14 juin 2021

Danièle Evenou : ivre du matin au soir, elle a passé le confinement à boire

Boire ou conduire, impossible de choisir pour Danièle Evenou : en juin 2019, l’actrice avait perdu son permis de conduire pendant deux mois après avoir été arrêtée en état d'ébriété au volant. Un incident qui aurait pu l’alerter sur son rapport à la boisson, mais cela n’a visiblement pas été le cas : ce 10 juin dans Les Grosses Têtes, Danièle Evenou a confié qu’elle buvait encore énormément d’alcool. Elle a même consommé de grandes quantités durant le printemps 2020. « Pendant le confinement, moi, il n’y avait pas d’heure ! », s’est-elle esclaffée face aux autres sociétaires de l’émission de RTL. Quand Christine Bravo lui a demandé si elle était vraiment, comme le veut sa réputation, « bourrée du matin au soir », Danièle Evenou a confirmé. « Je bois. Mais je me suis mise à boire… Le bruit du bouchon me mettait dans un état… Je n'ai pas de honte à le dire, a-t-elle confié dans Les Grosses Têtes. Je me suis mise à aimer boire toute seule. […] J’ai bu beaucoup. Tout. Du vin, du champagne. » Et certaines amies l’ont même encouragée dans ces errances éthyliques.

« Un jour, même Sophie Garel, qui savait que je n'allais pas bien, m'a fait déposer – parce qu’on me déposait, comme si j’étais un animal étrange - des bouteilles », a assuré Danièle Evenou dans Les Grosses Têtes. Des litres d’alcool qu’elle a bus, non sans difficultés : à 78 ans, souffrant d’arthrose, la comédienne a dû utiliser un casse-noix pour ouvrir ses bouteilles de champagne. Un rappel, s’il en fallait encore un, qu’elle n’est plus tout jeune. « Je me suis rendue compte, en écoutant les informations, que je n'existais plus, a-t-elle confié à ses camarades de RTL. C’est à dire que les gens de plus de 70 ans n'existaient plus, on n'en parlait plus. Et c'est comme ça que j'ai appris que j'étais vieille. » Un mal-être qui explique, en partie, pourquoi elle s’est plongée à ce point dans l’alcool pendant le confinement.

Evidemment, tout ceci est extrêmement dangereux pour la santé. Si la modération n’est pas son amie, Danièle Evenou en a tout de même conscience : elle a donc été vérifier son état de santé. « Je suis une dingue des prises de sang, j’ai besoin de faire des prises de sang tout le temps », a-t-elle expliqué dans Les Grosses Têtes. Craignant un « cancer du foie » lié à sa consommation excessive d’alcool, elle a assuré que ses dernières analyses ne montraient étonnamment rien d’anormal. « Je m’en sors bien », a-t-elle souri sur RTL. 

Sandrine Quétier, émue, se confie sur son père atteint d'Alzheimer

En 2017, Sandrine Quétier décidait de quitter l'animation pour se lancer dans une carrière de comédienne. Après avoir coprésenté pendant onze ans 50'inside aux côtés de Nikos Aliagas, les téléspectateurs ont pu l'apercevoir dans les séries Commissaire Magellan ou encore Joséphine, Ange gardien. Plus récemment, c'est dans Léo Mattéi, Brigade des mineurs qu'elle s'est illustrée aux côtés de Jean-Luc Reichmann. Venue évoquer ce tournant dans sa carrière et ses nouveaux projets, Sandrine Quétier a profité de sa venue sur le plateau de l'émission L'instant de luxe sur Non Stop People ce lundi 14 juin pour évoquer sa vie privée, et notamment la maladie de son père, atteint d'Alzheimer depuis de nombreuses années.

"C'est vraiment une maladie qui est très compliquée", a confié l'ancienne animatrice, avant d'ajouter : "On essaie d'accompagner au mieux, ma maman est formidable, elle est à ses côtés tout le temps (...) Il a une maladie assez longue, on a découvert qu'il était malade il y a 12 ans maintenant. Ça, je pense que ça a été un vrai choc dans ma vie, parce que le papa pour sa fille, c'est quand même un peu le héros, même quand on est une grande fille. Donc, c'est toujours compliqué et puis la maladie d'Alzheimer, on perd la mémoire, c'est quand même terrible", a-t-elle livré non sans émotion.

Une interview sans tabou qui a poussé Jordan de luxe a questionné l'animatrice et savoir si son père la reconnaissait encore. "Je ne sais pas parce qu'il ne parle plus beaucoup" a-t-elle expliqué, "en tout cas, il a les yeux qui brillent quand il me voit et quand il voit mes enfants. Ça c'est important". Au quotidien, Sandrine Quétier tente de faire tout son possible pour aider son père et l'épauler dans la maladie.

