01 juillet 2024

L'acteur Boubacar Kabo est papa pour la première fois

De 2018 à 2021, le comédien Boubacar Kabo a incarné le personnage de Mous, un lycéen en fauteuil roulant dans Plus belle la vie, à l’époque où la série était encore diffusée sur France 3. Au sein de l’ancienne coloc’, il avait conquis le cœur des téléspectateurs. Tout comme sa relation avec le personnage de Mila, interprété par Malika Alaoui.

À l’annonce de la fin du programme sur France Télévisions, il avait réussi à trouver un nouveau rôle … devenant animateur sur France 4 dans Okoo-Okoo. Boubakar Kabo était aussi apparu dans Scènes de ménages, auprès d’Ahmed Sylla dans le film Notre tout petit petit mariage, ou encore dans la série Tapie. Pour la fiction de Netflix, il jouait le rôle de Basile Boli, le célèbre défenseur central de l’OM. "Le jour où mon agent m’a appelé pour me dire 'Bouba t’es validé sur le rôle de Basile Boli'" j’allais tomber dans les pommes !!!", s’était alors remémoré le comédien.

Et au début de l’année 2024, il a dévoilé un nouveau projet, intitulé "9 mois". Le pari consistait à créer entièrement un spectacle d’humour, pour le jouer ensuite le 11 janvier sur la scène de l’Européen, à Paris. Et c’est évidemment en intégrant des références à Plus belle la vie que Boubakar Kabo a décidé de commencer ses sketchs. Et ses abonnés semblent satisfaits de son humour, à en croire les réponses sous les publications. Alors qu’il partage ses idées avec ses abonnés, le comédien en profite aussi pour partager son quotidien.

Ce samedi 29 juin 2024, il s’est ainsi tourné vers les réseaux sociaux pour dévoiler une belle nouvelle : Boubakar Kabo est père pour la première fois. Sur Instagram, c'est avec émotion qu'il a partagé un premier cliché de sa vie de papa. On y voit le point du comédien coller le point de son jeune bébé. Déjà unis et forts ensemble. "Besoin d’une légende ?", écrit-il avec humour en légende du cliché, suivi des émojis bébé et biberon. Le message est clé. Comme le révèlent nos confrères du Parisien, le comédien est en couple depuis 11 ans, et est ainsi papa d’une petite fille.

Des photos de Gladiator 2

Vanity Fair a dévoilé en exclusivité les treize premières photos officielles de Gladiator 2 -ou plutôt, Gladiator II, car s’il y a un film dont le numéro de suite peut s’écrire en chiffres romains, c’est bien lui. Voici donc Paul Mescal en Lucius, le fils de Lucilla (Connie Nielsen), qui vit en paix en Numidie, éloigné de Rome et de ses intrigues par sa mère… Face à lui, sa némésis sera le général Acacius, joué par Pedro Pascal, "un très, très bon général, ce qui signifie que c’est un très, très bon tueur", d’après la star de The Mandalorian et The Last of Us. Ancien disciple de Maximus, Acacius ravage la Numidie au début du film à la tête d’un corps expéditionnaire romain. Une scène que Ridley Scott décrit pour Vanity Fair comme étant "plutôt horrible". Lucius, devenu prisonnier de guerre, est envoyé à Rome pour devenir gladiateur, et se retrouver en face d’Acacius… Visuellement, on se frotte les mains avec du sable, les armures des légionnaires sont désaturées, bref ça ressemble bien à du Gladiator -Ridley Scott retrouve d’ailleurs le chef op du premier film, John Mathieson, avec qui il n’avait pas travaillé depuis Robin des bois (2010).

En avril dernier, les premières images du film montrées au CinemaCon promettaient des scènes de folie avec des arènes remplies de requins et de babouins... Mescal avour à Vanity Fair s'être musclé pour le rôle sans vouloir devenir un sex symbol (trop tard) : "Je voulais simplement devenir grand et fort pour avoir l'air de quelqu'un qui pourrait cogner très dur quand tout part en couille", dit l'acteur de Normal People. "Je sais qu'en recherchant ce genre de look, le risque est de ne pas ressembler à un guerrier, mais à un mannequin pour sous-vêtements." 

