18 février 2021

Cinéma : Jean Dujardin appelle à la réouverture des salles

Jean Dujardin tire la sonnette d'alarme ! Sur Instagram, l'interprète d'OSS 117 a posté une photo dévoilant les passagers d'un avion devant un écran indiquant "please wait". Le comédien ironise ainsi sur la situation actuelle liée à la crise sanitaire, militant pour la réouverture des salles de cinéma.

L'artiste ajoute à ce post le commentaire suivant : "Spectacle assis #cinema #theatre #culture", mentionnant la ministre de la culture Roselyne Bachelot. Cinq jours plus tôt, notre Brice de Nice national déplorait déjà l'absence de cinéma en postant une photo de lui la main sur la bouche avec la légende : "Cinéma. Muet."

Son complice dans OSS 117 3, Pierre Niney, est aussi un fervent militant pour la réouverture des salles de spectacle et de cinéma. Le 7 février dernier, il s'adressait à Emmanuel Macron et Roselyne Bachelot sur Twitter, évoquant 100 jours d'incompréhension face aux mesures contradictoires prises par le gouvernement.

"Il y a peut-être un chiffre qui manque dans l'interpellation que me fait Pierre Niney : 80.000 morts par le coronavirus, des centaines de milliers de personnes avec des séquelles extrêmement dures, ces personnes qui ne retrouveront jamais une vie normale. C'est ce qui est difficile à gérer: tenir compte des contraintes sanitaires et faire en sorte que les activités culturelles continuent de la meilleure façon", rétorquait la ministre sur BFM TV.

Par ailleurs, selon Le Film Français, 22 personnalités politiques (maires, présidents de région...) et six organisations du spectacle vivant ont cosigné un texte dans lequel elles demandent au gouvernement de rouvrir tous les établissements culturels sans exception.

"Parce que la culture est essentielle au maintien des liens sociaux et à la lutte contre l’isolement, notamment pour celles et ceux qui sont les plus fragiles et souvent premières victimes de la crise sanitaire (jeunes, personnes âgées, étudiants), nous demandons au gouvernement de rouvrir tous les établissements culturels sans exception et d’annoncer une date de revoyure dans un calendrier raisonnable : musées, salles de cinéma et salles de spectacles doivent être ouverts dans un même tempo.

Nous n’acceptons pas de faire des distinctions entre les différents établissements qui tous s’engagent à mettre en œuvre des protocoles sanitaires rigoureux, déjà négociés et validés par le gouvernement. Nous sommes prêts à renforcer encore, si besoin, les protocoles sanitaires en lien avec les différentes collectivités et en fonction de la circulation du virus dans les territoires, et ainsi garantir les meilleures conditions d’accueil des publics et des professionnels."

Le 8 février dernier, Roselyne Bachelot précisait sur BFM TV qu'elle avait réuni les représentants des musées et monuments historiques en vue de réfléchir aux conditions de leur réouverture. Celle des salles de cinéma et de spectacle sera étudiée plus tard.

Zodiac : un chercheur français aurait enfin trouvé l'identité du tueur

Brève séquence flashback. En décembre 2020, on apprenait que trois détectives amateurs étaient enfin parvenu à décrypter, 50 ans après, une lettre postée en 1969 par le mystérieux tueur du Zodiac, qui fit l'objet d'un brillant film mis en scène par David Fincher. Le tueur, dont personne n'a jamais réussi à établir l'identité, et qui revendiquait 37 meurtres commis en Californie entre la fin des années 60 et le début des années 70, est notamment resté tristement célèbre pour ses messages indéchiffrables.

Elaboré grâce à une technique particulièrement complexe et composée de 340 caractères différents (à déchiffrer en utilisant un sens de lecture très précis), le texte de cette lettre, baptisé Z 340, ne dévoilait toujours pas l'identité du tueur comme pouvaient l'espérer les enquêteurs, mais se contentait de provoquer ses lecteurs : "'J'espère que vous vous amusez beaucoup à essayer de m'attraper. Ce n'était pas moi dans l'émission de télé. (...) Je n'ai pas peur de la chambre à gaz parce qu'elle m'enverra plus vite au paradis, parce que j'ai maintenant assez d'esclaves pour travailler pour moi". Les esclaves étant en l'occurence les victimes de ce tueur en série... Le FBI, qui a rouvert l'enquête au début des années 2000, n'avait pas souhaité commenter cette découverte.

