24 juillet 2021

Aya Nakamura cambriolée pendant ses vacances : plus de 50 000 euros de bijoux volés

Il y a quelques jours, Nabilla et Thomas Vergara étaient cambriolés… alors qu’ils étaient en train de renouveler leurs voeux de mariage. Le ou les malfaiteur (s) ont profité de la cérémonie afin de s’introduire dans la chambre des deux jeunes mariés et de prendre tous leurs biens. Aujourd’hui, c’est au tour de la chanteuse Aya Nakamura de se faire dérober ses affaires.

La chanteuse est actuellement en vacances. Ce qui a visiblement donné des idées à des personnes malintentionnées. C’est ce que rapporte Le Point, qui révèle que le domicile de la chanteuse a été cambriolé, ce mardi 20 juillet 2021, alors que celle-ci se trouvait sur son lieu de vacances.

Des voleurs en ont profité pour se faufiler dans son domicile. Ils seraient rentrés via le balcon, en cassant une fenêtre. C’est un voisin qui a alerté les forces de l’ordre. Le frère de la chanteuse s’est immédiatement rendu sur place, afin de constater les dégâts et d’aider les policiers dans leur enquête.

Ainsi, les cambrioleurs seraient repartis avec deux sacs de luxe (l’un Gucci, l’autre Chanel), mais aussi plus de 50 000 euros de bijoux. Pour le moment, les objets volés n’ont pas été retrouvés. Mais les forces de l’ordre mènent l’enquête. En effet, une plainte a d’ores et déjà été déposée.

Nos confrères du Point rappellent que ce n’est pas la première fois que la chanteuse a été la cible de voleurs. Non, elle avait déjà été cambriolée en 2019. A l’époque, la chanteuse se trouvait sur scène quand des malfaiteurs s’étaient introduits chez elle et étaient repartis avec un butin estimé à 50 000 euros.

De nombreuses personnalités sont aujourd’hui la cible de ces personnes peu scrupuleuses. De nombreux candidats de télé-réalité ont ainsi décidé de s’installer à Dubaï, une ville dans laquelle ils confient de sentir en sécurité.

Philippe Etchebest ferme son restaurant pour suspicions de Covid parmi le personnel

Ce n’est pas cette nouvelle qui risque de le faire redescendre. Philippe Etchebest vient d’être contraint de fermer son restaurant bordelais, Le Quatrième Mur, pour cause de suspicions de cas de Covid parmi le personnel.

Il était déjà sur les dents depuis le début de la crise sanitaire, passant de plateau en plateau pour exprimer le mal-être de sa profession face aux mesures décidées au fur et à mesure par le gouvernement. Il a dû être propulsé à des niveaux stratosphériques d’énervement par cette nouvelle.

Pas contre son personnel évidemment puisque celui-ci n’y peut rien mais contre le Covid en général. Le 22 juillet au midi, Philippe Etchebest a été aperçu à l’entrée de son restaurant en train de contrôler les clients en tenue de gendarme.

En effet, parmi ses combats, le chef cuisinier a tempêté contre l’instauration d’un contrôle du pass sanitaire que vont devoir effectuer les restaurateurs à chaque service. Mais son coup d’éclat destiné sans aucun doute aux médias et à faire entendre sa voix coûte que coût a été en vain.

Le soir même le site Internet du Quatrième Mur affichait en effet ce message :

"Chers clients, c’est avec tristesse et regret que nous vous informons de la fermeture de l’établissement pour quelques jours. Plusieurs cas de suspicions Covid ont été déclarés au sein du personnel. Notre souci premier est la sécurité de tous et nous n’hésitons pas à appliquer le principe de précaution. Nous tenons à remercier toute notre clientèle pour leur compréhension ainsi que leurs nombreux messages de soutien. Prenez soin de vous et de vos proches."

Et la loi de Murphy a encore frappé. Dans la même journée, Philippe Etchebest a appris que le concert de son groupe Chef and The Gang prévu pour le 25 juillet était annulé. Et ce, « suite aux restrictions sanitaires » :

"Vous n’imaginez pas notre déception mais ce n’est que partie remise. On ne lâchera rien !" a déclaré Philippe Etchebest.

