05 janvier 2024

Oscar Pistorius : dix ans après le meurtre de sa compagne, l'ex-athlète est libre

En 2012, son nom est entré dans l'histoire du sport : Oscar Pistorius était devenu, à ce moment-là, le premier athlète amputé des deux jambes à courir avec les valides pour les Jeux olympiques. L'homme devient alors un phénomène, un héros dans son pays, et est même choisi pour figurer dans le classement des personnalités les plus influentes au monde du Times... Jusqu'à la descente aux enfers.

En début d'année 2013, sa compagne de 29 ans Reeva Steenkamp est tuée de quatre balles, tirées à travers la porte de leur salle de bains. Oscar Pistorius maintiendra une seule et unique version : il pensait que des cambrioleurs s'étaient introduits chez lui et a tiré pour se défendre. D'abord condamné à cinq ans de prison pour homicide involontaire en 2014, il est finalement condamné pour meurtre en appel en 2017, à une peine de 13 ans de prison.

Depuis 2021, ayant purgé la moitié de sa peine, Oscar Pistorius peut demander une libération conditionnelle. C'est ce qu'a finalement fait l'ex-athlète en mars dernier, mais la demande a été rejetée par la justice. Puis, en novembre dernier, changement de ton. "Le département des services correctionnels confirme le placement en liberté conditionnelle de M. Oscar Leonard Carl Pistorius, à compter du 5 janvier 2024", écrivait l'administration pénitentiaire.

C'est désormais chose faite : depuis ce vendredi 5 janvier, Oscar Pistorius est "chez lui", comme l'a précisé le service pénitentiaire. Cette liberté s'accompagne de quelques règles. Jusqu'à la fin de sa peine, en 2029, Oscar Pistorius doit suivre une thérapie sur la gestion de la colère et un programme sur les violences faites aux femmes. Il est aussi attendu pour des travaux d'intérêt général, et devra être présent à son domicile à certains moments. La consommation d'alcool lui est interdite. June Steenkamp, la mère de la victime, a déjà réagi à la libération d'Oscar Pistorius dans un communiqué : "
Nous, nous sommes condamnés à vie".

Yorgos Lanthimos présente son nouveau film avec Emma Stone

Son nouveau film, Pauvres Créatures, n’est même pas encore sortie dans nos salles françaises que Yorgos Lanthimos s’exprime déjà sur son prochain long-métrage, Kinds of Kindness (qui s'intitulait au départ AND), dans un entretien pour The Guardian. Ce nouveau projet a été tourné à la Nouvelle Orléans durant la post-production de Pauvres Créatures. Le réalisateur le décrit comme “trois films” en un seul.

“C’est un film contemporain situé aux Etats-Unis - trois différentes histoires avec quatre ou cinq acteurs jouant un rôle dans chaque histoire, donc ils jouent tous trois rôles différents. C’est presque comme faire trois films”, explique le cinéaste grec.

Kinds of Kindness s'annonce déjà comme la quatrième collaboration entre Lanthimos et Emma Stone après La Favorite, le court-métrage Bleat (avec Damien Bonnard) et Pauvres Créatures. Willem Dafoe et Margaret Qualley, eux aussi au casting de Pauvres Créatures, sont également dans le projet. Jesse Plemons, Hunter Schafer et Hong Chau signeront eux leur première collaboration avec le réalisateur de The Lobster.

Yorgos Lanthimos a annoncé que le film “est tourné et nous avons commencé le montage.” Il ajoute : “C’est merveilleux de travailler avec Emma, c’est tellement plus facile quand il y a quelqu’un qui vous fait confiance, et à qui vous faites confiance.”

Pauvres Créatures est un Frankenstein au féminin, dans lequel Emma Stone incarne Bella, une jeune femme dont le cerveau est celui d’un enfant après avoir été ramenée à la vie par un savant fou joué par Willem Dafoe. Au cours d’un fabuleux voyage, elle va apprendre et découvrir son identité à travers ses
rencontres et ses expériences. Pauvres Créatures sort au cinéma le 17 janvier.