C'est là qu'entrent en jeu les découvertes faites par un polytechnicien français du nom de Fayçal Ziraoui, objet d'un long et passionnant article paru sur le site du magazine Le Point ce 17 février. En déchiffrant les deux derniers cryptogrammes envoyés par le tueur, le chercheur assure avoir démasqué le tueur en série.

Fréquentant les sites spécialisés en cryptographie, il découvre que sur les quatre cryptogrammes expédiés par le tueur, deux attendent encore d'être déchiffrés : le Z 32 et le Z 13, que certains spécialistes considèrent comme "indéchiffrables" en raison de leur faible nombre de caractères.  "Il m'a fallu quinze jours pour décoder les deux derniers cryptogrammes du Zodiac. Je crois que c'est bon" précise le chercheur au magazine.

Après des calculs à base de trigonométrie, de probabilités, avec le renfort de la sémiologie et de champs géomagnétiques, il perce le premier cryptogramme, le Z 32. Il s'agit d'un code daté de juin 1970, et était joint à une lettre dans laquelle le tueur menaçait de faire sauter un bus scolaire à la rentrée suivante. Une carte routière renfermant plusieurs indices topographiques l'accompagnait. "J'ai vite compris que les quatre cryptogrammes se répondaient et que le décodage du Z 340, récemment accompli, me serait nécessaire pour aboutir sur le Z 32. En fait, les cryptogrammes sont impossibles à résoudre indépendamment les uns des autres" explique l'intéressé. "Pour venir à bout des deux derniers cryptogrammes, j'ai dû faire appel à des mécanismes de résolution non conventionnels et découper un code en 2, sachant que le Z 32 n'utilisait cette fois que 10 chiffres pour 20 lettres converties".

Dans le Z 32, Fayçal Ziraoui découve que le tueur du zodiac projetait de faire sauter une école, le jour férié du Labour Day en 1970, qui se trouvait à proximité du lac Tahoe, situé entre la Californie et le Nevada. "Il se trouve que le suspect, dont je vais découvrir le nom dans l'autre code (Z 13), habitait tout près de l'établissement visé" dit-il. Il parvient ainsi à identifier un nom : un certain Lawrence Kayr. Si le "r" du nom de famille semble être une erreur, ou bien une ultime manoeuvre du tueur pour brouiller les pistes, ce nom correspond bien à un suspect identifié par le FBI, et décédé en 2010.

Le chercheur s'est empressé d'envoyer ses découvertes à la Police de San Francisco, qui en a accusé réception, ainsi qu'au FBI. "J'aimerais bien que le FBI suive cette trace, car elle est prometteuse" dit-il au journaliste. Mais il y a fort à parier que, tout comme le décryptage du code Z 340, le FBI ne commente pas publiquement cette fantastique découverte de Fayçal Ziraoui.

Friends Courteney Cox rejoue le générique au piano

Même 17 ans après sa conclusion, la célèbre sitcom new-yorkaise continue de vivre à travers la nostalgie de ses fans, et sur les réseaux sociaux de leurs interprètes. Dernier exemple en date : une petite vidéo postée il y a quelques heures sur le compte Instagram de Courteney Cox, alias Monica. 

On peut y voir l'actrice interpréter le mythique générique de Friends au piano, clappements de mains inclus, et accompagnée par le musicien Joel Taylor à la guitare. Preuve supplémentaire que l'engouement des fans pour la série culte est toujours intact : l'extrait a généré plus d'un million de vues en moins de 12 heures. 

En toute modestie, Courteney Cox a demandé à ses followers de lui suggérer d'éventuelles améliorations sur sa prestation en commentaires. Vivement la reprise de "Tu pues le chat" aux côtés de Lisa Kudrow (Phoebe) ! 

