05 avril 2024

Stromae visé par une arnaque : une photo du chanteur le visage tuméfié inquiète ses fans

Stromae est une star internationale et son talent attire les foules. Depuis son retour en musique avec l'album Multitude, en 2022, il a prouvé qu'il avait sa place parmi les artistes qui ont marqué le 21e siècle. Peu de temps après la sortie de l'opus, le Belge avait annoncé une tournée, intitulée Multitude Tour, pour retrouver ses auditeurs après une longue absence pour se concentrer sur sa santé mentale. Mais en mai 2023, Stromae arrêtait définitivement sa tournée.*

"Il y a quelques mois, j'ai ressenti une dégradation de mon état de santé qui m'a conduit à renoncer à quelques premières dates en France, puis en Europe. [...] Malheureusement, je dois aujourd'hui accepter que ce temps de repos et de rémission sera plus long que je ne l'imaginais", avait-il expliqué à ses admirateurs dans un communiqué publié sur son compte Instagram mardi 9 mai 2023.

Désormais, chaque affaire qui évoque le chanteur est épiée par ses admirateurs. Et la dernière en date n'y a pas fait exception. Selon le média belge La DH Les Sports+, une photographie de Stromae avec une coupure sur le nez et le menton, les lèvres très abîmées et un coquard à l'œil gauche, comme si le chanteur s'était battu, a été diffusée sur les réseaux sociaux.

À la manière d'un média tout à fait sérieux, l'image est titrée : "Stromae : la Belgique est sous le choc". Cependant, cette publication est une arnaque totale et l'information est complètement erronée. L'image a été modifiée dans l'objectif de faire réagir ses admirateurs et provoquer un énorme phénomène de bouche-à-oreille qui provoque de nombreuses vues. En cliquant sur la publication, les internautes ont l'occasion de visionner une fausse interview créée à l'aide de l'intelligence artificielle, qui vante l'argent facile que l'on peut se procurer par le biais d'un jeu en ligne.

Stromae n'est pas la seule victime de ce type d'usurpation d'identité. Mercredi 6 mars 2024, la journaliste, Elise Lucet, mettait en garde ses abonnés sur X : "Attention arnaque : une campagne coordonnée de posts malveillants utilise mon image pour véhiculer des contenus complètement faux. Certains d'entre eux renvoient vers des sites frauduleux, faisant notamment la promotion de sites de cryptomonnaies", prévenait-elle afin que le plus d'individus possibles ne tombent pas dans le panneau.

Camille Combal : cette maladie handicapante pour laquelle il attend un donneur compatible

À42 ans, Camille Combal est devenu l'un des visages incontournables de TF1. A la tête de l'animation de programmes tels que Mask Singer, Danse avec les stars ou encore Une famille en or, l’animateur semble s'épanouir sur la Une. Côté coeur, tout va aussi pour le mieux pour Camille Combal. En mai 2022, Marie Treille Stefani et Camille Combal accueillaient leur premier enfant : un petit garçon prénommé Pio. Mais voilà, il demeure une ombre au tableau. Camille Combal, depuis sa naissance, souffre d'une maladie génétique. En 2015, l'animateur avait révélé avoir subi une greffe de cornée : "C'est une maladie génétique, que j'ai de naissance, qui peut être assez courante, qu'il n'était pas du tout possible de traiter avant. Aujourd'hui, ils y arrivent avec les greffes de la cornée.", avait-il révélé auprès de nos confrères du Parisien.

Alors qu'il attend une nouvelle greffe, l'animateur doit se comporter de manière exemplaire afin de ne pas perdre sa place dans la liste des demandeurs d'organes : "Il y a une charte quand on reçoit un organe de quelqu’un. Moi, ce sont les yeux, eh bien, je ne dois pas faire de plongée, je ne dois pas me battre avec quelqu'un dans la rue, etc. (...) J'ai l'autre œil à greffer. Mes deux yeux sont atteints donc il faut que je fasse le deuxième".