Le film La Malédiction a son prequel

Il y a des films qui changent totalement votre appréciation d'un prénom... Ce fut le cas en 1976 avec La Malédiction de Richard Donner. Dans ce film d'horreur, l'Ambassadeur des États-Unis à Londres, Robert Thorn (Grégory Peck) réalise que son fils de cinq ans, Damien, n'est autre que la réincarnation de l'antéchrist. Dès lors tous les petits Damien ont été taxés de "fils du Diable".

48 ans après le film, un préquel mis en scène par Arkasha Stevenson (Légion) va voir le jour. Dans ce long métrage, dont la bande-annonce vient d'être dévoilée, une jeune Américaine envoyée à Rome pour entrer au service de l'Église, se retrouve confrontée à des forces obscures qui l'amènent à remettre en question sa propre foi et à lever le voile sur une terrifiante conspiration qui entend donner naissance à l’incarnation du Mal.

Emmené par Nell Tiger Free, Bill Nighy, Ralph Ineson, Charles Dance et Sonia Braga, La Malédiction : L'Origine revient sur la naissance du mal. Le film original a eu plusieurs suites : Damien : La Malédiction 2 (1978) , La Malédiction finale (1981), le téléfilm La Malédiction 4 : L'Eveil (1991) et un remake de John Moore sorti en 2006 : 666 : La Malédiction.

La Malédiction vient donc s'ajouter à la longue liste des films d'horreur culte remis au goût du jour par Hollywood après les sagas Halloween, L'Exorciste et les remakes de Carrie, Simetierre, Ça, Vendredi 13, Massacre à la tronçonneuse, Firestarter ou encore Evil Dead,

La Malédiction : l'origine est prévu dans nos salles obscures le 10 avril prochain.

Nouveautés Netflix du 5 au 11 janvier

L’incontournable de la semaine

Le garçon et l’univers (le 11 janvier) : Dans cette aventure initiatique se déroulant dans les années 80 à Brisbane, la magie et l'innocence de l'enfance se mêlent à la réalité brutale du monde adulte. Un père largué, un frère devenu mutique, une mère aux prises avec son addiction, un beau-père dealer d'héroïne, et un baby-sitter criminel notoire… Malgré les obstacles qui s'accumulent sur son chemin, Eli Bell s'efforce d'écouter son cœur et de comprendre ce que devenir quelqu'un de bien signifie. Adapté du célèbre roman australien de Trent Dalton, Le Garçon et l'Univers explore le passage à l'âge adulte d'un jeune garçon, la frontière entre le bien et le mal et la rencontre entre l'ordinaire et l'extraordinaire. Avec Travis Fimmel (Vikings).

Le vendredi 5 janvier

La Créature de Kyŏngsŏng partie 2 : Au printemps 1945, l'une des périodes les plus sombres de l'histoire coréenne, un homme et une femme luttent pour leur survie face à une créature née de la cupidité humaine.

L'Effet veuf : Dévasté par la disparition de son mari écrivain, un artiste emmène ses deux meilleurs amis à Paris, où vont se dévoiler de vilains secrets et de dures réalités.

La Nuée (catalogue) : Difficile pour Virginie de concilier sa vie d’agricultrice avec celle de mère célibataire. Pour sauver sa ferme de la faillite, elle se lance à corps perdu dans le business des sauterelles comestibles. Mais peu à peu, ses enfants ne la reconnaissent plus : Virginie semble développer un étrange lien obsessionnel avec ses sauterelles...

Le jeudi 11 janvier

Sonic Prime : Les aventures du hérisson bleu rapide comme l'éclair reviennent dans une saison 3

Detective Forst : Dans les montagnes polonaises, un inspecteur aux méthodes peu conventionnelles enquête sur l'étrange meurtre d'un professeur impopulaire. Inspiré de romans à succès.

C'est déjà disponible

Double piège : Quand Maya, une ancienne soldate, aperçoit soudain sur une caméra espion son mari qu'elle pensait assassiné, elle découvre une conspiration meurtrière ancrée au plus profond du passé.

