18 mars 2021

Tina Turner, ex-femme battue : à 81 ans, elle reste traumatisée

Un traumatisme à vie. Elle est des femmes qui ont survécu au pire, armées de résilience et d'un instinct de survie imparable, mais Tina Turner subit encore les séquelles psychologiques laissées par des années de violences conjugales. Les souvenirs restent vifs et l'illustre chanteuse se revoit subir les coups (et les violences sexuelles) de son premier époux et père de ses deux enfants cadets (son premier fils, Craig, était issu de sa relation avec le saxophoniste Raymond Hill), Ike Turner. "Cette scène revient, vous rêvez, la vraie image est là - c'est comme une malédiction", a-t-elle confié dans le documentaire sobrement intitulé Tina, cité par le tabloïd britannique The Daily Mail ce mardi 16 mars et diffusé sur HBO le 2 mars 2021.

Seize années de calvaire dont Anna Mae Bullock de son vrai nom a tout dévoilé dans les années 1980, lorsque les médias n'ont pu la dissocier de son ex-mari, malgré leur séparation survenue en 1978. Une revanche sur l'homme qui l'avait tant brisée. "Après tout le succès que j'ai eu, les gens parlaient encore d'Ike et de Tina", s'est rappelée la star de 81 ans. "Je ne voulais pas raconter cette histoire ridiculement embarrassante de ma vie. Mais j'ai senti que c'était une façon de me débarrasser des journalistes." Tina Turner a fini par trouver un réconfort dans les bras du producteur allemand Erwin Bach mais, là aussi, les blessures n'ont pu être dissimulées. Durant les débuts de leur idylle, celui-ci a remarqué que la chanteuse se comportait tel "un soldat revenant de la guerre." Une attitude qui peut être expliquée par le diagnostic d'un syndrome de stress post-traumatique, décelé chez des survivantes et survivants de violences conjugales.

Mariée en 2013 avec Erwin Bach, Tina Turner a décidé qu'il était temps de tirer sa révérence. Dans le documentaire Tina, elle adresse donc un adieu des plus émouvants à ses admirateurs. Sa santé la pousse à prendre soin d'elle. Outre les violences conjugales, Tina Turner a connu d'autres fléaux. À savoir, un cancer de l'intestin, qui lui a été diagnostiqué en 2016. Ne voulant pas subir les effets secondaires d'un lourd traitement, elle s'est d'abord appuyée sur des médecines alternatives et l'homéopathie pour traiter son hypertension. Avant de le regretter. Elle vient à bout d'une insuffisance rénale, en y laissant un rein, et subit donc une greffe le 7 avril 2017. Un acte d'amour : Erwin Bach s'est lui-même porté volontaire et lui a sauvé la vie.

Françoise Hardy peu rassurante sur sa santé

La vie ne l'a pas épargnée. Après s'être battue pendant plusieurs années contre la maladie de Hodgkin, un cancer du système lymphatique, Françoise Hardy a été touchée par un cancer du pharynx, qui l'a tenue éloignée des studios. Aujourd'hui en rémission, l'ex de Jacques Dutronc a accepté de donner des nouvelles de son état de santé, à l'occasion d'une interview accordée à Paris Match, à découvrir ce jeudi 18 mars en kiosque. Et s'est montrée peu rassurante : "En 2015 (année où elle a été hospitalisée et plongée dans le coma pendant plusieurs semaines, ndlr), je n'ai pas eu conscience de ce qui m'arrivait car j'ai été pas mal dans le coma. Aujourd'hui, c'est pire, bien plus concret", a-t-elle expliqué. La chanteuse, âgée de 77 ans, aurait de plus en plus de mal à supporter les séquelles des traitements qu'elle suit : "Privée de salive depuis trois ans par 45 séances de radiothérapie, j'ai en permanence des détresses respiratoires, des crises d'étouffement et de suffocation, sans parler des hémorragies nasales interminables."

