01 avril 2024

Hilona Gos a accouché de son premier enfant : elle dévoile le visage de son fils Jean-Joseph

Depuis plusieurs mois déjà, Hilona Gos nage dans le bonheur. Depuis qu'elle s'est remise en couple avec Paul-André, l'influenceuse a pu réaliser son rêve : tomber enceinte. Une belle nouvelle qui vient chambouler sa vie. Le 1er octobre 2023, dans une touchante vidéo, Hilona Gos dévoilait sa grossesse aux internautes, levant aussi le voile sur le surnom de son bébé : Poulpi. Malgré le stress et quelques douleurs, le bébé d'Hilona semblait se porter en parfaite santé.

Un premier enfant qui sera un petit garçon et dont le prénom a été dévoilé dans une vidéo sur Youtube. Comme le veut la tradition corse, l'île de Beauté où le couple habite, c'est un nom composé que portera leur garçon. "Dans ma famille et dans la famille de la plupart des Corses, on doit souvent s'appeler comme son grand-père, donc il aura le même prénom que mon père", a expliqué Paul-André. Le bébé se prénommera Jean-Joseph, un choix critiqué par les internautes....

Hilona Gos, qui avait révélé que son fils serait le portrait cracher de Paul-André peut enfin se prononcer à ce sujet. En effet, après deux jours d'absence sur les réseaux sociaux, l'influenceuse a fait un retour triomphal sur Instagram. Elle a annoncé, en photo, la naissance de Jean-Joseph. En publication, elle indique la date de naissance du petit prince. "Le 28 mars 2024 à 21h20 Jean-Joseph est né avec quasiment 1 mois d’avance et déjà 3.035kg. Il est en pleine forme et il est trop beau notre Poulpidou, en tout cas, on espère ne pas se voiler la face", s'amuse-t-elle. Pleine de joie, elle ajoute : "Cette nouvelle vie à 3 va être un rêve ! Trop heureuse de la partager avec vous". Dans un carrousel de photos et vidéos en noir en blanc, le couple n'a pas hésité à dévoiler le visage de leur enfant. Ils y apparaissent heureux et entourés des membres de leur famille, "des proches incroyables qui m’attendaient à la sortie de l’accouchement avec du jambon cru et du fromage", se félicite Hilona Gos. 

Giuseppa Ciurleo pousse un coup de gueule suite à des commentaires « à vomir » sous sa dernière photo

En janvier dernier, Giuseppa Ciurleo avait réagi au commentaire d'une abonnée sur Instagram qui l'avait poussée à une prise de conscience intéressante. En effet, cette internaute lui faisait savoir qu'il était dommage qu'elle s'exprime de moins en moins sur ses états d'âme en story. Et la maman de Giorgia d'expliquer : "Franchement, ce message m'a fait réaliser que depuis quelque temps je n'arrive plus à me filmer autant qu'avant car en y réfléchissant j'ai fait un déni sur le fait que j'ai été grave touchée par les bandes de foutus haters qui nous rabaissent à longueur de journée". Elle a alors avoué que ce message lui avait fait "prendre conscience" qu'elle a "toujours été spontanée et naturelle sur les réseaux, jamais dans le calcul du bon ou du mauvais" mais qu'à cause "des mauvaises langues", elle se contrôle de plus en plus. "Mais franchement, je n'ai plus envie alors, merci à toi de m'avoir écrit ce message !", avait conclu Giuseppa.

Puis, ce samedi 30 mars, la jeune femme a posté un cliché à Ajaccio avec sa fille. Elle arborait un look plutôt coloré avec une jolie jupe rose et a demandé à ses abonnés s'ils aimaient ou non les tenues colorées. "Depuis que le printemps est arrivé, je suis trop heureuse de porter de la couleur ! J’aime tellement les looks colorés et vous ? Vous êtes plutôt couleurs ou pas trop ?", pouvait-on lire en légende de ses deux clichés. Alors qu'elle n'avait posé la question seulement concernant les couleurs, Giuseppa a eu le droit à de nombreux commentaires sur son look que plusieurs internautes n'ont pas apprécié. "J'aime bien ces couleurs ensemble mais le style, moyen...", "Moi... je t'adore Giu... mais là, ça ne ressemble à rien. Ça ne va pas du tout (…) le style c est beurk", "C'est quoi ces fringues faut pas pousser quand même", lui ont écrit des utilisateurs d'Instagram.

