur avait été absent des écrans pendant de nombreuses années en raison de problèmes de santé et après avoir été victime d'une agression sexuelle. Ce qui fait de sa présence à Venise un réel événement, très observé. D'autant que son rôle a créé la surprise.

Il y joue Charlie, professeur d'anglais reclus souffrant d'obésité, tente de renouer avec sa fille adolescente pour une ultime chance de rédemption. Son personnage pèse 270 kilos dans ce film. L'acteur a dû porter de nombreuses prothèses pour ce rôle.

Produit par le studio A24, le film marque le retour de Darren Aronofsky derrière la caméra 5 ans après Mother! avec Jennifer Lawrence et surtout celui de Brendan Fraser dans un premier rôle. Il prend ici l'acteur dans ses bras sur le tapis rouge de Venise.

Le film sortira en France le 23 février 2023, en pleine saison des prix aux Etats-Unis. 

Smallville : vous avez échappé à ce changement que voulait imposer la chaine

Cela fait désormais onze ans que la série Smallville a tiré sa révérence. Relatant, le temps de dix saisons, la naissance de Clark Kent, alias Superman, la série créée par les showrunners Alfred Gough et Miles Millar a marqué le petit écran.

Tom Welling et Michael Rosenbaum, qui ont joué Clark Kent et Lex Luthor dans la série, continuent d'ailleurs d'entretenir la flamme. En juin dernier, ils annonçaient le lancement d'un podcast de rewatch de la série, baptisé Talkville.

Dans le 3e épisode du podcast, Hothead, les créateurs de la série sont justement invité à livrer leurs souvenirs et anecdotes de production. Ils évoquent ainsi la pression des dirigeants de Warner Bros. Télévision de l'époque sur un ressort scénaristique très important : les parents adoptifs de Clark Kent, Jonathan et Martha Kent.

Dans la série, les parents adoptifs et surtout terrestres du futur Superman constituaient un des aspects les plus importants dans la formation du personnage. Agriculteur, Jonathan (John Schneider) était un père attentionné mais ferme, doublé de hautes valeurs morales, très influent sur Clark pour l'aider à s'adapter à ses capacités, pour l'aider aussi à faire des choix éclairés et responsables. La relation entre les deux était très étroite. En somme, des parents bienveillants.

Ce n'était semble-t-il pas du goût des Executives de Warner, qui souhaitaient au contraire des relations beaucoup plus antagonistes entre Clark et ses parents. "Au début de la production, avant la diffusion, nous avons eu ces réunions avec eux et certaines personnes disaient : "Ces parents devraient être beaucoup plus antagonistes, il [Clark] devrait détester ses parents ! Ca c'était juste un autre cliché de drame pour adolescents, et nous avons vraiment eu du mal avec cette idée" raconte Miles Millar.

Les dirigeants de Warner voulaient ainsi rester dans la mouvance des séries de l'époque, comme Dawson, That '70 Show, Les Frères Scott ou Newport Beach, qui présentaient des personnages entretenant des relations conflictuelles avec leurs parents. Rendons grâce aux showrunners de Smallville d'avoir su défendre leur position.

Bande-annonce de Coup de théâtre, avec Sam Rockwell, Saoirse Ronan et Adrien Brody

Coup de théâtre débarque en salle le 14 septembre ! Dans la bande-annonce, on prend la direction du Londres des années 50, où le meurtre d’un réalisateur hollywoodien place toute une troupe de théâtre sur la liste des suspects.

Metteur en scène, producteur ou encore comédiens de tous horizons : le tueur est forcément dans la salle ! Mais attention, le danger plane, comme le révèle une des dernières phrases du trailer : “Pire que des suspects, nous sommes aussi de potentielles victimes !”

Cette bande-annonce du premier long-métrage de Tom George (This Country) nous offre un avant-goût de ce mystérieux “whodunit” avec la promesse de tenir les spectateurs en haleine pendant plus d’1h30, avec son lot d’action et de retournements de situation.

Comme le nom de cet exercice de style (“who-done-it ?” : “qui est le coupable?” ) le laisse deviner, il s’agit donc d’un polar où l’enjeu est de démasquer le tueur à travers toute une galerie de suspects ayant tous un mobile crédible. Un genre en plein renouveau, comme le souligne le récent succès sur grand écran d’A Couteaux Tirés, de Rian Johnson.

Coup de théâtre y ajoute un flegme so british, subtil équilibre entre comédie et noirceur, qui promet des situations particulièrement désopilantes.

Pour mener l’enquête, Sam Rockwell (Three Billboards : Les Panneaux de la vengeance, Jojo Rabbit…) et Saoirse Ronan (Lady Bird, Reviens-moi…) forment un duo atypique entre un inspecteur chevronné et sa jeune recrue consciencieuse.

La victime, incarnée par Adrien Brody, lauréat de l’Oscar du meilleur acteur en 2003 pour Le Pianiste, donne la réplique - en flashback - à Ruth Wilson (The Affair, Luther), David Oyelowo (Selma, Le Majordome), ou encore à Reece Shearsmith (Le Club des Gentlemen). Saurez-vous retrouver le coupable ?

Coup de théâtre, dès le 14 septembre au cinéma.