24 avril 2021

Liam Gallagher était très en colère contre Manchester City à cause de la Super Ligue

Dimanche dernier, c’est un cataclysme qui a secoué le monde du football : douze des plus gros clubs de l’UEFA annonçaient faire sécession pour créer une nouvelle compétition baptisée Super Ligue. Une annonce qui a ulcéré Liam Gallagher alors même que la fronde impliquait de nombreux clubs britanniques, à savoir Arsenal, Chelsea FC, Liverpool, Manchester United, Tottenham et surtout le club qui le fait vibrer depuis l’enfance, Manchester City.

« Ce truc de Super Ligue est vraiment effrayant. Il faut arrêter ça », a d’abord tweeté le chanteur, avant d’ajouter : « Imaginez les publicités merdiques pendant les matchs et sans compter les trous du cul en train de chanter à la mi-temps. Je vais au pub. Nique cette merde. » Enfin, l’artiste a ravalé sa colère et imploré son club, Manchester City, de faire de faire le bon choix en coupant court à cette hérésie.

Et il semblerait bien que les tweets désespérés de Liam Gallagher, et la mobilisation des supporters des six clubs anglais, aient touché le cœur des cadres du MCFC. Dès mardi, le club frondeur a fait savoir qu’il se retirait du projet de Super Ligue, entraînant avec lui tous les clubs britanniques.

Voilà qui a dû ravir Liam Gallagher qui n’aura pas manqué de fêter ça au pub puisque, pour rappel, les débits de boissons ayant un jardin ou une terrasse ont rouvert au Royaume-Uni.

La fille de Kate Winslet a discrètement commencé sa carrière d’actrice

Le nom de Mia Threapleton vous dit-il quelque chose ? Sûrement pas, et pourtant, cette jeune actrice de 20 ans qui a été vue dans le thriller Shadows (2020) et commence à faire parler d’elle n’est autre que la fille de Kate Winslet. Née de l’union de la star de Titanic avec le réalisateur Jim Threapleton, le fait de ne pas porter le nom de sa mère lui a permis de commencer sa carrière discrètement. Une véritable fierté pour Kate Winslet qui est ravie de voir sa fille suivre ses traces.

« Ça a été quelque chose de merveilleux… Je pense que je savais que ça allait arriver. Je l’ai toujours suspecté. Et puis, il y a quelques années, elle s’est retournée vers moi et elle a dit, “Je pense que je vais tenter le coup” », a-t-elle confié lors d’une interview avec Lorraine Kelly.

« Ce qui a vraiment été bien pour elle, c’est qu’elle porte un nom de famille différent, alors dès le départ, elle est passée sous le radar et les gens qui l’ont castée n’avaient aucune idée qu’elle était ma fille. Et bien sûr, c’était ma plus grande peur », a poursuivi Kate Winslet, précisant que cet anonymat était important pour son « estime de soi ».

Après ce premier rôle dans Shadows, Mia Threapleton va désormais devoir se frayer un chemin à Hollywood. Et maintenant que tout le monde sait qui est sa mère, les choses pourraient bien s’accélérer pour elle. D’ailleurs, d’après Kate Winslet, elle est actuellement en train de tourner une série en République tchèque.

King on Screen, le documentaire sur Stephen King

C'est un fait : Stephen King est, depuis fort longtemps, une valeur plus que sûre au cinéma et à la télévision. On ne compte plus les adaptations de ses oeuvres, assez inégales pour être honnête, mais qui ont fort heureusement pu, parfois, accoucher de très grands films et / ou d'oeuvres solides : Shining, Carrie, Les Evadés, Stand by me, Dolorès Claiborne, Misery, La Ligne verte, Cujo, The Mist, Christine... 

Au-delà des talents de l'écrivain, son influence sur la Pop culture, depuis des décennies, est absolument immense. On ne compte plus les artistes revendiquant son héritage ou s'inspirant de son oeuvre foisonnante, dans tous les domaines, que ce soit au cinéma, dans les séries, la littérature, les jeux vidéo, ou la musique. Bref, Stephen King est partout.

Du coup, c'est avec un vif intérêt que l'on peut suivre le projet King on Screen; un documentaire français de 90 min actuellement en préparation, réalisé par Daphné Baiwir et produit par Sebastien Cruz. La particularité de ce projet et ce qui le rend jusque-là inédit, est qu'il va essentiellement s’axer autour des témoignages d’invités, ayant été amenés à travailler de près sur les adaptations de l’auteur.

