25 juillet 2024

Romane Dicko pousse un coup de gueule après avoir reçu des commentaires grossophobes

Les Français, mais aussi les spectateurs et téléspectateurs du monde entier, auront les yeux rivés sur les différentes épreuves qui auront lieu dans divers endroits de la capitale française lors des JO. Romane Dicko, judokate française qui évolue dans la catégorie des plus de 78 kg, défendra les couleurs de son pays. La jeune femme, actuellement en 3ᵉ année de licence de mathématiques à La Sorbonne "pour devenir ingénieure en aéronautique", comme indiqué sur sa page LinkedIn, est championne du monde et quadruple championne d'Europe de judo, et double médaillée olympique à Tokyo.

"Déterminée et rigoureuse, j'ai à cœur de mener à bien mon double projet sportif et universitaire", écrit la sportive de 24 ans sur les réseaux sociaux. Bien que déterminée à être médaillée aux Jeux olympiques, la jeune femme doit malheureusement essuyer des critiques négatives à son sujet. Le 20 juillet dernier, l'étudiante a poussé un coup de gueule sur TikTok après avoir reçu des commentaires grossophobes à son sujet.

"Qui, en 2024, croit encore que les personnes qui font du sport sont forcément fines ?", c'est la réflexion faite par Romane Dicko dans une vidéo partagée sur son compte TikTok. La jeune femme de 24 ans a décidé de prendre la parole après avoir reçu des commentaires négatifs la concernant. Fatiguée par les commentaires grossophobes qu'elle a reçus, elle a donc décidé de prendre la parole sur les réseaux sociaux pour remettre les pendules à l’heure et dénoncer les remarques désobligeantes qu'elle a reçues. "Tu vas faire les jeux olympiques pour obèse", "Tu prépares les jeux olympiques du McDo ?" ont demandé des internautes.

À cela, la judokate a donc répondu : "On est fatigués, s’il vous plaît, grandissez", avant de continuer : "Je fais du haut niveau et j’ai des bourrelets, oui, ça existe, et ça ne m’a pas empêchée de faire du judo à un très bon niveau, ça ne m’a pas empêchée de gagner les championnats du monde, ça ne m’a pas empêchée de gagner des médailles olympiques à Tokyo". La jeune femme a conclu ses propos, en déplorant que certains imaginent que les athlètes doivent nécessairement être des personnes à la corpulence "fine et sèche" pour faire du sport. "Attaquer le physique des gens, ce n’est pas marrant", a-t-elle conclu. Un message nécessaire.

Pascal Danel, icône yéyé et interprète des Neiges du Kilimandjaro, est décédé à l'âge de 80 ans

La musique française perd l'un de ses monuments. Pascal Danel, l'interprète du monumental titre Les neiges du Kilimandjaro, qui a fait danser toute une génération dans les années 60, est décédé à l'âge de 80 ans, a annoncé le journaliste de l'AFP, Jean-François Guyot, sur son compte X ce jeudi 25 juillet 2024.

C'est son fils, Jean-Pierre Danel, qui a précisé les circonstances de la mort de son père à l'agence de presse. Selon ses propos rapportés, l'octogénaire aurait mal vécu une opération et aurait fait un malaise cardiaque, ce qui aurait provoqué sa disparition.

"Le chanteur yéyé Pascal Danel (...) est décédé à 80 ans, a annoncé jeudi son entourage à l'AFP. 'Il est décédé cette nuit à l'hôpital', a indiqué son agent Christian Jaume. Son fils, Jean-Pierre Danel, a également confirmé son décès. 'Il a été opéré et a fait un malaise cardiaque'", a partagé le journaliste, regrettant la disparition de l'icône yéyé.

Le chanteur, né en 1944, avait débuté la musique en tant que guitariste et chanteur d'un groupe de rock. Auteur-compositeur, il a composé son premier tube, intitulé La plage aux romantiques, en 1966. La chanson a rencontré un véritable succès en Europe, mais aussi au Brésil, au Canada et au Japon. C'est par la suite que Pascal Danel a basculé vers les yéyés.

C'est alors que le prodige de la mélodie donne naissance aux Neiges du Kilimandjaro, à la fin de l'année 1966. Le titre s'inspire d'une nouvelle d'Ernest Hemingway et ses notes se sont même fait entendre dans le long métrage Les neiges du Kilimandjaro de Robert Guédiguian. Le jeune artiste ne le savait pas encore à ce moment-là, mais il signait son plus gros succès, enregistré par la suite en six langues et qui s'est écoulé à plus de 25 millions d'exemplaires.