17 février 2021

Le chanteur Tonton David est mort des suites d'un AVC à l'âge de 53 ans

On lui devait le tube Chacun sa route,  la chanson du film Un indien dans la ville. Le chanteur Tonton David, de son vrai nom David Grammont, est décédé ce mardi à l'âge de 53 ans. Une triste nouvelle confirmée à l'AFP par l'un de ses enfants et son ancien manager. Tonton David  est mort des suites d'un accident vasculaire, survenu dimanche en gare de Metz, en Meurthe-et-Moselle, le département où il résidait depuis plusieurs années. Il était hospitalisé depuis deux jours à Nancy.

Né à La Réunion, Tonton David avait grandi en Gambie puis au Sénégal avant de s'installer en France avec ses parents dans le XVe arrondissement de Paris. Après avoir découvert le raggamuffin lors d'un voyage en Angleterre, il avait commencé à se produire dans les bars à la fin des années 1980, avant de devenir l'un des pionniers du dancehall français en participant à la célèbre compilation Rapattitude. 

En 1990, il publie son premier album, Le blues des racailles. Sur le deuxième, Allez leur dire (1994), figure le titre Sûr et certain qui se vend à plus de 350.000 exemplaires.

Un succès suivi par celui de la chanson Chacun sa route, qui figure sur la BO du film Un indien dans la ville avec Thierry Lhermitte et Patrick Timsit, carton en salles avec 7,8 millions d'entrées.

Lors de la 10e cérémonie des Victoires de la musique, le chanteur est nommé dans la catégorie révélation variétés masculine de l'année, la récompense étant attribuée à Gérald de Palmas. Tonton David publiera ensuite Récidiviste (1995), qui contient notamment le duo Fugitif avec Cheb Mami. Puis Faut que ça s'arrête (1999) avant un best-of (2002), venant couronner un début de carrière en fanfare. 

Le chanteur réalisera quatre albums supplémentaires au cours des années 2000. Le dernier en date, Ma gouille, remontait à 2009. Alors qu'il planchait sur de nouvelles chansons, l'artiste continuait à se produire régulièrement sur scène avec ses musiciens.

Marvel : Disney+ annonce la série documentaire Rassemblement sur les films et séries du MCU

A l’image de la série documentaire sur les coulisses de The Mandalorian, Marvel Studios lance une nouvelle série documentaire sur les coulisses des films et séries du MCU à découvrir sur Disney+. Intitulée "Rassemblement", en référence au cri de ralliement des Avengers, cette série documentaire retracera les étapes du processus de création des longs-métrages et des shows du MCU en suivant les cinéastes, les acteurs, les équipes techniques et les héros de Marvel.

Le premier épisode Rassemblement : Le making-of de WandaVision, disponible le 12 mars prochain, se concentrera sur la série WandaVision, en cours de diffusion sur Disney+. Les fans pourront découvrir comment ce show qui révolutionne l’univers Marvel a été imaginé et conçu mais aussi comment le premier épisode a été tourné devant un public en studio. Tous les effets spéciaux et les décors en fonction des décennies et des sitcoms honorées seront décortiquées avec les équipes de la série centrée sur Wanda (Elizabeth Olsen) et Vision (Paul Bettany).

Les prochains épisodes de Marvel Studios : Rassemblement seront consacrés aux séries Falcon et le Soldat de l’Hiver, Loki et Hawkeye mais aussi le prochain film du MCU, Black Widow, porté par Scarlett Johansson. Les studios Marvel promettent une plongée impressionnante dans les coulisses et des images exclusives des films et séries de la phase IV du MCU.

DOTA : Netflix commande une série animée Dragon’s Blood d’après le célèbre jeu vidéo

Excellente nouvelle pour les fans du jeu vidéo DOTA : Dragon’s Blood. Netflix a annoncé la diffusion le 25 mars prochain d’une série animée de huit épisodes tirée de la célèbre licence MOBA (multiplayer online battle arena, ou arène de bataille multijoueurs en ligne en français) ; l’animation du programme a été confiée au studio coréen MIR, déjà employé sur les séries Voltron, le défenseur légendaire and Kipo et l'âge des Animonstres notamment.