Autre conséquence, et pas des moindres, Françoise Hardy a perdu l'audition d'une oreille, comme elle le révélait dans un entretien accordé à RTL en juin 2019. "Grâce aux rayons et à une immunothérapie, je suis devenue sourde d'une oreille", a-t-elle rappelé, dans les colonnes de Paris Match. L'interprète de Mon amie la rose a dû faire face à une triste réalité : celle de ne plus pouvoir chanter, comme elle le pressentait déjà il y a deux ans : "Je ne pense pas qu'on puisse chanter correctement quand on entend plus d'une oreille, y compris avec un appareil auditif (...) Je ne suis pas sûre d'arriver à chanter à nouveau", affirmait-elle à l'époque. L'icône yéyé s'est fait une raison : "Je ne pourrai jamais rechanter. Mais ça ne me tourmente pas. J'ai écrit tellement de bons textes que mon petit filon est sans doute épuisé", a-t-elle tenté de se rassurer auprès de Paris Match.

Cardi B remercie les conservateurs qui font augmenter ses revenus grâce au streaming

Cardi B a décidé de remercier les conservateurs qui s’en prennent à elle pour être trop sexy, et en particulier Candace Owens, polémiste afro-américaine habituée des plateaux de Fox News. Cette dernière a en effet fustigé la prestation de la rappeuse avec Megan Thee Stallion, qui ont chanté leur duo WAP aux Grammy Awards. « Fin d’un empire », « cellule cancéreuse de la culture », « dégoûtante », voici les quelques qualificatifs employés par la critique à l’égard de la rappeuse.

« Les jeunes filles noires ont l’esprit empoisonné par ce que tu essayes de leur vendre comme étant de l’empowerment. Je suis l’une des rares à avoir le courage de te dire la vérité. Tu devrais me remercier », a ajouté Candace Owens sur Twitter. Et c’est exactement ce que Cardi B a fait.

L’interprète de Bodak Yellow a en effet remercié la polémiste, mais pour tout autre chose. « Je vais vraiment remercier Candy. Elle a fait passer ma prestation sur Fox News, lui donnant ainsi encore plus de vues ce qui a boosté le nombre de vues sur YouTube et c’est compté dans mes streams et mes ventes », a répondu Cardi B sur le réseau social. La chanteuse, maman de Kulture, âgée de 2 ans, a également rappelé que ce n’était pas son rôle de se policer pour ne pas choquer la morale. « Souvenez-vous que seuls vous, les parents adultes, pouvez choisir ce que vos enfants regardent, et personne d’autre », a-t-elle conclu.

Cardi B avait précédemment expliqué que WAP n’était pas une chanson pour enfant et qu’elle ne l’avait pas fait écouter à sa propre fille car ce n’était pas de son âge. Le titre du single est l’acronyme de « wet ass pussy » et les paroles sont à l’avenant.

Nick Cannon préfère la « conseil culture » à la « cancel culture »

C’est l’histoire d’un homme qui a tenu des propos antisémites, ayant heurté la communauté juive. Mais qui a fait des efforts, de nombreux efforts pour comprendre. Et qui réclame aujourd’hui pour l’aider encore à progresser plus de « conseil culture », et moins de « cancel culture », une pratique dont l’existence est controversée et aux contours flous, aussi appelée « culture de l’annulation », consistant à mettre à l’index et à faire sanctionner celles et ceux qui tiennent des propos sexistes, homophobes ou discriminatoires. Cet homme, c’est Nick Cannon, rappeur, acteur et animateur radio - et accessoirement aussi ex-mari de la chanteuse de Mariah Carey. Il s’exprimait mardi dans la mini-série d’ABC, Soul of a Nation, comme l’a repéré le Los Angeles Times.

En juin 2020, dans son podcast Cannon’s Class, Nick Cannon a expliqué que les Afro-Américains étaient les « vrais Hébreux » et que les juifs avaient usurpé cette identité. Il a aussi récusé l’idée que les discours contre les juifs puissent être qualifiés d’antisémites. Il a également fait l’éloge du leader antisémite de la Nation of Islam, Louis Farrakhan, et repris des théories conspirationnistes concernant les Rothschild ou le système bancaire qui serait contrôlé par les juifs.

