Elle était partout à l'affiche, dans les années 2010. Et puis Jennifer Lawrence s'est faite plus rare. La mégastar de Hunger Games raconte aujourd'hui, dans une interview avec le New York Times, que son passage dans Passengers a marqué un tournant dans sa carrière.
03 novembre 2022
James Gray va réaliser un biopic de John F. Kennedy
Alors que son film inspiré par ses jeunes années, Armageddon Time, vient de sortir aux Etats-Unis (et sera visible à partir du 9 novembre en France), James Gray signe avec MadRiver Pictures pour sa prochaine réalisation : un biopic de John Fitzgerald Kennedy. Ce film ne retracera pas toute la vie du président américain assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas, mais s'intéressera surtout à sa jeunesse, précise Deadline, "à la manière dont il est passé d'un jeune homme sans rien de remarquable, qui tentait de prouver sa valeur à son père plein de pouvoir, jusqu'à ce héros de guerre qui a triomphé dans l'adversité et développé des talents de leader dans l'adversité, au point de trouver sa voie jusqu'à la Maison Blanche." Gray compte réécrire le scénario initial de Samuel Franco et Evan Kilgore (Mayday 109), et le tourner dès l'année prochaine. On ne sait pas encore quel comédien il a en tête pour incarner JFK.
Ce projet pour l'instant sans titre racontera notamment en détails la période où Kennedy s'est engagé dans l'armée et a combattu durant la Seconde Guerre Mondiale. En 1943, alors qu'il était à la tête d'un bateau militaire, le PT 109, celui-ci a été coulé lors d'une bataille contre l'armée japonaise. Deux de ses hommes sont morts durant l'explosion, mais il parvint à sauver les autres, même ceux qui étaient blessés, avaient avalé de l'eau intoxiquée à l'essence ou ne savaient pas nager. Les guidant pour se rendre sur une île voisine, il est ensuite reparti à la nage vers un autre îlot pour trouver de l'aide grâce à sa bonne formation de nageur lors de ses études à Harvard. Racontée dans le New Yorker et le Reader's Digest à la fin de la guerre, cette histoire a déjà inspiré un film, Patrouilleur 109, en 1963, avec Cliff Robertson dans le rôle de JFK.
"C'est un honneur de monter à bord de ce projet avec cette équipe de producteurs fantastiques de chez MadRiver, a commenté le cinéaste. JFK est une figure qui captive le monde depuis des décennies, en tant que président américain, allié des droits civils et icone culturelle. Mais c'est une opportunité unique de balayer le mythe pour explorer ses aspects que l'on connaît le moins."
Amsterdam : pourquoi Christian Bale ne voulait pas parler à Chris Rock sur le tournage
Après Happiness Therapy, American Bluff et Joy, le réalisateur David O. Russell revient avec le thriller dramatique Amsterdam.
Emmené par Christian Bale, Margot Robbie, John David Washington, Robert De Niro, Chris Rock ou encore Rami Malek, le long-métrage raconte l'histoire de trois amis proches (Bale, Robbie et Washington) qui se retrouvent au centre de l’une des intrigues parmi les plus secrètes et choquantes de l'Histoire américaine.
Le film marque la troisième collaboration de Christian Bale avec David O. Russell, après American Bluff et Fighter, qui lui avait valu l'Oscar du Meilleur Acteur dans un Second Rôle en 2011. Le cinéaste sait à quel point son acteur fétiche est sérieux.
Pourtant, certaines scènes d'Amsterdam ont été compliquées à tourner pour Christian Bale. La raison ? Chris Rock. L'acteur et humoriste ne pouvait s'empêcher de faire des blagues auxquelles Bale riait à gorge déployée.
Dans une interview accordée au site américain IndieWire, l'interprète de Batman explique : "Je me souviens du premier jour de Chris Rock, j'étais excité à l'idée de le rencontrer, je suis un grand fan de son standup.