En septembre dernier, Camille Combal s'était de nouveau confié au sujet de sa maladie, et plus précisément sur la deuxième greffe pour laquelle il attend toujours. "J’ai subi une greffe de cornée et j’en attends une autre pour l’œil droit. C’est quelque chose de très important. (…) Une fois qu’on se met sur la liste des greffes, on a plus qu’à attendre. Dès qu’il y aura un donneur compatible, j’irai au bloc", avait-il expliqué à Eric Dussart sur les ondes de RTL.

En tant qu'animateur, il est confronté à de grandes sources de lumière auxquelles il doit prêter attention. En effet, ses yeux ne sont pas aussi robustes qu'il le voudrait : "Ça gêne au niveau de la photophobie. Quand j’avais subi ma greffe, j’étais en pleine saison de TPMP. (…) Je devais porter des lunettes fumées pendant un an à la télé à cause de la photophobie.", s'est-il remémoré. 

Denis Villeneuve va adapter un livre choc sur la guerre nucléaire

Vu le succès de Dune 2, Denis Villeneuve est tendance en ce moment à Hollywood. Après les éloges de Steven Spielberg, le cinéaste canadien peut tout faire. Alors quel sera son projet suivant ? Après Dune 3, que fera Denis Villeneuve ?

Selon Deadline, il serait partant pour réaliser l'adaptation cinématographique de Nuclear War: A Scenario. Legendary Entertainment a récemment acquis les droits du roman d'Annie Jacobsen (sorti le 26 mars 2024 aux USA). Quand le metteur en scène aura bouclé Dune : Messiah - actuellement en cours de développement - il devrait s'attaquer à ce projet plus politique et moins SF.

L'histoire du livre raconte ce qui se passerait en cas de guerre nucléaire, sur la base d'entretiens exclusifs avec "des experts militaires et civils qui ont construit les armes et sont au courant des plans de réponse nucléaires. Ils ont été responsables de ces décisions". Autant dire une vision de la fin du monde qui risque de faire froid dans le dos.

Il faut noter qu'au-delà de Dune: Messiah, Denis Villeneuve a aussi été associé à une adaptation du roman de science-fiction d'Arthur C. Clarke Rendez-vous avec Rama (1973) et la rumeur suggère qu'il serait intéressé par le remake du péplum Cléopâtre. Il ne pourra pas tout faire.

Rodrigo Sorogoyen sera le Président de la Semaine de la critique de Cannes 2024

A quelques jours de la conférence de presse où Thierry Frémaux dévoilera jeudi prochain les films en sélection, les grosses annonces cannoises commencent à tomber. Alors qu’on a déjà appris cette semaine que le nouveau film de Quentin Dupieux, Le deuxième acte, ouvrirait le Festival le 15 mai prochain, on découvre ce vendredi que Rodrigo Sorogoyen sera le Président de la 63e Semaine de la Critique.

Dans un message vidéo, le réalisateur espagnol se réjouit de sa nomination soulignant l’importance de cette section parallèle réservée aux premiers et seconds longs-métrages. "C’est une grand responsabilité que j’attends avec impatience (…) La Semaine de la Critique soutient d’une manière essentielle et très importantes le cinéma, les nouvelles façons de le raconter et les nouvelles voix qui font vivre le cinéma."

Sorogoyen était déjà présent en 2022 sur la Croisette pour présenter son dernier film, As Bestas, à Cannes Première. Son absence de la compétition avait été très commentée. Mais il est donc de retour à Cannes, succédant à Audrey Diwan, qui présidait la Semaine en 2023 et avait notamment récompensé Tiger Stripes. Pour rappel, la réalisatrice américaine Greta Gerwig sera elle la présidente du Jury de la compétition de Cannes 2024.