À la fin des années 1960, Pascal Danel fait la connaissance de Laurent Voulzy, qui est devenu son chef d'orchestre et arrangeur. "Il jouait dans les bals, je l'ai rencontré lors d'un concert et je lui ai proposé de devenir mon guitariste. Il a arrangé mes albums et est devenu mon chef d'orchestre. On s'entendait très bien", avait-il expliqué au Parisien en 2015. Personnalité très appréciée par les Français, il produisait Candence 3 et Macadam pour France 3, des émissions qui ont été couronnées de succès. Sa vision va manquer à la France.

24 juillet 2024

Céline Dion aux JO de Paris 2024 : ce duo qu'elle a répété avec Lady Gaga pour la grande cérémonie d'ouverture

Céline Dion est à Paris. Une venue qui n'est pas un hasard à quelques jours de la grande cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques, qui se déroulera ce vendredi 26 juillet. Même si le comité olympique garde le silence et Emmanuel Macron fait semblant de ne pas savoir, il y a désormais plus aucun doute quant à la prestation de la célèbre chanteuse québécoise. Un événement attendu par le monde entier tant la star n'avait pas repris le micro depuis qu'elle avait annoncé son combat contre sa maladie, le syndrome de la personne raide, qui lui provoque d'horrible spasmes musculaires. En raison de ses douleurs et de son état de santé, l'artiste de 56 ans avait pris la décision de mettre sa carrière sur pause et d'annuler tous ses concerts. Une prise de distance nécessaire pour mieux revenir. Et la diva va honorer la France de son come-back.

Alors que Le Parisien a révélé que Céline Dion devrait chanter L'hymne à l'amour d'Édith Piaf, il semblerait que ce n'est pas la seule chanson de l'icône française qu'elle interprétera. Selon des informations du journaliste Thierry Moreau, sur le réseau social X, l'interprète de My Heart Will Go On aura un duo avec Lady Gaga, qui a également été aperçue dans la capitale française. Les deux femmes ont ainsi répété le titre La Vie en rose d’Edith Piaf. Un moment qui s'annonce suspendu dans le temps avec les sublimes voix des deux stars. Pour l'occasion, Céline Dion portera une tenue très glamour. Thierry Moreau rapporte ainsi qu'elle sera habillée par la maison Dior et portera "une cape en plumes roses et noires". Un look exceptionnel pour un moment qui le sera tout autant.

Si Céline Dion et Lady Gaga vont se produire lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris, le nom d'Aya Nakamura est également évoqué depuis plusieurs mois. Une annonce qui avait suscité une certaine polémique malgré la reconnaissance internationale de la chanteuse. Le DJ français Cerrone a également été annoncé pour une prestation de son tube Supernature. Pour le reste de l'affiche, Emmanuel Macron, lors de son interview accordée au JT de 20 heures de France 2, le 23 juillet, avait promis de belles surprises. Un show qui promet d'être grandiose !

Mohamed Bouhafsi dévoile son rôle lors des Jeux olympiques de Paris

Paris est en effervescence. Cette première journée des JO est déjà bien remplie, avec du football et du rugby à 7. Antoine Dupont et ses coéquipiers ont déjà pu affronter les États-Unis, sans trop d'éclat. La France a concédé le match nul face à ses adversaires. Un début timide. Les regards se tournent aussi vers la soirée de vendredi, attendue avec impatience. La cérémonie d'ouverture approche à grands pas, avec son lot de surprises.

Pour l'instant, pas moyen de démasquer l'identité de la personne qui allumera la vasque olympique. Tony Estanguet s'est contenté de réponses vagues pour faire durer le suspense. En revanche, un nom semble bel et bien confirmé pour la fête. Céline Dion est arrivée à Paris, et il semblerait qu'elle confirme ainsi sa participation à la cérémonie. La chanteuse devrait même se produire dans un lieu spectaculaire pour son grand retour.

