01 mars 2024

9-1-1 : bande-annonce de la saison 7

La production de 9-1-1 a mis le paquet pour l'arrivée de la série sur ABC si l'on en croit les premières images de la saison 7 tout juste dévoilées.

Annulée en mai dernier par Fox après six saisons et pas moins de 96 épisodes pour des raisons financières, 9-1-1 a été récupérée par ABC qui lancera ainsi en grande pompe la septième fournée des aventures des pompiers de la caserne 118 le 14 mars prochain aux États-Unis, juste avant le retour le même soir de Grey's Anatomy et de son spin-off Station 19 (qui s'arrêtera d'ailleurs dans quelques semaines).

La série portée par Peter Krause, Angela Bassett, Jennifer Love Hewitt et Oliver Stark nous a toujours habitués à du grand spectacle pour ses ouvertures de saisons, du tremblement de terre au tsunami en passant par les éruptions volcaniques. Mais les scénaristes ont visiblement décidé de frapper encore plus fort cette année, avec un season premiere qui rendra hommage au film catastrophe L'Aventure du Poséidon.

Partis en lune de miel dans les toutes dernières secondes de la saison 6, Bobby et Athena vont voir leur croisière sur un énorme paquebot virer au cauchemar au cours du premier épisode de la saison 7, intitulé "Abandon 'Ships".

Après l'irruption de terroristes armés, une explosion va survenir sur le bateau où se trouvent les deux héros de 9-1-1 ainsi que des centaines d'autres passagers. Provoquant d'énormes dégâts qui mèneront le paquebot à prendre l'eau et à couler peu à peu. Avec à la clé des séquences spectaculaires, quelque part entre L'Aventure du Poséidon et Titanic, dont on peut découvrir un premier aperçu dans la bande-annonce visible dans le player ci-dessus.

Comme le révèlent également ces premières images, l'inquiétude ne va pas tarder à submerger Buck, Hen (Aisha Hinds), Eddie (Ryan Guzman), Maddie et Chimney (Kenneth Choi), qui vont apprendre que le paquebot de croisière d'Athena et Bobby est introuvable.

Les pompiers de la caserne 118 de Los Angeles vont alors tout faire pour secourir leur capitaine et son épouse, ainsi que toutes les personnes se trouvant à bord du bateau. Une mission sauvetage extrêmement périlleuse qui devrait s'étendre sur plusieurs épisodes.

Heureusement, en parallèle, les passagers pourront compter sur le tempérament de feu d'Athena et de Bobby, qui ne comptent pas se laisser faire et vont essayer de contrecarrer les plans des terroristes. Tout en faisant leur maximum pour mettre le plus de personnes possible en sécurité.

Mais alors que le couple phare de 9-1-1 s'échange un (dernier ?) "Je t'aime", la bande-annonce choc de cette septième saison s'achève sur l'image d'Athena et de Bobby qui ne peuvent plus rien faire face à l'eau qui continue de monter au sein du bateau. Et finissent eux aussi par sombrer.

Aux portes de la mort, les personnages campés par Peter Krause et Angela Bassett pourraient-ils connaître un destin tragique ? Ou vont-ils être secourus à temps par Buck, Chimney et les autres ?

Réponse dans la saison 7 de 9-1-1, qui débutera le 14 mars aux États-Unis et devrait être diffusée dans les mois à venir sur M6 en France. En attendant, retrouvez les six premières saisons en streaming sur Disney+.

Grey's Anatomy : les premières images de la saison 20 dévoilées

Enfin! Après des mois d’absence à l’antenne, Grey’s Anatomy s’apprête à effectuer son grand come-back outre-Atlantique sur la chaîne ABC, à l’occasion du lancement de sa saison 20. La diffusion de cette salve d’épisodes inédits débutera le jeudi 14 mars 2024 et une première bande-annonce vient tout juste d’être dévoilée…

L’événement dans ces images n’est autre que le retour précédemment annoncé de Jessica Capshaw dans la peau du Dr. Arizona Robbins, après plusieurs années loin du Grey Sloan Memorial Hospital. Qu’est devenue la chirurgienne pédiatrique depuis son départ ? Une chose est en tout cas certaine, celle-ci revient pour révolutionner la médecine !

