26 septembre 2024

La chanteuse Marinella victime d’un violent AVC, s'écroule sur scène

Le public grec était sous le choc. Ce mercredi 25 septembre, lors d'un concert très attendu dans un théâtre antique emblématique, la légendaire Marinella, âgée de 86 ans, s'est effondrée en pleine prestation. La chanteuse, qui a représenté la Grèce à l'Eurovision en 1974, interprétait l'un de ses titres phares lorsqu'elle a soudainement été victime d'un violent AVC devant des milliers de fans.

Selon les témoins, l'artiste, d'abord vacillante, a tenté de continuer son show avant de perdre connaissance et de s'écrouler devant un public désemparé. Rapidement, les secours ont été appelés et Marinella a été transportée en urgence à l'hôpital, où elle a été prise en charge par une équipe médicale. Cet événement tragique a rapidement fait le tour des médias, suscitant une vague de soutien et d'inquiétude à travers le pays.

Marinella, de son vrai nom Kyriaki Papadopoulou, est une véritable icône en Grèce. Née le 20 mai 1938 à Thessalonique, elle a commencé sa carrière musicale à la fin des années 1950, rapidement reconnue pour sa voix puissante et son charisme sur scène. Elle s'est fait un nom en interprétant des chansons folkloriques grecques avant de se lancer dans une carrière internationale. En 1974, elle a représenté la Grèce au mythique concours Eurovision avec la chanson Krasi, Thalassa kai t' Agori Mou, marquant ainsi l'histoire de la compétition pour son pays. Marinella n'a jamais cessé de chanter depuis, devenant une légende vivante de la musique grecque. Son influence sur sa scène natale est immense. Aujourd'hui, alors qu'elle lutte pour se rétablir, Marinella peut compter sur le soutien inconditionnel de ses fans.

Véronique Sanson révèle l'aspect de son métier qu'elle déteste profondément

Ceux qui rêvaient de voir Véronique Sanson au cinéma seront servis ce jeudi 26 septembre 2024, alors que son concert, capté en mars dernier au Dôme de Paris, sera diffusé dans 280 salles de cinéma. Après plus de six décennies de carrière, Véronique Sanson a encore la soif de son métier, elle qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. En juin dernier, sur le plateau de C à vous, la chanteuse de 75 ans expliquait à Anne-Elisabeth Lemoine que seule la mort l'empêcherait de continuer à chanter.

"Sauf si je me meurs, ce qui peut arriver incessamment, mais je n’y crois pas. Je n’y crois pas. Je pense qu’il y a des gens plus gâtés par la nature que d’autres. Et moi, j’aurais dû mourir mille fois, vous savez. Mille fois", avait-elle déclaré.

Encore très en forme, Véronique Sanson avait néanmoins été contrainte d'écouter son corps en avril dernier, elle qui avait dû annuler un concert de sa tournée, à cause d'une pneumonie. "Hospitalisée dans la nuit, Véronique Sanson souffre d'une pneumonie, ce qui l'oblige à reporter le concert du dimanche 28 avril 2024 au Zénith de Nantes, dernière date d'une belle série de Zéniths. Le concert est reporté le jeudi 30 mai, les billets restent valables. Véronique Sanson donne également rendez-vous à son public au Grand Rex en juin et dans tous les festivals de l'été comme prévu", pouvait-on lire dans le communiqué.

Celle qui a transmis la passion de la musique à son fils, Christopher Stills, est une véritable machine de guerre sur scène. Mais la chanteuse a avoué, dans un récent entretien accordé au Parisien, être beaucoup moins fan d'un aspect de son métier. "Je ne veux plus faire d’album de dix titres, le prochain fera quatre chansons. Le studio, ça m’assomme, ça me barbe, je déteste ça, le casque, l’aquarium, le mixage… Le live, c’est tellement plus intense, direct", a-t-elle confié. Une bête de scène qui ne s'épanouit qu'au contact de son public !

Vice-Versa devient une série Disney Plus : le teaser de Rêves Productions

Joie s'invite dans la fabrique à rêves de Riley. Et voilà que Pixar en fait une série dérivée ! S'inspirant d'une scène de Vice-Versa 2, le studio a décidé d'étendre le trip avec Rêves Productions, qui prolongera un peu le plaisir Inside Out, en attendant Vice-Versa 3 (pas encore officiel).