Ce n’est pas tout : on découvre aussi grâce à Vanity Fair Macrinus (Denzel Washington), un marchand d’armes qui possède une équipe de gladiateurs "comme s’il avait une écurie de chevaux de course", rigole Scott. Ultime bonus : les premières photos de Joseph Quinn (vu dans Stranger Things, actuellement à l’affiche de Sans un bruit : Jour Un et future Torche humaine des Quatre fantastiques, également avec Pedro Pascal), l’empereur Caracalla, dirigeant d’une Rome décadente et corrompue avec son frangin Geta (Fred Hechinger, Quinn dans The White Lotus).

Donc, avec tout ça, "are you not entertained ?" On veut surtout bien être entertained devant la bande-annonce, qui devrait être mise en ligne le 9 juillet. Et le film sort en France le 13 novembre prochain.

La Reine des damnés : après avoir vu ce film de vampires plus de 100 fois, ce jeune homme a commis l'irréparable

Attention : cet article est à réserver à un public averti en raison de passages choquants.

Sorti en salles en 2002, La Reine des damnés est surtout connu pour le destin tragique de son actrice principale, la chanteuse de R'n'B Aaliyah, morte dans un accident d'avion. Mais ce que l'on sait moins, c'est que le film de vampire adapté de l'oeuvre d'Anne Rice a également donné lieu à un sordide fait divers.

En 2003, Allan Menzies, un Écossais de 23 ans, est ainsi traduit en justice pour le meurtre de son meilleur ami, poignardé à 42 reprises, relate The Guardian. Devant la cour, le jeune homme, qui plaide la folie, déclare avoir commis ce crime après que le personnage d'Akasha dans La Reine des damnés (joué par Aaliyah) lui ait intimé l'ordre de tuer afin qu'il devienne un vampire et accède à l'immortalité.

"A la fin de la journée, je savais que je devais tuer quelqu'un...", déclare Allan Menzies, obsédé par le film La Reine des damnés qu'il a visionné plus de 100 fois. "Si je ne tuais pas quelqu'un, je ne pouvais pas devenir un vampire."

Selon Allan Menzies, l'un de ces criminels qui se seraient inspirés de films ou de séries pour commettre leurs actes, c'est une remarque insultante de son meilleur ami à propos du film qui l'aurait fait "craquer". Après avoir frappé ce dernier à la tête de plusieurs coups de marteau, il le poignarde, boit une partie de son sang, mange des bouts de son crâne et enterre son corps, qui sera retrouvé quelques jours plus tard.

Allan Menzies, condamné à perpétuité avec une peine de sûreté de 18 ans, a été retrouvé mort dans sa cellule en 2003.

Cobra Kai : bande-annonce de la saison 6

Clap de fin pour Cobra Kai sur Netflix. Pour cette saison finale, la plateforme voit les choses en grand en découpant ce dernier chapitre en trois parties. La première débarque dès cet été avec cinq épisodes le 18 juillet prochain.

L'intrigue de la série se déroule plus de 30 ans après les événements du film Karate Kid qui donnaient lieu au tournoi All Valley de 1984. Cette suite retrouve le personnage de Johnny qui cherche la rédemption, rouvre le dojo Cobra Kai et relance sa rivalité avec Daniel.

La saison 6 commence après l'élimination de Cobra Kai du tournoi alors que les élèves et les senseis doivent décider s'ils participeront au championnat du monde de karaté, Sekai Taikai.

Porté par l'important succès de la série, Netflix compte beaucoup sur cette ultime saison - ce qui explique leur choix de diviser sa sortie en trois. La partie 2 est d'ores et déjà attendue pour le 28 novembre prochain. Quant à la partie, la dernière, elle est prévue pour 2025.

Patrice Laffont : pourquoi il refuse de témoigner dans les documentaires en hommage à Louis de Funès

Patrice Laffont n'a pas toujours été un célèbre animateur télé. Bien avant d'être le mythique présentateur Des chiffres et des lettres, Dessinez, c'est gagné !, Fort Boyard, ou encore Pyramide, le père d'Axelle Laffont a fait ses débuts en tant qu'acteur au théâtre et au cinéma. C'est en 1964 qu'il déroche le gros lot en jouant dans Le Gendarme de Saint-Tropez dans lequel il incarne le fiancé de la fille du personnage de Ludovic Cruchot, interprété par Louis de Funès. Un comédien qu'il ne porte pas dans son coeur puisque leur collaboration s'est très mal passée. Alors que le vendredi 12 juillet, M6 rediffuse la mythique comédie, réalisée par Jean Girault avec notamment Michel Galabru et Jean Lefebvre, le présentateur de 84 ans s'est confié dans les colonnes de Télé Poche sur cette expérience qu'il n'oubliera jamais.