La flamme olympique a parcouru toute la France, avant sa grande arrivée à la capitale. Sur son chemin, de nombreuses célébrités ont eu la chance de la porter. La flamme a même traversé les locaux de France Télévisions. Les derniers relayeurs s'apprêtent à se lancer à leur tour. À coup sûr, cet honneur restera gravé dans leurs esprits. Demain soir, c'est l'ex-footballeur Lilian Thuram qui allumera le dernier chaudron pour cette journée de jeudi. Vendredi 26 juillet 2024, les relayeurs auront un rôle d'autant plus fort, en amont de la cérémonie d'ouverture.

Parmi les heureux élus, le journaliste Mohamed Bouhafsi, comme il l'a révélé ce mercredi 24 juillet 2024 sur son compte X (ex-Twitter). Il a annoncé la bonne nouvelle avec une photo émouvante, "prise dans un fast-food célèbre de Saint-Denis", alors qu'il n'avait que 6 ans. "C'est ma ville à vie", déclare-t-il, avant de partager son bonheur avec ses abonnés : "'Maman, je suis l'avant-dernier relayeur de la flamme olympique à Saint-Denis, chez nous, vendredi !" Un moment qui va être riche en émotions.

Après avoir dépensé 20 milliards de dollars, Apple TV+ veut limiter les frais

Netflix n'était pas peu fier d'annoncer, à la mi juillet, avoir gagné 8 millions de nouveaux abonnés depuis le début de l'année 2024. Cela fait grimper leur total à 277 millions de personnes qui souscrivent actuellement à ce service de streaming dans le monde.

Depuis cette annonce, Bloomberg a publié plusieurs articles décryptant comment Netflix avait réussi à "gagner la guerre des plateformes", et s'est notamment intéressé au cas particulier de l'un de ses concurrents : Apple TV+.

"Le challenge pour tant de nos concurrents est que même s'ils investissent beaucoup d'argent dans leurs contenus premium, ils en retirent relativement peu de vues sur leurs services de streaming", peut-on lire au sein du communiqué de la société au N rouge, qui ne cite pas précisément les exemples récents de Napoléon, de Ridley Scott, Argylle, de Matthew Vaughn, ou encore Killers of the Flower Moon, de Martin Scorsese, mais ces titres viennent immédiatement en tête quand on parle d'investissements importants de la part d'un studio de streaming. Car ils ont coûté cher à Apple pour leur servir de "vitrine de luxe" après être sortis au cinéma, via des partenariats avec la Paramount ou Sony.

Bloomberg précise bien qu'Amazon, Disney +, Max (la société de la Warner Bros.) ou Paramount+ sont eux aussi dans cette démarche de dépenser de grosses sommes d'argent pour produire des contenus ambitieux, que ce soit des séries ou des films, mais il insiste sur le cas particulier d'Apple, "qui bien que semblant avoir des ressources limitées, est en train de devenir plus conscient de leurs coûts de production."

Lancé en 2019 (à peu près en même temps que Disney+), Apple TV+ aurait déjà coûté 20 milliards de dollars à ses créateurs, calcule la source. Les réalisations de Flowers..., Napoléon et Argylle ont ainsi un budget combiné de plus de 500 millions de dollars, et seul le film de Scorsese a reçu un accueil véritablement positif : les critiques envers les deux autres œuvres sont plus mitigées. Masters of the Air, la série dérivée de Bands of Brothers, a coûté plus de 250 millions à la firme à elle seule, et c'est la seule production sérielle d'Apple à figurer dans le classement annuel de Nielsen. Comme Killers... est le seul film à apparaître dans le top récent des films en streaming, tous services confondus.

Même si ce genre de productions ambitieuses permet à Apple de multiplier les nominations et prix prestigieux (rappelons que Coda a notamment gagné l'Oscar du meilleur film, en 2022), Bloomberg précise que leur service de streaming, "n'attire actuellement que 0,2% des téléspectateurs aux Etats-Unis", et ajoute : "Apple TV+ génère moins de vues en un mois que Netflix en une journée."

L'article rappelle que grâce à ses ventes de smartphones ou autres, Apple a assez de revenus réguliers pour se permettre d'investir autant dans la production de films et de séries, sans que cela impacte son cours de la bourse, par exemple. Mais cela n'empêche pas ses dirigeants de revoir leur stratégie, afin que "leur business du streaming soit davantage rentable". Le studio ne devrait "plus investir autant dans ses shows de prestige", et "annuler les séries qui ne marchent pas". Il va aussi durcir ses engagements lors des partenariats avec d'autres firmes, pour limiter les dépassements de budgets – la série Severance a notamment coûté 40 millions de plus que prévu suite au remplacement de Ben Stiller par Adam Scott, puis la crise du Covid.