En parallèle, les fans de la fiction médicale font la connaissance du Dr. Monica Beltran, incarnée par Natalie Morales. Cette recrue intervient d’ailleurs dans la même spécialité qu’Arizona. Pragmatique et calme en toute situation, cette dernière va visiblement avoir dès son arrivée quelques soucis d’entente avec Amelia (Caterina Scorsone)…

Mais ce n’est pas tout car après avoir connu de très graves soucis de santé, le sort de Teddy (Kim Raver) semble toujours incertain. Après s’être effondrée en pleine opération à la fin de la saison 19, Owen (Kevin McKidd), son mari, va choisir de faire subir une intervention à hauts risques à celle qu’il aime… Sera-t-elle sauvée grâce à Winston (Anthony Hill) qui se chargera de l’opération ?

Côté romance, nos héros ne seront pas en reste ! Entre la relation compliquée de Jules (Adelaide Kane) et Blue (Harry Shum Jr.), les sentiments passionnés partagés par Lucas (Niko Terho) et Simone (Alexis Floyd) et le couple assumé au grand jour de Link (Chris Carmack) et Jo (Camilla Luddington), les cœurs fragiles de nos super médecins vont encore battre la chamade !

Enfin, Ellen Pompeo reprendra son rôle iconique de Meredith Grey pour une poignée d’épisodes. A n’en pas douter, cette vingtième année de consultations pour Grey’s Anatomy sera riche en émotion et en rebondissements ! 


Première photo du film Tron : Ares

En projet depuis de nombreuses années, Tron 3, intitulé Tron : Ares est entré en tournage à la fin du mois de janvier dernier. Jared Leto, qui tient le rôle-titre, vient de dévoiler la première photo du long métrage.

L'acteur y apparaît de dos, affublé de la combinaison noire et rouge de son personnage Arès, un personnage fictif qui passe du monde des jeux vidéo au monde réel. On peut apercevoir sur le côté du costume une arme en forme de bâton qui diffère des disques lumineux présents sur les combinaisons des héros des précédents longs métrages.

Autre fait remarquable : la couleur rouge du costume. Dans l'univers Tron, les personnages qui portent cette combinaison sont généralement du côté des antagonistes plutôt que des héros dont la combinaison est bleue dans les deux premiers films. Une couleur qui confirmerait donc qu'Arès est un programme malveillant s'aventurant dans le monde réel. Du moins au début, car il est peu probable que Disney fasse de son héros un méchant.

Dans Tron : Arès, un programme hautement sophistiqué du nom de Ares est envoyé du monde numérique au monde réel pour une mission dangereuse qui marquera la première rencontre de l'humanité avec des êtres dotés d'une intelligence artificielle… Dans les précédents volets, les humains se retrouvaient dans la Grille, mais ici c'est l'inverse, une IA née dans la Grille va se retrouver dans notre monde.

Mis en scène par Joachim Rønning, déjà à l'œuvre sur Pirates des Caraïbes : la Vengeance de Salazar et Maléfique : Le Pouvoir du Mal, le long métrage est également emmené par Gillian Anderson, Jodie Turner-Smith, Greta Lee, Evan Peters, Cameron Monaghan et Sarah Desjardins.

Notons que ce long métrage ne sera pas la suite de Tron, sorti en 1982 et de Tron : l'héritage sorti en 2011.