"Les fans vont adorer quand ils découvriront notre version de l'univers de DOTA 2 et l’histoire épique, émouvante et mature que nous avons écrite. L'animation, le jeu d'acteur et la musique sont de haut vol et je remercie particulièrement le studio Valve d'avoir soutenu nos ambitions créatives." a déclaré dans un communiqué de presse le showrunner Ashley Edward Miller (coscénariste du film X-Men : Le Commencement), en référence au partenariat signé par Netflix avec le studio de développement américain également à l’origine de jeux mythiques comme Half-Life et Counter Strike.

D’autres jeux vidéo ont fait l’objet d’adaptations sur Netflix, comme par exemple Castlevania mais également des productions animées autour des licences The Witcher et Assassin's Creed à retrouver prochainement.

Regé-Jean Page au casting de Donjons & Dragons

Depuis la diffusion de la série Netflix La Chronique des Bridgerton, le nom de Regé-Jean Page est sur toutes les lèvres. Après avoir vu son nom rejoindre la longue liste de prétendants pour succéder à Daniel Craig dans la saga James Bond, le jeune comédien vient d'être engagé par Paramount pour tenir le rôle principal du reboot Donjons & Dragons. Il rejoint ainsi Chris Pine, Michelle Rodriguez et Justice Smith déjà annoncés au casting de cette nouvelle adaptation ciné du célèbre jeu médiéval-fantastique créé dans les années 70 par Gary Gygax et Dave Arneson.

Mis en scène par Jonathan Goldstein et John Francis Daley (les scénaristes de Spider-Man : Homecoming), le long-métrage est issu de l'univers du jeu de rôles Donjons et Dragons, et plus précisément du monde de campagne des Royaumes oubliés. Le duo de cinéastes a retravaillé la dernière version du scénario en se basant sur celui qu'avait déjà écrit Michael Gilio. Annoncé depuis plusieurs années, le projet devait auparavant être réalisé par Rob Letterman, porté par Ansel Elgort et produit par Warner Bros. Aucun détail sur l'intrigue n'a encore été dévoilé mais le long-métrage est déjà annoncé dans nos salles obscures pour le 25 mai 2022.

Pour rappel Donjons & Dragons a déjà fait l'objet de trois longs-métrages de cinéma : Donjons et Dragons de Courtney Solomon avec Justin Whalin, Marlon Wayans et Jeremy Irons (2000) et ses suites Donjons & dragons, la puissance suprême et Donjons et Dragons 3 - Le livre des ténèbres réalisées par Gerry Lively.

Trailer de Cruella avec Emma Stone

Mais pourquoi est-elle aussi méchante ? C'est ce que compte nous expliquer Cruella, prequel des 101 Dalmatiens centré sur la jeunesse de leur ennemie jurée. Mais la bande-annonce dévoilée par Disney nous donne déjà quelques indications : "Je suis née brillante. Méchante. Et un peu démente."

Mis en scène par Craig Gillespie, à qui l'on doit l'étonnant Moi, Tonya avec Margot Robbie, Cruella est toujours censé passer par les salles obscures et sa sortie française est prévue le 26 mai. Succédant à Glenn Close, qui avait tenu le rôle à deux reprises, Emma Stone y retrouve le scénariste Tony McNamara (La Favorite) le temps d'une origin story dont la bande-annonce n'est pas sans rappeler Birds of Prey, avec sa voix-off, ses regards caméra ou la folie de son anti-héroïne.

Également interprété par Emma Thompson, Mark Strong ou encore Emily Beecham, Prix d'Interprétation Féminine à Cannes en 2019 pour Little Joe, Cruella nous emmènera dans le Londres des années 70 et promet d'être rock'n'roll. Et le titre de la chanson utilisée ici, "Who's Sorry Now ?" ("Qui est désolé maintenant ?"), peut vouloir dire que le personnage principal cherchera à se venger de ceux qui l'ont rejeté et mis à l'écart. A commencer par la Baronne, cheffe de la maison de couture dans laquelle elle a visiblement été engagée. Un peu comme si l'héroïne du Diable s'habille en Prada jouée par Anne Hathaway tournait mal, en somme.

