28 juillet 2021

James Blunt atteint du Covid-19 : Le traitement fait rétrécir ses parties intimes

Le Covid-19 continue de faire des victimes. Depuis le début de la pandémie en février 2020, personne ne semble échapper au virus. Ainsi anonymes et célébrités sont sur une pied d’égalité face aux vagues épidémiques qui se succèdent.

Après le président de la République ou encore le prince William, c’est au tour d’un chanteur célèbre d’être atteint par le virus. Depuis 2004, James Blunt est considéré comme l’une des plus belles voix de la chanson anglaise. Alors qu’il vient de reprendre les concerts, l’interprète de « Goodbye my lover » poursuit une belle carrière qui a été quelque peu freinée. Et pour cause, le chanteur a lui aussi été confirmé positif au Covid-19.

Mauvaise nouvelle pour les fans ! Le chanteur anglais, James Blunt, a donc été atteint par le Covid-19. Alors qu’il devait entamer sa tournée avec une première représentation au Royal Albert Hall à Londres, vendredi 23 juillet dernier, le chanteur a eu bien du mal à assurer sa représentation. Dans un but de transparence totale, l’interprète de « You’re Beautiful » s’est expliqué auprès de son public :

"La seule chose dans mon agenda pendant un an et demi c’est ce concert et deux semaines avant j’ai eu le Covid. Je me suis dit que ça irait, mais finalement ça a atteint mes poumons (…) ma voix est foutue."

Visiblement démoralisé, le mari de Sofia Wellesley aurait en plus contaminé deux de ses musiciens ainsi que deux membres de son équipe. Contrairement à lui, ces derniers avaient tous eu leurs deux doses de vaccins. Ils ont donc été beaucoup moins atteints que l’artiste de 47 ans qui doit en plus faire face aux effets secondaires de son traitement.

"Maintenant je suis sous stéroïdes et mon petit engin est devenu petit. Je veux dire, encore plus petit."

Pourtant, il a choisi de maintenir son concert. Fortement atteint, le chanteur a eu beaucoup de mal à aller au bout de sa performance. En plus d’avoir du mal à s’exprimer, le chanteur britannique toussait régulièrement. Mais rien ne semble entacher son sens de l’humour ! On lui souhaite un bon rétablissement.

Inquiète de la recrudescence de cas de Covid, Lizzo demande à ses fans de ne plus s'approcher d'elle

Alors que la variant Delta se propage aux Etats-Unis, les artistes sont de plus en plus inquiets. Car si les concerts ont recommencé un peu partout dans le pays, les mesures sanitaires ne sont pas toujours respectées. C’est pour cette raison que Lizzo a lancé un appel à ses fans : elle refuse désormais qu’ils s’approchent à moins de deux mètres.

« Je me fiche de qui vous êtes. Vous pouvez être la personne la plus gentille. Vous pourriez être vacciné. Vous pourriez être quadruple vacciné. Si vous me voyez, s’il vous plaît, donnez-moi deux mètres. Cette merde est en train de revenir. Le Covid. Et les gens sont vraiment négligents avec l’espace personnel », a-t-elle expliqué dans une vidéo sur Instagram.

Aux Etats-Unis, les cas de Covid-19 ont augmenté de 170 % au cours des deux dernières semaines, et 83 % des nouveaux cas ont été frappés par le nouveau variant Delta. Pour montrer à quel point elle est sérieuse, Lizzo a révélé ce qu’elle ferait aux fans qui s’approchent un peu trop : une pulvérisation de gel hydroalcoolique !

« Ce n’est pas de votre faute, c’est juste moi. Je ne veux rien attraper. Je ne veux même pas attraper des sentiments, alors vous croyez que j’ai envie d’attraper le Covid ? Ne pensez pas, ''Oh, c’est une célébrité, elle pense qu’elle est plus importante''. Ce n’est pas ça. Vous savez pour qui je me prends ? Pour une personne en bonne santé. Vous savez pour qui je me prends ? Une personne qui n’a pas le Covid. Vous savez pour qui je me prends ? Pleine de vitamine D et de vitamine C. Vous savez pour qui je me prends ? En sécurité pour ma famille et mes amis, mes collègues et mon équipe. Voilà pour qui je me prends », a-t-elle lancé.