Le premier film Tron mettait en scène Jeff Bridges dans le rôle du créateur de jeux vidéo Kevin Flynn. Ce dernier se retrouvait déformé à l'intérieur de son jeu, forcé de participer à des jeux de gladiateurs dont il ne pouvait s'échapper qu'avec l'aide d'un programme de sécurité héroïque. Si le long-métrage n'a pas été un succès commercial (il a rapporté 50 millions de $ en salles pour un budget de 17 millions $), il a acquis le statut de film culte grâce à son exploitation en VHS.

Réalisée par Joseph Kosinski (Top Gun 2), la suite intitulée Tron l'héritage est sortie 29 ans plus tard. Jeff Bridges y reprenait son rôle face à Garrett Hedlund, qui incarnait son fils, Sam Flynn. Cherchant à percer le mystère de la disparition de son père, ce dernier se retrouve aspiré dans ce même monde de programmes redoutables et de jeux mortels où vit son père depuis 25 ans. D'un budget de 170 millions de dollars, le film n'a rapporté que 400 millions $ à l'international et Disney a choisi de ne pas poursuivre l'arc narratif des héros des précédents opus.

Marvel a obligé l'acteur Ray Winstone à terminer le tournage de Black Widow

Ray Winstone en veut à Marvel ! Sur le tournage du film Black Widow, il incarne Dreykov, superviseur de la "Chambre Rouge", le programme des Veuves noires. Un rôle de méchant qu'il joue parfaitement, et tout se passe bien avec la réalisatrice australienne Cate Shortland. Sauf que ça ne va pas durer...

Lorsque le tournage d'un film Marvel se termine, il y a systématiquement quelques jours au moins, destinés à mettre en boîte de nouvelles scènes pour ajouter du liant, combler un manque, ajouter ou changer des choses. Aux Etats-Unis, on appelle cela des "reshoots". Et c'est là que tout a basculé pour Winstone, comme il l'a confié à Radio Times :

"Ça se passait bien, jusqu'à ce que j'ai à faire des reshoots. Là, vous découvrez que plusieurs producteurs sont arrivés, et votre performance devient "trop", trop puissante... C'est comme ça que ça marche, chez Marvel. Cela peut détruire l'âme, car vous pensez que vous faites du bon travail."

C'en est venu à un point où Ray Winstone a mis sa démission dans la balance :

"J'ai répondu : 'Vous devriez me remplacer parce que c'est fini pour moi'. Et vous finissez par le faire quand même, parce que vous êtes sous contrat. Autrement, vous vous retrouvez au tribunal. C'est comme être frappé dans les noisettes !"

Celui qui a été Beowulf, Sweeney Todd ou Henry VIII et tourné pour Martin Scorsese, Steven Spielberg, Anthony Minghella, Alan Clarke et Darren Aronofsky ne s'en laisse pas compter pour Black Widow. Après de tels propos, on a du mal à imaginer que Winstone revienne un jour (en flashback) dans l'univers Marvel !

Par le passé, Idris Elba (Heimdall dans le MCU) avait lui aussi été très critique des reshoots Marvel : "Je venais de tourner [Mandela] pendant huit mois en Afrique du Sud. Je suis arrivé en Angleterre et le jour même, je devais tourner des reshoots de Thor 2. (...) Je me disais : 'C'était une torture, je ne veux pas le faire'. Mon agent m'a répondu : 'Tu dois le faire, c'est contractuel'."

Nouveautés Netflix du 1er au 7 mars

L’incontournable de la semaine

Furies : En quête de vengeance après la mort de son père, une jeune femme se retrouve prise dans la toile de la Furie, gardienne de l'ordre au sein du crime organisé parisien.

Après Pax Massilia, Netflix dévoile déjà sa toute nouvelle production française et ça promet. Lina El Arabi, Marina Foïs, Mathieu Kassovitz font partie des têtes d’affiche de ce thriller bourré d’action et de rebondissements. Un rôle à contre-mesure pour l’actrice de 54 ans qui a encore des choses à prouver dans ce registre.

La saison 1 est composée de 8 épisodes.