"Louis de Funès était avec son inséparable épouse Jeanne qui nous a snobés complètement, a-t-il expliqué. Très vite, on a compris qu'il ne pouvait pas nous saquer, car il nous prenait pour des petits cons qui ne semblaient pas vouloir embrasser ce métier sérieusement. Son grand truc, c'était de nous seriner : 'Vous n'êtes pas professionnels !' Il faut dire que, sitôt qu'on entendait 'Coupez !', on décampait du plateau pour filer à la plage. Ça le rendait fou ! Il savait aussi qu'on avait piqué des voitures de la production et qu'on les avait pliées..."

Alors âgé de 25 ans à l'époque, Patrice Laffont n'avait donc pas donné une très bonne image de lui à Louis de Funès envers lequel il garde une certaine rancoeur. Au point de refuser catégoriquement de témoigner lorsqu'il est sollicité dans le cadre d'un documentaire sur le comédien. "De Funès avait beaucoup de talent, mais, allez savoir pourquoi, il ne m'a jamais fait rire. Peut-être est-ce dû à son hostilité sur Le Gendarme... D'ailleurs, quand on fait un doc sur lui et qu'on me demande de témoigner, j'ai tendance à refuser, car je n'en dirais que du mal. Il n'est vraiment pas un bon souvenir pour moi", a-t-il assuré. Au lieu de ternir l'image de celui qui est admiré par tant de Français, Patrice Laffont ne préfère rien dire pour peut-être continuer à faire rêver les gens.

28 juin 2024

Dany Boon très secret au sujet de ses finances

Dany Boon compte parmi les acteurs et réalisateurs les plus marqués par le succès en France. Après les records obtenus avec Bienvenue chez les Ch'tis, l'acteur n'a cessé de continuer à séduire le public français. Et s'il est très exposé médiatiquement, Dany Boon n'a pas grandi dans un univers artistique. Malgré cela, il peut compter sur sa mère pour suivre son évolution de près. D'ailleurs, Dany Boon veille toujours à ce que sa mère porte un regard positif sur ses projets. Il y a ainsi un type de sujet qu'il n'abordera jamais dans ses films afin de ne pas la heurter. Comme il l'avait confié au Parisien en septembre 2023, Dany Boon ne veut pas s'exposer dans des scènes intimes sur grand écran : "Ça touche à l’intime. Mais ma mère ne veut pas. Je respecte sa pudeur".

Leur relation est très fusionnelle. Pourtant, elle aurait pu être ébréchée par des remarques de sa mère sur son physique, comme les téléspectateurs le découvraient dans les extraits d'une ancienne interview de Mireille Dumas, diffusée sur France 3 au mois de septembre 2023. Le comédien y confie les mots durs prononcés par sa mère au sujet de ses oreilles. "Elle m'a mis un élastique quand j'étais gosse, quand j'étais bébé. Elle me le disait tout le temps. Elle m'a créé le complexe de mes oreilles décollées. Elle me disait : 'Tu es beau mais c'est dommage. On aurait de l'argent, on te ferait opérer. Tu es tellement beau... sauf ça. J'ai tout réussi, sauf ça'. Elle m'a mis ça dans la tête".

Si les oreilles de Dany Boon ne semblent plus être au centre de leurs conversations, il y a un sujet que l'acteur préfère toujours éviter avec sa mère : l'argent. Face au succès, Dany Boon veille à ne pas exposer ses revenus ni en public, ni en privé. "Je n’en parle pas. Même encore aujourd'hui, ma mère ne sait pas combien je gagne", a assuré Dany Boon au micro de l'émission de Bernard Montiel, Une heure avec sur RFM, dans un extrait publié en avant-première par Gala. Le comédien estime que ce sujet n'est pas fait pour le rendre heureux. Il peut même être source de complications... "Ce n'est pas ça qui rend heureux en plus. Au contraire, c'est très compliqué." Une façon de continuer à se concentrer sur son essentiel : la famille.

Brigitte Bardot sans filtre sur sa solitude

"Ma vie est une énigme. Imprévisible, pleine de hauts et de bas. Je l'accepte et l'assume." Ces mots de Brigitte Bardot viennent du magazine Paris Match, qui lui a consacré un hors-série Bardot, l’album privé d’une icône, sorti ce vendredi 28 juin. Dedans, l’icône du cinéma français, âgée de 89 ans, s’est confiée dans un long entretien sur sa vie, ses amours, sa carrière, son combat pour les animaux, mais aussi les moments plus difficiles, notamment quand elle a choisi de tirer un trait sur le septième art.

