28 juillet 2024

Love & Death : Elizabeth Olsen est impressionnante dans cette série basée sur une histoire vraie terrifiante

Après sa diffusion sur Canal+ en novembre 2023, cette série qui glace le sang débarque sur la plateforme MAX. Cette fiction que l'on doit à David E. Kelley (Big Little Lies, The Undoing, Anatomie d'un divorce) est basée sur une terrifiante histoire vraie qui va vous prendre littéralement aux tripes.

Elle est portée par Elizabeth Olsen, actrice surtout connue pour son rôle de Scarlet Witch dans l'univers Marvel, mais qui se distingue nettement pour son jeu subtil et poignant, qui en fait un talent à part qui se développe dans le cinéma indépendant.

A ses côtés, on retrouve Jesse Plemons (Power of the Dog, Killers of the Flower Moon), Lily Rabe (American Horror Story), Patrick Fugit (First Man, Babylon), Krysten Ritter (Breaking Bad, Jessica Jones), Tom Pelphrey (Banshee, Ozark), Elizabeth Marvel (Person of Interest, Homeland) et Keir Gilchrist (Atypical) dans cette série intitulée Love & Death, que l'on vous recommande de rattraper.

Malgré une famille aimante, une maison parfaite et une implication active à l’église, Candy Montgomery n’arrive pas à se débarrasser de son sentiment d’ennui. Après un échange chargé en émotion inattendu avec un autre membre de l’église, Allan Gore, Candy trouve le frisson lié au risque qui manquait à sa vie.

Leur liaison savamment préparée se déroule presque comme ils l’avaient planifiée, jusqu’à ce que leurs conjoints respectifs, Pat et Betty, découvrent leur secret... et que quelqu’un s’empare d’une hache.

C'est l'un des faits divers les plus glauques de l'Histoire des États-Unis : l'affaire Candy Montgomery a scandalisé les Américains dans les années 1980 et elle continue de fasciner encore aujourd'hui à tel point qu'elle a été plusieurs fois transposée à l'écran.

Après le téléfilm A Killing in a Small Town, avec Barbara Hershey et la série Candy, avec Jessica Biel, c'est désormais la série Love & Death, avec Elizabeth Olsen, qui s'empare de cette affaire.

L'ancienne Avenger et interprète de Scarlet Witch se glisse dans la peau de Candy Montgomery, épouse et mère aimante, qui a été soupçonnée d'avoir assassiné son amie Betty Gore, femme d'Allan Gore avec qui elle entretenait une relation extraconjugale.

L'aspect sordide de cette affaire vient du fait que Betty Gore a été assassinée avec une hache et que son meurtre a profondément choqué sa communauté très religieuse de Wylie au Texas. Les habitants ont été aussi scandalisés par le fait que Candy Montgomery, qui a plaidé la légitime défense, a été déclarée non coupable.

C'est l'un des scénaristes les plus prolifiques de la télévision américaine et il s'est spécialisé dans la fiction judiciaire, le thriller et le drame avec une écriture aiguisée sur la complexité humaine. David E. Kelley le prouve une nouvelle fois avec Love & Death, basée sur l'affaire Candy Montgomery, en mêlant meurtre sordide et portrait de femme glaçant.

Même si David E. Kelley raconte un fait divers glauque, dépeint dans le livre Evidence of Love: A True Story of Passion and Death in the Suburbs, il n'en oublie pas de narrer avec précision la lente descente aux enfers d'une femme au foyer aimante, aimée et respectée par sa communauté, qui va tout balayer pour briser l'éclat de verre d'une existence parfaite mais terne, sans saveur et sans surprise.

Car Candy Montgomery va initier une relation adultérine avec Allan Gore, le mari de Betty Gore, l'une de ses amies proches. Cette romance extraconjugale lui permet d'échapper à l'ennui de sa vie monotone et de relâcher la pression constante d'être la parfaite "housewife" de cette communauté conservatrice si étriquée, afin d'éviter la crise de nerfs inévitable.

Constamment aux prises avec ses émotions qu'elle essaie de contrôler tant bien que mal, Candy Montgomery gère d'une manière presque chirurgicale la relation qu'elle entretient avec son amant et se rajoute finalement une pression supplémentaire qui finit par ne plus égaler la satisfaction d'un plaisir charnel éphémère.