Le vendredi 1er mars

No estas sola : Les réalisateurs du Silence des autres (lauréat d'un Goya, de deux Emmys et d'un Peabody, et présélectionné pour les Oscars) présentent No estás sola : Ensemble face à la meute, une déconstruction passionnante et incisive de l'affaire qui a conduit à la première prise de conscience #MeToo en Espagne et a eu une résonance dans toute l'Amérique latine.

Spaceman : Six mois après son départ pour une mission de recherche en solitaire aux confins du système solaire, un astronaute, Jakub (Adam Sandler), réalise que sa femme, Lenka (Carey Mulligan), ne l'attendra peut-être pas pour son retour sur Terre. Voulant à tout prix arranger les choses avec elle, il est aidé par une mystérieuse créature vieille comme le monde cachée dans les entrailles de son vaisseau. Hanus (voix de Paul Dano) travaille avec Jakub pour comprendre ce qui a bien pu arriver avant qu'il ne soit trop tard.

Je m’appelle Loh Kiwan : Après avoir quitté la Corée du Nord, Loh Kiwan peine à obtenir le statut de réfugié en Belgique, où il rencontre une femme qui a perdu tout espoir.

En entrée catalogue : Baby Driver, Monster Cars et la saison 10 de Blacklist.

Le lundi 4 mars

Hot Wheels let’s race : Inspirée du best-seller mondial des jouets, Hot Wheels Let's Race est une série à haute dose d'adrénaline qui réveille et libère le compétiteur qui sommeille en tout pilote ! La série suit les pilotes de la nouvelle génération au gré de courses ébouriffantes, de concours de cascades de l'extrême et de défis éprouvants pour les nerfs.

Le mardi 5 mars

Le programme : Interdit de parler, de sourire ou de sortir. L'Academy at Ivy Ridge prétendait utiliser la thérapie et les activités récréatives pour aider les adolescents en difficulté. Au lieu de cela, ces jeunes ont subi des violences mentales et physiques dans le cadre d'un programme sectaire. Dans ce documentaire d'investigation captivant, la réalisatrice et d'autres anciens élèves reviennent sur leur séjour terrifiant dans cette école disciplinaire, révélant les horreurs de l'industrie des adolescents perturbés.

Le mercredi 6 mars

Supersex : Cette série s'inspire de la vraie vie de Rocco Siffredi et se penche sur sa famille, ses origines et sa relation à l'amour. C'est une histoire profonde qui explore son parcours depuis son enfance et révèle comment et quand Rocco Tano, un petit gars d'Ortona, est devenu Rocco Siffredi, la star du X la plus célèbre au monde.

Le jeudi 7 mars

The Gentlemen (dérivé du film de Guy Ritchie) : Eddie Horniman (Theo James) hérite soudainement du vaste domaine de son père, avant de découvrir qu'elle fait partie d'un véritable empire du cannabis. Pour couronner le tout, de dangereuses figures du crime organisé en Grande-Bretagne veulent leur part du gâteau. Déterminé à extirper sa famille de leurs griffes, Eddie tente de prendre les gangsters à leur propre jeu. Mais à mesure qu'il s'enfonce dans la criminalité, il commence à y prendre goût.

C’est déjà disponible

Avatar le dernier maître de l’air : C’est un grand OUI pour cette adaptation du dessin animé des années 2000. Avec une note de 4,1/5 (qui peut encore changer), cette série a globalement plu aux abonnés de la plateforme. Alors pourquoi ne pas y jeter un œil si vous ne l’avez pas encore fait ?

Le Printemps du cinéma est de retour !

Lancé en 2000, le Printemps du Cinéma fera son grand retour cette année encore, du 24 au 26 mars. Forte de son succès, l’initiative reste inchangée : permettre à tous les Français de découvrir les films à l’affiche, pour un prix unique de 5€. L’an dernier, 2,31 millions de billets avaient été vendus, contre 2,1 millions en 2022. Une constante à la hausse que cette 23e édition devrait confirmer.

