Doctor Who : une date et un teaser pour la saison 13

La BBC dévoile un teaser et une affiche détonante pour la nouvelle saison de Doctor Who. Intitulée Flux et constituée de 8 épisodes, cette 13ème saison dirigée par Chris Chibnall sera la dernière de Jodie Whittaker après trois ans passés à incarner le Docteur.

Diffusée à partir du 31 octobre, elle sera suivie de trois épisodes spéciaux avec l'actrice, dont les premiers seront diffusés au Jour de l'an et au printemps 2022. Son teaser cryptique est accompagné d'une série de tweets tout aussi énigmatiques du Docteur, publiés sur le compte Twitter officiel de la série.

Le "Flux" en question pourrait bien amener le chaos dans la série, en faisant revenir d'anciens ennemis redoutables du Docteur comme les Sontariens ou les Anges Pleureurs, selon le site Collider.

Quant à la saison 14, elle verra un vétéran de la série faire son retour puisque Russell T. Davies, qui avait initié le revival de la série culte de la BBC en 2005 avec Christopher Eccleston sous les traits du Docteur, reprendra les manettes du show après Chris Chibnall à partir de 2023.

Quant au prochain interprète qui prendra le relais de Whittaker, première actrice à avoir incarné une version féminine du Docteur, les paris sont ouverts ! 

Brahim Bouhlel toujours incarcéré au Maroc

Grand absent de la tournée de promotion de la saison 2 de Validé qui sera lancée ce soir sur Canal+, le comédien Brahim Bouhlel est toujours incarcéré au Maroc.

En avril dernier, la justice marocaine a condamné le comédien à huit mois de prison à cause d’une vidéo. Jugée offensante, elle avait fait rapidement le tour des réseaux sociaux en provoquant un véritable mouvement de colère au Maroc.

Dans celle-ci, Brahim Bouhlel, Sammy Tami, un influenceur connu sous le pseudonyme Zbarbooking, et le comédien Hedi Bouchenafa se moquaient de trois personnes mineures dans un restaurant de Marrakech tout en proférant des insultes.

Une "mauvaise blague" qui a conduit l’acteur derrière les barreaux pour "diffusion d’une vidéo d’une personne sans son consentement" et "détournement de mineur".

Si Hedi Bouchenafa avait quitté le Maroc avant le début de l’enquête, Brahim Bouhlel et Sammy Tami sont quant à eux incarcérés depuis cinq mois dans une cellule de 30 m² qu’ils partagent avec quinze autres détenus. Selon nos confrères du Parisien, Brahim Bouhlel, dont les demandes d’appel et de grâce ont été rejetées, "prend son mal en patience et s’est finalement résigné à purger sa peine jusqu’au bout".  

Invité sur le plateau de Quotidien le 30 septembre dernier à l’occasion du lancement de la saison 2 de Validé, Franck Gastambide a donné de ses nouvelles. "Il arrive à passer des coups de téléphone une fois par une semaine donc je l’ai au téléphone une fois par semaine. Ce sont de petits appels de deux minutes C’est un peu court pour prendre la température et savoir s’il va vraiment bien. J’ai le sentiment qu’il tient bon".

Et de poursuivre, "Évidemment, il a conscience que les propos tenus dans cette vidéo parodique ont blessé des gens. Ça, c’est incontestable. Mais le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il est en train de payer cher.".

Brahim Bouhlel devrait sortir de prison début décembre.

Christopher Nolan : un titre, une star et une date de sortie pour son film sur la bombe atomique

Il y a du nouveau pour le prochain film de Christopher Nolan ! Comme révélé en septembre dernier, le réalisateur de Tenet s’attaquera prochainement à la vie du scientifique J. Robert Oppenheimer, souvent surnommé le "père de la bombe atomique".

Et pour camper celui qui a eu un rôle de très grande importance dans le Projet Manhattan, le cinéaste a fait appel à un comédien qu’il connaît bien : Cillian Murphy. Les deux hommes ont en effet collaboré sur la trilogie Batman, Inception ou encore Dunkerque, et se retrouveront donc pour ce nouveau projet sobrement intitulé Oppenheimer.

En plus de confirmer la présence de la star de Peaky Blinders au casting, Universal, qui distribuera le long-métrage, a annoncé sa date de sortie : le 19 juillet 2023, mais aussi ses dates de tournage. Les prises de vues de ce film basé sur la biographie American Prometheus: The Triumph and Tragedy of J. Robert Oppenheimer (écrite par Kai Bird et Martin J. Sherwin et récompensée d’un prix Pulitzer) commenceront début 2022.

La présidente d’Universal Filmed Entertainment, Donna Langley, a par ailleurs confirmé lors d'une séance de questions-réponses relayée par Deadline que le studio avait bien accepté de donner une fenêtre d’exclusivité de 100 jours en salles à Oppenheimer.