Snapchat : Nabilla paie 20.000 euros d’amende pour « pratiques commerciales trompeuses »

Il faut le dire quand on fait de la pub pour une marque. Un « oubli » qui a coûté cher à Nabilla Benattia-Vergara. L’influenceuse a en effet accepté de verser une amende de 20.000 euros, après avoir été épinglée par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes ( DGCCRF).

Les faits remontent à 2018. A cette époque la vedette de téléréalité publie une story sur le réseau social Snapchat dans laquelle elle met en avant la gratuité d’un service proposé par un site boursier et des perspectives de gains importants. A aucun moment Nabilla ne précise qu’elle a été rémunérée pour cela.

« Le défaut d’indication du caractère publicitaire de sa publication (par un logo ou une mention orale ou écrite par exemple) constitue une pratique commerciale trompeuse à l’encontre de ses abonnés qui peuvent croire à tort que la promotion de l’influenceuse résulte d’une expérience personnelle positive désintéressée », souligne la Répression des fraudes dans un communiqué publié mercredi.

L’amende transactionnelle, qui prend en compte le bénéfice tiré de cette opération, a été « proposée et acceptée » par Nabilla Benattia-Vergara, avec l’accord du procureur de Paris, à l’issue d’investigations menées par le service national des enquêtes de la DGCCRF.

La direction, qui dépend du ministère de l’Economie, souligne que d’autres enquêtes sont en cours dans ce domaine, alors que les marques sont de plus en plus nombreuses à solliciter des influenceurs sur les réseaux sociaux pour faire la promotion de leurs produits ou de leurs services.

« Les publications des influenceurs sur les réseaux sociaux sont (…) susceptibles d’avoir une incidence significative sur le comportement économique des personnes qui les suivent et ne doivent donc pas tromper les consommateurs », insiste la DGCCRF dans son communiqué.

Departure : la bande-annonce de la saison 2, avec Archie Panjabi et Christopher Plummer

Après avoir résolu le mystère de la disparition d'un vol au-dessus de l'océan Atlantique, inspiré d'un fait réel, l'enquêtrice Kendra Malley reprend du service dans la saison 2 de Departure, diffusée à partir du 5 août prochain aux Etats-Unis sur le service de streaming Peacock.

Dans cette deuxième saison constituée de six épisodes, Archie Panjabi (The Good Wife) fera de nouveau face à Howard Lawson, son mentor et ancien patron incarné par Christopher Plummer (A Couteaux Tirés) pour enquêter cette fois-ci sur le déraillement spectaculaire d'un train en provenance de Toronto et à destination de Chicago.

Passant en revue tous les suspects potentiels, de l'employé désabusé au politicien local en passant par l'ingénieur à l'origine de la conception du train et un cartel de drogue mexicain, Kendra Malley va devoir jongler entre une enquête sous haute tension et ses émotions.

Tournée avant la disparition de Christopher Plummer, décédé à l'âge de 91 ans en février dernier, la saison 2 de Departure est l'une des dernières apparitions de l'acteur américain à la carrière foisonnante, de La Mélodie du Bonheur à L'Armée des 12 singes ou encore Inside Man.

En France, la saison 1 de Departure est disponible sur Salto.

Bande-annonce de Only Murders in the Building, avec Steve Martin et Selena Gomez

Les histoires de tueurs en série et de disparitions mystérieuses passionnent. Et Steve Martin l'a bien compris. Avec Only Murders in the Building, série qu'il cocrée avec John Hoffman, l'acteur et scénariste propose un programme de 10 épisodes qui s'inspire, avec un certain recul, de la folie entourant les "true crimes". Pour cela, il s'entoure de son fidèle ami Martin Short. À l'écran, les deux compères incarnent des New Yorkais résidant dans un immeuble qui va très vite se transformer en scène de crime. 

Pour documenter leurs recherches, ils vont lancer un podcast sur les histoires criminelles et, surtout, rencontrer une étrangère, jouée par Selena Gomez, qui va les rejoindre dans leur quête pour la vérité. Ensemble, ils vont se donner pour mission de retrouver le meurtrier de Tim, un jeune homme assassiné. La série s'inscrit dans le genre du whodunit, terme utilisé pour les romans policiers renvoyant à une énigme.