Du côté des réalisateurs ayant accepté de participer au documentaire, c'est du lourd : Frank Darabont, Tom Holland, Scott Hicks, Vincenzo Natali, Taylor Hackford... Au bas mot, une trentaine d'intervenants, pour décortiquer et mettre à nu tout l'univers du maître, et comment ils s'en sont emparé.

Mais il y a plus. L'équipe du film s'est mis en tête de réaliser une introduction tournée dans le Maine durant 5 jours, là où habite l'auteur. Une introduction bourrée de références et autres Easter eggs autour de l'univers du maître de l'horreur.

Dans ce but, elle a lancé un crowd funding sur la plateforme Kickstarter, pour tenter de boucler les 20.000 € nécessaires pour réaliser cette intro au documentaire. Pour la faire, elle s'est adjointe les services de pointures dans leurs domaines respectifs, qui ont donné leur accord pour participer à l'aventure, comme Luis Sequeira, le responsable des costumes de la denrière adaptation de Ca et cité à l'Oscar des Meilleurs costumes pour La Forme de l'eau de Guillermo del Toro. Keith Shaw, coloriste, qui a travaillé sur les films de Frank Darabont comme Les Evadés et La Ligne verte. Le directeur de la photographie Marc Koninckx, spécialiste de la steadycam, qui travailla notamment avec Lewis Teague, le réalisateur de Cujo. Ou encore le Designer son Dean André, qui a notamment travaillé sur The Amazing Spider-Man.

King on Screen est en outre coproduit par Frakas Productions, à qui l'on doit le formidable et dérangeant Grave, ainsi que Shamans Films, une structure fondée en 2017 par Nikolaus Roche-Kresse, qui a notamment travaillé durant plusieurs années chez Ubisoft en qualité d’expert mise en scène et réalisation, et réalisateur d'un court mondialement primé, L'automne de Zao.

23 avril 2021

Publicités de stars : Cate Blanchett se parfume à l'italienne

En 2013, Cate Blanchett est à l'affiche du Woody Allen de l'année (Blue Jasmine) et du dernier volet d'une trilogie de Peter Jackson (Le Hobbit: la désolation de Smaug). Pour le parfum Armani Si, elle est mise en scène en couleurs et en noir et blanc.

Marie-José Pérec victime de racisme, elle témoigne

A chaque édition des Jeux olympiques, la France comptait sur elle. Star de l'athlétisme des années 90, Marie-José Pérec (52 ans) a fièrement porté le drapeau tricolore pour lequel elle a remporté pas moins de trois médailles d'or durant sa carrière. De brillantes performances qui ne l'ont pas malheureusement pas empêché d'être confrontée au racisme, comme ce jour où une vendeuse ne l'avait pas reconnue.

"Tu rentres dans une boutique, les gens te demandent : "Mais, qu'est-ce que tu veux ?" Ils tutoient, s'est-elle souvenue face à Manu Katché pour Yahoo. Tu ne t'adresses pas comme ça à tout le monde. Moi, j'ai pour habitude de dire, qu'à cette période, j'ai eu le sentiment que j'avais perdu ma couleur. Parce que, d'un coup, au même moment, j'étais une Noire qui n'avait rien à faire là, avec une vendeuse ou un vendeur dans le magasin, et l'autre qui m'avait reconnue. Il voyait mon nom, mais plus ma couleur. Je la perdais parce que je courais vite", confie l'ex-athlète vue dans Mask Singer en 2019.

Un sentiment que supporte alors "très mal" la triple championne olympique. "Je me demandais : si ma maman vient dans ce magasin, on va lui demander "Tu veux quoi, toi ? Tu n'as rien à faire ici"", déplore la maman de Nolan (11 ans), qui s'est rendu compte de sa couleur de peau en quittant la Guadeloupe et la commune de Basse-Terre à la fin de l'adolescence. "Ici, il y a des gens qui m'ont dit des choses comme "Sale Noire, rentre chez toi." Pour moi, gagner, c'était nécessaire, et perdre, c'était la mort (...) Cela te donne plus de force", résume-t-elle.