Entre sa décision d’arrêter de tourner et la création de sa fondation, plusieurs années sont écoulées. Des années difficiles et sources d’une grande solitude, comme celle qui a sorti un album récemment l’a révélé à Christian Brincourt, son ami depuis des années. "J'ai passé quelques années sombres et dures. Seule, j'ai assumé un cancer du sein, des anniversaires moroses, des Noëls en pleurs…", a confié celle qui ne voit que très rarement ses arrière-petits-enfants, dévoilant même une anecdote, qui montre son mal-être de l’époque : "Je me souviens même d'avoir proposé à une 'amie' de l'argent pour qu'elle vienne me tenir compagnie à Basoche. Je n'en pouvais plus. Et puis j'ai rencontré Bernard [d'Ormale, avec qui elle s’est mariée en 1992]."

Devenue icône du cinéma français après son apparition dans Dieu… créa la femme en 1956, Brigitte Bardot a décidé de quitter le septième art en 1973. Son dernier film restera L'Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise de Nina Companeez. Après, lassée par ce monde, elle s’est retirée. De ce moment-là, elle n’a pas mâché ses mots auprès de son ami : "Je suis arrivée dans le cinéma au bon moment en balayant tous les interdits et je l'ai quitté au bon moment lorsqu'il s'est cassé la gueule pour devenir minable." Tout juste a-t-elle accepté de se livrer sur la façon dont elle se voyait à l’écran durant cette période : "C’est loin tout ça ! Même si je n'étais pas une actrice dans l'âme, j'étais quand même une bonne actrice, car je vivais intensément ce que j'interprétais", a-t-elle raconté. Idolâtrée dans le monde entier, Brigitte Bardot a révélé que, si cela l’honorait, cela ne lui rend "pas la joie de vivre lorsqu’[elle est ]triste". Celle qui a connu une santé fragile ces derniers mois n’a, au moins, pas perdu son franc-parler !

Diane Leyre monte au créneau après une critique sur sa diction

Les aléas de la célébrité. Depuis qu'elle est devenue Miss France 2022, Diane Leyre prend conscience qu'elle peut se faire attaquer tout le temps par les internautes. Dans les colonnes de Paris Match, au mois de décembre 2022, la jeune femme expliquait qu'elle faisait attention à la moindre critique la concernant. "Je regarde tout. Les 'T’es moche', 't'es nulle', ça m’oblige à prendre du recul", avait confié l'ancienne protégée de Sylvie Tellier. Malheureusement, des critiques, l'ancienne meilleure amie de la YouTubeuse MyBetterSelf en a longtemps fait les frais lorsqu'elle était enfant.

"Trop grande, trop maigre, j’étais complexée. Et j’ai tout entendu : 'planche à pain', 'visage écrasé' 'tête de pizza', "tu t’es pris une poêle dans la gueule" ! Mes amies avaient des petits copains, moi, j’étais le clown de l’école, la bonne copine", a-t-elle ajouté. Aujourd'hui, Diane Leyre ne semble plus vouloir se laisser faire, raison pour laquelle elle n'hésite pas à remettre les internautes à leur place dès que possible.

Peu de temps après son sacre, Diane Leyre s'était confiée sur son léger problème de prononciation. "J’ai un ’ch’ dans la voix, vous allez vite vous en rendre compte", avait-elle expliqué à ses abonnés sur Instagram. Un défaut de diction qu'elle essaye de corriger, mais qui revient lorsqu'elle est fatiguée. Et justement, ce jeudi 27 juin, la jolie brune est montée au créneau après une remarque désobligeante au sujet de sa diction. C'est sous une vidéo publicitaire pour une marque de spiritueux qu'une internaute s'en est pris à l'ancienne reine de beauté. "Et toujours avec mon cheveux sur la langue. Buvez du Zin Zermain Zpritz", a écrit une certaine Isabelle, le tout agrémenté d'émoji tombant à la renverse.

Suite à ce commentaire déplacé, la grande amie d'Iris Mittenaere lui a répondu non sans ironie. "Bah Isabelle, ça, c'est vraiment pas gentil, vraiment", a-t-elle commencé. "Oui, de temps en temps, il m'arrive d'avoir un chuintement et non pas un zozotement, d'ailleurs. Je chuinte, ma langue se place mal, souvent quand je suis fatiguée, mais ce n'est pas gentil de le faire remarquer Isa, si tu as mal dormi, ce n'est pas mon problème", a-t-elle terminé. Le sens de la répartie.