Une exclusivité chère à Christopher Nolan, qui n’avait pas apprécié que son partenaire pendant 20 ans, Warner, propose ses longs-métrages simultanément au cinéma et en streaming durant la pandémie. Ce qui explique peut-être pourquoi il a décidé de changer de studio pour ce nouveau projet. 

Renée Zellweger méconnaissable sur le tournage de sa nouvelle série

Habituée des transformations physiques pour les besoins d'un rôle, comme elle l'a déjà prouvé avec Bridget Jones et Judy, biopic qui lui a valu un Oscar de la Meilleure actrice en 2020 pour sa prestation dans la peau de la légende du cinéma Judy Garland, Renée Zellweger est encore une fois apparue méconnaissable il y a quelques jours sur le tournage de sa nouvelle série, The Thing About Pam.

Destinée à la chaîne américaine NBC, cette mini-série en six épisodes verra Renée Zellweger incarner Pam Hupp, une femme d'une soixantaine d'années, ex-gestionnaire en assurance vie, qui a été condamnée à la prison à perpétuité pour le meurtre de Louis Gumpenberger, avant d'être reconnue coupable cette année du meurtre de son amie Betsy Faria, qu'elle avait tout d'abord essayé de mettre sur le dos du mari de cette dernière, Russ Faria.

Un nouveau rôle très fort pour la comédienne qui semble décidée à ressembler au maximum à la vraie Pam Hupp puisqu'elle a été aperçue sur le tournage de la série à la Nouvelle-Orléans vêtue d'un costume grossissant et de prothèses nasales, comme en attestent les photos visibles ci-dessous.

Après avoir donné de sa personne sur les premiers films de la trilogie Bridget Jones en s'astreignant à un "régime grossissant" afin de prendre plus de dix kilos, Renée Zellweger a donc visiblement refusé de réitérer cette expérience qui lui avait valu des crises de paniques et qu'elle avait fini par regreter publiquement.

La comédienne a ainsi opté pour un "fat suit", c'est-à-dire une prothèse grossissante, censé faire illusion et donner l'impression qu'elle a réellement pris plusieurs dizaines de kilos pour ressembler à la meurtrière qu'elle interprète dans The Thing About Pam.

Depuis quelques années, le recours aux "fat suits" fait polémique pour son caractère grossophobe. Tandis que Gwyneth Paltrow s'est excusée d'en avoir porté un dans le film L'amour extra large, Sarah Paulson, qui a également revêtu une de ces combinaisons grossissantes dans la saison 3 d'American Crime Story, a récemment tenté de donner sa vision d'un sujet évidemment compliqué lors d'un entretien accordé au Los Angeles Times :

"C'est compliqué pour moi d'en parler sans donner l'impression que je me cherche des excuses", a confié celle qui incarne Linda Tripp dans Impeachment : American Crime Story. "Il y a une vraie controverse au sujet des acteurs qui portent des fat suits, et c'est une controverse légitime. La grossophobie existe. Prétendre le contraire serait dangereux. C’est un sujet très important dont il faut parler".

"Mais les acteurs qui choisissent de se lancer dans ce qui pourrait bien être le challenge d'une vie ne sont pas, selon moi, les seuls responsables", poursuit Sarah Paulson. "Penser que la seule chose qu'un acteur choisi pour tel ou tel rôle puisse apporter est son apparence physique est très réducteur. J'ai envie de penser qu'il y a quelque chose chez moi qui fait que je suis la bonne personne pour ce rôle. (...) Aurais-je dû dire non à ce rôle ? Telle est la question".

Madonna sans tabou : ses nouveaux propos chocs

L'icône de la pop est la star d'un documentaire-choc diffusé sur MTV ce jeudi 7 octobre. Baptisé Madame X, ce film de deux heures a été enregistré lors de la tournée éponyme de Madonna entre septembre 2019 et mars 2020 à travers le monde. L'occasion pour l'artiste de 63 ans, marquée par les pépins de santé, d'évoquer sans détour sa vie intime et son besoin de se "faire plaisir" à sa manière sur scène. "Je me masturbe toujours, je suis connue pour ça. Tu es connu pour fumer sur scène, je suis connue pour me masturber sur scène", a-t-elle affirmé dans son documentaire, discutant alors avec l'humoriste américain Dave Chappelle, d'après des propos rapportés par The Sun.