En quelques années, Rodrigo Sorogoyen s’est imposé comme un des réalisateurs européens les plus importants de sa génération. D’abord avec Que Dios nos perdone et El Reino, puis avec deux films co-produits en France : Madre et donc As Bestas, qui mettait en scène un couple de français (Marina Foïs et Denis Menochet) installé dans un village en Galice. Une oeuvre majeure qui a tout raflé lors des Goyas 2023 et remporté le César du meilleur film étranger.

Bande-annonce de Loups-Garous, avec Franck Dubosc et Jean Reno

Le jeu qui a rythmé des milliers de soirées endiablées va bientôt enflammer Netflix. Réalisée par François Uzan (Lupin, On sourit pour la photo), Loups-Garous est la comédie familiale sur laquelle mise la plateforme pour l'automne prochain.

Après une affiche teaser et une photo officielle, le géant du streaming dévoile désormais la première bande-annonce. Au programme : voyage dans le temps, répliques qui font mouche et un Franck Dubosc en grande forme.

Impossible de ne pas y voir un clin d'œil aux Visiteurs et c'est normal. Au-delà de la présence de Jean Reno au casting, l'intrigue de cette adaptation voit une famille contemporaine revenir au Moyen-Âge pour atterrir dans un village touché par de troublantes disparitions.

Chaque nuit, des loups-garous tuent des villageois. La tribu n'a d'autre choix que de trouver le ou les coupables.

Le bande-annonce ne trompe personne : le ton de cette adaptation sera familial. Netflix fait le choix de garder le secret sur le design des loups-garous en ne révélant qu'un bref aperçu en fin de bande-annonce.

Aux côtés de Franck Dubosc et Jean Reno, on retrouve Suzanne Clément, Jonathan Lambert, Grégory Fitoussi et Lisa Do Couto Texeira, ainsi qu'Alizée Caugnies et Raphaël Romand dans les rôles des enfants.

En juin dernier, AlloCiné était en visite sur le tournage du film à Prague. Dans un village médiéval totalement reconstitué dans les moindres détails, le metteur en scène François Uzan - qui affirmait réaliser un rêve - citait ses inspirations pour cette comédie explosive : Jumanji, Les Visiteurs, Les Goonies.

De quoi présager quelques - bonnes ? - surprises.

Loups-Garous, disponible en octobre prochain sur Netflix.

La Revanche d'une blonde va devenir une série pour Prime Video

C'est l'une des comédies les plus populaires des années 2000 et elle a récolté 141,7 millions de dollars au box-office mondial pour un budget initial de 18 millions de dollars. Outre son succès public, ce long-métrage a acquis au fil des années le statut de film culte.

Avec sa pléiade de stars, ses répliques mordantes, ses costumes roses bonbon et sa bande originale, La Revanche d'une blonde a su totalement imprégner la culture populaire et les réseaux sociaux grâce à la performance de Reese Witherspoon en Elle Woods.

Et si vous portez ce film - devenu une franchise avec deux suites - dans votre cœur, sachez qu'une série qui se déroule dans l'univers de La Revanche d'une blonde est en préparation pour Prime Video. Selon Variety, ce projet est produit par Reese Witherspoon avec sa société de production Hello Sunshine (The Morning Show, Daisy Jones & The Six).

L'actrice produit la série avec Josh Schwartz et Stephanie Savage, créateurs de Gossip Girl et Newport Beach, qui feront également office de scénaristes. Pour le moment, aucune information sur le synopsis ni le casting n'a été dévoilée. On ne sait pas encore si Reese Witherspoon fera une apparition en tant qu'Elle Woods dans la série.

Alors que Reese Witherspoon imaginait un nouveau long-métrage La Revanche d'une blonde, c'est finalement une série qui est en préparation. Ce projet s'inscrit dans la stratégie de remakes de films culte chez Amazon.

Pour rappel, La Revanche d'une blonde raconte l'histoire d'Elle Woods, une élève surdouée que son entourage sous-estime à cause de son look de blonde parfaite passionnée de mode. Quand son petit ami Warner la largue parce qu'il pense qu'elle est écervelée, narcissique et débile, Elle compte bien prouver ses capacités en s'inscrivant en en droit à Harvard pour faire la conquête de la plus prestigieuse université américaine.