Mena Suvari se livre sur les nombreux traumatismes de son enfance dans son autobiographie

Mena Suvari s’estime heureuse d’avoir survécu à ses jeunes années, marquées par l’addiction et les abus sexuels. La star d’American Beauty a beau avoir été une des révélations du film culte, sorti en 1999, elle a, depuis toujours, dû faire semblant d’aller bien, alors qu’elle était marquée au fer rouge par ces terribles expériences.

« Je vivais une double vie. Chaque fois que j’allais sur un plateau. Chaque fois que j’étais interviewée, je jouais tout le temps. C’était un autre rôle à jouer pour moi. Celle qui allait bien », a-t-elle expliqué dans une interview pour People.

Dans son autobiographie, The Great Peace : A Memoir, l’actrice fait toute la lumière sur ces traumatismes. « Entre l’âge de 12 et 20 ans, j’ai été la victime d’abus sexuels répétés », écrit-elle, ajoutant que les faits étaient commis par un certain « KJ », un ami de son frère. « Il m’a utilisée, s’est amusé avec moi et s’est débarrassé de moi. Il m’a traitée de pute. Je n’ai jamais pu avoir une expression saine du sexe », a ajouté la star.

Dans l’ouvrage, Mena Suvari révèle qu’elle a longtemps pensé qu’elle l’avait « autorisé » à agir ainsi, provoquant en elle un sentiment de honte profond, dont elle ne s’est jamais vraiment débarrassée. En quittant sa famille pour tenter sa chance à Hollywood, la jeune femme qu’elle était à l’époque plonge dans la scène « rave » de Los Angeles. Et la culture de la drogue qui y règne.

« Je me suis tournée vers toutes les formes d’automédication que je pouvais trouver, simplement pour m’en sortir. J’essayais juste de survivre », explique-t-elle dans le livre, ajoutant qu’en parallèle, elle s’engageait dans des histoires d’amour autodestructrices.

Le carton d’American Beauty, alors qu’elle a 20 ans, lui permet de commencer à se sortir de cette spirale, grâce à la thérapie et à ses amis. En 2016, elle a rencontré Mike Hope, sur le tournage d’un film. Deux ans plus tard, le couple s’est marié. Ils ont accueilli leur premier enfant en avril dernier.

« C’était la première fois que je sentais que je voulais fonder une famille avec quelqu’un. J’ai découvert que j’étais enceinte lorsque j’ai fini d’écrire mon autobiographie », a-t-elle révélé.

Les parents d’Amy Winehouse sortent un documentaire sur la vie et l’héritage musical de leur fille

En dix ans, depuis la mort d'Amy Winehouse, sa mère ne s’était jamais vraiment exprimée publiquement. C’est désormais chose faite, puisque Janis Winehouse est la narratrice d’un nouveau documentaire consacré à la chanteuse, dont la mort tragique en 2011 a laissé des millions de fans orphelins.

Reclaiming Amy sera diffusé sur la BBC ce vendredi et d’après le communiqué de la chaîne britannique, il a été réalisé pour permettre à la mère de la star « de récupérer l’héritage de sa fille, en célébrant Amy comme la femme complexe, forte et incroyable qu’elle était et en donnant une version différente des événements par rapport à l’histoire de la chanteuse si souvent racontée ».

La raison pour laquelle Janis Winehouse a voulu s’exprimer maintenant ? La mère de la chanteuse souffre depuis plusieurs années d’une sclérose en plaques qui affecte non seulement son corps, mais aussi sa mémoire. Et elle a peur de bientôt ne plus se souvenir de sa fille. A l’aide d’archives inédites et d’enregistrements rares, les parents de l’artiste racontent effectivement une facette peu montrée de celle qui est devenue une légende de la musique.

« Il s’agit d’un doux hommage à une fille, une amie et un talent changeant qui nous a quittés bien trop tôt – ne soyez pas surpris si vous vous retrouvez à chercher des mouchoirs à plusieurs reprises pendant le documentaire », détaille le NME dans sa chronique du film.

Selena Gomez tacle Facebook pour son inaction face aux fake news sur le Covid-19

Selena Gomez est fatiguée par la désinformation qui règne sur les réseaux sociaux. La chanteuse, qui s’engage depuis plusieurs mois pour que les plateformes telles que Facebook, Twitter ou Instagram, prennent des mesures pour pénaliser les fake news, a renouvelé son appel, en repostant une série de messages qu’elle avait déjà publiés en décembre dernier.