Mais Chris est tellement drôle que je n'arrivais plus à jouer la comédie parce que je n'arrêtais pas de rire à ses blagues. J'ai donc dû lui demander d'arrêter.
Je lui ai dit : "Mon pote, j'adore te parler, et nous avons des amis communs, mais je ne peux pas continuer à le faire sur ce plateau. Parce que David ne m'a pas demandé de faire ce film pour me regarder ricaner. Il veut que je sois Burt, et j'oublie comment être Burt.'"
L'acteur avoue ensuite avoir besoin de pouvoir s'isoler afin de rester concentré sur la création de ses personnages. Il précise ainsi au médias : "Je rencontre souvent des personnes incroyables, mais je dois m'isoler. Parce que si je connais trop la personne face à moi, je n'arrive tout simplement plus à croire ce que je fais dans la scène".
Au cinéma depuis ce mercredi 2 novembre, Amsterdam s'inspire d'une histoire vraie. Celle du méconnu Business Plot de 1933, une conspiration politique ratée qui visait à assassiner le Président des Etats-Unis Franklin D. Roosevelt et mettre à sa place un dictateur.
The Witcher sans Henry Cavill : les fans veulent faire annuler la série Netflix et lancent une pétition
Après avoir fait savoir leur mécontentement sur les réseaux sociaux suite à l’annonce du remplacement d’Henry Cavill par Liam Hemsworth dans la saison 4 de The Witcher, les fans sont maintenant passés à l’action en lançant une pétition sur Change.org.
A ce jour, près de 40 000 personnes l’ont signée, demandant expressément à Netflix de renvoyer les scénaristes et de garder l’acteur. Leur menace ? Se désabonner de la plateforme à l’issue de la saison 3 attendue l'été prochain.
Si les spectateurs sont aussi remontés contre Netflix, c’est parce qu’ils sont persuadés que l’interprète de Geralt de Riv - qui était partant pour au moins 7 saisons de The Witcher - était en désaccord avec l’équipe créative. Fan depuis toujours de l’univers d’Andrzej Sapkowski, il avait fait savoir à de multiples reprises que la série n’était pas assez "loyale" au matériau de base.
Impossible de démêler le vrai du faux à l’heure actuelle, d’autant plus que Cavill a révélé il y a peu reprendre son costume de Superman au cinéma et que le reste de son planning était extrêmement chargé.
Mais une chose est sûre, Netflix prend de grands risques avec ce changement de casting. La plateforme l’ayant transformée en franchise lucrative - avec un spin-off et un film d’animation - on imagine mal la plateforme faire une croix dessus.
02 novembre 2022
D'Aquaman à Wonder Man, il n'y a qu'un pas que Yahya Abdul-Mateen II va franchir. Décidément très fans de comics, l'acteur de Matrix Resurrections. devrait s'engager chez Marvel dans les heures qui viennent, pour prendre le rôle titre de Wonder Man, nouvelle série du MCU à venir sur Disney +.
Yahya Abdul-Mateen II a joué précédemment le docteur Manhattan dans la série Watchmen de HBO et fait partie en ce moment de l'écurie DC, pour laquelle il donne vie à Black Manta dans les films Aquaman. Il fera face à Jason Momoa en 2023 au cinéma dans le deuxième opus, Le Royaume Perdu.
Mais visiblement, la frontière entre les deux franchises rivales est de plus en plus poreuse, comme l'a montré James Gunn ces derniers mois. Alors Yahya Abdul-Mateen II va franchir le cap et passer chez Marvel pour incarner ce personnage apparu pour la première fois en 1964 dans les comics. Simon Williams y est décrit comme un ingénieur surdoué qui acquiert des capacités surhumaines, mais devient un ennemi des Avengers, avant de finalement combattre à leurs côtés.
C'est le réalisateur Destin Daniel Cretton (Shang-Chi et la légende des dix anneaux) et le scénariste-producteur Andrew Guest (Brooklyn Nine-Nine) qui développent la série d'action en prises de vues réelles, dont le tournage pourrait commencer dès 2023. Rappelons que Destin Daniel Cretton sera aussi derrière le prochain Avengers : The Kang Dynasty.