Origin story oblige, Cruella nous expliquera bien évidemment les raisons de son obsession pour la fourrure de dalmatien ainsi que le pourquoi de son look noir et blanc (sans aucun doute liés), et nous racontera sa rencontre avec ses futurs hommes de main Horace (Paul Walter Hauser, déjà dans Moi, Tonya) et Jasper (Joel Fry). Et tandis que l'on aperçoit sa célèbre voiture immatriculée "DEVIL", on peut se demander si le film nous offrira une reprise de "Cruelle diablesse", la chanson qui lui est dédiée dans Les 101 dalmatiens. Réponse le 26 mai, ou dans une seconde bande-annonce.

Martin Scorsese fait une nouvelle sortie contre le streaming

Martin Scorsese n’a pas sa langue dans sa poche. On le sait depuis belle lurette et même si ses coups de colère font parfois sourire, n’oublions pas qu’ils viennent d’un cinéaste qui voit son art muter à la vitesse de la lumière sous ses yeux et pas toujours au profit des artistes. C’est justement ce qu’il dénonce au détour de quelques paragraphes dans cette tribune qu’il signe dans le Harper’s magazine.

Bien qu’il ait lui-même réalisé un film diffusé sur Netflix, The Irishman, Martin Scorsese ne se prive pas de rappeler les dérives de l’industrie du streaming et leurs impacts sur le monde du cinéma.

« Il y a quinze ans à peine, le terme "contenu" n’était entendu que lorsque les gens discutaient sérieusement du cinéma, et il était différencié par rapport à la "forme".

Puis, peu à peu, il a été de plus en plus utilisé par les personnes qui ont pris le contrôle des médias, dont la plupart ne connaissaient rien de l'histoire de cette forme d'art, ou même ne s’en souciaient suffisamment pour penser qu'elles devraient le faire.

"Contenu" est devenu un terme commercial pour toutes les images en mouvement : un film de David Lean, une vidéo de chat, une publicité du Super Bowl, une suite de super-héros, un épisode de série. Il est lié, bien sûr, non pas à l'expérience en salles mais au visionnage à domicile, sur les plates-formes de streaming qui sont venues dépasser l'expérience cinématographique, tout comme Amazon a remplacé les magasins physiques.

D'une part, cela a été bon pour les cinéastes, moi y compris. D'un autre côté, cela a créé une situation dans laquelle tout est présenté au spectateur sur un pied d'égalité, ce qui semble démocratique mais ne l'est pas.

Si un visionnage plus approfondi est "suggéré" par des algorithmes basés sur ce que vous avez déjà vu et que les suggestions sont basées uniquement sur le sujet ou le genre, qu'est-ce que cela fait à l'art du cinéma ? »

16 février 2021

La Porsche de Diego Maradona à vendre aux enchères

Affichant près de 160.000 km au compteur, ce bolide est pourtant en état presque neuf. Equipé d’un moteur de 3,6 litres, cette Porsche cabriolet de 1992 développe 250 ch et 316 Nm. Mais ce qui fait son originalité est ailleurs : elle avait été commandée par Diego Maradona lorsque ce dernier jouait au FC Séville. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu'il s’était fait plaisir en optant pour la rare option « Turbo Look », la carrosserie large qui donne à la voiture un look ravageur.

Déjà en proie à des problèmes de drogue, le joueur s'était fait remarquer en étant contrôlé à plus de 180 km/h à son volant dans les rues de la ville andalouse. En 1993, il revend sa 911 à un collectionneur de Majorque qui la gardera une vingtaine d’années. Proposée à la vente en ligne entre les 03 et 10 mars prochains, la Porsche "ex-Maradonna" est estimée entre 150.000 et 200.000 euros.