"Il faut accompagner au mieux les personnes de notre entourage pour qu'elles soient le mieux possible compte tenu de leurs conditions et puis se remémorer plein de vieux souvenirs, s'en recréer des nouveaux à chaque fois qu'on le voit" a-t-elle expliqué. Confiant que sa disparition était une étape qu'elle redoutait forcément, elle a néanmoins souligné qu'elle pourrait être aussi vue comme une "délivrance" pour lui... "Un sentiment ambivalent" qu'elle a accepté de livrer, un émouvant témoignage.

Le réalisateur Dennis Berry est décédé à l'âge de 76 ans

Le réalisateur, scénariste et acteur américain Dennis Berry, qui fut l’époux des icônes de la Nouvelle Vague Jean Seberg puis Anna Karina, est décédé samedi à 76 ans, a annoncé son agente ce dimanche.

« Le réalisateur Dennis Berry s’est éteint à Paris le 12 juin à 9h45. Entouré de tout l’amour de ses amis, il part retrouver Anna Karina », morte en 2019, a dit son agente Ouarda Benlaala.

Né aux Etats-Unis, Dennis Berry vivait à Paris depuis les années 1970. Il épouse en 1972 l’actrice américaine Jean Seberg, l’étudiante dont s’éprend Jean-Paul Belmondo dans A bout de souffle de Jean-Luc Godard en 1960. Le couple est déjà séparé à la mort de la comédienne à Paris en 1979.

En 1982, il se marie avec une autre icône de la Nouvelle vague, la Danoise Anna Karina, qui a joué dans plusieurs films de Jean-Luc Godard, dont Pierrot Le Fou. C’est un quatrième mariage pour Anna Karina, et ce sera le dernier. En 2018, elle notait, un rien incrédule, « je suis mariée depuis près de 40 ans avec le même homme », lors d’un entretien avec l’AFP.

Dennis Berry, fils de John Berry, réalisateur lui aussi, a multiplié les petits rôles au côtés de stars comme Alain Delon ou Jean-Paul Belmondo (dans Borsalino) et même Johnny Hallyday et sous la direction de cinéastes comme Jules Dassin, Eric Rohmer, Jacques Rivette, Carlo Lizzani, Jacques Deray ou André Téchiné.

En tant que réalisateur, il a notamment signé en 1975 Le Grand Délire, son premier film, avec Jean Seberg et Isabelle Huppert. En 2017, il consacre un documentaire à sa femme : Anna Karina, souviens-toi. Son dernier film, Sauvages, est sorti en 2019.

Dennis Berry a par ailleurs réalisé plusieurs séries télévisées, comme Highlander, où Marion Cotillard effectue ses premiers pas dans un épisode en 1992, Stargate Sg-1 ou La Crim'.

Mort de l'acteur Ned Beatty à l'âge de 83 ans

Ned Beatty est né en 1937, à St Matthews, dans le Kentucky. Il est élévé au sein d'une famille très religieuse et envisage dans un premier temps de rentrer dans les ordres. Mais à l'âge de dix-sept ans, la révélation de la comédie vient à lui.

Il fait alors ses débuts au Barter Theatre d'Abington, en Virginie, où il tient plus de soixante-dix rôles en dix ans. Il intègre ensuite différentes compagnies de théâtre aux quatre coins des Etats-Unis, pour se décider, au début des années 1970, à monter à New-York.

Il joue alors dans la pièce d'Howard Sackler, The Great White Hope, où il est remarqué par John Boorman. Le réalisateur lui propose un rôle dans son film Délivrance (1971) aux côtés de Burt Reynolds, ce qu'il accepte. Le film est un succès et remporte trois nominations aux Oscars.

Les années 1970 vont être très importantes pour sa carrière : jamais il n'aura autant tourné avec de si grands noms, dans de tels films, et dans des registres aussi variés.

Il apparaît ainsi au casting des longs métrages de John Huston (Juge et Hors-la-loi, 1972, Le Malin, 1979), Robert Altman (Nashville,1975), Sidney Lumet (Network, main basse sur la télévision, 1976, qui lui vaut une nomination à l'Oscar), Alan J. Pakula (Les Hommes du Président), Arthur Hiller (Transamerica Express, 1976), Richard Donner (Superman, 1978), Steven Spielberg (1941, 1979) et Richard Lester (Superman II, 1980).

Homme de théâtre et de cinéma, Ned Beatty est aussi un acteur de télévision très prolifique. Il participe à de nombreux téléfilms et s'aventure également dans le domaine des séries en jouant dans Homicide ou encore dans Roseanne.