La démarche de proposer en priorité des contenus de qualité, plutôt que de multiplier les programmes comme le fait Netflix, devrait cependant être conservée, tout comme leur engagement auprès de valeurs sûres du cinéma ou de la télévision, tels que Steven Spielberg, le producteur de Masters of the Air.

Pour illustrer la confiance de la société envers ses cinéastes et comédiens-stars, l'article prend pour exemple The Morning Show, rappelant que dès le départ, les Jennifer Aniston et Reese Witherspoon ont gagné un million de dollars par épisode et que ce cachet a plus que doublé au fil des saisons (on en compte aujourd'hui 4). "Sur cette série, Apple dépense plus de 50 millions rien que sur le casting", écrit le journal américain, qui souligne que cela leur assure la fidélité de leurs comédiennes très populaires.

Apple ne devrait donc pas arrêter d'investir dans des films et séries de qualité, mais va davantage limiter leurs budgets.

Bob Dylan : la bande-annonce de son biopic avec Timothée Chalamet

On l'avait vu en photos dans la peau du joueur de banjo Pete Seeger, lors du tournage en extérieur à New York : Edward Norton ouvre à présent la première bande-annonce d'A Complete Unknown, le biopic de Bob Dylan, réalisé par James Mangold (Walk the Line, Logan, Le Mans 66...) et porté par Timothée Chalamet. Sur une scène, il propose au public ce raconter une histoire, celle d'un artiste inconnu qui deviendra mondialement célèbre. "Il nous a joué un morceau, et d'un seul coup, on a eu l'impression de voir le futur...", dit-il.

Suivent alors des images du jeune Dylan évoluant, solitaire, dans la mégalopole américaine, tombant amoureux d'Elle Fanning avant d'être sous le charme d'une autre musicienne, jouant des morceaux devant un public de plus en plus important... "C'est tout ce que j'ai pour l'instant", dit-il après avoir interprété un air à la guitare. "C'est un bon début", conclut une jeune fille admirative.

Cette première bande-annonce illustre parfaitement les enjeux de ce film se consacrant principalement aux années 1960, au début de carrière de l'interprète de "Blowin' in the Wind", qu'on entend ici interpréter un autre de ses titres, "A Hard Rain’s a‐Gonna Fall", l'un de ses premiers (sorti en 1963). Monica Barbaro, Boyd Holbrook, Dan Fogler, Norbert Leo Butz et Scoot McNairy complètent le casting de ce biopic attendu "seulement au cinéma" en décembre prochain.

Superman et Loïs, la première bande-annonce de l'ultime saison

La dernière saison de Superman & Loïs approche à grands pas ! Une nouvelle déchirante pour les fans qui s'étaient attachés aux personnages au fil des épisodes. Et malheureusement, seule une poignée du casting sera présente tout au long de cet ultime chapitre.

Ainsi, après les bouleversements survenus à la fin de la saison 3, les téléspectateurs retrouveront Tyler Hoechlin (Clark Kent/Superman), Bitsie Tulloch (Loïs Lane), Alex Garfin (Jordan Kent), Michael Bishop (Jonathan Kent 2.0) et Michael Cudlitz (Lex Luthor).

Cependant, pas de panique puisque d'autres personnages familiers du public reviendront, comme nous avons pu le découvrir dans le trailer inédit dévoilé par la CW. D'abord, Dylan Walsh sera de retour et heureusement, car souvenez-vous, Sam Lane a été kidnappé par sa petite amie à la fin de la saison 3.

La jeune femme était, en réalité, une sbire de Lex. Autant vous dire qu'on a hâte de savoir ce qui va se passer par la suite. Mais ce n'est pas le seul à nous enchanter de sa présence puisque Wolé Parks alias John Henry sera également de la partie !

D'ailleurs, n'oublions pas que le dernier épisode se clôturait sur Lana et John qui se laissaient enfin aller à leur attirance mutuelle. Imaginez notre déception si nous n'avions pas pu voir la suite de cette intrigue que l'on attend depuis des mois !

D'autre part, la bande-annonce semble indiquer que la série va se dérouler davantage à Metropolis. L'occasion de rencontrer des personnages iconiques de l'univers DC Comics avec notamment le photographe du Daily Planet, Jimmy Olsen incarné par Douglas Smith.