A l’époque, l’artiste écrivait déjà que « la désinformation coûte et va coûter des vies », laissant entendre que Facebook ne faisait pas assez d’efforts pour mettre fin aux fake news. Dans son nouveau post, elle n’hésite pas à tagger le Président des Etats-Unis Joe Biden, ainsi que le Procureur Général, qui ont eux aussi appelé les réseaux sociaux à faire le ménage. « Alors pourquoi refusent-ils toujours d’agir », s’interroge la star, laissant la question en suspens.

Il faut dire que les vidéos et messages de désinformation pullulent sur Facebook en particulier. Dans son premier tweet de décembre, Selena Gomez relayait une information du Center for Countering Digital Hate, qui lutte contre les fake news. Une étude de ce centre a mis à jour qu’à peine 12 personnes sont derrière les deux tiers des fake news qui se retrouvent relayées des centaines de milliers de fois. Autrement dit, il suffit d’un effort minimal aux réseaux sociaux pour mettre fin à leurs agissements.

Dans un communiqué récent relayé par le New York Times, Facebook a simplement déclaré : « La suggestion selon laquelle nous n’avons pas consacré de ressources à la lutte contre la désinformation sur le Covid et au soutien du déploiement du vaccin n’est tout simplement pas étayée par les faits ».

Ryan Reynolds raconte comment tout a commencé avec Blake Lively

Voilà 10 ans que Ryan Reynolds et Blake Lively filent le parfait amour avec trois enfants au compteur, à savoir James, 6 ans, Inez, 4 ans et enfin Betty qui aura bientôt 2 ans. Mais il faut savoir que tout ne s’est pas fait en un jour entre les deux stars qui ont d’abord été amis avant de tomber amoureux.

« J’ai rencontré Blake dans le pli le plus sombre de l’anus de l’univers qui répond au nom de Green Lantern », s’est souvenu Ryan Reynolds avec l’humour qu’on lui connaît lors d’un passage dans le podcast SmartLess, faisant référence au film de superhéros de 2011 dont il partageait l’affiche avec sa future épouse et qui, excusez le jeu de mots, n’est pas resté dans les annales.

« On a été potes pendant peut-être un an et demi et on allait à des doubles rancards où on venait avec des gens séparément. » Puis Ryan Reynolds a su saisir sa chance à l’occasion d’un trajet en commun.

« Elle allait à Boston, j’allais à Boston, et j’ai dit, “Eh bien, je vais y aller avec toi”. On a pris le train et on y est allé ensemble. J’étais juste en train de la supplier de coucher avec moi » , a poursuivi Ryan Reynolds.

Et la suite ressemble tout bonnement à un « conte de fées ». « Une semaine plus tard, je lui ai dit, “On devrait acheter une maison ensemble”. Et c’est ce qu’on a fait », a conclu la star de Deadpool. Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants !

Emily Ratajkowski répond aux trolls qui s’en prennent aux mères et leur façon d’élever leur enfant

Emily Ratajkowski a décidé de répondre frontalement aux trolls qui ne trouvent rien de mieux à faire que de critiquer les mères pour la façon dont elles élèvent leurs enfants. Depuis qu’elle a mis au monde le petit Sylvester, son premier enfant en mars dernier, l’actrice et mannequin a plusieurs fois été attaquée sur les réseaux, notamment pour la rapidité avec laquelle elle avait retrouvé son corps d’avant la grossesse.

« Nous réfléchissons tous au fait d’avoir vilipendé Britney et de l’avoir traitée de mauvaise mère lorsqu’elle conduisait avec son bébé sur ses genoux », a-t-elle écrit dans une story Instagram, revenant sur un des épisodes médiatiques qui avaient participé à faire craquer Britney Spears en 2008. « Nous parlons de la façon dont nous devons "faire mieux" en tant que culture. Pendant ce temps, mes commentaires sont remplis [de] remarques horribles sur le fait que je ne mérite pas d’être maman. Honte à vous tous », assène Emily Ratajkowski.

« Je m’en fiche si vous me détestez ou détestez la célébrité (ou détestez simplement les femmes), mais c’est incroyablement effrayant de devenir mère et personne ne mérite que des étrangers leur disent qu’elles sont des mères de merde », s’est enfin insurgée Emily Ratajkowski.

Le mois dernier, la star a été la cible d’une vague de commentaires haineux pour la façon dont elle tenait son bébé sur une photo. Le cliché avait provoqué une telle polémique que la star avait préféré le supprimer purement et simplement. Pourtant, l’affaire refait régulièrement surface dans les commentaires de ses publications Instagram.