Encore un succès pour Harlan Coben. Le roi du thriller a proposé aux abonnés Netflix une nouvelle adaptation de l'un de ses très nombreux livres et ils semblent avoir beaucoup aimé, si on se fie à la très bonne place de la série dans le top.

Ready Player One en vrai ? Warner veut créer un métavers inspiré du film de Steven Spielberg

Le film Ready Player One, signé Steven Spielberg, réalisait le rêve de tout amateur de pop culture : voir à l'écran la plupart des franchises réunies dans un même long métrage. Adapté du roman éponyme, il racontait une immense chasse au trésor dans l'OASIS, un univers virtuel composé d'influences venues de toute la pop culture.

Mais avec l'avancée des nouvelles technologies, ce qui n'était qu'un fantasme devient un projet concret.

Variety révèle que la firme Futureverse vient de créer le studio Readyverse, une entreprise dont la technologie est basée sur l'intelligence artificielle et le métavers (un monde virtuel perçu par la réalité augmentée). Le co-créateur en est Ernest Cline, auteur célèbre du bestseller Ready Player One, associé à Dan Farah, producteur du film de Steven Spielberg.

Ensemble, ils vont créer une réalité augmentée basée sur l'univers Ready Player One, et donc les franchises qui y apparaissent. Leur idée ? Pour 2024, lancer "Ready Player One en vrai", à savoir un monde multi-licences accessible au plus grand nombre dans un monde ouvert et en réalité augmentée.

Derrière tout cela bien sûr, Futureverse compte bien démarcher et/ou attirer d'autres studios de cinéma afin que leurs licences s'ajoutent à celles de Warner dans ce "Readyverse". Ainsi, les studios pourraient tirer des revenus supplémentaires en rendant leurs licences accessibles à ce monde virtuel.

Grâce à son partenariat avec le studio Warner Discovery, Readyverse peut déjà compter sur tout l'univers DC Comics, Harry Potter, Le Seigneur des Anneaux / Hobbit, L'Arme fatale, Les Looney Tunes, Vendredi 13, Gremlins, L'Inspecteur Harry, Matrix, Scooby-Doo, Bugs Bunny, Tom et Jerry, Freddy, King Kong, Mad Max, Blade Runner, L'Exorciste et des classiques comme Casablanca ou Bonnie et Clyde, La Prisonnière du désert ou Le Faucon maltais.

Laurent Lafitte se transforme en Molière pour Le Molière imaginaire

Laurent Lafitte sera Jean-Baptiste Poquelin dans Le Molière imaginaire dont la bande-annonce vient juste d'être dévoilée.

Le film réalisé par Olivier Py sortira le 14 février prochain. L'histoire se présente ainsi : Paris, 17 février 1673. Comme tous les soirs, Molière monte sur la scène du théâtre du Palais-Royal pour jouer Le malade imaginaire. Ce sera sa dernière représentation...

Plusieurs acteurs se sont déjà glissés dans la peau du célèbre dramaturge au cinéma. Parmi eux, Philippe Caubère dans Molière (1978) de Ariane Mnouchkine, Bernard Giraudeau dans Marquise (1997) de Véra Belmont ou encore Romain Duris dans Molière (2007) de Laurent Tirard.

Ici il s'agira, comme le titre du film l'indique d'une version "imaginaire". La raison ? Le manque de documents historiques sur le célèbre dramaturge. Olivier Py explique dans le dossier de presse du film : "Il n’existe aucune lettre ni aucun manuscrit de lui. On est donc forcé d’imaginer ce qui s’est passé au cours de cette nuit incroyable où il est mort en scène, jouant sa propre mort et se vouant lui-même à la mort. En revanche nous avons la lettre d’Armande à l’archevêque au lendemain de la mort de Molière, missive dont je me suis beaucoup inspiré. Il existe également un document historique qui est le registre de Lagrange et qui apparaît dans le film. Ce n’est pas un document littéraire. Il y décrit le décès de manière factuelle. C’est presque glacial."