Ces propos ont suscité de nombreuses et vives critiques outre-Atlantique, qui ont amené la société avec laquelle il travaillait depuis une vingtaine d’années, ViacomCBS (qui possède notamment la chaîne MTV), à le licencier.

Dans un premier temps, Nick Cannon a rejeté ces critiques, mais quelques jours plus tard, il a présenté ses excuses : « Tout d’abord, j’aimerais présenter mes plus sincères excuses à mes frères et sœurs juifs pour les mots durs qui sont sortis de ma bouche durant mon interview avec Richard Griffin. Ils ont renforcé les pires stéréotypes d’un peuple fier et magnifique et j’ai honte d’avoir dit ces mots. »

Par la suite, Nick Cannon a noué des liens avec des leaders de la communauté juive, notamment de l’American Jewish Committee (AJC), pour « apprendre », affirme-t-il. Il a expliqué avoir réalisé à quel point des remarques similaires à celles qu’il a tenues, avaient été « utilisées pour faire de la propagande pendant la Shoah ». Il a également lu et commenté sur Instagram le livre de l’ancienne journaliste du New York Times, Bari Weiss, Comment combattre l’antisémitisme.

Après ces efforts, Nick Cannon a été réintégré par MTV le mois dernier. Certains et certaines diront que ces efforts sont intéressés, et que ses excuses ne sont pas sincères, le rappeur n’en a cure, et ne compte pas s’arrêter là, déclare-t-il dans Soul of a Nation. « Je ne recherche pas le pardon, je cherche à grandir […]. Mon voyage ne va pas s’arrêter si les gens qui regardent cela me pardonnent, a-t-il dit à la journaliste Linsey Davis. J’espère bien continuer ce processus, continuer à être du bon côté de l’histoire, et essayer de rapprocher les gens. »

Sharon Osbourne est une victime collatérale de l’interview de Meghan et Harry

Sharon Osbourne est sous le feu des critiques pour avoir défendu le controversé présentateur britannique Piers Morgan pour ses propos sur Meghan Markle, suite à l’interview du couple princier. L’épouse d’Ozzy Osbourne, qui est une amie de longue date du présentateur, avait tweeté qu’elle le « soutenait », et que « les gens oublient que tu es payé pour ton opinion, que tu dis ta vérité ». Des propos qu’elle a ensuite assumés sur le plateau de l’émission qu’elle présente, The Talk, avant de se rétracter et de s’excuser auprès de « toutes les personnes de couleur » qu’elle aurait « offensées ». « Je suis vraiment désolée », a-t-elle partagé sur Twitter.

Cependant, après ce soutien malvenu, voilà qu’elle est accusée de racisme par la journaliste Yashar Ali, qui affirme que la présentatrice de The Talk aurait traité sa collègue de l’époque, Julie Chen, de « chinetoque » et de « bridée ». Elle aurait en outre évoqué Sara Gilbert, une autre ancienne coprésentatrice, qui est lesbienne, en des termes aux connotations très homophobes tels que « bouffeuse de chatte » et « bouffeuse de poisson », selon plusieurs sources, dont l’ancienne coprésentatrice Léa Rimini, comme le relaye NME.

Concernant les accusations de racisme, Sharon Osbourne nie formellement. Elle a fait savoir ce qu’elle en pensait par le biais de son représentant, Howard Bragman.

« La seule chose pire qu’un ex-employé mécontent est un ancien présentateur de talk-show mécontent. Sharon a été gentille, professionnelle et amicale avec ses présentatrices, onze ans durant, leur organisant des fêtes, les invitant chez elle au Royaume-Uni, et par tant d’autres gestes amicaux. Elle est déçue, mais pas étonnée, et certainement pas surprise par les mensonges et la réécriture de l’histoire qui sort en ce moment. Elle y survivra, comme toujours, et son cœur restera bon et ouvert, car elle refuse d’être abattue par les autres », peut-on lire.