Whoopi Goldberg écrit un film de super-héros avec une femme noire âgée dans le premier rôle

Dans l’univers des super-héros, s’il y en a presque pour tout le monde, Whoopi Goldberg a identifié un groupe social injustement oublié : les femmes âgées noires. L’actrice, qui fête cette année les trente ans de sa victoire aux Oscars pour le Meilleur second rôle féminin (Ghost), a révélé à Variety qu’elle avait décidé de remédier à cette omission en écrivant elle-même un film de super-héros dont le personnage principal sera une femme d’un certain âge, afro-américaine comme elle.

« Depuis que je suis gamine, je suis obsédée par les super-héros. Tout le monde sauve la Terre tout le temps. Mais vous savez qui va vraiment sauver la Terre ? Les vieilles femmes noires », a-t-elle lancé.

Whoopi Goldberg n’en dit pas beaucoup plus sur la trame de son projet, mais il se focalisera apparemment sur une femme âgée qui doit apprendre à utiliser ses nouveaux super-pouvoirs. En attendant, on devrait bientôt la retrouver dans costume qui n’a pas grand-chose à voir avec celui d’une super-héroïne (encore que), puisqu’elle reviendra dans le rôle de la chanteuse/nonne Deloris Van Cartier dans Sister Act 3, prévu sur Disney+.

Whoopi Goldberg reste également à la présentation de The View, le talk-show qu’elle coanime depuis plus de dix ans. « Je suis là jusqu’à ce que je pense ne plus pouvoir le faire, mais je n’en suis pas encore là. Tant qu’on me permet de faire les deux, être actrice et animatrice, alors je le fais. Quand ils me diront "Non, tu ne peux pas", je trouverai une solution », conclut-elle.

EnjoyPhoenix révèle dans une vidéo avoir été victime d'abus sexuels

Parmi les premières et les plus connues stars françaises de YouTube, Marie Lopez alias EnjoyPhoenix est aujourd’hui à la tête de trois chaînes, dont la principale qui compte plus de 3,5 millions d’abonnés et qu’elle alimente régulièrement. Sa dernière vidéo en date, publiée mardi, fait beaucoup parler d’elle, à la fois par son titre et son thème (« Mon problème avec le mariage et les enfants ») et par les révélations que la jeune femme y fait : « J’ai été abusée. Comme beaucoup. On a l’impression que ce n’est pas de l’ abus sexuel, mais en fait ça en est. »

EnjoyPhoenix, 26 ans, s’exprime d’abord sur la pression sociale qui pèse sur les femmes au sujet du mariage et des enfants, elle qui ne veut ni l’un ni l’autre pour l’instant. Elle revient également sur son adolescence, cette période entre 12 et 18 ans « qui te fait prendre conscience de ce que c’est que la vie. Celle où tu te prends des grosses claques. Celle où tu connais aussi tes premières désillusions. Et des désillusions en amour, j’en ai eu. J’ai été trompée, j’ai été quittée salement ».

Puis elle révèle que, comme beaucoup de jeunes filles et jeunes femmes, elle a été victime d’abus sexuels : « Je ne l’ai découvert que très récemment parce que je ne voulais pas mettre de mots dessus car pour moi, à ce moment-là, ça ne l’était pas. » La YouTubeuse n’en avait jamais parlé et en parle encore peu, « parce que je ne l’ai découvert que très récemment au détour d’une conversation avec ma psy. Elle m’ouvre les yeux en me disant que c’était clairement de l’abus sexuel et que si je n’avais pas voulu le voir c’est parce que mon cerveau avait tenté de me protéger ».

Si Marie Lopez n’en dit pas plus, elle n’exclut pas d’y revenir dans une prochaine vidéo, car c’est « important de libérer la parole à ce sujet ».

Justin Timberlake s'engage contre un projet d'oléoduc dans sa ville natale de Memphis


Pour le « Earth Day », Justin Timberlake s’est engagé contre un projet d’oléoduc, prévu pour être construit dans sa ville natale de Memphis, dans le Tennessee. Sur Instagram, l’interprète de Cry Me A River a posté une vidéo dans laquelle il manifeste son opposition au pipeline pétrolier Byhalia.