Et d'ajouter : "Je ne suis pas historien. Je fais un travail de poète. Je rêve sur Armande, sur Baron et toutes celles et tous ceux qui l’ont entouré. J’aime cette idée de rêver."

Le film sortira donc quelques mois après l'incarnation de Laurent Lafitte en Tapie. L'occasion de proposer aux spectateurs une nouvelle transformation de sa part. Pour Tapie, Lafitte avait du perdre, puis prendre du poids, pour incarner la version jeune, puis plus âgée de l’ancien président de l’Olympique de Marseille et du Ministre de la Ville sous François Mitterrand.

Netflix : la partie 2 de La Créature de Kyongsong est là

Si l'épisode 7 de La Créature de Kyŏngsŏng vous a rendu impatient de découvrir la suite, bonne nouvelle : la partie 2 de la série sud-coréenne débarque sur Netflix dès ce vendredi 5 janvier. Cette seconde salve d'épisodes contiendra les trois derniers de la saison - 8, 9 et 10.

Cette stratégie de scinder les séries en deux parties permet à la plateforme Netflix d'observer et de susciter l'engouement autour du programme. Pour La Créature de Kyŏngsŏng, cela s'est avéré être payant. Quelques jours après sa sortie, ce drame sud-coréen s'est installé dans le classement français du géant du streaming.

Cette superproduction, à mi-chemin entre le fantastique, l'horreur et la science-fiction, suit le cauchemar d'un groupe de survivants enfermés dans une prison de Kyŏngsŏng - ancien nom donné à la capitale de Séoul - face à un monstre tentaculaire.

Derrière son intrigue, La Créature de Kyŏngsŏng s'inspire d'une page sombre de l'histoire de la Corée soumise à la colonisation japonaise. Entre 1910 et 1945, 7 500 personnes sont tuées des mains des forces japonaises.

Pendant plus de trois décennies, de nombreux habitants sont utilisés comme cobayes pour des expériences expériences bactériologiques dans l'Unité 731, base de recherche militaire qui abritait ses pratiques et dont la série tire une grande partie de son inspiration. 

L'actrice Glynis Johns, vue dans Mary Poppins, est décédée à l'âge de 100 ans

Glynis Johns est décédée jeudi 4 janvier à 100 ans, a annoncé son agent Mitch Clem au Hollywood Reporter. Son rôle le plus connu internationalement est celui de Mrs Winifred Banks, maman de Jane et Michael Banks, mariée à George W. Banks dans le célèbre film Disney Mary Poppins. Elle y incarne une mère au foyer décalée et engagée, puisque Suffragette réclamant le vote des femmes et remettant à son mari les pieds sur terre lorsqu'il s'emballe.

Actrice mais aussi chanteuse, elle avait été nommée à l'Oscar de la Meilleure actrice dans un second rôle pour Les Horizons sans frontières de Fred Zinnemann.

Glynis Johns avait commencé sa carrière en 1938 à l'âge de 15 ans, et gravit rapidement les échelons. En 1946, elle obtient son premier rôle marquant dans This Man Is Mine et obtient le succès avec Frieda (1947) et Miranda (1948), dans lequel elle interprète une sirène ! Un type de rôle surprenant, mais qu'elle retiendra dans Folle des hommes des années plus tard.

A l'époque, son image est très "glamourisée" et rendue exotique dans des films d'aventures comme Moana, fille des tropiques ou Le Vagabond des îles. On retiendra plus volontiers sa prestation dans Filles sans joie, film carcéral sorti durant la première moitié des années 50.

Outre Mary Poppins, elle tournera pour Disney Echec au roi et La Rose et l'épée, deux films d'époque.

Sa carrière ne retrouvera jamais le succès de ses débuts, et elle tournera alors beaucoup à la télévision, notamment dans Batman dans laquelle elle interprète une super-vilaine cambrioleuse à quatre reprises, mais aussi Arabesque ou La Croisière s'amuse.