Au reste du casting de La Revanche d'une blonde, réalisé par Robert Luketic et sorti en 2001, on retrouvait Luke Wilson (La Famille Tenenbaum), Selma Blair (Sexe Intentions), Jennifer Coolidge (American Pie, The White Lotus), Holland Taylor (The Morning Show) et Ali Larter (Heroes).

Nils Tavernier accusé de viols : deux femmes ont déposé plainte contre le réalisateur

Le mouvement #MeToo continue de révéler des affaires troublantes dans le monde du cinéma français. Alors que Judith Godrèche a (re)lancé le mouvement en brisant le silence, accusant Benoit Jacquot et Jacques Doillon, cette fois c'est Nils Tavernier, 59 ans, qui se trouve au cœur d'allégations sérieuses, portées par deux femmes déterminées à briser le silence et relayées par le journal Le Nouvel Obs.

La première accusatrice, Jennifer Covillault Miramont, relate des faits qui se seraient produits en 1991, quand elle n'avait que 12 ans et partageait l'affiche avec Nils Tavernier dans un téléfilm. Elle décrit une série de comportements déplacés. D'abord sur le tournage, au cours duquel Nils Tavernier se disait "amoureux" de la jeune actrice, et pendant lequel il l'aurait embrassé. Puis vient un jour de 1992, où elle se rend chez le fils de Bertrand Tavernier pour "discuter d'un scénario". Jennifer Covillault Miramont dit alors avoir été victime de violences sexuelles, dont une pénétration digitale : "J’étais tétanisée. Comme il a vu que je ne réagissais pas, il s’est mis à genoux, a sorti son sexe en érection. Je n’en avais jamais vu. J’ai dit “non”, à deux reprises. Il a insisté : “Tu peux pas me laisser comme ça”, m’a pris la main pour le masturber. Sa bouche était près de mon oreille, j’entendais ses râles."

La deuxième histoire, celle de Laura Lardeux, nous transporte en 2012. Nils Tavernier, alors reconnu comme réalisateur et qui travaille sur De toutes nos forces, est accusé d'avoir abusé de sa position pour manipuler et agresser Laura, qui aspirait à travailler dans le cinéma. Il offre à la jeune femme un rôle dans son film, et lui aurait fait de nombreuses avances. Un soir, Laura Lardeux se "laisse faire", par peur de ne plus pouvoir travailler dans le cinéma. "J’ai dit “non” plusieurs fois. J’ai fini par laisser faire, j’ai fermé les yeux. Après la pénétration, il m’a dit de partir, pour ne pas qu’on nous voie", raconte-t-elle à nos confrères

Nils Tavernier nie les faits, se disant "abasourdi". Deux plaintes ont été déposées, pour viol à chaque fois. Jennifer Covillault Miramont a porté plainte le 13 février en Normandie, Laura Lardeux en Rhône-Alpes, un mois plus tard. Les deux plaintes devraient être regroupées pour être traitées par le même parquet, précise Le Nouvel Obs.

Nouveautés Netflix du 5 au 11 avril

L’incontournable de la semaine

Anthracite - Le mystère de la secte des Ecrins (disponible le 10 avril) : En 1994, le suicide collectif d’une secte installée dans un petit village des Alpes défraye la chronique… 30 ans plus tard, le meurtre d’une femme assassinée selon les rituels de l’étrange communauté met à feu et à sang l’équilibre précaire retrouvé par les habitants.

Bouc émissaire idéal, Jaro Gatsi, un jeune délinquant venu à la montagne pour remettre sa vie sur les rails, se retrouve rapidement accusé du meurtre. Déterminé à prouver son innocence, il reçoit l’aide inattendue d’Ida, une geek excentrique et ultra-connectée qui est à la recherche de son père disparu…

Ils vont rapidement comprendre que leur implication dans cette affaire ne doit rien au hasard, et que les réponses qu’ils cherchent prennent racine dans les secrets de leur propre passé…

Hatik, Noémie Schmidt, Kad Merad et Camille Lou sont à l’affiche de cette mini-série de 6 épisodes.