A l’occasion de la fête des pères, Emily Ratajkowski avait posté un dessin de sa petite famille sur lequel elle s’est représentée avec son bébé dans les bras. Et voilà ce que certains internautes ont commenté : « Finalement une image sur laquelle tu portes ton enfant correctement. Heureux de voir que tu as compris comment t’y prendre », quand un autre a renchéri : « Au moins tu tiens ton bébé correctement, dans une peinture pour commencer ». En voilà qui n’ont vraiment rien de mieux à faire.

Curtis Young, le fils de Dr. Dre, décroche son premier rôle dans un film

Curtis Young, le fils de Dr. Dre, a obtenu un rôle dans un film intitulé Charge It to the Game. Il y donnera la réplique à Nasir Dean ainsi qu’à Julian Broadus, les fils respectifs de Swizz Beatz et de Snoop Dogg. En outre, le fils du célèbre rappeur et producteur qui manie également le verbe sous le pseudonyme de Hood Surgeon participera à l’écriture de la bande-originale du film comme le précise TMZ.

Charge It to the Game se présente comme une histoire de passage à l’âge adulte centrée sur quatre adolescents. Curtis Young jouera le rôle de Kong, le frère aîné d’un des quatre amis.

Il y a déjà un moment que le fils de Dr. Dre tente de faire son trou à Hollywood après un début de carrière musicale qui est pour le moins passé inaperçu. Il s’était notamment présenté au casting de Straight Outta Compton, le biopic consacré à N.W.A. sorti en 2015, dans l’espoir d’obtenir le rôle du personnage de son père.

Malheureusement pour lui, la ressemblance physique n’avait pas suffi à convaincre et le rôle était revenu à Corey Hawkins.

Coronavirus : Le tournage de la saison 2 de La Chronique des Bridgerton est à l’arrêt

Le tournage de la seconde saison de La Chronique des Bridgerton a été mis à l’arrêt le week-end dernier à cause d’un cas de Covid au sein des équipes techniques ou du casting. Déjà quelques jours avant, un premier cas avait stoppé la production de la série Netflix qui se déroule au Royaume-Uni durant 24 heures. Mais ce deuxième cas a poussé la plateforme à annoncer une pause à durée indéterminée ce qui, comme le suppose Deadline, laisse penser qu’il s’agit d’un acteur.

La personne infectée, dont l’identité n’a pas été révélée, a été mise en quarantaine.

Ces deux cas successifs au sein du tournage de La Chronique des Bridgerton prouvent deux choses. D’une part que le protocole sanitaire et les tests récurrents au sein des productions du géant du streaming sont pris très au sérieux, et d’autre part que la vigilance reste de mise tandis que le variant Delta se propage rapidement en Europe et notamment au Royaume-Uni.

Cette propagation n’a cependant pas empêché le Premier ministre britannique, Boris Johnson, de maintenir la levée des restrictions sanitaires dans le pays. Entre le 8 et le 15 juillet, plus de 600.000 citoyens d’Angleterre et du Pays de Galles ont dû s’isoler, ayant été repérées comme cas contact d’une personne infectée par le Covid-19. Un record depuis la mise en place, par les services de santé britanniques, de l’application NHS Test and Trace, en mai 2020.

Coronavirus : Sean Penn ne veut tourner qu’avec des équipes intégralement vaccinées

Le passeport sanitaire, bientôt exigé sur les tournages aux États-Unis ? De retour du Festival de Cannes où son nouveau film Flag Day était présenté en compétition, Sean Penn a décidé d’interrompre le tournage de sa série Gaslit. L’acteur de 60 ans ne reprendra le travail qu’à la seule condition que l’ensemble de l’équipe soit vaccinée contre le coronavirus.

Pour l’heure, seuls les membres les plus indispensables de la production (incluant les producteurs, mais également les comédiens et des membres clés de l’équipe technique) sont soumis à une vaccination obligatoire, suite à un accord protocolaire signé avec les syndicats cinématographiques américains.

Lui-même doublement vacciné, Sean Penn a décidé d’imposer la vaccination à l’intégralité de l’équipe, non pour sa sécurité mais pour celle de chacun des membres de l’équipe de tournage. Joints par nos confrères de Deadline, ni les représentants de Sean Penn ni ceux des studios Universal n’ont souhaité commenter l’information.