Pour l'heure, on ne sait rien sur l'histoire de Wonder Man, qui devrait prendre pas mal de libertés avec sa version comics. On sait déjà que Ben Kingsley va y reprendre son rôle de Trevor Slattery, le faux Mandarin de Iron Man 3, réapparu plus récemment dans Shang-Chi.
Lupita Nyong'o sera l'héroïne du préquel de Sans un bruit
On sait depuis quelques mois déjà que John Krasinski a écrit un préquel de Sans un bruit, son diptyque horrifique porté par son épouse à la ville, Emily Blunt. Le réalisateur des deux premiers opus à succès -le 2e a rapporté 300 millions de dollars au box-office !- a imaginé une nouvelle histoire, se déroulant le premier jour de l'invasion des extra-terrestres aveugles, qui réagissent au moindre bruit. Il a choisi Michael Sarnoski, acclamé récemment pour Pig avec Nicolas Cage, pour lui succéder à la mise en scène de ce nouveau film d'horreur intitulé Sans un bruit : Jour 1 (Jeff Nichols, le réalisateur de Take Shelter et Mud s'était lui aussi intéressé au projet durant un temps avant de préparer un film de motards avec Tom Hardy).
Variety nous apprend à présent que la Paramount a trouvé sa star : Lupita Nyong'o. Oscarisée en 2014 pour le drame 12 Years a Slave, l'actrice cartonne depuis dans Black Panther, dans le rôle de Nakia, et elle a déjà prouvé son goût pour le cinéma flippant grâce à Us, de Jordan Peele, où elle tenait un double rôle fascinant.
Vendredi 13 : Jason Voorhees aura droit à sa série
Comme le rapporte Variety, le service américain de streaming de NBCUniversal, Peacock, a donné le feu vert pour une série préquelle de Vendredi 13.
Intitulée Crystal Lake, la série sera écrite par Bryan Fuller, qui en sera également le showrunner et l’un des producteurs exécutifs, aux côtés de Victor Miller, scénariste du film original de 1980, Marc Toberoff, Rob Barsamian et le studio A24.
Si les détails exacts de l’intrigue sont encore gardés secrets, le show est déjà décrit comme un “prequel étendu”.
“Vendredi 13 est l’une des franchises d’horreur les plus emblématiques de l’histoire du cinéma et nous mourions d’envie de revisiter cette histoire avec notre prochaine série dramatique Crystal Lake”, a déclaré Susan Rovner, présidente du contenu de divertissement pour NBCUniversal Television and Streaming.
Elle ajoute : “Nous avons hâte de travailler avec Bryan Fuller, un créateur doué et visionnaire avec qui j’ai le plaisir d’être une amie et collaboratrice de longue date, ainsi que nos incroyables partenaires d’A24, dans cette version mise à jour pour Peacock qui ravira les fans de longue date de la franchise.”
Bryan Fuller a lui aussi pris la parole et fait part de son amour pour la saga et de son honneur de pouvoir travailler sur la série.
“J’ai découvert Vendredi 13 dans les pages du magazine ‘Famous Monsters’ quand j’avais 10 ans et je pense à cette histoire depuis”, a-t-il déclaré. “Quand il s’agit d'horreur, A24 élève la barre et repousse les limites et je suis ravi d’explorer les campements de Crystal Lake sous leur bannière. Et Susan Rovner est tout simplement la meilleure dans ce qu’elle fait. C’est un plaisir et un honneur de retravailler avec elle.”
Il est intéressant de noter que Victor Miller et Marc Toberoff, son avocat, étaient auparavant impliqués dans une longue affaire judiciaire dans le but d’obtenir les droits sur le scénario original du film pour Miller. La Cour d’appel a statué en faveur de Miller en 2021, lui accordant les droits américains sur le scénario.