Après s'être rencontrés sur le tournage de la comédie Trois amigos de John Landis en 1986, Steve Martin et Martin Short ont continué de travailler ensemble au cinéma comme sur les planches. Only Murders in the Building signe leur grand retour à l'écran.

Le groupe de heavy-metal Iron Maiden s'offre deux anciens de Pixar pour son nouveau clip

Quand Pixar rencontre... le heavy metal ! Le célèbre groupe britannique Iron Maiden vient de dévoiler l'impressionnant clip post-apocalyptique de son tout nouveau single, The Writing On The Wall, une vidéo en forme de court métrage d'animation réalisée en collaboration avec Mark Andrews et Andrew Gordon, deux anciens des studios Pixar.

Mark Andrews a notamment co-réalisé le long métrage Rebelle. Quant à Andrew Gordon, il a oeuvré sur l'animation de classiques comme Monstres & Cie, Toy Story 2, Ratatouille, Le Monde de Nemo ou encore Les Indestructibles. Autant dire qu'en s'immisçant dans l'univers très sombre d'Iron Maiden, les deux Américains changent radicalement de registre.

Le clip de The Writing On The Wall, sur lequel a également travaillé le studio londonien Blinkink, a été initialement imaginé par Bruce Dickinson, le leader d'Iron Maiden. Cette vidéo, qui a mobilisé soixante personnes à travers treize pays, contient une multitude de références à l’histoire du groupe ainsi qu'une nouvelle incarnation du personnage de la flippante mascotte Eddie.

Premier morceau d'Iron Maiden depuis six ans, The Writing On The Wall annonce le 17e album de la formation britannique, Senjutsu, qui sortira le 3 septembre prochain.

Mort de Jean-François Stévenin à l'âge de 77 ans

Visage incontournable de la production française, acteur dans près de 200 films, téléfilms, séries et courts métrages, réalisateur de trois longs métrages et patriarche d'une véritable tribu de cinéma (il est le père des comédiens Robinson Stévenin, Salomé Stévenin, Sagamore Stévenin et Pierre Stévenin), Jean-François Stévenin s'est éteint ce mardi 27 juillet 2021 à Nueilly-sur-Seine, après s'être "bien battu" selon des propos rapportés par ses proches à l'AFP.

L'un des derniers films qu'il aura tourné, Illusions perdues de Xavier Giannoli adapté de Balzac, doit être présenté en compétition à la Mostra de Venise en septembre prochain.

Etudiant à HEC et passionné de cinéma, Jean-François Stévenin rédige une thèse sur l'économie du cinéma. Parti en stage à Cuba sur un tournage, il apprend sur le tas et effectue tous les métiers, de technicien à assistant réalisateur, en passant par second assistant - rôle qu'il tiendra sur le film d'Alain Cavalier, La Chamade en 1968.

Parallèlement à sa fonction d'assistant réalisateur auprès de Jacques Rivette ou Peter Fleischmann, Jean-François Stévenin devient acteur : on l'aperçoit notamment dans Out 1 : Spectre (1970) de Jacques Rivette ou encore dans L'Enfant sauvage (1970), Une Belle fille comme moi (1972) et La Nuit américaine (1973), trois films de François Truffaut.

Mais c'est son interprétation de Monsieur Richet, du même réalisateur, dans L'Argent de poche, en 1975, qui donne un élan à sa carrière. Il tourne à plusieurs reprises avec les grands noms du cinéma français : Truffaut, Rivette, mais aussi Bertrand van Effenterre, Jean-Pierre Mocky, Bertrand Blier, Robert Enrico et Laetitia Masson.

En 1978, l'acteur passe pour la toute première fois derrière la caméra et réalise son premier long métrage, Le Passe-montagne, dans lequel il se met en scène. Il donne, pour l'occasion, la réplique à Jacques Villeret.

En 1980, l'acteur français s'envole vers les Etats-Unis pour les besoins du film Les Chiens de guerre de John Irvin. Il sera également à l'affiche du film de John Huston, A nous la victoire en 1981, dans lequel il donnera la réplique à Michael Caine et Sylvester Stallone.