Et d'autres de renchérir : "C'est quoi cette dégaine !!!", "Alors, désolée au risque d'en froisser certains mais c'est le risque quand on est sur les réseaux tous les jours.... Sa tenue n'est vraiment pas accordée et ne la met pas en valeur". Agacés par ces commentaires négatifs des fans de l'épouse de Paga ont pris sa défense. "Les gens se prennent pour Cristina Cordula mdr, laissez les gens s’habiller comme ils veulent. Si vous n'êtes pas contents, swipez", a, par exemple, écrit une abonnée.

Contrariée par la vague de méchanceté reçue, Giuseppa a décidé de réagir en story. "Les gens… sous ma photo, vous êtes à vomir ! Les goûts et les couleurs ne se discutent pas mais par contre, le respect, oui !", a-t-elle débuté. Elle a poursuivi : "Les réseaux, ça vous donne tellement de pouvoir que vous vous permettez beaucoup trop ! Si je n'aime pas votre tenue, je ne pense pas vous arrêtez dans la rue pour voir le faire savoir. Insta, c'est pareil". "Vous êtes tellement en abus de confiance derrière vos écrans", a-t-elle conclu toujours bien remontée.

Aya Nakamura répond à la polémique en chanson

Depuis que L'Express a annoncé qu'Emmanuel Macron aurait émis le souhait de voir Aya Nakamura chanter du Edith Piaf lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris beaucoup d'encre a coulé. La chanteuse francophone la plus écoutée au monde a depuis été la cible d'attaques racistes… Le 15 mars dernier, le parquet de Paris a ouvert une enquête après un signalement de la Licra et de SOS Racisme. "Au regard de la nature raciste de la banderole déployée par le collectif Les Natifs et des vagues de haine qui ont ciblé l’artiste, SOS Racisme saisit la justice afin qu’elle étudie si les faits d’indication à la discrimination et de cyberharcèlement à caractère raciste sont constitués et susceptibles d’entraîner des poursuites", a-t-on appris via un communiqué.

Dominique Sopo, le président de l'association, avait ajouté : "La séquence que nous venons de vivre est celle d’un racisme crasse envers une artiste ciblée du fait de sa couleur de peau". Une dizaine de jours plus tard, le 26 mars dernier, Catherine Glavas et sa sœur Christie Laume, les ayant droits d'Edith Piaf, ont été contactées par Le Parisien pour réagir à la polémique. "J’ai reçu une demande des éditions Raoul Breton pour utiliser l’Hymne à l’amour. Ils gèrent les droits de cette chanson coécrite par Édith et m’ont demandé mon accord pour l’utiliser gratuitement avec une nouvelle orchestration et une chanteuse. Sans nous donner de nom. J’ai évidemment accepté, c’est tellement magnifique d’ouvrir les JO de Paris avec Édith", a déclaré Catherine Glavas.

Et de préciser : "Cela m’émeut beaucoup. D’après ce que l’on me dit, c’est Aya Nakamura qui chantera et c’est le président qui l’a choisie. C’est certainement qu’elle a du talent. Elle a aussi beaucoup de succès dans le monde". Hier, vendredi 29 mars, la chanteuse franco-malienne a, à son tour, décidé de répondre aux critiques mais avec finesse. En effet, elle a choisi de prendre la parole en chanson via son titre Doggy. Une chanson qui avait fuité sur les réseaux sociaux il y quelques années mais qui n'était jamais sortie légalement. Un choix de diffusion qui n'a pas été fait au hasard puisque les paroles de ce morceau en disent long sur le fond de la pensée de l'artiste. On peut l'entendre chanter : "J’ai pas d’ennemis moi, c’est eux qui m’aiment pas / Un tas d’ennemis, mais j’les connais même pas". Aya Nakumara poursuivait : "Pas besoin d’me valider, j’fais la une des magazines (...) Ah, les gens comme toi finirons sous mes bras". Une manière claire de répondre à ses détracteurs.