Mais ce n’est pas tout : le duo possède également les droits étrangers non exclusifs et en faisant appel à Rob Barsamian, lui aussi producteur du film original sous la bannière Horror Inc., ils ont désormais un accès complet à tous les autres éléments des films. Ainsi, tout peut donc apparaître dans la série, même en ce qui concerne les films ultérieurs de la franchise : voilà qui devrait rassurer les fans.
L’original Vendredi 13, sorti en 1980, avait rapporté près de 60 millions de dollars au box office contre un budget annoncé de 550 000 dollars. Dans cette première installation, Jason était un enfant qui se noie au Camp Crystal Lake. Sa mort conduit sa mère Pamela à se venger des responsables du camp qu’elle accuse de la mort de son fils.
Depuis, 11 autres films ont vu le jour, dont les 3 derniers en date, Jason X, Freddy contre Jason et le reboot de 2009. Jason Voorhees est devenu le principal antagoniste de la franchise à partir du 2ème film.
Une robe pour Mrs. Harris : Lesley Manville en femme de ménage rêveuse
Après être apparu dans Ticket To Paradise aux côtés de Julia Roberts et George Clooney, Lucas Bravo, l'une des stars de la série Netflix Emily in Paris est au casting du long-métrage Une robe pour Mrs. Harris.
Le comédien français, fils du footballeur Daniel Bravo, y donne la réplique à Lesley Manville, Isabelle Huppert, Lambert Wilson et Alba Baptista.
Mis en scène par Anthony Fabian (Skin, Louder than voice), le film se déroule dans le Londres de l’après-guerre. Ada Harris (Lesley Manville) gagne sa vie en faisant des ménages. Si elle mène une vie très solitaire depuis le décès de son mari Eddie, porté disparu au combat, Ada n’est pourtant pas du style à se plaindre. Mais elle est soudainement submergée d’émerveillement quand elle découvre une magnifique robe signée DIOR, nonchalamment accrochée dans la chambre d’une de ses riches clientes. Elle se surprend alors à penser qu’une si belle œuvre d’art, si pure, si éthérée, ne peut que changer la vie de quiconque la possède.
Le long-métrage est adapté du premier roman d'une série de 4 livres écrits par l'écrivain et journaliste américain Paul Gallico, "Mrs.'Arris Goes to Paris", publié en 1958. L'œuvre a d'ailleurs déjà été portée à l'écran une première fois dans le téléfilm Tous les rêves sont permis avec Angela Lansbury dans le rôle-titre.
Le romancier est également à l'origine des livres "The Pride of the Yankees" qui a donné naissance au film de Sam Wood, Vainqueur du destin et de "Poséidon", qui a connu de nombreuses adaptations au cinéma parmi lesquelles Poseidon, L'Aventure du Poséidon ou Le Dernier secret du Poseidon.
Afin de rendre le postulat de départ de l'œuvre de Gallico moins superficiel, le réalisateur Anthony Fabian a tenu à ce que la raison de l’obsession de Mrs Harris pour l’achat d’une robe Dior soit claire :
"Le livre renferme la structure de l’histoire mais pas sa chair. On ne sait jamais pourquoi elle veut cette robe à ce point (..). Il fallait que ce soit beaucoup plus profond. Je voulais qu’on comprenne à quel point son cœur avait pu être meurtri et comment il allait recommencer à battre lors de ce voyage initiatique. C’est une veuve qui a mis son cœur en pause et la robe représente un objet inanimé qu’elle peut aimer sans trahir la mémoire de celui qu’elle a toujours aimé."
Ainsi, la robe va devenir un tel objet de désir pour Ada Harris que celle-ci va entreprendre un voyage qui va lui permettre de reprendre goût à la vie après la disparition de son époux.
Et durant son périple, la femme de ménage va faire face à l'arrogance des parisiens, notamment de Mme Colbert incarnée par Isabelle Huppert. Un véritable choc des cultures et des Et le travail sur les décors a été primordial. La chef décoratrice Luciana Arrighi s’est assurée que l’époque soit recréée à l’identique, tout en gardant l’esprit fantaisiste du film. Ayant débuté dans les années 1960 en tant que mannequin chez Yves Saint Laurent, cette dernière avait déjà une idée de la façon dont une maison de couture française pouvait fonctionner.