A raison de trois films par an, Jean-François Stévenin devient une figure incontournable du cinéma français. Les années 80 résonnent, dans la carrière de l'acteur, avec cinéma d'auteur. Parmi ces films, on retiendra Une chambre en ville de Jacques Demy, Passion de Jean-Luc Godard, Notre histoire de Bertrand Blier et 36 fillette de Catherine Breillat.

En 1986, l'acteur passe pour la seconde fois derrière la caméra et met en scène le film policier Double messieurs, avec Carole Bouquet et Monsieur Stévenin lui-même. Deux ans plus tard, il tient le rôle principal du drame Peaux de vaches, de Patricia Mazuy et partage pour la toute première fois l'affiche avec sa fille, Salomé Stévenin, qui fait là ses premiers pas au cinéma.

Acteur inclassable, Stévenin alterne, dans les années 90, entre polars avec Le Grand pardon II d'Alexandre Arcady en 1992, films intimistes avec Les Aveux de l'innocent de Jean-Pierre Améris (1996), et films plus populaires avec Les Bidochons de Serge Korber en 1995 et Le Bossu en 1997.

En 2002, il réalise son troisième long, la comédie dramatique Mischka, dans laquelle il dirige Salomé Stévenin et Robinson Stévenin. Adepte des seconds rôles, Jean-François Stévenin est à l'affiche de nombreux films grand public. Parmi eux, Le Pacte des loups, où il joue face à Vincent Cassel et Samuel Le Bihan, De l'amour aux côtés de Virginie Ledoyen, L'Homme du train de Patrice Leconte, Pas si grave ou encore La Chambre des morts.

La fin des années 2000 reste une période fructueuse pour le comédien qui enchaîne les tournages. Père de Denis Lavant dans Capitaine Achab de Philippe Ramos en 2008, Stévenin fait une incursion à la télévision pour la série Mafiosa la même année.

Acteur aux multiples facettes, le Français est à l'aise dans tous les registres : policier (Dans la brume électrique de Bertrand Tavernier en 2009), comédie (Itinéraire bis en 2010) ou drame (Lignes de front, id.).

Très prolifique, l'acteur commence les années 2010 sur les chapeaux de roue avec L'Enfant d'en Haut en 2012 aux côtés de Léa Seydoux et Comme un lion en 2013, deuxième long-métrage de Samuel Collardey après son acclamé L'apprenti en 2008. Jean-François Stévenin alternera entre cinéma et télévision tout au long de la décennie, s'illustrant notamment chez Jean-Pierre Mocky, Jeanne Herry, Christopher Thompson ou Philippe Ramos.

Côté doublage, il aura eu deux expériences notables en prêtant sa voix à Tommy Lee Jones (Dans la brume électrique) et Benicio Del Toro (Paradise Lost).

France 3 : bande-annonce de Jugée coupable

C’est officiel : les sagas de l’été vont faire leur grand retour sur le petit écran. France 3 va lancer dès le mardi 17 août à 21h05 Jugée coupable, une série en 6 épisodes qui réunit tous les ingrédients d’une bonne série estivale : drames, secrets de famille, révélations, romance et meurtres !

Et pour vous mettre l’eau à la bouche, la chaîne vient de dévoiler une première bande-annonce de la série qui promet de nombreux rebondissements.

Le pitch : Lorsque Lola Brémond, 25 ans, se présente à l’hôtel des Roches Blanches pour un entretien d’embauche, elle déchante très vite : il n’y a jamais eu d’entretien de prévu. Accueillie fraîchement par Inès Leroux-Battaglia, la propriétaire de l’hôtel, elle ne comprend pas.

Elle reçoit alors un message qui lui intime l’ordre de lire le journal local et elle y découvre qu’un crime terrible a eu lieu précisément vingt-cinq années plus tôt et qu’il a terriblement marqué la région !