Une chose est certaine, ce dernier volet s'annonce beaucoup plus sombre et nous allons avoir un aperçu de ce que serait notre terre sans la présence de Superman et ce n'est pas fameux. Rendez-vous le 18 octobre prochain pour en savoir plus sur cet ultime chapitre !

23 juillet 2024

La sélection officielle de la Mostra de Venise 2024

Voici la sélection complète de la Mostra de Venise 2024.

Les films en compétition :

The Room Next Door, de Pedro Almodovar

Campo Di Battaglia de Gianni Amelio

Leurs enfants après eux de Zoran Boukherma et Ludovic Boukherma

The Brutalist, de Brady Corbet

Jouer avec le feu de Delphine Coulin et Muriel Coulin

Vermiglio de Maura Delpero

Iddu (Sicilian Letters) de Fabio Grassadonia et Antonio Piazza

Queer de Luca Guadagnino

Kjaerlighet (Love) de Dag Johan Haugerud

April de Dea Kulumbegashvili

The Order de Justin Kurzel

Maria de Pablo Larrain

Trois Amies d’Emmanuel Mouret

Kill the Jockey de Luis Ortega

Joker : Folie à Deux, de Todd Phillips

Babygirl de Halina Reijn

Ainda Estou Aqui (I’m still here) de Walter Salles

Diva Futura de Giulia Louise Steigerwalt

Harvest d’Athina Rachel Tsangari

Qing Chun Gui (Youth-Homecoming) de Bing Wang

Stranger Eyes de Siew Hua Yeo

Hors compétitions, plusieurs films et séries sont également au programme :

Les fictions :

Beetlejuice, Beetlejuice, de Tim Burton (ouverture)

L’orto americano de Pupi Avati

Il Tempo Che Ci Vuole, de Franscesca Comencini

Phantosmia, de Lav Diaz

Maldoror de Fabrice Du Welz

Broken Rage de Takeshi Kitano

Baby Invasion de Harmony Korine

Cloud de Kurosawa Kiyoshi

Finalement de Claude Lelouch

Wolfs de Jon Watts

Se Posso Permettermi Capitolo II, de Marco Bellochio

Allégorie Citadine d’Alice Rohrwacher, et JR

Séries :

Familier Som Vore (Families Like Ours) de Thomas Vintergberg (épisode 1 à7)

M- Il Figlio Del Secolo, de Joe Wright (épisode 1 à 8)

Disclaimer d’Alfonso Cuaron

Los anos nuevos de Rodrigo Sorogoyen

Documentaires :

Apocaljpse Nos Tropicos (Apocalypse in the tropics) de Petra Costa

Bestiari, Erbari, Lapidari, de Massimo d’Anolfi et Martina Parenti

Why War, d’Amos Gitai

2073, d’Asif Kapadia

One to One: John & Yoko, de Kevin MacDonald et Sam Rice-Edwards

Separated, d’Errol Morris

Israel Palestina På Svensk TV 1958-1989 (Israel Palestine on Swedish TV 1958-1989), de Göran Hugo Olsson

Russians at War, d’Anastasia Trofimova

Twst/Things We said today, d’Andrei Ujică

Pisni Zemli, Shcho Povilno (Songs of Slow Burning Earth), d’Olha Zhubra

Rieffenstahl, d’Andres Veiel

Projections spéciales :

Beauty Is Not a Sin de Nicolas Winding Refn

Master and Commander: The Far Side of the World de Peter Weir

Leopardi. Il poeta dell’infinito de Sergio Rubini

Dans la sélection Orizzonti :

Orizzonti Extra :

Vittoria, d’Alessandro Cassigoli et Casey Kauffman

King Ivory de John Swab

After Party de Vojetch Strakaty

Le Mohican de Frédéric Farruci

Edge of Night de Türker Süer

La Storia Del Frank E Della Nina, de Paola Randi

Al Bash An Manfaz I Khoroug Al Sayed Rambo (Seeking Haven for Mr. Rambo) de Khaled Mansour

September 5 de Tim Fehlbaum

Shahed (The Witness) de Nader Saeivar

Courts métrages Orizzonti :