En 1999, il retrouve Robert Altman dans Cookie's Fortune, et tourne par la suite avec Spike Lee dans He Got Game. Pendant six ans, l'acteur alterne les petits rôles au cinéma et les apparitions télés (le téléfilm Le Bonnet de laine ou un épisode des Experts), avant de se retrouver en 2007 à l'affiche du film d'Antoine Fuqua, Shooter tireur d'élite, puis de celui de Mike Nichols, La Guerre selon Charlie Wilson.

Il tourne aux côtés de Tommy Lee Jones et de John Goodman dans Dans la brume électrique de Bertrand Tavernier, la même année. Deux ans plus tard, Ned Betty innove en prêtant sa voix au personnage de Lotso dans le troisième volet des aventures de Toy Story. Il poursuit sa carrière jusqu'en 2013, pour apparaître notamment dans Rampart avec Woody Harrelson, qui sera l'un de ses derniers films.

The Witcher sur Netflix : un premier teaser pour la saison 2

Après un tournage chaotique en raison de la pandémie mais officiellement terminé, la saison 2 très attendue de The Witcher se dévoile enfin. Netflix a profité de la Geeked Week, évènement en ligne spécial pour les fans qui s’est tenu juste avant l’E3 2021 (Electronic Entertainment Expo), pour diffuser des premières images des nouveaux épisodes de la série fantasy médiévale adaptée des romans d’Andrzej Sapkowski.

Dans ce premier teaser très intrigant et centré sur Ciri (Freya Allan), on peut apercevoir un mystérieux poignard et des runes cryptiques. La deuxième saison de The Witcher suivra le périple du Sorceleur Geralt de Riv (Henry Cavill) pour protéger et emmener Ciri chez lui, dans sa maison d’enfance de Kaer Morhen, l’endroit le plus sûr qu’il connaisse.

Malgré ces premières images, Netflix n’a pas encore annoncé la date de diffusion de ces nouveaux épisodes mais on peut espérer l'arrivée de la saison 2 de The Witcher d’ici la fin d’année. Néanmoins, le géant du streaming a dévoilé son association avec CD Projekt Red pour la mise en forme d'un évènement virtuel pour les fans, nommé WitcherCon, le 9 juillet prochain.

Cet événement consacré à l’univers de The Witcher, séries et jeux vidéo compris, sera composé de panels interactifs qui mettront en lumière les personnes qui ont donné vie au Sorceleur, des news exclusives, des révélations sur les coulisses et des infos sur le prochain jeu mobile The Witcher: Monster Slayer, sur les bandes dessinées, et sur le film d’animation Nightmare of the Wolf.

Virgin River sur Netflix : la bande-annonce de la saison 3

Voici enfin venue la bande-annonce de la saison 3 de Virgin River, la série romantique par excellence de Netflix avec Alexandra Breckenridge dans le rôle de Mel, une infimière praticienne de Los Angeles qui s’installe dans la petite ville reculée de Virgin River en Californie. Alors qu’elle démarre une nouvelle vie, elle se rend compte que la vie sur place n’est aussi simple qu’elle l’espérait.

Cela inclut bien sûr sa rencontre avec Jack, joué par Martin Henderson, propriétaire d’un bar et ancien Marine qui lutte contre un syndrome de stress post-traumatique, lequel a été retrouvé abattu à la fin de la saison 2 !

Si les choses sont compliquées depuis le début, elles continuent de l'être au cours d’une saison 3 qui s’annonce pleine de méandres et qui démarre plusieurs mois après la fin choquante de la saison 2. Petit aperçu des dialogues entre Jack et Mel : "Je ne peux pas être celui qui t’empêche de devenir mère." dit un Jack tout contrit. "Tu n'écoutes pas ce que je veux." lui rétorque alors Mel. "Je sais ce que tu veux. Je ne sais pas si je peux te le donner !"

Comme le laissent deviner ces premières images, les nouveaux épisodes promettent leur lot de rebondissements avec des funérailles, un incendie, un divorce, un ouragan et une nouvelle romance. Pour en avoir le cœur net, il faudra attendre le 9 juillet pour que les 10 épisodes arrivent sur Netflix.

Castlevania : Netflix annonce une nouvelle série sur la Révolution française

Netflix n'en a pas fini avec Castlevania. Après une saison 4 qui conclut la série initiale, l'univers s'étend avec un projet de spin-off, dévoilé à l'occasion de la Geeked Week, un événement qui se tenait en ligne pour les fans. L'intrigue de ce nouveau programme commencera des centaines d'années après les événements de Castlevania et dans un autre pays, en France, au cours de l'année 1792, soit pendant la Révolution française. Un contexte historique passionnant qui devrait emmener le monde du showrunner Warren Ellis vers d'autres horizons.