Alors quand cette relation est finalement découverte, c'est le début de la fin pour Candy Montgomery, en proie permanente avec ses démons intérieurs, qui se retrouve piégée et qui finit par répondre à ses pulsions avant d'être accusée du meurtre atroce de Betty Gore, tuée de 41 coups de hache.

Bien loin des blockbusters Marvel - où elle se distinguait tout de même par ses prestations notamment dans WandaVision - Elizabeth Olsen revient à des œuvres plus indépendantes et maîtrisées avec Love & Death.

Elle est à la fois saisissante, charmante, effrayante et a réussi à capter toutes les facettes d'un personnage terrible et fascinant. L'actrice réussit à trouver un équilibre dans son interprétation pour semer le doute dans l'esprit du spectateur. Outre sa manière délicate de prendre l'espace, elle subjugue surtout par son regard empli d'émotions contraires.

A-t-elle vraiment eu l'intention de tuer Betty Gore ? Était-ce de la légitime défense ? Le mystère reste entier dans la vie réelle. Quant à la série, elle prend un certain plaisir à jouer avec vos émotions et vos tripes, notamment dans la séquence ahurissante du meurtre de Betty, qui ne manquera pas de rester ancrée dans votre mémoire.

Si Elizabeth Olsen est la figure de Love & Death, ses partenaires de jeu ne sont pas en reste, notamment Jesse Plemons, qui joue son amant Allan Gore, Lily Rabe, qui campe son amie/ennemie Betty Gore et Patrick Fugit, qui interprète son mari Pat Motgomery.

En 7 épisodes, Love & Death réussit son pari de transposer à l'écran un fait divers glauque, qui a défrayé la chronique outre-Atlantique, et à décortiquer la psychologie de ses protagonistes grâce à une écriture brillante, une reconstitution impressionnante et un casting impeccable.

27 juillet 2024

JO 2024 : Marion Cotillard absente de la cérémonie de clôture, la raison dévoilée

La grande absente. Les Français étaient mitigés face à l'organisation des Jeux olympiques de Paris, tandis que les étrangers regardaient l'Hexagone d'un œil pétillant. Ce vendredi 26 juillet 2024, le jour tant attendu tient le pays en haleine. À 19h30, 7.000 athlètes défileront sur la Seine, en plein Paris, tous placés dans 85 embarcations. La cérémonie d'ouverture, qui débutera au niveau du pont d'Austerlitz, va se dérouler tout au long de la scène. Et pour ce spectacle inédit, les organisateurs ont convié les plus belles voix de la sphère musicale.

Ainsi, Aya Nakamura, dont la participation a été longtemps discutée, chantera un titre de Charles Aznavour. La chanteuse Juliette Armanet sera également de la partie pour interpréter le tube Imagine de John Lennon, accompagnée du prodige Sofiane Pamart au piano. L'Américaine Lady Gaga, qui émerveille aussi bien son public face à un micro que dans les salles obscures, chantera la chanson française Mon truc à plumes de Zizi Jeanmaire.

Si la cérémonie d'ouverture fait trépigner la planète entière, la cérémonie de clôture n'en est pas pour autant moins significative. En effet, dimanche 11 août prochain, au Stade de France, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), de nombreuses personnalités seront présentes pour saluer les performances des athlètes pendant plus de deux semaines. Mais il y aura une grande absente qui a dû refuser l'offre, c'est Marion Cotillard.

En effet, si l'épouse de Guillaume Canet avait été programmée pour chanter My Way de Franck Sinatra, BFMTV a indiqué ce vendredi que sa place avait été compromise pour une affaire de business. En tant qu'égérie Chanel, la mère de Marcel et Louise ferait tache au milieu d'un événement organisé par LVMH. Le groupe est le partenaire "premium" des Jeux olympiques de Paris 2024. C'est le joaillier Chaumet qui a dessiné les médailles, la marque Berluti qui habille la délégation française pour la cérémonie d'ouverture, Pharell Williams, le directeur créatif de Louis Vuitton, a même porté la flamme en Seine-Saint-Denis ce vendredi. Céline Dion, pressentie pour chanter à la cérémonie d'ouverture, portera du Dior, autre marque du groupe.