Le vendredi 5 avril

Scoop : Inspiré d'événements réels, ce film révèle l'impressionnant travail journalistique qui a mené à l'interview fracassante du prince Andrew dans BBC Newsnight.

De la tension des négociations entre la productrice Sam McAlister et le palais de Buckingham jusqu'au bras de fer implacable et chirurgical d'Emily Maitlis avec le prince, "Scoop" nous emmène dans les coulisses de l'histoire, auprès de ces femmes prêtes à tout pour atteindre leur objectif.

Pour décrocher une interview de ce calibre, une seule règle : l'audace.

The Antisocial Network, mêmes à retardement : De la montée de QAnon aux émeutes du six janvier, ce documentaire explique comment un groupe d'adolescents désœuvrés et solitaires a créé une communauté en ligne qui a fini par anéantir la réalité consensuelle.

Parasyte - The Grey : Alors que des formes de vie parasitaires non identifiées qui subsistent aux dépens d'hôtes humains cherchent à accroître leur puissance et commencent à perturber la société, un groupe d'humains déclare la guerre à l'envahisseur.

L'histoire est inspirée du manga Parasyte de Hitoshi Iwaaki, dans lequel des parasites colonisent le cerveau des humains pour contrôler leur corps.

Le samedi 6 avril

One Piece : Arc egghead, un nouvel épisode disponible.

Le mercredi 10 avril

Les vérités de Jennifer : C'est un crime violent qui a ébranlé une paisible ville canadienne : de mystérieux intrus pénètrent dans la maison d'une famille originaire du Vietnam qu'ils terrorisent, et laissent pour seul témoin une jeune femme traumatisée.

Les voisins et les amis décrivent les Pan comme des personnes accueillantes, généreuses et travailleuses – qui peut leur en vouloir ?

Ce long métrage documentaire de la réalisatrice Jenny Popplewell (L'affaire Watts : chronique d'une tuerie familiale) utilise des séquences d'interrogatoires de la police et des témoignages des personnes impliquées pour démêler un écheveau complexe que personne n'avait prédit.

Rocketman (catalogue) : Rocketman nous raconte la vie hors du commun d’Elton John, depuis ses premiers succès jusqu’à sa consécration internationale. Taron Egerton y offre une prestation mémorable.

Le jeudi 11 avril

Les ailes de l’ambition saison 3 : Alors qu'un visage familier s'installe devant les caméras, d'anciennes alliances se brisent et de nouvelles relations se forment, changeant la donne au sein du journal télévisé.

Hartley cœur à vif saison 2 : C'est la rentrée, et nos héros sont de retour dans "le lycée aux pires résultats". Mais entre les élèves canon fraîchement débarqués, le nouveau prof d'EPS et un mystérieux agresseur, aucune chance de vivre un trimestre au calme.

Et pour ne rien arranger, la course au poste de délégué de classe donne lieu à de sombres calculs au lycée Hartley. Le trimestre s'annonce chaud bouillant !

C’est déjà disponible

Spy x family : Netflix vient d’ajouter à son catalogue cet anime particulièrement apprécié et noté 4,2/5.

Twilight, le plus grand espion du monde, doit pour sa nouvelle mission créer une famille de toutes pièces afin de pouvoir s'introduire dans la plus prestigieuse école de l'aristocratie.

Totalement dépourvu d'expérience familiale, il va adopter une petite fille en ignorant qu'elle est télépathe, et s'associer à une jeune femme timide, sans se douter qu'elle est une redoutable tueuse à gages. Ce trio atypique va devoir composer pour passer inaperçu, tout en découvrant les vraies valeurs d'une famille unie et aimante.