Neredeyse Kesinlikle Yanlis (Almost Certaintly False) de Cansu Baydar

Shadow, de Rand Beiruty

Il Burattino E La Balena, de Roberto Catani

Duyao Mao (The Poison Cat) de Tian Guan

Nime Baz, Nime Basteh (Ajar) d’Atefeh Jaladi

Three Keenings d’Oliver McGoldrick

Minha Mae E Uma Vaca (My Mother is a cow) de Moara Passoni

René Va Alla Guerra, de Mariachiara Pernisa, Luca Ferri et Morgan Menegazzo

James d’Andres Rodriguez

O, Runar Runarsson,

Who Loves the Sun, d’Arshia Shakiba

Moon Lake, Jeannie Sui Wonders

Marion de Joe Weiland et Finn Constantine

Venise Classics – les documentaires :

Miyazaki, l’esprit de la nature, de Leo Favier

I will revenge this world with love S. Paradjanov, de Zara Jian

Le cinéma de Jean-Pierre Léaud, de Cyril Leuthy

From Darkness to Light, de Michael Lurie et Eric Friedler

Emily in Paris : bande-annonce de la saison 4

Elle est de retour sur nos écrans, après 1 an et demi d’absence due à la grève des acteurs et des scénaristes à Hollywood l’année dernière. Netflix vient de dévoiler la bande-annonce de la partie 1 de la saison 4 d’Emily in Paris où il est toujours question d’amour, de secrets et de mensonges. Bref, tout ce que l’on aime dans cette série !

Après les événements dramatiques du mariage malheureux entre Camille et Gabriel (Lucas Bravo), Emily (Lily Collins) perd pied. Elle éprouve des sentiments forts pour deux hommes, mais Gabriel attend un bébé de son ex, et les pires craintes d'Alfie (Lucien Laviscount) à son sujet et au sujet du chef se confirment.

Au travail, Sylvie (Philippine Leroy-Beaulieu) doit affronter un dilemme épineux concernant son passé pour préserver son mariage tandis que l'équipe de l'agence Grateau fait face à des changements de personnel.

Mindy (Ashley Park) et le groupe se préparent pour l'Eurovision, mais lorsque les fonds s'épuisent, ils sont obligés de faire des économies. L'alchimie entre Emily et Gabriel est indéniable alors qu'ils collaborent pour l'obtention d'une étoile Michelin. Pourtant, deux secrets de taille menacent de défaire tout ce dont ils ont rêvé…

La bande-annonce de la saison 4 laisse entendre que notre Américaine va finir par choisir entre Alfie et Gabriel, après avoir joué sur les deux tableaux pendant très longtemps. Sauf si un nouveau love interest pointe le bout de son nez dans cette première partie.

Tout est possible quand on sait que la jeune femme va s’envoler pour l’Italie dans la partie 2. Et si on ne sait pas quelle en est la raison, ce sera soit pour le travail, soit pour suivre un prétendant (ou les deux).

Ces images nous rappellent ô combien on aime (plaisir coupable !) Emily in Paris, un divertissement léger et estival où on se prend de passion pour ses personnages hauts en couleur, les looks très chics de l’héroïne, les chansons de Mindy et les décors très (trop) parisiens de la série.

A noter que Netflix mettra en ligne la première partie de la saison 4 le 15 août prochain et qu’il faudra attendre le 12 septembre pour découvrir la suite. 

Voilà ce qui a décidé Hugh Jackman à reprendre le rôle de Wolverine

Après avoir incarné Wolverine dans 9 films (en comptant ses caméos) en l’espace de 17 ans, Hugh Jackman avait officiellement raccroché le costume en 2017 à l’issue de Logan. Un adieu digne de ce nom puisque le long-métrage de James Mangold, était l’un des plus beaux de sa carrière et concluait de façon poignante l'histoire du héros.

Mais c’était sans compter sur un certain Ryan Reynolds… Car depuis leur rencontre sur le tournage du décrié X-Men Origins : Wolverine où ce dernier avait pour la première fois joué une version (mal-aimée) de Deadpool, l’acteur voulait à tout prix réunir leurs deux personnages dans un film de meilleure qualité !

L’interprète de Wade Wilson a alors tout fait pour convaincre celui qui était devenu son ami de se glisser à nouveau dans la peau du plus aimé des X-Men. "Je n'ai pas arrêté de le harceler ces dernières années," avait-il ainsi révélé à ET Canada en avril 2023. Un harcèlement qui a fini par porter ses fruits, surtout qu’au fond de lui, Hugh Jackman y pensait depuis longtemps.