Sonia Mabrouk maman pour la première fois à 46 ans, elle dévoile le prénom de son bébé et un cliché

Elle est l’un des visages incontournables de CNews. Le 9 mai dernier, Sonia Mabrouk avait annoncé en direct se retirer de l’antenne quelques semaines afin de profiter de son congé maternité. "Je vais me permettre un petit message personnel", avait d’abord averti la présentatrice à la fin de son émission. "C’est avec plaisir et émotion que je vais vous donner rendez-vous dans quelque temps, après un congé maternité", avait ensuite expliqué l'ex de Guy Savoy, révélant ainsi sa grossesse.

Sonia Mabrouk avait alors tenu à adresser un message à sa mère et "à toutes les mamans qui nous regardent de là-haut et qui rendent les choses possibles". "C'est un bonheur, une joie qui va me tenir forcément éloignée des antennes à la fois télé et radio, avant de vous retrouver prochainement et pleinement", avait-elle ajouté.

Vendredi 26 juillet, Sonia Mabrouk a annoncé sur son compte Instagram avoir donné naissance à son premier enfant. Dans son message, la journaliste a d’abord évoqué le décès de sa mère. "On quitte définitivement l’enfance quand on perd sa mère. Je l’ai brutalement quittée en octobre 2022", a-t-elle écrit. "Et voilà qu’aujourd’hui, je retrouve des yeux d’enfant en plongeant mon regard dans le tien, petit ange", a continué la journaliste, avant de révéler le nom de sa fille.

"Ton prénom s’est imposé tout naturellement. Soraya, comme ta grand-mère. Ce prénom est un bagage à la fois léger par la protection qu’il t’apportera je l’espère, et lourd par ce qu’il symbolise, à savoir l’abnégation et l’amour dont ta grand-mère (dont je ne parle jamais au passé) est l’incarnation éclatante", a-t-elle expliqué. "Ces quelques mots pour annoncer ta naissance et remercier tous ceux qui nous ont couvert de messages et de tendresse en apprenant la nouvelle. Désormais, le reste nous appartient petite Soraya. Nous avons tant à partager. Je suis si heureuse et encore balbutiante de fatigue", a continué la maman. Un message très touchant.

La péniche de Christine Bravo utilisé pour la parade aux JO 2024 a été victime d'un couac

Une soirée exceptionnelle. Vendredi 26 juillet, la traditionnelle cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques a marqué le début de la compétition sportive internationale. Comme le veut la tradition, un grand show a été offert au public. Pour la première fois de l’histoire des Jeux, la cérémonie ne s’est pas déroulée dans un stade, mais sur l’eau. Les organisateurs de Paris 2024 ont effet préparé un spectacle hors-normes le long de la Seine. Sur les 6 km du parcours, ce sont 3 000 danseurs qui, malgré une pluie battante, ont assuré le show avec en toile de fond les monuments emblématiques de la ville Lumière.

Après des mois de spéculations, c’est Lady Gaga qui a été la première artiste internationale à proposer un tableau sur le thème du cabaret. De son côté, Aya Nakamura a fait sensation en reprenant ses plus grands tubes avec la Garde républicaine. Un peu plus tard, c’est Rim’K, Juliette Armanet et Philippe Katherine qui sont montés sur scène. Pour clôturer ce spectacle grandiose, Céline Dion a repris Edith Piaf depuis la Tour Eiffel.

Parmi les privilégiés qui ont pu assister à la cérémonie d’ouverture des JO depuis le bord de Seine, on retrouve Christine Bravo. Postée sur les quais, elle a assisté avec émotion au passage de sa péniche surnommée Frou-Frou. "Mes chères et chers abonnés, merci pour vos commentaires adorables sur mon bateau Frou-frou, qui a participé hier à la parade olympique. C’est un vieux navire art déco, tout en bois, qui navigue sur la Seine depuis déjà 5 ans…", a-t-elle d’abord expliqué, avant de revenir sur sa soirée riche en émotions.

"Hier j’ai pleuré en le voyant passer avec un moteur en panne… le comité olympique était dubitatif… on a prié pour qu’il flotte… et il était si digne et vaillant malgré son grand âge de super Van Craft, ces ancêtres hollandais taillés pour la mer…", a continué l’ancienne présentatrice. "Il est presque 6h du matin, je ne parviens pas à dormir… trop de stress et d’émotions en 48h", a-t-elle ajouté. Un moment gravé à jamais.