Pour profiter de ce rendez-vous incontournable et bénéficier de son tarif unique, rien de plus simple : le Printemps du Cinéma concerne tous les spectateurs, pour toutes les séances et dans tous les cinémas de France. L’occasion idéale de découvrir les films qui vous tentent !

Incontournables du début d’année toujours à l’affiche ou nouveautés à venir, ce n’est pas le choix qui manque pour cette 23e édition du Printemps du Cinéma !

Véritable événement du début de l’année, la seconde partie de Dune a fait une entrée fracassante dans les salles obscures (et le box-office) le 28 février dernier. Profitez du tarif unique de 5€ pour partir à l’aventure avec Paul Atréides (Timothée Chalamet) et Shani (Zendaya) sur la planète désertique d’Arrakis dans un deuxième opus encore plus spectaculaire et épique que le premier !

Si les confins de l’espace sont trop exotiques pour vous, prenez plutôt la direction de l’Allemagne avec La Salle des profs, à découvrir en salle à partir du 6 mars. D’ici au lancement du Printemps du Cinéma 2024, le film d’Ilker Çatak aura peut-être été récompensé de l’Oscar du meilleur film international, pour lequel il est en compétition.

Rendez-vous comique du mois, Heureux gagnants a été primé au festival international de l’Alpe d’Huez. Légère et optimiste, cette farce portée par Fabrice Eboué, Audrey Lamy et Anouk Grinberg fera le bonheur de toute la famille, dès le 13 mars.

Et aussi ces dernières nouveautés, à l’affiche à partir du 20 mars : Hors-saison de Stéphane Brizé (La Loi du marché, Un Autre monde), et avec Guillaume Canet ; la délicieuse comédie Karaoké, avec Michèle Laroque et Claudia Tagbo, pour les chanteurs amateurs autant que pour les cinéphiles ; Immaculée, événement horrifique du Printemps porté par Sydney Sweeney (Euphoria, Tout sauf toi).

29 février 2024

Héloïse Martin victime d’inceste : elle brise le silence avec un témoignage poignant

Une révélation douloureuse, mais nécessaire pour Héloïse Martin. L’actrice française s’est toujours engagée sur les sujets liés aux violences sexuelles. En janvier 2021, le Sénat avait adopté à l’unanimité en première lecture un amendement fixant à 13 ans la seuil d'âge de non-consentement sexuel. Un âge jugé bien trop jeune par de nombreuses associations, mais aussi les célébrités. "2009. J’ai 13 ans. Je suis au collège, je ne suis pas encore formée, pas encore réglée, je suis fan de Charmed, je joue encore aux Playmobil…J’ai un air à consentir à une relation sexuelle ? Non ! Non à cette loi honteuse ! Protégeons nos enfants !", avait alors partagé Héloïse Martin sur son compte Instagram.

La publication est accompagnée par une photo d’elle prise quelques années plus tôt. En France, l’âge légal du consentement sexuel est établi à 15 ans, et 18 ans en cas d’inceste. Toutefois, dès 13 ans, les mineurs peuvent consentir si l’écart d’âge avec leur partenaire est inférieur à 5 ans.

Un engagement qui s’explique. Héloïse Martin a pris la parole via son compte Instagram, ce jeudi 29 février 2024, pour raconter ouvertement avoir été victime d’inceste, alors qu’elle n’avait que 9 ans. "Comme 1 enfant sur 10 en France, je suis victime de violences sexuelles…Et j’ai décidé de tout vous raconter… Je suis violée par un oncle. Ce calvaire dure plusieurs mois", a écrit la comédienne de 27 ans. Derrière ce lourd témoignage, un projet. "Il y a 3 ans, je commence l’écriture de ma BD Les Yeux Fermés. Je parle de la reconstruction d’une famille après l’inceste, il s’agit de mon histoire", annonce l’interprète de Tamara.