Le DJ Arnaud Rebotini accusé de violences sexuelles

Dans un long papier publié ce dimanche 31 mars, le média rapporte les témoignages de sept femmes qui accusent le DJ Arnaud Rebotini d'agressions et de harcèlement sexuels en marge de ses concerts. Connu, entre autres, pour avoir remporté le César de la meilleure musique en 2018 pour la bande originale du film 120 Battements par minute, de Robin Campillo, qui revient sur le combat de l’association de lutte contre le sida Act Up, l'artiste nie les faits qui lui sont reprochés. Nolwenn a raconté à nos confrères que les faits remontraient à 2019, pour elle, lors d'une performance de l'artiste à Nantes, dans les anciens locaux de la biscuiterie LU. Une cabine photo est installée dans ce lieu et elle a l'habitude de l'utiliser.

Elle propose alors au DJ de s'y faire photographier ensemble. "Mon corps est collé à cet homme immense [Arnaud Rebotini mesure deux mètres – ndlr]. Je m’appuie contre lui, puisque je suis sur la pointe des pieds pour essayer d’apparaître dans le petit cadre qui matérialise celui de la photo", s'est-elle souvenue. Et d'ajouter que le musicien aurait "posé" sa main sur sa jambe, qu'elle aurait protesté mais qu'il aurait quand même recommencé. "Le message n’était peut-être pas assez clair puisque sa main s’est reposée à peu près au même endroit et est remontée le long de ma cuisse pour finir sur ma fesse, dans le short", a-t-elle confié à Mediapart.

À ce sujet, Arnaud Rebotini a affirmé à nos confrères ne pas se souvenir du déroulé de cette soirée. "Ce n’est pas un comportement que je pourrais avoir, même en étant saoul. Ou alors, je ne l’ai pas fait exprès. Pour moi un non, c’est un non. Je suis plutôt dans la séduction que dans le rapport sexuel", s'est-il défendu. Nolwenn n'est pas la seule à avoir témoigné puisque Mediapart a recueilli les propos de six autres femmes qui ont affirmé avoir été victimes, elles aussi, des agissements d’Arnaud Rebotini. Les faits reprochés par ces femmes se seraient déroulés en marge de ses représentations nocturnes. À ce jour, aucune plainte n'a été déposée "concernant ces faits, qui peuvent être pénalement qualifiés de harcèlement et d’agression sexuelle". Toujours auprès de nos confrères, l'artiste a tenu à se défendre. "Oui, j’ai été un dragueur relou, à l’ancienne, mais je ne pense pas avoir été un agresseur sexuel. Si je me suis mal comporté et qu’elles ont subi un traumatisme, je m’en excuse. Ce sont des choses que je ne referais plus, je suis complètement passé à autre chose", a-t-il insisté. Affaire à suivre.

31 mars 2024

L'acteur Chance Perdomo est mort à l'âge de 27 ans

Connu du grand public pour son rôle de sorcier dans Les Nouvelles aventures de Sabrina, Chance Perdomo est décédé ce samedi 30 mars des suites d'un accident de moto dont les circonstances restent encore floues. Il avait 27 ans.

Comédien à la double nationalité (britannique et américaine), Chance Perdomo démarre sa carrière avec des apparitions dans Hetty Feather, Shakespeare & Hathaway: Private Investigators et Inspecteur Barnaby. Sa prestation, en 2018, dans le téléfilm de la BBC Killed by My Debt lui permet d'être nommé en tant que Meilleur acteur aux BAFTA, l'équivalent des César au Royaume-Uni. Le programme s'intéresse au tragique parcours d'un coursier qui met fin à ses jours sous la pression de l'engrenage de l'endettement à la suite d'amendes.

En octobre 2018, les abonnés Netflix le découvrent dans le reboot de Sabrina, l'apprentie sorcière. Dans ces Nouvelles aventures de Sabrina revisitées par Roberto Aguirre-Sacasa, le jeune homme incarne Ambrose Spellman, le cousin sorcier de l'héroïne interprétée par Kiernan Shipka. Assigné à résidence surveillée chez les tantes Hilda et Zelda. il se révèle un vrai soutien pour la jeune Sabrina confrontée à ses nouveaux pouvoirs. La succès de la série, avec trois saisons au compteur, lui permet de jouir d'une petite notoriété.