Pierre Niney prêt à partir pour Hollywood ? Sa réponse sans équivoque

A l'affiche du film intitulé Le Comte de Monte Cristo, Pierre Niney continue de mener une carrière tambour battant dans le septième art. Acteur, producteur, réalisateur, ce passionné de cinéma semble s'épanouir année après année sur le grand écran. Bénéficiant désormais d'une notoriété à travers la France, Pierre Niney se voit proposer de multiples projets, mais l'acteur demeure très exigeant quant aux rôles qu'il accepte d'incarner. "Il faut trouver une bonne histoire. En fait, ce n'est pas si courant les bons scénarios avec une bonne histoire. Et puis une carrière se fait aussi sur des refus, donc il faut faire attention à ne pas tout accepter, à ne pas saouler les gens, à ne pas se saouler soi-même, entretenir du désir pour ce métier donc j'essaie de dire oui aux histoires qui m'emballent le plus", a confié Pierre Niney dans les colonnes de Télé-Loisirs.

Les équipes qui travaillent sur un projet jouent aussi dans la capacité de Pierre Niney à accepter de s'engager sur un tournage. "Et puis après, il y a ce qu'il y a autour du film, la famille qui se constitue autour : qui va le réaliser, qui va jouer dedans, qui va le produire", admet l'acteur.

Si sa carrière dans l'hexagone est florissante, l'acteur serait-il tenté de tenter sa chance à Hollywood, à l'instar d'Omar Sy ou encore Jean Dujardin ? "Je suis très chauvin, moi (Il rit) ! C'est juste que j'ai beaucoup de chance ici, car on m'offre des rôles vraiment superbes et très variés. Je pense qu'aujourd'hui, on a la plus belle industrie de films au monde", reconnaît Pierre Niney.

Mais l'acteur âgé de 35 ans ne dit pas "non" à une carrière outre-Atlantique : "Maintenant, il y a des talents passionnants aux États-Unis aussi. Il m'est arrivé de refuser des choses parce que je ne trouvais pas les rôles aussi intéressants que ce que l'on me propose en France, mais je suis toujours aux aguets, j'ai un agent là-bas, et s'il y a le bon projet, j'irais bien sûr."

Virginie Efira n’a plus le même rapport à l’alcool depuis la naissance de bébé

Elle s’est accordée une petite pause bien méritée cette année pour pouponner le petit Hiro, fruit de ses amours avec l’acteur de 37 ans, Niels Schneider. Maman d’un bébé, Virginie Efira reconnait qu’elle a lâché quelques mauvaises (bonnes ?) habitudes avec l’âge. À 47 ans, la Belge, qui avoue avoir toujours été bonne vivante, a freiné sur sa consommation d’alcool.

Elle s’en explique dans les colonnes de « Marie-Claire« , qui sort cette semaine son numéro d’été. Elle avoue bien volontiers en riant qu’elle a une bonne descente, question cocktails. Cependant, elle assure que désormais, elle est un peu moins permissive sur cette question…

Virginie Efira révèle en effet : « pour être tout à fait franche, j’ai un rapport à l’alcool qui est devenu très chiant ». Et d’ajouter : « Pendant longtemps, j’aimais bien l’effet du lendemain, la gueule de bois. Aujourd’hui, je suis plus ‘control freak' ».

Tandis qu’elle est en passe de prendre des quartiers d’été à Saint-Maur-des-Fossés où elle a ses habitudes depuis 10 ans, Virginie Efira avoue : « l’été, je ne me dis pas : ‘Allez, c’est permis, après les jus de légumes, un petit shot de vodka !' »

L’actrice belge n’est pas pour autant prête à devenir une de ces actrices américaines qui obéit au « culte de la minceur, du corps jeune et dynamique qui ne va pas sans une pratique du sport, un sommeil profond, le fait de manger des brocolis« . Elle assume : « il y a quelque chose qui me stresse dans ce truc-là ».

Et pour cause, Virginie Efira reconnaît qu’elle n’a jamais réussi à atteindre « ce niveau d’autodiscipline ». Bonne vivante, elle reconnait : « Souvent, j’ouvre les vannes, c’est joyeux, mais pas sur du long terme. Sans limite, on devient une espèce de chose avec trop de gravité. C’est une petite balance à trouver ».