Mais, surtout, la victime a une ressemblance physique frappante avec elle et pour cause..., elle va découvrir qu’elle est sa véritable mère, une jeune femme dont la rumeur, prompte à juger, dit qu’elle avait bien cherché ce qui lui était arrivé … 

C’est le début d’une affaire qui, dans un climat inquiétant de vengeance et de meurtres, va plonger Lola dans un passé dont elle ignorait tout ! Une enquête sur l’identité de son père mais également de l’assassin de sa mère ainsi qu’une quête existentielle à la découverte de sa propre histoire.

Du côté du casting, c’est Garance Thénault qui va camper Lola et sa mère, Manon. La jeune actrice a fait ses armes dans Plus Belle la Vie, avant de faire des apparitions dans Meurtres à Colmar et Meurtres à Belle-Ile.

Elle donne pour l’occasion la réplique à Pierre-Yves Bon, vu dans La Garçonne, qui prêtera ses traits au jeune capitaine Clément Neville, et Jérôme Anger (Alice Nevers, Enquêtes Réservées) qui jouera George Battaglia, patriarche puissant de la famille Battaglia.

Aurélie Vaneck, alias Ninon Chaumette de Plus Belle la Vie, campera quant à elle la jeune Gaëlle Jourdan, fille du commissaire chargé de l’enquête sur le meurtre de Manon. Elodie Frenck, Vincent Winterhalter, Inès Melab et Alexis Loret complètent la distribution.

Le Saint : Regé-Jean Page sera la star du reboot

Personnage créé dans les années 30, le voleur et détective Simon Templar, alias le Saint, a déjà eu plusieurs incarnations à l’écran. Roger Moore l’a notamment campé à la télévision dans les années 60 et Val Kilmer au cinéma, en 1997. Et ce sera donc bientôt au tour de Regé-Jean Page de prêter ses traits à ce Robin des Bois moderne, comme l’a dévoilé The Hollywood Reporter.

Propulsé sur le devant de la scène grâce à la série de Netflix La Chronique des Bridgerton, l’acteur a déjà rejoint le casting de plusieurs grosses productions américaines : The Gray Man, le prochain film des frères Russo (Avengers : Endgame) avec Chris Evans et Ryan Gosling, et l’adaptation du célèbre jeu de rôles Donjons & Dragons.

Un long-métrage dans lequel il donnera notamment la réplique à Chris Pine, qui avait un temps été annoncé comme le nouveau Saint ! À l’époque, le reboot devait être réalisé par Dexter Fletcher (Rocketman). Si l’on ne sait pas encore si le cinéaste restera impliqué sur cette nouvelle version, une chose est sûre : un nouveau scénariste a été recruté, l’acteur et dramaturge Kwame Kwei-Armah.

À noter que Regé-Jean Page ne se contentera pas de jouer dans ce reboot, dont l'intrigue n’est pas encore connue. Il exercera en effet également la fonction de producteur délégué. Une première pour le comédien qui semble plus que jamais se concentrer sur sa carrière sur grand écran, lui qui avait déjà annoncé qu’il ne reviendrait pas dans la saison 2 de La Chronique des Bridgerton.

Predator 5 : un titre officiel et des détails sur l'intrigue

Il n'a pas une gueule de porte-bonheur mais il aura un 5ème film ! Annoncé officiellement en novembre 2020, Predator 5 marquera le retour du célèbre alien aux dreadlocks. Le long-métrage sera mis en scène par Dan Trachtenberg.

Après le décevant The Predator, dirigé par Shane Black en 2018, on pensait la franchise morte et enterrée. C'était sans compter sur le réalisateur de 10 Cloverfield Lane, qui travaille sur ce projet depuis 4 ans, comme il le confiait en novembre dernier sur son compte Twitter.

Le cinéaste n'avait laissé échapper aucun détails sur l'intrigue de ce 5ème opus jusqu'à février 2021. On en sait désormais un peu plus à ce sujet. Interrogés par Collider, les producteurs John Davis et John Fox ont fait quelques confidences.

Tout d'abord, ils ont officialisé le titre du film, qui a été baptisé Skull. Il s'agit d'une référence aux crânes (Skull en anglais) que la créature rapporte comme trophées après sa chasse.

Cela corrobore les infos du site AVP Galaxy, qui relayait des annonces de casting pour un certain "Skulls" en février dernier.