Bande-annonce de Challenger, avec Alban Ivanov

“Luka (Alban Ivanov) rêve d’être un grand boxeur… Malheureusement, pour l’instant, il n’est qu’amateur et doit se contenter de petits combats foireux. Mais un jour, le destin frappe à sa porte et propulse notre héros au sommet !”

Après le tennis dans Challengers, la boxe est mise à l’honneur dans Challenger. A l’aune des JO, UGC dévoile les premières images du film de Varante Soudjian avec Alban Ivanov dans le rôle principal. Coups de poings, coups bas, coups de pub… Tous les coups sont permis dans cette comédie sportive, de laquelle on ne peut s'empêcher de déceler une filiation (un brin parodique) à certains des films de boxe les plus cultes, Raging Bull et Rocky en tête.

Challenger est la quatrième collaboration de Varante Soudjian et Alban Ivanov, après Walter, Inséparable et La Traversée. Le comédien français fait son grand retour au cinéma après son passage dans la saison 1 de Panda pour TF1 et dans la saison 4 de Lol : Qui rit, sort ! pour Amazon Prime.

Pour donner la réplique à son acteur fétiche, Varante Soudjian a fait le choix de se tourner vers des stars populaires, parfois phénomènes des réseaux sociaux. Il y a, par exemple, Audrey Pirault – l’agent de Luka dans le film –, qui a commencé sa carrière sur YouTube et qu’il a déjà dirigée dans La Traversée.

Il y a aussi Soso Maness, rappeur marseillais, partenaire de plume de Jul, Fianso, SCH, Gims ou encore PLK.

L’acteur et instagrammeur @toniolifeoff (Alexandre Antonio), David Salles (Case départ), Jonas Dinal (Terrible Jungle), Pierre-François Martin-Laval des Robins des bois, Nordine Salhi (Les Déguns) et Nassim Benahmed complètent la distribution.

Challenger sortira le 23 octobre au cinéma, après avoir été présenté au Festival d'Angoulême qui se tiendra du 27 août au 1er septembre.

Speak No Evil : bande-annonce avec James McAvoy

Cinq ans après Glass de M. Night Shyamalan, dans lequel il reprenait le rôle de La Bête et de ses multiples personnalités, James McAvoy est à l'affiche du thriller d'épouvante Speak No Evil. Adapté et mis en scène par James Watkins (Eden Lake, La Dame en noir), le film est un remake du film danois à succès Ne dis rien de Christian Tafdrup, nommé à 11 reprises aux César danois en 2022.

Dans le long métrage, une famille américaine passe le week-end dans la propriété de rêve d'une charmante famille britannique rencontrée en vacances. Mais ce séjour qui s’annonçait idyllique se transforme rapidement en atroce cauchemar.

La bande-annonce nous promet un film à suspense glaçant avec un James McAvoy incarnant un personnage complexe et intense, à l'image de son rôle dans Split et Glass, et qui promet de tenir les spectateurs en haleine jusqu'à la dernière minute.

Le réalisateur James Watkins explique au micro de Deadline : "Dans ce film, Paddy (le personnage incarné par McAvoy) est en partie un ami, un hôte et un père charmant et grégaire, et d'un autre côté, il n'est pas du tout comme ça, il est effrayant. Durant le tournage, nous sommes allés nous cacher du monde pendant un certain temps en Angleterre. C'était comme une colonie de vacances avec un petit côté déviant".

Produit par Blumhouse, Speak No Evil est porté par James McAvoy, Mackenzie Davis (Terminator : Dark Fate Tully), Scoot McNairy (Argo, Sans un bruit 2), Aisling Franciosi (The Nightingale, Le Dernier Voyage du Demeter), Alix West Lefler (The Good Nurse, Riverdale) et le jeune Dan Hough dont c’est la première apparition à l’écran.

Ce thriller horrifique sort dans nos salles le 18 septembre prochain.

The Toxic Avenger : le remake st tourné mais risque de se faire attendre

En octobre dernier, nous avions découvert les premières images du remake de Toxic Avenger mettant en vedette Peter Dinklage (Game of Thrones) et Elijah Wood (Le Seigneur des Anneaux), entre autres. Depuis, plus rien ou presque : le film, classé R pour sa forte violence, a en effet été projeté dans une poignée de festivals de films de genre – et les critiques ont été plutôt favorables. Cependant, il n’a toujours pas de distributeur.