Mort de l'acteur Adrian Schiller à l'âge de 60 ans

C'est un drame de plus dans le monde du petit et du grand écran. L'acteur britannique Adrian Schiller n'est plus. Celui qui est connu pour avoir interprété le rôle d'Aethelhelm le Vieux dans la série The Last Kingdom, diffusée sur Netflix, est décédé à l'âge de 60 ans. La triste nouvelle a été annoncée ce jeudi 4 avril par son agence artistique. "Il est décédé beaucoup trop tôt et nous, sa famille et ses amis proches, sommes dévastés par cette perte. Sa mort a été soudaine et inattendue et aucun autre détail sur la cause n'est encore connu", a-t-elle déclaré, d'après les informations de CNews.

Ginny, la sœur de l'acteur, a ensuite confirmé la nouvelle sur la plateforme X (ex-Twitter). "Je suis vraiment désolée de vous annoncer que notre frère bien-aimé Adrian est décédé subitement à la maison hier. Il avait tellement d’amis très chers. Désolée pour ceux d’entre vous qui apprennent cela ici. Nous en dirons davantage sur les funérailles en temps voulu", a-t-elle déclaré.

Adrian Schiller a commencé sa carrière sur les planches, brillant dans le théâtre classique avant de se faire un nom à la télévision et au cinéma. Ses rôles dans Doctor Who et The Last Kingdom ont démontré sa capacité à naviguer entre différents genres, de la science-fiction au drame historique, avec une aisance remarquée par les professionnels du cinéma.

Il a également joué dans plusieurs films à succès comme Petits meurtres à l'anglaise (2010), Les Suffragettes (2015), Docteur Frankenstein (2015) ou encore La Belle et la Bête (2017). Côté vie familiale, Adrian Schiller laisse derrière lui sa compagne Milena, ainsi que son fils Gabriel.

Tokyo Vice sur Canal+ : la série de Michael Mann revient pour une saison 2

Ansel Elgort reprend du service : Tokyo Vice, librement inspirée par le récit autobiographique du journaliste américain Jake Adelstein sur son expérience au sein du plus grand quotidien japonais, le Meicho Shimbun, et sa collaboration avec la police de Tokyo, fait son retour ce soir à 21h10 sur Canal+ et MyCanal.

Créée et écrite par le lauréat d'un Tony Award (récompense théâtrale américaine), J.T. Rogers, qui signe les dix épisodes de cette deuxième saison, Tokyo Vice a été tournée en décors naturels dans la capitale japonaise. Michael Mann n'a pas réalisé d'épisode contrairement au pilote de la saison 1, mais il reste producteur de la série.

La saison 1 de Tokyo Vice explore la vie de Jake, un jeune journaliste américain débutant à Tokyo, confronté à des défis systémiques alors qu'il tente de faire un vrai reportage. Il découvre alors l'empire sombre et dangereux des yakuzas, régi par ses propres lois et principes et épargné par le système judiciaire japonais.

En plus d'être un thriller policier, Tokyo Vice est aussi l'histoire d'un jeune homme qui se découvre dans un monde inconnu et qui pense naïvement pouvoir jouer au justicier avec sa plume. Mais au fur et à mesure, son idéalisme déchante.

S'appuyant sur les bases posées dans la saison 1, la saison 2 de Tokyo Vice suit les enquêtes en cours de Jake Adelstein sur le monde criminel des yakuzas. Au fur et à mesure qu'il avance dans ses recherches, il découvre que le danger le guette à chaque coin de rue, mettant en péril sa vie et celle de ses proches.

"Jake est un très mauvais garçon..."

C'est ainsi que Ken Watanabe, qui incarne le détective Hiroto Katagiri, décrit les actions de Jake Adelstein (Ansel Elgort) dans les colonnes de Variety pour le lancement de la saison 2. Elle reprend là où la première s'est achevée et replonge les téléspectateurs dans les rues éclairées aux néons des bas-fonds de Tokyo.