Le spin-off suivra les aventures de nouveaux personnages dénommés Maria Renard, chasseuse de vampires, et Richter Belmont, un descendant lointain des héros Trevor et Sypha. Inédits à l'écran, les deux protagonistes devraient parler aux connaisseurs puisqu'ils sont déjà apparus dans les jeux vidéo. Les fans de la série vont devoir s'armer de patience puisque qu'aucune date de sortie, ni de titre officiel, n'ont été dévoilés pour le moment. Sortie le 13 mai dernier, la saison 4 avait reçu un accueil dithyrambique. Elle est toujours disponible sur Netflix.

Palmarès du festival de Cabourg 2021

Découvrez le palmarès complet de cette 35e édition :

Swann d'or

Meilleur film : Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait d'Emmanuel Mouret 

Meilleur réalisateur : Emmanuel Mouret pour Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait 

Meilleure actrice : Emilie Dequenne pour Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait d'Emmanuel Mouret 

Meilleur acteur : Benjamin Lavernhe pour Le discours de Laurent Tirard

Prix Gonzague Saint-Bris du meilleur scénario original : Nicolas Maury, Sophie Fillières et Maud Ameline pour Garçon chiffon de Nicolas Maury

Meilleur premier film romantique : Mignonnes de Maïmouna Doucouré

Révélation féminine : Jenna Thiam pour Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait d'Emmanuel Mouret 

Révélation masculine : Félix Lefebvre pour Eté 85 de François Ozon

Swann d'honneur : Marisa Berenson et Brigitte Fossey

Compétition longs métrages

Grand Prix du jury : The Whaler Boy de Philipp Yuryev

Prix de la jeunesse : De nos frères blessés d'Hélier Cisterne

Premier rendez-vous : Fathia Youssouf pour Mignonnes de Maïmouna Doucouré et Guang Huo pour La nuit venue de Frédéric Farrucci

Grand prix du public : Fisherman's Friends de Chris Foggin

Compétition courts métrages

Meilleur court métrage : On n'est pas des animaux de Noé Debré

Meilleure actrice : Tiphaine Haas pour Un monde sans crise de Ted Hardy-Carnac

Meilleur acteur : Vincent Macaigne pour On n'est pas des animaux de Noé Debré

Dirty John avec Connie Britton et Eric Bana : TF1 déprogramme la série

Clap de fin pour Dirty John sur TF1. Alors que la chaîne diffusait depuis le 1er juin la série avec Connie Britton et Eric Bana, elle a pris la décision de la déprogrammer faute d'audience

La première saison de cette série anthologique raconte l’histoire vraie de Debra Newell, une femme d'affaires, qui va tomber sous le charme de John Meehan, un homme en apparence bien sous tout rapport qui va se révéler être un héroïnomane, stalker et ex-taulard avec des antécédents de violence.

Adaptée d’une série de podcasts réalisée par Christopher Goffard, Dirty John n’a pourtant pas réussi à convaincre les spectateurs de la Une.

Dès la première soirée de diffusion, la série n’était parvenue à attirer que 2,30 millions de téléspectateurs, soit 11,0% du public et 18,5% des femmes responsables des achats âgées de moins de cinquante ans (FRDA-50), selon Médiamétrie.

TF1 avait alors été battu par France 3 et sa série Le Voyageur, et M6 et la finale du "Meilleur pâtissier : Les professionnels". La seconde soirée n’est pas parvenue à redresser la barre : seuls 1,66 million de curieux, soit 7,4% du public et 10,9% des FRDA-50 étaient devant la série, faisant de la Une la quatrième chaîne nationale en prime time.

C’est donc sans surprise que la chaîne a décidé de limiter la casse en déprogrammant Dirty John pour son dernier soir de diffusion. A la place, les téléspectateurs pourront retrouver ce mardi 15 juin dès 21h05 Momo, un film avec Catherine Frot et Christian Clavier sorti en 2017.

Les fans de la série devront, quant à eux, se rendre sur Netflix, où la série est proposée depuis 2019, afin de découvrir comment se termine la saison 1.

Far Cry 3 : Netflix annonce Captain Laserhawk, une série animée dérivée du jeu vidéo

Netflix et Ubisoft Film & Television étendent leur relation. Le streamer vient de commander une nouvelle série animée pour adultes. "Captain Laserhawk: A Blood Dragon Remix" a reçu une commande de six épisodes. La série sera inspirée du jeu Ubisoft Far Cry 3 : Blood Dragon de 2013 et Netflix la présente comme "une série d'animation originale qui plonge des personnages farfelus d'Ubisoft dans un univers bourré de références au début des années 1990."

La série avait déjà été annoncée en 2019, au stade de développement, mais sans aucune chaîne ou service de streaming n'y était attaché à l'époque. Adi Shankar, déjà derrière Castlevania, en sera le créateur et producteur exécutif avec le studio de production parisien Bobbypills. Un premier teaser a été dévoilé lors de l’annonce à la Geekedweek de Netflix.