« Memphis est ma ville natale et j’en ai toujours été très fier. Ce que la plupart des gens ne savent pas à propos de cette ville, c’est qu’elle est située au-dessus d’une source d’eau potable parmi les plus propres du monde… Mais maintenant, cette eau potable est en danger car les compagnies pétrolières prévoient de construire le #ByhaliaPipeline. Ce pipeline traversera des quartiers majoritairement noirs et à faibles revenus. Cela ne peut pas se faire », a-t-il expliqué.

L’oléoduc passerait en effet en plein cœur d’une des sources les plus importantes de la région, qui fournit de l’eau potable à près d’un million de personnes.

En story, Justin Timberlake a ajouté la définition du « racisme environnemental », développée par le militant pour les droits civiques Benjamin F. Chavis Jr. : « Une forme de racisme systémique où les communautés noires sont accablées de manière disproportionnée par des risques sanitaires en raison de politiques et de pratiques qui les obligent à vivre à proximité de sources de déchets toxiques telles que des stations d’épuration, des mines, des décharges, des centrales électriques, des routes principales et des émetteurs de particules en suspension dans l’air ».

Pour s’opposer à la construction de ce pipeline, la star encourage à signer une pétition, « No Oil In Our Soil » (« Pas de pétrole dans notre terre »). A ce jour, la pétition a été signée par un peu moins de 31.000 personnes.

Lourdes Leon, la fille de Madonna, évoque son histoire d'amour avec Timothée Chalamet

Lourdes Leon est prête à entrer sous le feu des projecteurs. La fille de Madonna et du coach de stars Carlos Leon, longtemps restée dans l’ombre de la superstar, a accordé une interview à Vanity Fair, dans laquelle elle détaille ses ambitions… et fait quelques révélations croustillantes. Elle confirme notamment que Timothée Chalamet a été son premier petit copain, alors qu’ils étaient adolescents et élèves à la Fiorello LaGuardia High School of Music & Art, à New York.

« Je le respecte beaucoup. On était une sorte de petit couple. Mon premier boyfriend », explique la danseuse et mannequin de 24 ans.

Lourdes Leon révèle par ailleurs qu’elle connaissait à l’époque l’acteur Ansel Elgort, puisqu’il fréquentait lui aussi l’établissement. « C’était un DJ nul », lance-t-elle, sévère.

Si elle commence à peine à lancer sa carrière (sa page Instagram « officielle » n’existe que depuis janvier dernier), la fille aînée de Madonna a déjà beaucoup d’ambition. Celle qui a récemment posé pour Marc Jacobs et Stella McCartney veut, à terme, s’imposer au cinéma. Son rêve ultime : incarner Mère Theresa à l’écran. « La prière, c’est quelque chose qui m’aide beaucoup. J’adore la religion et les personnes très religieuses », assure-t-elle.

« Fille de », mais pas seulement, Lourdes Leon est convaincue que sa génération va changer les choses. « Depuis la dernière présidence [de Donald Trump], je ne pense pas avoir une seule amie qui ne soit pas déprimée ou anxieuse. Si nous nous sentons unies maintenant, il y a un sentiment de solidarité et de responsabilité pour toute personne qui ne se sent pas en sécurité pour marcher dans la rue », conclut la star.

La série Parasite de HBO sera une toute nouvelle histoire

Le drôle de projet Parasite de HBO, annoncé juste après la sortie du film de Bong Joon-Ho, sacré à Cannes et aux Oscars, demeure insaisissable. On en sait quand même un peu plus grâce au producteur Adam McKay, qui précise que cette adaptation en série télévisée ne sera pas un remake, mais bien une histoire originale.

Au cours du podcast «Happy Sad Confused» de MTV, le réalisateur de The Big Short rassure et annonce que le projet avance "à toute vitesse" et que, malgré ce que tout le monde pensait initialement, ce ne serait pas une nouvelle version HBO du Parasite de 2019. "C’est bien une série originale. Elle sera déroulera dans le même univers que le long métrage, mais c'est une histoire originale qui se passe dans le même monde".

McKay ne dit pas grand chose de plus, si ce n'est qu'il se sent très "honoré" de bosser avec son homologue coréen. Les deux cinéastes seront producteurs de la série limitée Parasite, grâce à laquelle Bong Joon-Ho espère avoir le temps d'élargir l'univers du film. Aucune date pour le moment.