La diffusion de The Talk a néanmoins été suspendue le temps que CBS, qui diffuse l’émission aux États-Unis, enquête sur ces accusations.

Olivia Munn dénonce les meurtres d’Asio-Américains lors de la tuerie d’Atlanta

Olivia Munn a une nouvelle fois dénoncé les actes de violence subis par la communauté asiatique aux Etats-Unis. L’actrice, d’origine vietnamienne et chinoise par sa mère, a mis en garde la montée des actes racistes à l’encontre de sa communauté suite à la récente tuerie d’Atlanta. Un homme blanc a fait feu sur plusieurs salons de massage, faisant huit morts dont six étaient d’origine asiatique. Si l’auteur de la fusillade a démenti avoir été motivé par un mobile raciste lors de son inculpation, la star de X-Men : Apocalypse a une tout autre lecture.

« Nous vivons dans un pays qui nous attaque simplement parce que nous sommes qui nous sommes. Et nous ne savons plus quoi faire pour obtenir de l’aide. Nous avons besoin que plus de personnes prennent soin de nous », a-t-elle déclaré sur MSNBC.

D’après Olivia Munn, les femmes d’origine asiatiques sont particulièrement visées par les actes de racisme. « Ils mettent une cible sur notre dos et ça ne peut pas être l’ouverture de la saison des Asiatiques », a-t-elle ajouté.

La comédienne a également qualifié les attaques contre la communauté asiatique de « cette autre pandémie », née en même temps que le Covid-19. Le virus est en effet régulièrement appelé par l’ancien président des Etats-Unis, Donald Trump, « virus chinois » et « Kung flu », un jeu de mots entre Kung-fu et « flu », qui signifie grippe en anglais, ce qui encourage, selon elle, ces agressions.

D’autres célébrités d’origine asiatique ont également dénoncé les violences à l’encontre de la communauté. Les acteurs Daniel Dae Kim et Daniel Wu avaient ainsi lancé des appels lorsque plusieurs seniors d’origine asiatique ont été agressés dans la rue récemment.

Love and Monsters, avec Dylan O'Brien, sortira en France sur Netflix

Repoussé au printemps 2020 puis passé passée quelques jours dans les salles obscures outre-Atlantique, le film Love and Monsters n'aura finalement pas de carrière au cinéma. Du moins à l'international. Paramount a trouvé un deal avec Netflix, qui a donc acquis cette comédie post-apocalyptique, portée par la star de Teen Wolf et fraîchement nommée aux Oscars pour ses effets spéciaux !

L'histoire : Sept ans après l'invasion de monstres qui a décimé la population terrienne, Joel Dawson vit dans une colonie souterraine, tout comme le reste de l'humanité. Mais lorsqu'il renoue par radio avec Aimée, sa petite amie du lycée, qui se trouve à 130 km de là dans une colonie côtière, il retombe amoureux d'elle et comprend qu'il n'a plus rien à faire sous terre. Il décide alors de braver tous les dangers et de s'aventurer à l'extérieur pour trouver le grand amour. 

Love and Monsters, avec aussi l'ancienne star d'Iron Fist, Jessica Henwick, et le vilain de Walking Dead, Michael Rooker, sortira sur Netflix le 14 avril prochain partout dans le monde, à l'exception des États-Unis.

Bande-annonce de Concrete Cowboy avec Idris Elba et Caleb McLaughlin

Idris Elba sera bientôt à l’affiche du premier long-métrage de Ricky Staub, Concrete Cowboy, qui sortira sur Netflix le 2 avril 2021. Le film est une adaptation du livre Ghetto Cowboy de Greg Neri, paru en 2009. La plateforme a dévoilé la bande-annonce du film.