Dans son documentaire explosif, Madonna n'a pas manqué de raconter les dessous de sa vie sexuelle. En couple avec le danseur Ahlamalik Williams, âgé de 27 ans, l'interprète de Like A Virgin a reconnu préféré que ses partenaires "la b*isent et s'en aillent". Reconnue comme l'une des plus grandes chanteuses de sa génération, Madonna a derrière elle une longue carrière de plus de 30 ans. Et l'artiste aux 300 millions d'albums vendus n'a pas l'intention de prendre sa retraite de sitôt. "J'aime ma grand-mère. Elle a vécu jusqu'à 100 ans, que Dieu la bénisse. Je vais vivre jusqu'à 200 ans, soyez-en sûrs !", a lancé l'infatigable Madonne lors d'un concert, dont un extrait a été diffusé dans son documentaire.

Sur Instagram, Madonna n'hésite pas à partager des clichés dénudés et trashs, en petite tenue en train de fumer des joints. Une image très rock and roll que la chanteuse américaine aurait fabriquée spécifiquement pour les réseaux sociaux. En promotion pour son documentaire, la Madonne a reconnu fumer "pour les séances photos", lors d'une interview sur le plateau de Jimmy Fallon, dans The Tonight Show. "Je n'aime pas ça, j'aime les opiacés", a-t-elle lâché face à l'animateur, médusé devant l'artiste plus incontrôlable que jamais.

Willow Smith met en garde contre les cyber-harceleurs après avoir été victime d’une effraction

Willow Smith ne plaisante pas avec le cyberharcèlement, et pour cause. Lors de la dernière édition de Red Table Talk, l’émission quelle présente avec sa mère Jada Pinkett et sa grand-mère Adrienne Banfield Norris, la jeune femme a raconté avoir été la cible d’un harceleur, qui est passé du virtuel au réel.

« Le harcèlement en ligne est un peu plus insidieux et effrayant (que le harcèlement physique). Ce mec me faisait ça et il l’a fait pendant plusieurs années en fait. En gros, il a cherché à connaître mes habitudes. En décembre, alors que j’étais en vacances en famille, il s’est introduit chez moi. On vit une époque de fou », a-t-elle expliqué.

À la suite de cet incident, Willow Smith a rapidement obtenu de la justice une injonction d’éloignement à l’encontre de l’homme qui était entrée chez elle en son absence. La police est parvenue à identifier le dénommé Walter James Whaley grâce à un ticket de bus qui indiquait qu’il avait fait le chemin depuis l’Oklahoma pour s’introduire chez la fille de Will Smith durant les fêtes de fin d’année.

Il s’est ensuite avéré que cet homme était un délinquant sexuel déjà condamné par le passé.

Kristen Stewart s’est sentie connectée à Lady Diana pendant le tournage de Spencer

Kristen Stewart incarne Lady Diana dans Spencer, le nouveau film de Pablo Larrain. Un rôle qui l’a beaucoup marquée et qu’elle a abordé avec intensité afin de parvenir à l’essence de personnage.

« Il y avait quelque chose dans le fait de m’imbiber complètement de sa personne au cours des six mois qui ont précédé le tournage. Je savais que j’avais touché une sorte d’énergie élémentaire », a expliqué la star de Twilight à Entertainment Weekly.

Néanmoins, Kristen Stewart n’a pas cherché à produire une imitation parfaite de la regrettée princesse de Galles, et elle est bien consciente que sa performance ne plaira pas à tout le monde.

« Si les gens ont beaucoup à dire sur le fait que mon imitation n’est pas parfaite, cela me convient parfaitement », a poursuivi Kristen Stewart.

L’actrice s’est tout de même entraînée d’arrache-pied pour donner une interprétation crédible de la mère des princes William et Harry, et notamment pour imiter son accent britannique si particulier. Pour ce faire, elle a travaillé avec William Conacher, le même coach de prononciation qui a conseillé Emma Corrin et Naomi Watts qui ont elles aussi incarné la princesse, la première dans The Crown et la seconde dans Diana, le biopic de 2013.

Quoi qu’il en soit, le film semble avoir plu lors de ses présentations en festival et il se murmure déjà que Kristen Stewart pourrait être nommée aux Oscars pour sa performance. Enfin, si Spencer doit sortir en salles le mois prochain outre-Manche, il sera disponible sur Amazon Prime Video en France.

Drew Barrymore confirme que Bill Murray a été odieux avec Lucy Liu sur le tournage de Charlie’s Angels

Il y a quelque temps, Lucy Liu s’est épanchée dans un podcast sur une dispute qu’elle a eu avec Bill Murray lors du tournage de Charlie’s Angels. D’après l’actrice, l’acteur l’a littéralement insultée en arrivant sur le plateau au motif qu’elle avait exigé la réécriture d’une scène. Une version que corrobore à 100% Drew Barrymore qui faisait également partie du casting du film de 2000.