En travaillant sur la création des plateaux à Londres et Paris, elle a privilégié des ambiances intimistes et discrètes : "Le Londres d’après-guerre est assez triste, sombre, dans une palette de gris et marrons, tandis que Paris était un peu plus stylisé et audacieux en tons crème, noirs et bleu-marines.
Il s’agissait de souligner le contraste entre l’ancienne vie d’Ada et le nouvel univers qu’elle découvre, comme un poisson qui sort brutalement de son bocal pour découvrir la mer. C’est un peu comme si elle atterrissait sur une autre planète. Londres et Paris restent deux villes diamétralement opposées !", confie-t-elle dans le dossier de presse du film.classes et une plongée dans le Paris des 50's.
Dans ce film, la comédienne britannique Lesley Ann Manville incarne une femme de ménage qui s'offre un voyage à Paris et ne connait pas grand chose au luxe. Un rôle qui tranche avec celui de Cyril Woodcock dans Phantom Thread de Paul Thomas Anderson, qui lui a valu une nomination à l’Oscar du meilleur second rôle en 2018. Elle y incarnait en effet l’austère sœur d’un couturier interprété par Daniel Day-Lewis.
Lesley Ann Manville incarnera ensuite la princesse Margaret dans la cinquième saison de la série The Crown, disponible dès le 9 novembre prochain sur Netflix . Un clin d'œil qui plaira aux spectateurs puisque dans Une robe pour Mrs. Harris, son personnage, dit beaucoup apprécier la princesse Margaret...
Durant la production du long-métrage, l'équipe a réalisé qu'il allait falloir envisager un partenariat avec Christian Dior étant donné la place centrale que tient la maison de Haute-couture dans le film.
C’est d'ailleurs la première fois que la marque française est mise à l’honneur dans un film de fiction. Le producteur Guillaume Benski précise : "C’est un film sur Dior. Dior est dans toutes les scènes, même si Christian Dior (NDLR: incarné par Philippe Bertin) lui-même n’est pas très présent dans le film. Ici on est vraiment dans l’esprit de la célébrissime marque de luxe et tout ce qu’elle peut représenter de glamour et de chic "à la française".
Ainsi, pour les besoins du défilé du film, La Maison Dior a prêté cinq ensembles de sa collection personnelle et le reste a été recréé. La costumière oscarisée Jenny Beavan a fait appel à deux créateurs de costumes londoniens : John Bright, un spécialiste des films en costumes avec qui elle a plusieurs fois travaillé, et Jane Law, qu’elle a rencontrée sur Cruella.
Toutes les robes du défilé ont été créées par Dior sauf deux : Tentation et Venus qui ont été conçues dans l’esprit Dior par John Bright et Jane Law. Ces derniers ont reproduit les lignes du célèbre créateur, ainsi que le poids de l’époque, car souvent les matériaux étaient très épais.
La costumière précise : "Tout était plus lourd, parce qu’il n’y avait pas de chauffage central et les gens avaient besoin de tissus plus épais pour avoir chaud. Les tissus ont également été teints pour ressembler aux teintes repérées sur les photos de l’époque. Le vrai problème aura été de trouver assez de tissus pour les costumes."
Une robe pour Mrs. Harris est à voir en salles dès ce mercredi 2 novembre.
Henry Cavill veut un Superman moins sombre que celui de Zack Snyder
Après l'annonce officielle de son retour en Superman, Henry Cavill, actuellement en pleine promotion de Enola Holmes 2 pour Netflix (disponible le 4 novembre), a de nouveau été interrogé sur Man of Steel 2.
Interviewé par le site Screenrant, le comédien britannique a déclaré qu'il souhaitait incarner un super-héros DC plus inspirant qui donne envie aux spectateurs de vouloir donner aux autres.