Comme l’a rapporté World of Reel, le long métrage de Macon Blair est actuellement considéré comme “insortable” selon les propos d’un des producteurs qui affirme que les perspectives commerciales de The Toxic Avenger sont trop “hors-normes” pour toute sorte de sortie en salles traditionnelle. En conséquence, une sortie en streaming ou directement en VOD semble être la seule solution. Ou peut-être ne verra-t-il jamais le jour.

“S’il avait de bonnes critiques, les prévisions seraient peut-être un peu plus optimistes, mais il n’y a pas beaucoup de potentiel. C’est trop niche. Honnêtement, je ne serais pas surpris si nous le voyions sur Tubi dans quelques années”, a déclaré le producteur interrogé.

Le site rapporte également que le cinéaste et producteur Adam Masnyk est récemment allé sur X (anciennement Twitter) pour confirmer que le film avait été jugé “pas assez sûr pour être commercialisé”, ce qui, selon lui, est la raison pour laquelle personne n’a pris les mesures nécessaires pour le distribuer. En fin de compte, il pourrait peut-être même s’avérer faire partie des “médias perdus”.

“C’est un fait. C’est ce qu’on nous a également dit officiellement – ​​je travaille dans le domaine des licences de produits cinématographiques – à ce sujet.”

Pour ceux qui ne connaissent pas le film original de 1984 de Lloyd Kaufman, qui a un certain culte, il raconte l’histoire d’un concierge qui est exposé à des déchets toxiques, le transformant en un super-héros déformé. Désormais doté d’une force surhumaine, il doit sauver son fils et arrêter un tyran impitoyable et avide de pouvoir, déterminé à exploiter des superpuissances toxiques pour renforcer son empire pollué.

Écrit et réalisé par Macon Blair, le remake serait une réimagination contemporaine du classique avec un casting d’ensemble 5 étoiles : Peter Dinklage dans le rôle titre, mais aussi Elijah Wood, Jacob Tremblay, Taylour Paige, Julia Davis, Jonny Coyne et Kevin Bacon.

26 juillet 2024

Alain Delon : l'enquête visant l'acteur pour détention d'armes à feu classée sans suite

Alain Delon retombe toujours sur ses pattes. Le comédien de 88 ans a été placé sous curatelle à cause de son état de santé et après une bataille publique entre ses trois enfants Anthony, Anouchka et Alain-Fabien, qui a fait couler beaucoup d'encre dans les médias français. Mais un autre incident impactait son quotidien depuis plusieurs mois.

En effet, mardi 27 février 2024, à l'issue d'une inspection du domicile de Douchy (Loiret) de l'interprète de Tancrède Falconeri dans Le Gépard, les forces de l'ordre avaient récupéré 72 armes à feu, et plus de 3.000 munitions avaient été saisies. Mais ce vendredi 26 juillet, une décision prononcée par le procureur de la République dans l'affaire, révélée par BFMTV, a changé la donne en ce qui concerne la situation d'Alain Delon face à la justice.

Si l'acteur prodige a dû dire "adieu" à sa collection d'armes à feu, c'est pour le meilleur. En effet, le parquet de Montargis a annoncé le classement sans suite de l'enquête pour détention d'armes à feu par Alain Delon dans un communiqué de presse, relayé par la chaîne d'information ce vendredi. Le signalement des milliers de munitions et des dizaines d'armes avait été émis par le juge des tutelles, après la constatation d'un mandataire judiciaire d'au moins une arme à feu par le père de famille.

"Les recherches d'antériorité amenaient à exclure l'utilisation de ces armes dans le cadre d'enquêtes judiciaires antérieures", a indiqué le procureur de la République, Jean-Cédric Gaux, dans son communiqué.

En effet, après plusieurs mois d'enquête, il a été démontré que "l'acteur n'avait jamais déclaré ces armes en préfecture, ou sollicité d'autorisation pour leur possession", a expliqué le magistrat, avant de préciser que les auditions des enfants du comédien et de ses employés ont mis en évidence que "les armes à feu étaient utilisées par les différents membres de la famille à titre de loisirs, dans le stand de tir de la propriété". Le magistrat a notamment regretté qu'Alain Delon n'ait pu être entendu dans le cadre de l'enquête, en raison de sa fragilité médicale.