« Ce qu’il s’est vraiment passé, c’est que Bill était juste dans un… Vous savez, les comiques peuvent être un peu sombres parfois… Et il est arrivé de mauvaise humeur. Ce que vous devez savoir, c’est à quel point Lucy s’est défendue, et c’est la grande histoire qui est sortie d’une circonstance malheureuse. Elle a littéralement dit : “Je n’accepte pas ce genre de comportement de votre part.” Nous l’avons toutes soutenue » , a-t-elle raconté dans son Drew Barrymore Show.

Drew Barrymore en a ensuite remis une couche sur Bill Murray qui, vraisemblablement, s’était levé du mauvais pied. Ce jour-là, les anges se sont rebellés contre Charlie et elles ont bien fait !

« Je la respectais à l’époque, je la respecte maintenant », a-t-elle continué à propos de Lucy Liu. « Je suis fière de nous en tant qu’équipe, et du fait que nous n’avons pas choisi de marcher sur des œufs. Nous avons géré ça tout de suite, nous étions fortes. Nous avons été de l’avant et il était hors de question de faire autre chose que d’avancer », a-t-elle précisé.

Le styliste Olivier Rousteing révèle avoir été gravement brûlé dans l'explosion de sa cheminée

Le styliste Olivier Rousteing a publié sur Instagram une photo de lui grièvement brûlé et raconté comment, il y a an, il avait été victime de l’explosion de sa cheminée et surtout qu’il l’avait caché par « honte » dans un milieu où règne « l’obsession de la perfection ».

« Je me sens maintenant prêt à partager cela. Je l’ai caché pendant trop longtemps », écrit le créateur de mode français de 36 ans dans un long message adressé à ses 7 millions d’abonnés.

« Il y a exactement un an, la cheminée de ma maison a explosé. Je me suis réveillé le lendemain matin à l’hôpital Saint-Louis à Paris, raconte-t-il. J’ai tout fait pour cacher cette histoire au plus grand nombre de gens possible, en essayant de garder le secret avec mes équipes et mes amis pendant trop longtemps. Pour être honnête, je ne sais pas vraiment pourquoi j’avais si honte, peut-être cette obsession de la perfection pour laquelle la mode est connue, et mes propres insécurités. »

Olivier Rousteing, qui assure être désormais « guéri » et parle même de « renaissance », dit avoir « travaillé jour et nuit pour oublier et créer ses collections ». Il dit avoir « caché ses cicatrices avec des masques, des cols roulés, des manches longues et même des bagues sur tous ses doigts au cours de nombreuses interviews et séances photo ».

« J’ai réalisé que le pouvoir des réseaux sociaux était de ne révéler que ce que vous voulez montrer, souligne-t-il. Nous permettre de créer notre propre récit, qui évite ce qu’on ne veut pas voir ou montrer : c’est notre nouveau monde ». Directeur artistique de Balmain depuis dix ans, le styliste a fait cette révélation dix jours après son dernier défilé, le 29 septembre pour la Fashion Week à Paris.

Dave Chappelle crée la polémique avec ses propos sur le genre dans son dernier spectacle

L’humoriste américain Dave Chappelle suscitait vendredi la polémique à la suite de blagues sur le genre dans un de ses shows diffusés sur Netflix, dénoncées par des militants LGBT comme étant «  transphobes ». « Le genre est un fait. Chaque être humain dans cette pièce, chaque être humain sur Terre a dû passer entre les jambes d’une femme pour être sur Terre. C’est un fait », lance notamment le comique dans The Closer, sorti cette semaine aux Etats-Unis.

Il y prend au passage la défense de l’auteure britannique J.K. Rowling, accusée par certains l’an dernier d’avoir tenu des propos insultants à l’égard des personnes transgenres sur Twitter.

Ces saillies n’ont pas été du goût d’associations de défense des LGBT, comme la National Black Justice Coalition, qui a demandé à Netflix de déprogrammer ce spectacle de Dave Chappelle. Jaclyn Moore, productrice pour Netflix de la série Dear White People et elle-même transgenre, a de son côté affirmé sur Twitter qu’elle ne travaillerait plus avec la plateforme de vidéo à la demande « tant qu’elle continuerait à diffuser et à profiter de contenus aussi ouvertement et dangereusement transphobes ».

Loin de calmer le jeu, Dave Chappelle a remis de l’huile sur le feu jeudi soir lors d’un spectacle donné dans le gigantesque stade Hollywood Bowl de Los Angeles. « Si c’est ce qu’on appelle être "annulé" alors j’aime ça », a-t-il dit en référence à la cancel culture dont il s’estime victime. L’humoriste, très célèbre dans le monde anglo-saxon, a été chaudement applaudi par les 18.000 spectateurs, selon The Hollywood Reporter et Deadline, deux médias spécialisés dans l’industrie du divertissement.