En 1999, elle joue son dernier rôle à l'écran dans la comédie Superstar avec Molly Shannon et Will Ferrell. A 76 ans, elle annonce mettre fin à sa carrière. Elle était devenue la doyenne du cinéma.

04 janvier 2024

Sheila pousse un coup de gueule contre une grosse arnaque qui vise ses fans

La célébrité apporte son lot d'avantages et d'inconvénients. Sur les réseaux sociaux, il est désormais impossible de compter le nombre d'arnaques qui sévissent, notamment celles qui utilisent le nom des personnalités sans leur consentement.

Plus d'une fois, Laurence Boccolini a tenu à sensibiliser sur ce type d'escroquerie. Par le passé, la célèbre animatrice est apparue plusieurs fois dans des publicités de produits minceur sans même donner la moindre autorisation : "ATTENTION, si vous rencontrez ceci sur Instagram, SIGNALEZ ces comptes : ce sont des arnaques qui volent nos images", a-t-elle déjà déclaré sur les réseaux sociaux. Un message de prévention qu'elle est loin de lancer seule. Ce mercredi 3 janvier, Sheila a, elle aussi, passé un véritable coup de gueule sur la Toile.

Annie Chancel, de son vrai nom, s'arme, elle aussi, contre les escroqueries qui pourraient atteindre ses fans. De ce fait, c'est sur Instagram que l'artiste s'est rendue pour faire part d'un message important par le biais de ses équipes : "À la demande de Sheila, je vous informe que quelqu’un se faisant passer pour un proche de l’artiste (qu’il n’est pas) organise une soirée payante à Nice et annonce sa présence", ont-ils déclaré. Et d'ajouter : "Surtout ne répondez pas et n’envoyez pas d’argent, c’est une arnaque ! Il est bien évident que toute manifestation prévue sera annoncée directement par le site officiel. Tout le reste n’est que fake. Face à la recrudescence de faux comptes, d’escroqueries et de fabulation en tout genre, restez prudents ! Bonne année à vous tous !". Un message essentiel…

Simon Castaldi : son annonce sur son avenir à la télévision

On l'avait quitté le 28 novembre dernier, éliminé aux portes de la finale des Cinquante, saison 2. Simon Castaldi avait une nouvelle fois fait sensation, non pas pour ses performances lors des épreuves, mais plutôt pour son aventure avec Cassandra : "Cette saison a été marquée par des hauts et des bas, des moments de tension et de confrontations, mais aussi par une révélation personnelle profonde", avait-il expliqué après sa sortie. L'ancien compagnon d'Adixia, qui a porté plainte contre lui pour vol avant d'enterrer la hache de guerre, semblait alors bien parti pour continuer les émissions de télé-réalité qui lui ont permis de se faire un nom — pourtant déjà célèbre grâce à son père… et son grand-père. Mais les projets de la star pourraient bien l'emmener sur une tout autre voie.

Après s'être confié à cœur ouvert sur son "année difficile" marquée par ses ruptures amoureuses, Simon Castaldi a en effet offert un constat quelque peu amer sur ses premières années à la télévision lors d'une interview accordée au média Télépro : "J'ai commencé très tôt. On m'a proposé Les Princes de l'amour, j'avais 20 ans. J'étais en études sport business après mon bac. Il y a eu le Covid ! Moi, de base, je ne voulais pas faire de la télé-réalité, ce n'était pas mon rêve ! Je vais être franc, je n'ai jamais été fan de télé", a-t-il expliqué, avant de faire une annonce fracassante : "Je veux me refaire une bonne image. Je vais tirer un trait sur la télé" a-t-il lancé à l'animateur. Mais alors, quel avenir pour Simon Castaldi ? Il déclare : "J'avais fait de la radio (...) j'avais adoré. (...) J'ai peut-être une carte à jouer dans ça, ou pas, mais je n'ai pas encore essayé, donc qui ne tente rien n'a rien, mais je suis encore jeune (...) chroniqueur pour commencer, c'est bien, pourquoi pas", a-t-il conclu.