Ultime bande-annonce pétaradante de Borderlands, avec Cate Blanchett

Lilith, une chasseuse de primes, est contrainte de revenir sur sa planète natale, Pandore pour retrouver la fille disparue d’Atlas, l’homme le plus puissant de l’univers. La planète Pandore n’est pas des plus agréables – euphémisme : c’est probablement la plus chaotique de la galaxie. Pour honorer sa mission, Lilith embarque dans une alliance imprévue avec une fine équipe. Parmi eux, Roland, un mercenaire, Tiny Tina une pré-ado amatrice de destruction, Krieg son protecteur athlétique, Tannis un savant-fou, et Claptrap, drôle de robot à la langue bien pendue.

Si le jeu Borderlands s'inspirait surtout de l'univers de Mad Max, en plus déjanté, avec son monde post-apocalyptique complètement décalé, son adaptation au cinéma sera aussi colorée et farfelue qu'un épisode des Gardiens de la Galaxie.

La première bande-annonce de cet blockbuster d'Eli Roth (Hostel) misait tout sur son équipe de bras cassés, qui faisait énormément penser à celle de James Gunn, mais avec d'autres stars au casting : Cate Blanchett, Kevin Hart, Jack Black, Jamie Lee Curtis ou encore Ariana Greenblatt (Barbie). L'ultime montage, dévoilé cette semaine par Lionsgate, est parfaitement dans cette même veine : rempli de monstres exagérément menaçants, de couleurs vives et de scènes d'action pétaradantes.

Brendan Fraser interprétera Dwight D. Eisenhower

Il y a deux ans, Brendan Fraser revenait sur le devant de la scène avec The Whale. En interprétant un homme souffrant d’obésité morbide, l’acteur de La Momie et de George de la jungle était touchant, sensible, sincère. Au sommet, sa carrière redécolle lorsqu’il reçoit l’Oscar du meilleur acteur. Depuis, il a pu jouer Killers of the Flower Moon de Martin Scorsese, et bientôt se transformera à nouveau pour se fondre dans la peau d’un tout autre personnage imposant, celui de Dwight D. Eisenhower.

Réalisé par Anthony Maras (Attaque à Mumbai) et adapté d’une pièce de théâtre de David Haig – ici au scénario – Pressure mettra en scène les derniers préparatifs de l’Opération Overlord durant la Seconde Guerre mondiale. Confirmé par Deadline, Brendan Fraser interprétera celui qui deviendra en 1953, le 34ème Président des États-Unis.

En 1944, date à laquelle l’intrigue se déroule, Eisenhower n’est pas encore à la tête du pays. A plus petite échelle, il est le commandant suprême des Forces expéditionnaires alliées (en anglais : le chef du Supreme Headquarters Allied Expeditionar Force). Il est l’un des cerveaux du débarquement. Le synopsis détaille :

"Dans les 72 heures qui précèdent le Jour J, tout est en place sauf un élément clé – la météo britannique. Le chef météorologue James Stagg a pour mission de prédire les prévisions météo les plus importantes de l’Histoire, le retrouvant piégé dans une impasse pesante avec l’ensemble des dirigeants Alliés. De mauvaises conditions pourraient endommager la plus importante invasion maritime, tandis qu’attendre trop longtemps augmenterait le risque que les armées allemandes découvrent le plan. (…) La décision finale revient au Commandant Dwight D. Eisenhower. A quelques heures seulement de la fin, le sort de la guerre et de la vie de millions de personne est en jeu."

La pression ne sera donc pas que météorologique.

Pour interpréter James Stagg, on retrouve Andrew Scott (Ripley, Fleabag), lauréat du BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle et nommé aux Emmys. Sa mission sera de fournir le plus d’éléments possibles et précis permettant aux Alliés de débarquer en toute sécurité. L’Histoire nous dit que c’est lui qui a su convaincre Eisenhower de reculer la date du débarquement.

James Stagg est une figure que l’on retrouvait déjà dans Le Jour le plus long (1962), l’un des films de référence sur cet événement historique.