"J'ai un lien très étroit avec le personnage, et il y a quelque chose d'extraordinairement spécial chez lui ; extraordinairement spécial dans sa capacité à donner et à aimer. Je ne parle pas d'amour romantique, mais de son amour pour la Terre et pour les gens qui y vivent, et de sa capacité à faire en sorte que les gens se sentent puissants, qu'ils se sentent eux-mêmes comme Superman.
J'ai beaucoup de désirs à cet égard, bien sûr, et nous en reparlerons plus tard. Mais la chose la plus importante c'est que le public quitte le cinéma en ayant l'impression de pouvoir voler, de pouvoir protéger et de vouloir donner à tous les autres. C'est mon objectif."
Si on en croit les dires du comédien, et ses récents propos au micro de MTV à qui il annonçait : "Je suis tellement excité de raconter une histoire avec un Superman énormément joyeux", Man of Steel 2 devrait donc être moins sombre que les films de Zack Snyder.
Man of Steel adoptait en effet une approche sérieuse du fils de Krypton tandis que Batman v Superman poursuivait la représentation sombre et torturée du héros. On ignore encore qui réalisera le long-métrage. Warner est actuellement à la recherche de scénaristes.
Pour rappel, l'acteur a annoncé le week-end dernier qu'il quittait la production de la série The Witcher dans laquelle il incarnait le chasseur de monstres Geralt de Riv. C'est Liam Hemsworth (Hunger Games) qui va prendre sa place. Henry Cavill va donc pouvoir se consacrer entièrement à son rôle de Superman.
En attendant le retour du kryptonien sur grand écran dans Man of Steel 2 et/ou Black Adam 2, Shazam 2 sortira en salles le 29 mars prochain, The Flash suivra le 21 juin 2023 et Aquaman 2, débarquera le 20 décembre 2023.
Le goût de vivre sur Netflix : la touchante histoire vraie derrière la série de Zoe Saldana
Dans Le goût de vivre, à découvrir sur Netflix, Zoe Saldana (Amy) tombe sous le charme d’Eugenio Mastrandrea (Lino-, un chef cuisinier sicilien qui va lui faire découvrir la beauté de son pays. Amy part vivre avec lui à Los Angeles où leurs cultures respectives, apparemment opposées, doivent cohabiter. Lorsque son mari découvre qu'il est atteint d'un cancer, elle devient son infirmière et l'artisan du rapprochement de leurs deux familles très différentes…
La série est adaptée d’un best seller américain intitulé "From Scratch: A Memoir of Love, Sicily, and Finding Home", écrit par Tembi Locke que vous pouvez d’ailleurs vous procurer ici. La jeune femme a utilisé l’écriture pour comme un outil cathartique pour gérer son deuil et pour montrer à sa fille - qu’elle a adopté avec son mari avant sa mort - le genre d’histoire d’amour qu’elle peut vivre un jour.
Son livre est un succès, apparaissent dans la liste du New York Times des romans à ne pas rater. Il tape même dans l'œil d’une certaine Reese Witherspoon qui le sélectionne pour son club de lecture. Son coup de cœur est tel qu'elle propose à son auteure de produire une adaptation via sa société Hello Sunshine productions.
Tembi Locke se rapproche de sa sœur, Attica, pour co-créer et écrire la série. Les noms sont changés : Tembi et Saro deviennent Amy et Lino. Mais le reste est plus ou moins fidèle. Les rivalités et les différences culturelles entre les deux familles sont traitées, tout comme la maladie de son époux.
C’est Reese Witherspoon qui a proposé à Zoe Saldana de tenir le rôle principal, après avoir découvert lors d’un dîner en sa compagnie qu’elle maîtrisait l’italien à la perfection. Cette dernière est elle aussi tombée sous le charme de l’histoire d’amour entre Tembi et Saro. Tout comme les abonnés Netflix. Avec 32 millions d’heures de visionnage et un top 10 dans 74 pays d’après Forbes, on peut dire que Le goût de vivre est un joli succès.