Plus précisément depuis le moment où il a vu pour la première fois Deadpool, trois jours seulement après avoir annoncé que Logan serait son dernier film dans la peau du rival de Cyclope. "Oups, peut-être que j'aurais dû voir ce film avant", a-t-il pensé devant son écran, comme il l'a révélé lors de la conférence de presse londonienne de Deadpool & Wolverine.

Lors d’une récente interview pour Fandango, Hugh Jackman s’est remémoré le moment exact où, quelques années plus tard, il a su qu’il allait reprendre le rôle de Wolverine :

"J'étais en route, je conduisais, et littéralement, comme un éclair, j'ai su au plus profond de mes tripes que je voulais faire ce film avec Ryan."

Et de poursuivre : "Je vous jure que lorsque j'ai dit que j'en avais fini, je pensais vraiment que j'en avais fini. Mais au fond de moi, depuis que j'ai vu Deadpool 1, je me disais : 'Ces deux personnages ensemble…'. Je le savais, je savais que les fans le voulaient depuis que j'ai mis les griffes, les gens parlaient de ces deux-là. Cela a donc toujours été présent, mais je l'ai su à ce moment."

A peine arrivé à la plage (car oui, tout ceci s’est passé durant des vacances de Jackman), il a appelé Ryan Reynolds pour lui dire "Faisons-le". "J'ai dû ensuite appeler mon agent et lui dire : 'Oh, au fait, je viens de m'engager pour un film'", a conclu l’interprète du mutant griffu qui se souvient encore de la date de cette interaction : le 14 août 2022.

Par chance, il se trouve que deux jours après cet appel, l'interprète du Mercenaire Disert et Shawn Levy, le réalisateur de Deadpool & Wolverine, avaient une entrevue avec Kevin Feige, le grand patron de Marvel Studios, où ils comptaient le prévenir qu'ils étaient bloqués dans l'avancement du projet. A la place, ils ont donc pu lui pitcher l’idée de cette réunion tant espérée par les fans !

Évidemment, Feige a adoré l’idée et il ne restait plus qu’à trouver la bonne histoire. Un scénario élaboré en grande partie par Reynolds et Levy, avec un petit coup de pouce de Jackman qui a débloqué un point clé de l’intrigue dans une note vocale (de 17 minutes !) envoyée aux deux autres qui l’ont écoutée en pleine séance d’entraînement, comme le trio l’a raconté à Variety.

La preuve d’une collaboration harmonieuse entre les trois hommes en amont du tournage, qui a bien sûr continué pendant. "Je partageais [l’expérience] avec Ryan et Shawn, qui sont deux de mes meilleurs amis. À nous trois, nous sommes comme les Trois Amigos", s’est souvenu Hugh Jackman lors d’un entretien avec Vanity Fair.

Rappelons que Jackman et Levy ont tourné ensemble le film Real Steel (2011) et que déjà à cette époque, l'acteur pressentait de grandes choses entre le réalisateur et Reynolds. "Si un jour tu rencontres et travailles avec Ryan Reynolds, vous n'allez jamais vous arrêter", avait-il prédit à celui qui a depuis tourné Free Guy et Adam à travers le temps avec l'interprète de Deadpool. Et c'est sur le tournage du film Netflix que ce dernier a proposé au cinéaste de participer à la troisième aventure du Mercenaire, comme l'a raconté Shawn Levy à Jimmy Fallon.

Une fois Hugh Jackman officiellement de la partie, tout était en place pour un tournage des plus joyeux. "Il n'y a pas eu un jour où je n'ai pas pleuré de rire. Je me suis senti tellement rajeuni en jouant ce rôle. Je veux dire, cela fait 25 ans que je joue, et je me sens mieux que jamais", a confié l'acteur lors de son entretien avec Vanity Fair.

Notamment parce que le héros qu’on voit dans Deadpool & Wolverine n’est pas vraiment celui que l’on connaît des précédents films où il apparaît. Un changement de ton qui a attiré son interprète. "J’ai su instinctivement que Deadpool allait nous permettre d'aborder une facette du personnage différente de celle que j'ai jouée auparavant, à tous points de vue, qu'il s'agisse des émotions, de l'humour, des dialogues ou de l'action. Tout m'a semblé nouveau et frais", s’est-il enthousiasmé.