L’histoire suit Cole (Caleb McLaughlin alias Lucas de Stranger Things), un jeune adolescent de 15 ans qui, évoluant dans un milieu pauvre et violent, découvre la pratique de l’équitation. Entre histoires de famille et passage à l’âge adulte, plusieurs sujets semblent abordés. Idris Elba jouera Harp, le père de Cole. Au casting seront également présents Jharrel Jerome (Moonlight) ou encore Lorraine Toussaint (Orange is the New Black).

Le film est inspiré de l’histoire vraie des Cowboys de Fletchers Street, ces jeunes issus de quartier défavorisés de Philadelphie qui découvraient les joies d’être cavalier, “des cowboys des temps modernes”.

Idris Elba sera à l’affiche de nombreux autres films courant 2021, comme The Harder They Fall et The Suicide Squad. L’acteur britannique prévoit aussi de se tourner vers l’écriture de livres pour la jeunesse.

Venom 2 avec Tom Hardy repoussé à septembre 2021

Comme la plupart des blockbusters, Venom 2 : Let There Be Carnage va devoir attendre encore un peu pour sortir en salles. Même si les cinémas de Los Angeles (là où le gros du box-office américain se fait) viennent tout juste de rouvrir, Sony préfère jouer la sécurité et de nouveau décaler le film avec Tom Hardy. Aux États-Unis, cette suite passe donc du 25 juin au 17 septembre. Pour le moment, le studio n’a pas communiqué sur la nouvelle date de sortie française.

Le premier Venom avait rapporté 800 millions de dollars à travers le monde, en 2018. Ce deuxième volet sera réalisé par Andy Serkis, qui prend la place de Ruben Fleischer. À l’origine, Venom 2 : Let There Be Carnage devait sortir début octobre 2020.

César 2021 : des parlementaires dénoncent l'"exhibition sexuelle" de Corinne Masiero

L'image forte de ces 46e César continue à susciter beaucoup de réactions. Après la mise à nu de Corinne Masiero sur scène pour plaider la cause de la culture, et les nombreuses critiques émises de toute part depuis trois jours sur la cérémonie en général, c'est à présent un groupe de parlementaires qui a décidé de s'attaquer à Corinne Masiero, dénonçant une "exhibition sexuelle".

Dix parlementaires, membres du mouvement de droite Oser la France, ont adressé un courrier au procureur. Ce groupe est mené par Julien Aubert, député LR du Vaucluse, qui a relayé sur les réseaux sociaux l'intégralité du courrier qui a été adressé :

"Corinne Masiero s'est totalement déshabillée, imposant sa nudité, d'une part, au public physiquement présent dans la salle de spectacle et, d'autre part, aux téléspectateurs de l'émission", explique Julien Aubert dans ce communiqué. "Dans ces conditions, 10 parlementaires ont opéré un signalement au procureur de la République à propos de cette démonstration déroutante de Madame Masiero." Selon, eux, "même si la liberté d'expression autorise une certaine forme d'expression corporelle (...) elle ne saurait tout justifier."

Hier, la Ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, s'en prenait également à la soirée des César, estimant que "cette cérémonie n'a pas été utile au cinéma français" et que "le côté meeting politique de cette affaire a nui à l'image du cinéma français".

Corinne Masiero a répondu vivement à ces critiques : "Les paroles on s’en fout, moi je m’en fous complètement. Maintenant ce sont des actes qu’on attend. (...) Qu’est-ce qu’elle a proposé comme actes ?", interrogée par nos confrères de RTL, présents à l’assemblée générale des intermittents du spectacle au théâtre Sébastopol.

A propos des nombreuses critiques sexistes dont Corinne Masiero a fait l'objet depuis son happening, elle répond, avec sa franchise  : "Peut-être que juste montrer l’état de ruine d’un corps d’une femme de plus de 50 ans, actrice de cinéma, qui symbolise l’état de ruine de notre profession, ça a peut-être plus d’impact, malheureusement, qu’un simple très beau discours comme a pu le faire Jeanne Balibar, par exemple. Faire ce genre d’action, à un moment donné c’est parce que les paroles c’est bien beau, mais à un moment il faut agir".