Les mesures sanitaires empêchant certains acteurs de se rendre sur le tournage d'After Chapitre 3 en Bulgarie, Chance Perdomo remplace au pied levé Shane Paul McGhie dans le rôle de Landon Gibson, le meilleur ami de Tessa (Josephine Langford) et demi-frère de Hardin (Hero Fiennes Tiffin). Un rôle qu'il conserve dans les volets suivants.

Durant l’automne 2023, le public le retrouve sur Prime Video, aux côtés d'une de ses anciennes partenaires des Nouvelles aventures de Sabrina (Jaz Sinclair), dans Gen V, le spin-off de The Boys. Il y tient le rôle principal masculin, celui d'Andre Anderson, une des nouvelles recrues de Godolkin, une école réservée aux jeunes super-héros adultes issus de l'injection du composé V.

Mort de l'acteur Louis Gossett Jr. à l'âge de 87 ans


L'acteur américain Louis Gossett Jr. est décédé à l'âge de 87 ans. Notamment connu pour avoir incarné le sergent Emil Foley face à Richard Gere dans Officier et gentleman - un rôle qui lui avait permis de devenir le premier comédien afro-américain lauréat d'un Oscar du meilleur second rôle - il avait également joué dans Aigle de fer, Enemy, et plus récemment dans la série Watchmen ou dans le remake musical de La Couleur Pourpre.

Né d'une mère infirmière et d'un père portier, Louis Gossett Jr. est scolarisé dans l'établissement Abraham Lincoln, à Brooklyn. Il fait ses débuts au théâtre lorsqu'il a 17 ans via le lycée, dans une adaptation de la célèbre pièce de George S. Kaufman et Moss Hart "You Can't Take It with You". Une fois son diplôme en poche, il fréquente l'université de New York et, fort de son physique athlétique et de sa grande taille (1 mètre 95), pratique le basket à un haut niveau. Il décide cependant de se centrer sur le théâtre.

Talentueux et travailleur, le natif de Brooklyn obtient ainsi des rôles dans plusieurs prestigieuses pièces de Broadway, comme "Take a Giant Step", "Un raisin au soleil", "The Blacks" ou "The Zulu and the Zayda".

Parallèlement à sa carrière sur les planches, Louis Gossett Jr. trouve son premier rôle au cinéma dans Un raisin au soleil de Daniel Petrie (adapté de la pièce du même nom de Lorraine Hansberry) porté par le légendaire Sidney Poitier. Il poursuit sous la houlette de metteurs en scène de renom, comme Hal Ashby (Le Propriétaire, 1970), George Cukor (Voyages avec ma tante, 1972), Peter Yates (Les Grands Fonds, 1977) ou encore Robert Aldrich (Bande de flics, 1977).

Louis Gossett Jr. est également très actif côté petite lucarne et ce depuis ses débuts, à la fin des années 1950. En témoignent ses rôles plus ou moins importants dans les séries aussi variées que The Young Rebels, Cowboy in Africa, Bonanza, La Nouvelle équipe, Un shérif à New York, The Jeffersons, Good Times, L'Homme qui valait 3 milliards, Police Story, Deux cent dollars plus les frais, Backstairs at the White House, The Lazarus Syndrome, Matthew Star ou encore Gideon Oliver, pour ne citer qu'elles...

Pour son rôle de l'esclave violoniste Fiddler dans la mini-série Racines (1977), portrait sans concession d'une famille d'esclaves afro-américains sur trois générations, le natif de Brooklyn reçoit un Emmy Award.

Durant les années 1980 et 1990, Louis Gossett Jr. goûte à divers genres de films, allant de l'horreur (Les Dents de la mer 3) à l'action (les quatre Aigle de fer, où il campe le pilote de l'US Air Force Charles "Chappy" Sinclair), en passant par la science-fiction (Enemy) et la comédie (Un Anglais sous les tropiques). En 1983, son personnage du sergent Emil Foley dans Officier et gentleman, menant la vie dure à Richard Gere, lui permet de remporter l'Oscar du Meilleur acteur pour un second rôle.