Deux ans plus tard, à 11 ans, Héloïse Martin "trouve le courage" d’en parler à sa maman. "J’ai la chance d’avoir été écoutée et crue tout de suite. Beaucoup de victimes ne le sont pas. À ce moment, ma famille explose". À l'âge de 16 ans, un procès est tenu contre son agresseur. "Il avoue les faits. Je ressens beaucoup d’injustice. Pour lui, 18 mois de prison avec sursis. Pour Moi, une blessure à vie", lâche-t-elle. Comme évoqué par Héloïse Martin, l’inceste touche de trop nombreux enfants en France. Face au fléau, il faut en parler ! "À toutes les victimes, sachez que vous n’êtes pas seules…On vous croit, on ne lâchera pas, le combat ne fait que commencer", a soutenu la comédienne. Le combat est long, des vies peuvent être sauvées.

Nathalie Saint-Cricq harcelée ? La justice saisie après des “attaques inacceptables”

“Inacceptables.” Dans un communiqué posté sur X (anciennement Twitter), la présidente du groupe France Télévisions, Delphine Ernotte Cunci, annonce avoir saisi la justice contre le groupe politique LFI. Et pour cause, leur journaliste éditorialiste Nathalie Saint-Cricq a été prise pour cible par une campagne de La France insoumise. La réponse de France Télévisions ne s'est donc pas fait attendre : “Nous ne pouvons pas laisser passer”, a expliqué Delphine Ernotte Cunci avant d’ajouter que “les attaques politiques contre les journalistes qui exercent librement leur métier sont inacceptables”.

La campagne diffusée sur les réseaux sociaux a très vite fait réagir. La France insoumise a lancé une campagne dans laquelle les “riches”, les “racistes” ou “les golfeurs” sont épinglés. Plusieurs personnalités publiques à l’instar de Nathalie Saint-Cricq, Pascal Praud ou Éric Ciotti sont présentées comme hostiles au discours tenu par le parti LFI. L'objectif est d’inciter les personnes qui soutiennent La France insoumise à s'inscrire sur les listes électorales pour pouvoir voter aux élections européennes qui se tiennent en juin prochain. “Nathalie Saint-Cricq vote, et vous ?” est-il écrit sur le visuel. En cliquant, les internautes sont redirigés vers une plateforme où ils peuvent obtenir des informations sur leur situation électorale et, pourquoi pas, rejoindre le groupe LFI.

Le président des Républicains, Éric Ciotti, a apporté son soutien aux journalistes, visés comme lui, par la campagne de LFI. “Ces messages de la France insoumise contre des journalistes sont insupportables. Monsieur Mélenchon et ses amis détestent la liberté. Ils sont un danger pour la France !” a-t-il tweeté, en citant les affiches présentant la journaliste de France Télévisions Nathalie Saint-Cricq et le présentateur phare de CNews, Pascal Praud. “Depuis quand dire que quelqu’un vote est une insulte ?” a répondu le coordinateur national de LFI, Manuel Bompard. “Plutôt que de chercher des polémiques ridicules, Éric Ciotti ferait mieux de relayer nos appels à s’inscrire sur les listes électorales”, a-t-il déclaré.

Virginie Efira cash sur son rapport à l’alcool

Depuis un an, Virginie Efira s'est tenue à l'écart des tournages. Malgré tout, celle qui est récemment devenue maman pour la deuxième fois a accepté d'accorder une interview auprès de Society, publiée ce jeudi 29 février. Dans les colonnes du magazine, l'actrice s'est alors confiée, sans détour, sur son rapport à l'alcool. Ayant “commencé à travailler assez jeune, vers 16-17 ans, comme serveuse en boîte”, elle connaissait toutes les boîtes de nuit de Bruxelles. Arrivée à Paris au début des années 2000, elle ne connaissait “pas grand monde”. Intimidée, la compagne de Niels Schneider a donc vu le monde de la nuit comme un refuge. “C'était vraiment un sauvetage”, déclare-t-elle. Selon Virginie Efira, l'alcool “décoince” et “enlève une conscience trop forte de soi”. À l'époque, habituée à fréquenter un bar, appelée Le Baron, à Paris, elle explique : “Je suis Belge, et bon bah c'est livré avec le package, si on peut dire : face à l'alcool, j'étais robuste. Très peu de gueules de bois. Pas assez peut-être, pour me punir”.