L'histoire de Rêves Productions se déroulera entres les événements de Vice-Versa et Vice-Versa 2. La série va nous montrer où chaque nuit, les rêves de Riley deviennent réalité, "mais avec les contraintes de délais et de budget alloué au département qui en a la charge. À mesure que Riley grandit, ses souvenirs requièrent un traitement plus sophistiqué que Joie et les autres Émotions confient à Rêves Productions. A la tête de cette « société », la réalisatrice star de ce département, Paula Persimmon, doit faire face à un défi de taille : créer le prochain grand rêve de la jeune fille. Mais en étant associée au vaniteux Xeni, un metteur en scène de rêves diurnes qui rêve de percer dans le monde des rêves nocturnes, la tâche ne s’annonce pas des plus aisées…"

Une comédie écrite et réalisée sous la forme d’un faux documentaire par Mike Jones et produite par Jaclyn Simon.

Rêves Productions fera seulement quatre épisodes, qui seront disponibles sur la plateforme à partir du 11 décembre 2024.

Pixar présente aussi au passage son autre dessin animé à venir sur Disney plus : Gagné ou Perdu.

Une série originale qui suivra les trajectoires croisées de plusieurs personnages, chacun d’eux appréhendant différemment une future rencontre de softball. Chacun des huit épisodes sera à voir sur la plateforme à partir du 19 février 2025 et abordera le point de vue d’un des protagonistes de l’histoire.

"Ces deux séries incarnent à merveille l'excellence de la créativité de Pixar" se réjouit Pete Docter, Directeur Créatif des studios d’animation Pixar.

Trailer de Wolfs, avec George Clooney et Brad Pitt

Attention, retrouvailles d'anciens braqueurs ! Les deux vedettes d'Ocean's Eleven se retrouvent cette semaine dans Wolfs, pour jouer les tueurs à gages. George Clooney et Brad Pitt vont devoir faire équipe, tandis que la pègre veut leur peau, comme en témoigne la bande-annonce que vient de mettre en ligne Apple (ci-dessous).

Un thriller événement, écrit, réalisé et produit par Jon Watts (Spider-Man: No Way Home) qui sortira ce vendredi 27 septembre sur Apple TV+ et aussi sur Canal + en France.

Le pitch : "Un professionnel est appelé pour nettoyer une scène de crime lorsqu’un second professionnel intervient sur les lieux. Les deux loups solitaires se trouvent contraints de faire équipe et embarquent pour une nuit infernale où rien ne se passe comme prévu."

Amy Ryan, Austin Abrams, Poorna Jagannathan, Richard Kind et Zlatko Burić complèteront le casting de cette comédie d'action.

Même James Cameron ne peut pas échapper à l'IA

Un crime de lèse-majesté ? James Cameron rejoint le conseil d'administration de Stability AI, la société d’IA générative connue pour son générateur de texte en image Stable Diffusion et son application web de conversion de texte en audio, Stable Audio. Lui, le réalisateur à l'imagination débordante, qui avait tant mis en garde le public avec sa saga Terminator, et qui a par ailleurs participé à créer de nouvelles technologies -notamment des caméras pour Avatar-, capitule et se met à l'intelligence artificielle ? 

Ainsi, il a déclaré dans un communiqué qu’il pensait que l’intersection entre l’IA générative et la CGI serait la "prochaine vague" de narration à Hollywood. Pour Stability AI c'est une aubaine qu'un artiste de son pedigree apporte son point de vue. Pour le monde du cinéma c'est la preuve qu'un changement de paradigme est à l'oeuvre.

"J’ai passé ma carrière à rechercher des technologies émergentes qui repoussent les limites du possible, tout cela au service de la narration d’histoires incroyables, a déclaré Cameron, relayé par IndieWire. J’étais à l’avant-garde de la CGI il y a plus de trois décennies, et je suis resté à la pointe depuis. Aujourd’hui, l’intersection de l’IA générative et de la création d’images CGI est la prochaine vague. La convergence de ces deux moteurs de création totalement différents ouvrira de nouvelles voies aux artistes pour raconter des histoires d’une manière que nous n’aurions jamais pu imaginer."