Dans les années 2000, 2010 et 2020, Louis Gossett Jr. multiplie les prestations, dans des films ne sortant pas systématiquement en salles, comme Daddy's Little Girls, The Perfect Game et The Dependables. Du côté du petit écran, il apparaît dans d'innombrables téléfilms, ainsi que dans les séries Stargate SG-1, Les Griffin, Urgences, Boardwalk Empire, Hap and Leonard et surtout Watchmen, où il incarne Will Reeves, ancien officier de police et premier justicier masqué, opérant sous le nom de Hooded Justice.

Louis Gossett Jr. est aussi connu pour son engagement. En 2006, il fonde The Eracism Foundation, une association à but non lucratif dédiée à la lutte contre le racisme.

En janvier 2024, il tient son tout dernier rôle au cinéma dans le remake musical de La Couleur Pourpre, réalisé par Blitz Bazawule.

Marvel : il y a 16 ans, le comportement de cet acteur a conduit le studio à prendre une décision radicale

Il y a 16 ans, alors que Kevin Feige et Jon Favreau en étaient encore à poser les premières pierres de ce qui allait bientôt devenir le Marvel Cinematic Universe, un nouveau long métrage dédié au géant vert de la Maison des Idées sortait au cinéma.

En 2008, avant que le personnage ne soit finalement récupéré par Mark Ruffalo à partir du premier Avengers, c'était Edward Norton qui prêtait ses traits à Bruce Banner devant la caméra de Louis Leterrier. Mais ainsi que l'a récemment évoqué un article de Looper, qui cite le récent ouvrage MCU: The Reign of Marvel Studios signé par Joanna Robinson, Dave Gonzales et Gavin Edwards, la production du long métrage n'a pas été de tout repos.

En effet, ainsi qu'on l'apprend dans un chapitre du livre, Edward Norton avait apparemment une vision bien particulière du projet et souhaitait amener le personnage sur un chemin sensiblement différent de celui que nous connaissons. Initialement autorisé par la production à intervenir sur le scénario, ses apports au script auraient finalement été considérablement réduits, le studio décidant de reprendre la main sur le film.

Toujours d'après les intervenants interrogés dans l'ouvrage, cette expérience un peu compliquée aurait même conduit la production à fixer une nouvelle politique, afin que le contrôle créatif des futurs longs métrages demeure désormais dans le giron des producteurs.

D'après une interview du New York Times Magazine (également rapportée par l'article de Looper), Edward Norton avait en tête un film beaucoup plus sérieux, proche de la trilogie The Dark Knight :

"J'aimais beaucoup les comic-books de Hulk, je les trouvais mythiques. Et j'étais aligné avec le chemin emprunté par Christopher Nolan pour Batman : quelque chose de grand, de sombre et de sérieux", a-t-il ainsi déclaré en 2019.

"S'il y avait bien quelque chose qui avait ce potentiel, c'était Hulk. C'est littéralement le mythe de Prométhée. J'ai exposé un projet de deux films : l'origine, et puis l'idée de Hulk en tant que rêveur conscient, un type qui arrivait à prendre le délire en main. Et ils m'ont dit : 'C'est ça que nous voulons !' Mais il s'est avéré que ce n'était pas le cas. Mais j'ai beaucoup aimé faire ce film. Je me suis bien entendu avec Kevin Feige."

29 mars 2024

Après avoir racheté les magazines W et i-D, Karlie Kloss relance Life

C’est une nouvelle acquisition de poids pour Karlie Kloss. La top-modèle a annoncé reprendre le magazine Life. Cette revue américaine phare du XXe siècle était connue pour ses photoreportages de qualité.

Créé en 1883, Life n’a plus connu de publication régulière depuis 2008. Or, Karlie Kloss et sa société Bedford Media ont signé un accord avec la société Dotdash Meredith, détentrice des droits de la publication, pour relancer la machine.

« Nous considérons Life comme une voix édifiante et unificatrice dans un paysage médiatique chaotique », peut-on lire dans le communiqué de Karlie Kloss qui prendra la casquette de rédactrice-en-chef au côté de son mari, l’entrepreneur milliardaire Joshua Kushner.

Un positionnement qui confirme l’ambition de l’ex-reine des podiums de s’imposer dans le monde impitoyable des médias.

En quelques années, Karlie Kloss a fait une entrée remarquée dans l’édition avec l’acquisition, accompagnée d’un groupe d’investisseurs, de W Magazine en 2020. L’automne dernier, elle délestait Vice de i-D, l’un des fleurons du portfolio du groupe média en difficulté.

