Sur les réseaux sociaux, Laura Smet se fait très discrète. La fille de Johnny Hallyday et de Nathalie Baye ne poste que très rarement des clichés personnels, préférant mettre son regretté papa à l’honneur. Dès que l’occasion se présente, la maman de Léo n’hésite jamais à rendre hommage au Taulier. Que ce soit pour son anniversaire, pour la fête des Pères ou encore pour l’anniversaire de la mort de Johnny Hallyday, la soeur de David a toujours une pensée émue pour son papa, qui lui manque atrocement. Mais il arrive parfois à Laura Smet de s’exprimer sur des sujets d’actualité. Cela a récemment été le cas dans le cadre de l’affaire George Floyd, ou encore pour la mort du prince Philip pour lequel elle avait partagé un message sobre mais très efficace. Ce samedi 8 mai, c’est en story sur Instagram que la femme de Raphaël Lancrey-Javal s’est exprimée. Et pour une affaire révoltante. “Paris : un chiot de 8 mois battu à mort par son maître".
"Le propriétaire du jeune beagle a été placé en garde à vue au commissariat du 15e arrondissement”, a partagé la jeune maman, mentionnant un ami ainsi qu’Estelle Lefébure. Face à une affaire aussi horrible, Laura Smet a une réponse : faire justice soi-même. “Je me porte volontaire. J’ai les chaînes, les outils, la tronçonneuse… Mon terrain est très grand, personne n’entendra le cas gueuler”, a écrit l’ami de Laura Smet. La réponse de la fille de Johnny Hallyday ? “Je viens t’aider”.
Selon des informations du Parisien, l’homme a acheté son chiot sur Leboncoin. Malheureusement, le pauvre animal avait fini par énerver son maître car il “mâchouillait la batterie de sa cigarette électronique”. Ce sont les voisins qui ont donné l’alerte vers 00h30, après avoir entendu le chiot hurler à mort. Les policiers sont malheureusement arrivés trop tard, le pauvre animal avait le nez en sang et a été retrouvé mort sur le parking de la résidence. Accusé “d’actes de cruauté et sévices graves envers un animal de compagnie ayant entraîné la mort”, le propriétaire du chien risque une peine de deux ans de prison et 30 000 euros d'amende.