Le réalisateur de Titanic rejoint Sean Parker, interprété par Justin Timberlake dans The Social Network. "Stability AI est sur le point de mener cette transformation. Je suis ravi de collaborer avec Sean, Prem et l’équipe de Stability AI alors qu’ils façonnent l’avenir de tous les médias visuels", a dit Cameron, laudateur.

Pas en reste, Parker a également salué l’influence de Cameron sur la technologie :

"James Cameron est une légende, à la fois pour sa vision artistique en tant que cinéaste et pour son rôle de technologue pionnier. Avoir un artiste de son calibre à la table des négociations marque le début d’un nouveau chapitre pour Stability AI. Nous sommes incroyablement enthousiasmés par le potentiel illimité de collaboration créative entre les plateformes de médias génératifs et la communauté artistique"

Cameron a été ensuite interrogé sur l’avènement de l’IA générative dans la narration en 2023. Le scénariste/réalisateur a déclaré qu’il n’était pas intéressé par l’utilisation de l’IA pour l’aider à écrire ses scénarios et qu’il était peu probable qu’elle "émeuve un public". Mais il a reconnu que si un scénario généré par l’IA parvenait à remporter un Oscar dans 20 ans, Hollywood devrait probablement "le prendre au sérieux".

Il y a seulement un an, pourtant, James Cameron avait tenu à mettre en garde l'industrie à propos du développement actuel des intelligences artificielles, qui touche plusieurs domaines de compétences : "Je vous ai prévenus en 1984, et vous ne m’avez pas écouté", déclarait-il en faisant référence à son premier film Terminator.

"Je pense que l’utilisation de l’IA comme arme est le plus grand danger. Je pense que nous allons entrer dans l’équivalent d’une course aux armements nucléaires avec l’IA, et si nous ne la construisons pas, les autres vont certainement la construire, et donc la situation va s’aggraver."

Dragon Ball Z : les 18 films de la saga culte sont disponibles en streaming sur ADN

C’est un cadeau de Noël avant l’heure que va offrir ADN à ses abonnés. La plateforme de streaming spécialisée dans l’animation va en effet proposé au cours des prochaines semaines les dix huit films dérivés du manga Dragon Ball.

Rejoignant l’intégrale des séries de la licence, cette collection de films sera dévoilée sous la forme de trois vagues. La première – prévue pour octobre – dévoilera les quatre films Dragon Ball La Légende de Shenron, Le Château du démon, L’Aventure mystique et L’Armée du Ruban Rouge, ainsi que les deux premiers films Dragon Ball Z : À la poursuite de Garlic et Le Robot des glaces.

Le mois de novembre dévoilera quelques-uns des meilleurs film de la franchise, avec notamment La Revanche de Cooler et sa suite Cent mille guerriers de métal, ou encore Broly le super guerrier. Seront également diffusés à cette occasion Le Combat fratricide, La Menace de Namek et L’Offensive des cyborgs.

Enfin le mois de décembre ne sera pas en reste, avec les deux derniers volets de la trilogie Broly : Rivaux dangereux et Attaque Super Warrior !, le film Les Mercenaires de l’espace, avec l’emblématique méchant Bojack, sera également disponible, ainsi que Fusions et L’Attaque du dragon (sortis sous la forme d'un seul film au cinéma en France en 1995). Battle of Gods sera également proposé sur ADN en fin d’année.

Ces 18 films représentent la quasi-totalité des films Dragon Ball, auxquels s’ajoutent La Résurrection de F, et les deux films dérivés de la série Dragon Ball Super : Broly et Super Hero. A noter que les téléfilms très appréciés des fans – Baddack contre Freezer et L’Histoire de Trunks – ne seront pas non plus disponibles sur ADN.

A noter que la plateforme diffusera également dès le 11 octobre prochain la toute nouvelle série d'animation Dragon Ball DAIMA, ultime projet supervisé par Akira Toriyama avant son décès le 1er mars dernier.