Actuellement en restructuration, i-D ne connaîtra pas de publication ce printemps et cet été. Dans son communiqué, Karlie Kloss promet un retour dans les kiosques à l’automne.

Reste à savoir quels seront les prochains mouvements de Karlie Kloss en vue d’étendre son empire. En tout cas, Bedford Media pourrait commencer à ennuyer Condé Nast, le groupe d’édition à la tête de GQ, Vanity Fair et bien sûr Vogue où règne Anna Wintour et dont la place sera forcément à prendre un jour ou l’autre.

Liam Neeson n'en a pas fini avec les films d'action

Liam Neeson se confie sur sa carrière dans The Hollywood Reporter, à l'occasion de la sortie du thriller irlandais In the Land of Saints and Sinners (proposé en France depuis peu sur Prime Video). Interrogé sur ses futurs projets, le comédien phare de La Liste de Schindler explique pourquoi il a accepté de participer au reboot de Y a-t-il un flic... ?, et il revient aussi sur ses potentiels futurs films d'action.

Depuis le carton de Taken, en 2008, il enchaîne en effet les "Neesonades" entrecoupant ces multiples films de vengeance d'autres genres de productions, des comédies telles qu'Albert à l'ouest, Ted 2... ou des drames (Quelques minutes après minuit, de Juan Antonio Bayona, Silence, de Martin Scorsese...). Quand le journaliste lui rappelle qu'à l'aube de ses 70 ans, il avait dit en interview qu'il ne pourrait plus tourner dans ce genre de production très longtemps, il répond :

"Bon Dieu, j'aurai 72 ans en juin ! Il y a quelques scénarios qui m'intéressent mais que je ne pourrai pas filmer avant 2025, mais ce ne sont pas spécialement des films tournés vers l'action. Il y a bien ce film que j'ai fait à Melbourne (Ice Road 2), qui contient un peu de scènes d'action... En fait, je crois que j'arrêterai le jour où mon coordinateur de cascades, Mark Vanselow, viendra me voir pour me dire : 'Ecoute Liam, je devrais te remplacer pour tourner ça.' Là, je saurai que c'est le bon moment d'arrêter."

Le public est intelligent, poursuit-il. Les gens savent quand vous avez dépassé la limite, quand vous ne pouvez plus donner un coup de poing correctement ou tirer à l'arme à feu. Moi, je n'en suis pas encore là. Je peux sans doute en filmer encore un ou deux. Je me sens privilégié, honoré de pouvoir participer à ce genre de l'action depuis le premier Taken qu'on a tourné il y a quoi ? 16 ans ? 17 ans ou 18 ans ?"

"Pour l'instant, je me concentre seulement sur The Naked Gun. On va commencer à tourner en mai, conclut-il. En mai ou en juin, et ce sera filmé à Atlanta, en Géorgie. Après ça... on verra. Il n'y a rien de définitivement fixé."

The Naked Gun est attendu à partir du 28 juillet 2025 au cinéma. In the Land of Saints and Sinners est actuellement visible sur Prime Video. 

Unfrosted - L'épopée de la Pop-Tart bande-annonce avec Hugh Grant

Ce film est écrit et réalisé par Jerry Seinfeld, qui joue par ailleurs le rôle de Bob Cabana aux côtés de Melissa McCarthy dans la peau de Donna Stankowski, architectes en chef du Pop-Tart. Bien loin d’être à la conquête de l’espace, les deux sociétés Post et Kellogg’s vont redoubler d’efforts pour atteindre la première position de cette course frénétique.

La bande-annonce est parsemée de caméos, notamment avec Hugh Grant dans le costume de mascotte de l’effigie Frosties de Kellogg’s. Il y a aussi Amy Schumer, Peter Dinklage, Christian Slater, Jack McBrayer ou Bobby Moynihan en tant que chef Boyardee et James Marsden (X-Men, Sonic le film) dans la peau de Jack LaLanne.

Le film a été tourné par Bill Pope, le légendaire directeur de la photographie derrière Darkman, Matrix et Spider-Man 2.

Unfrosted - L'épopée de la Pop-Tart décollera en destination de Netflix le 3 mai 2024.