Si sa consommation d'alcool ne l'a pas pénalisée dans son travail, cela a toutefois eu un impact dans ses “rapports amoureux”. “Je buvais quand je sortais parce que j'étais dans un truc basique de quelqu'un qui voulait être aimée, mais qui ne se pensait pas superaimable”, confie-t-elle. L'actrice s'est également rappelée une anecdote lorsqu'elle était âgée de 15 ans. “À l'époque, je picolais pas mal, j'étais en Corse et j'étais sûre que j'arriverais à composer des chansons en étant bourrée”, se souvient-elle. Mais, le lendemain matin, elle fut bien surprise du résultat. “J'ai vraiment cru que j'avais composé Lady Lay. C'est pareil aujourd'hui avec les scénarios, explique-t-elle. Si je veux écrire un truc de comédie, je vais voir les trucs évidents comme Groundhog Day et après avoir écrit mon petit synopsis, je vais avoir le même degré de croyance que quand j'étais jeune et ivre”.

Au cours de son long entretien auprès de Society, Virginie Efira est également revenue sur les scènes de nu qu'elle a joué au cinéma. Dérangée par l'absence du traitement du corps dans ses projets cinématographiques, l'actrice estime maintenant s'être “bien rattrapée", précisant : “Mais aucun délire exhibo, hein !” Si elle semble à l'aise avec son corps et la nudité à l'écran, elle a toutefois confié être parfois rattrapée par “sa petitesse”, en essayant de “confronter [son] corps à des diktats”.

Jennifer Lopez évoque son enfance difficile dans le Bronx

Certains événements de l’enfance laissent des traces. Et Jennifer Lopez s’est confiée sur les traumatismes qu’elle en a gardés. Dans son nouveau documentaire The Greatest Love Story Never Told, la star évoque ses jeunes années dans le Bronx avec ses deux sœurs, Leslie, et Lynda, respectivement âgées de 56 ans et 52 ans aujourd’hui, et surtout le manque d’amour qu’elle a ressenti de la part de ses parents qui ont divorcé dans les années 90.

« En grandissant, j’étais toujours à la recherche de quelqu’un qui me ferait sentir que j’étais aimée », raconte-t-elle dans le film. « J’étais un enfant du milieu, pas le bébé, pas le premier né… On se perd un peu entre les deux ».

Celle qui est mariée à Ben Affleck évoque dans le documentaire son histoire d’amour avec l’acteur, mais également les relations très difficiles qui l’ont poussée à « toucher le fond » durant ses jeunes années.

« Je me suis sentie ignorée par mon père parce qu’il travaillait toujours la nuit, puis dormait toute la journée, et je n’avais pas l’impression d’avoir suffisamment de liens avec lui », a-t-elle déclaré. Quant à sa mère, elle « était narcissique, au centre de l’attention, elle était du genre à faire la fête ».

La chanteuse de Let’s Get Loud avait déjà fait allusion à sa relation délicate avec sa mère dans Halftime, un documentaire Netflix, en 2022. « Ma mère est une femme super compliquée. Elle a beaucoup de bagages à porter, et elle voulait que nous soyons indépendants et que nous n’ayons jamais à compter sur un homme » a raconté Jennifer Lopez sur sa mère, qui selon elle avait la main leste.

Où en est-elle avec celle qui l’a mise au monde ? Si la mère et la fille se sont éloignées quand Jennifer Lopez a refusé d’aller à l’université pour poursuivre ses rêves, aujourd’hui elle serait en bons termes avec ses deux parents.