Netflix : Sweet Bobby, une histoire vraie de tromperie amoureuse

Après le succès retentissant de L'Arnaqueur de Tinder, Netflix revient avec un nouveau documentaire choc, Sweet Bobby : Imposture sur mesure, produit par Raw, les mêmes producteurs derrière ce succès tonitruant. Ce nouveau film nous plonge dans une histoire vraie, bouleversante et troublante, celle de Kirat Assi, une femme victime d'un cas de catfishing qui s'est étendu sur près de huit ans. Comme L'arnaqueur de Tinder, Sweet Bobby explore les méandres de la tromperie en ligne et les effets dévastateurs que cela peut avoir sur ses victimes.

L'histoire commence en 2009 lorsque Kirat Assi, une Londonienne d'origine indienne, rencontre Bobby sur Facebook. Tous deux appartiennent à la même communauté sikhe et, au fil du temps, leur amitié en ligne évolue en une relation amoureuse. Bobby semble être l'homme parfait : attentionné, séduisant et émotionnellement présent. Cependant, à chaque fois que Kirat tente de le rencontrer en personne, un obstacle mystérieux apparaît, retardant sans cesse leur première rencontre.

Malgré ces signes d'alarme, Bobby devient une présence omniprésente dans la vie de Kirat, exerçant une emprise émotionnelle de plus en plus étroite. Le lien qu'ils entretiennent semble si fort que Kirat continue d'y croire, même lorsque les incohérences se multiplient. Ce n'est qu'après huit longues années d'échanges, de mensonges et de manipulation psychologique que Kirat découvre enfin l'incroyable vérité derrière l'identité de Bobby : il n'existe pas. Toute la relation était basée sur une gigantesque tromperie orchestrée par une personne bien plus proche d'elle qu'elle ne l'imaginait.

Le documentaire Sweet Bobby : Imposture sur mesure promet de captiver les spectateurs en dévoilant les détails de cette tromperie à travers des interviews, des captures d'écran et des témoignages exclusifs de Kirat Assi elle-même, mais aussi des membres de son entourage qui ont été témoins de cette fausse relation. La réalisatrice Lyttanya Shannon retrace avec une précision glaçante les étapes de cette manipulation émotionnelle et psychologique.

Comme pour L'Arnaqueur de Tinder, Netflix joue ici sur l'effet de choc et d'incrédulité. Comment une femme intelligente et indépendante comme Kirat Assi a-t-elle pu être piégée pendant autant d'années ? Le film aborde également les conséquences de cette arnaque sur la vie personnelle et professionnelle de la victime, soulignant à quel point les relations en ligne peuvent être fragiles et potentiellement destructrices.

Si vous avez aimé L'Arnaqueur de Tinder, Sweet Bobby devrait nous emmener encore plus loin dans l'exploration des dangers de l'ère numérique, où la confiance peut être facilement exploitée, avec des conséquences parfois irréversibles.

Sweet Bobby : Imposture sur mesure sera disponible le 16 octobre sur Netflix.

Les Hauts de Hurlevent : le nouveau film avec Margot Robbie et Jacob Elordi fait polémique et voilà pourquoi

La nouvelle adaptation des Hauts de Hurlevent, réalisée par Emerald Fennell (Promising Young Woman, Saltburn), crée beaucoup de remous sur les réseaux sociaux. En cause ? Le casting du film. Il y a quelques jours, AlloCiné vous rapportait, grâce à Deadline, que Margot Robbie et Jacob Elordi, révélé par la série Euphoria, allaient se donner la réplique dans cette relecture du classique Emily Brontë. Aussitôt annoncée, la nouvelle est très mal passée sur la Toile.

Beaucoup internautes soulèvent l'incohérence de ce casting. Certains estiment que Margot Robbie et Jacob Elordi sont bien trop "glamour" pour interpréter les protagonistes torturés du roman. Surtout, nombre de personnes pointent du doigt le choix de Jacob Elordi, acteur blanc, pressenti pour jouer un personnage, Heathcliff, décrit avec "la peau foncée" dans le livre d'origine.

"Comme si la couleur de peau d'Heathcliff n'était pas au centre de l'histoire, souligne une internaute sur X. Comme si ce n'était pas la raison pour laquelle il était tourmenté par le personnage d'Hindley (...) Un choix d'ignorant et totalement paresseux."

Un autre utilisateur écrit : "Les studios de cinéma se réjouissent de dire "nous sommes engagés dans la diversité" et caste Jacob Elordi pour jouer Heathcliff, l'un des personnages de couleur les plus célèbres de la littérature, pour qui la race est cruciale à la fois pour le héros lui-même mais aussi pour l'histoire."

Derrière ce mécontentement, les internautes pointent avant tout le "white washing" de ce choix de casting. Ce terme anglophone désigne le remplacement d'un personnage de couleur par un acteur blanc ou une actrice blanche. Une pratique très présente durant l'âge d'or d'Hollywood et très critiquée aujourd'hui.

Néanmoins, les adaptations des Hauts de Hurlevent sont très nombreuses et un des internautes précise, à juste titre, que la plupart de ces adaptations ont choisi des acteurs blancs, à l'exception du film d'Andrea Arnold sorti en 2011. L'acteur James Howson incarnait Heathcliff .

"C'est amusant de voir tout le monde se prendre la tête à propos de Jacob Elordi dans la peau d'Heathcliff dans Les Hauts de Hurlevent d'Emerald Fennell."

Pour le moment, ni la réalisatrice, ni l'acteur n'ont réagi à cette polémique. Le tournage de cette nouvelle version est prévu pour 2025 au Royaume-Uni.

Les Hauts de Hurlevent d'Emerald Fennell, prochainement au cinéma.

La fin du partage de mot de passe sur Disney+ est désormais réalité

"Votre abonnement Disney Plus est destiné à être utilisé au sein de votre foyer, qui est un ensemble d’appareils associés à votre résidence personnelle principale qui sont utilisés par les personnes qui y résident". Voilà comment Disney annonce (via Variety) à ses abonnés qu'ils devront désormais payer un coût supplémentaire, pour partager leur mot de passe Disney Plus !

Après Netflix, le streamer aux grandes oreilles s'attaque aussi au fameux partage de mots de passe. Et depuis aujourd'hui, les abonnés du monde entier (États-Unis, Canada, toute l'Europe et la région Asie-Pacifique) qui souhaitent faire profiter un ami ou un cousin de son compte Disney Plus, ne seront plus autorisés à le faire gratuitement. Il devra souscrire à une offre particulière et payer en plus. 

Il faudra rajouter 6,99 $ par mois pour un compte Standard et 9,99 $ si vous ajouter un utilisateur à un compte Premium devront débourser mensuellement. Le prix en euros n'a pas encore été dévoilé mais devrait tourner autour de 6€ pour le standard et 9€ pour le premium. Il est important de noter que chaque compte ne pourra ajouter qu’un seul membre supplémentaire. 

Le reboot de RoboCop sera signé James Wan sur Prime Video

Est-il l'heure pour RoboCop d'être réactivé ? Hollywood tourne autour d'un projet de reboot depuis des années. Neil Blomkamp a bien failli réussir à faire un nouveau film avant la pandémie. Mais depuis peu, c'est un projet de série qui est en cours de développement. Une série télévisée live-action RoboCop se prépare à destination de Prime Video.

Et le studios Amazon MGM vient d'ajouter l'un des rois du cinéma d'horreur, James Wan, dans la boucle. Le réalisateur de Saw, Insidious et autre Conjuring, sera producteur exécutif de ce nouveau RoboCop. Il sera assisté par Peter Ocko. Ancien scénariste de la série criminelle Elementary et du poétique Pushing Daises, il sera le showrunner de cette adaptation télévisuelle du film original de 1987 avec Peter Weller.

Qui reprendra le rôle de cet agent de police technologiquement avancé pour lutter contre la criminalité croissante ? Qui sera mi-homme mi-machine contre la pègre ? Aucun casting n'a encore été annoncé. Aucune date de tournage non plus.

Rappelons qu'une tentative de reboot pas très convaincante a déjà eu lieu en 2024, réalisée par José Padilha et avec Joel Kinnaman dans le rôle titre.