Benshi : découvrez ce que vous réserve la plateforme pour les fêtes de fin d’année

Spécialisée dans les films et séries jeunesse, la plateforme de streaming Benshi propose une très grande variété d'œuvres parfaitement adaptées aux tout petits. A l’approche des fêtes de fin d’année, elle réserve un très beau cadeau à tous les parents en quête d’un endroit où retrouver la meilleure programmation pour leur(s) enfant(s) afin de partager leur amour du cinéma avec eux.

Pour Noël, Benshi met en effet les petits plats dans les grands avec une jolie surprise : grâce au code promo CESTNOEL, bénéficiez de 2 mois d’abonnement à seulement 1€/mois. L’occasion rêvée de découvrir tous les avantages de cette plateforme et d’en profiter pour passer de beaux moments en famille pendant les vacances !

Avec des contenus de saison comme Sacré Père Noël, Noël avec les frères Koalas et La bûche de Noël, mais aussi de grands classiques du cinéma, parmi lesquels Les 400 coups et L’Homme de Rio, cette plateforme vous accompagne dans votre sélection grâce à des fiches détaillées préparées avec soin par son équipe d’experts.

La plateforme Benshi se décline également sous la forme d’une application mobile qui vous permettra, grâce à votre abonnement, d’accéder en illimité à l’ensemble des films et séries disponibles, et aux présentations fouillées qui les accompagnent.

Pour profiter de vos programmes hors connexion quand vous le souhaitez et où vous le souhaitez, il vous suffit de les télécharger via l’application sur votre téléphone ou votre tablette. Une fonctionnalité idéale pour les longs trajets, les salles d’attente ou tout autre moment où vous n’avez peut-être pas accès à une connexion stable.

Noël approche à grands pas et vous êtes peut-être encore à la recherche d’idées pour combler vos proches et leur offrir de beaux présents ? Ça tombe bien, puisque Benshi propose des cartes cadeaux valables pour 6 mois ou 1 an, permettant ainsi à la personne de votre choix de découvrir la plateforme dans son intégralité.

Et ce n’est pas tout ! Si vous avez besoin d’aide pour remplir votre watchlist, et trouver des programmes qui plairont aussi bien à vous qu’à votre bambin, l’ouvrage Benshi, Le meilleur du cinéma pour les enfants est exactement ce qu’il vous faut. Ce guide extrêmement complet met en lumière 150 films incontournables à montrer aux 3-6 ans pour les initier au cinéma. Un très beau livre à glisser au pied du sapin !

Reacher : un clin d'œil à Tom Cruise se glisse dans la saison 2 de la série Netflix

Disponible depuis vendredi dernier sur Prime Video – avec les trois premiers épisodes – la saison 2 de Reacher démarre fort. Dans le deuxième épisode, Reacher (Alan Ritchson) et son équipe, composée de Frances Neagley (Maria Sten), David O'Donnell (Shaun Sipos) et Karla Dixon (Serinda Swan), soupçonnent que quelqu'un en veut à leur ancienne unité de l'armée américaine, la 110e MP Special Investigations.

À la question de savoir qui pourrait avoir une telle haine de la 110e au point d’éliminer ses membres un par un, un nom est lancé : James Barr !

Les fans de Jack Reacher, qu'ils soient amateurs des romans ou des films, s'en souviennent. James Barr est un personnage important du livre Folie furieuse, ainsi que de l'adaptation au cinéma Jack Reacher avec Tom Cruise. Il est alors interprété par Joseph Sikora.

Dans la série, Reacher exclut immédiatement Barr comme suspect. Il explique à O'Donnell, qui n'en revient pas, qu'il l'a aidé à se sortir d'un mauvais pas il y a environ un an et qu'il a donc une dette envers lui.

Avec cette simple réplique, les scénaristes nous révèlent au passage que les événements du roman Folie furieuse se sont déroulés avant les ceux de la deuxième saison. Dans le livre, Reacher aide ce James Barr et prouve son innocence lorsque le tireur d'élite est accusé d'avoir commis des meurtres.

À l'époque de l'armée, la 110ème a encore confondu Barr comme étant le meurtrier de plusieurs soldats, mais n'a pas pu l'inculper parce que l'armée voulait étouffer l'affaire.

La scène n'est pas seulement destinée à nous révéler ce que Reacher a fait au cours de ses pérégrinations à travers le pays pendant les deux années qui se sont écoulées depuis la fin de la première saison. Ce n'est pas non plus simplement pour nous montrer que dans l'univers de la série, les événements se déroulent dans le même ordre que dans l'univers du livre.

Il ne s'agit pas non plus d'un simple easter egg sur la meilleure histoire de Reacher pour beaucoup, mais aussi la plus populaire en dehors du lectorat grâce à l'adaptation cinématographique avec Tom Cruise. Il y a probablement aussi un message derrière tout cela.

En effet, les fans de Reacher du monde entier se demandent quels livres seront adaptés pour les futures saisons de la série. La troisième saison est d'ailleurs commandée, mais on ne sait pas encore sur quel roman elle va s’appuyer.

Et c'est justement Folie furieuse qui revient régulièrement dans les discussions sur les histoires que les fans veulent voir avec Alan Ritchson parce que c'est l'un des meilleurs livres de Lee Child.

Il y a ceux qui souhaitent voir une nouvelle adaptation. Mais parce que c'est l'un des rares livres à avoir déjà été adapté, une autre partie des fans qui préférerait s'en passer.

En faisant brièvement allusion à James Barr, les scénaristes semblent s'être positionnés. Les événements ont eu lieu, ils se situent dans le passé. Comme il ne faut pas s'attendre à ce que la troisième saison ou toute autre saison future se déroule soudainement entre la première et la deuxième, il est donc clair que Folie furieuse appartient au passé, les événements ont eu lieu. Il n'y aura pas d'adaptation.

Il existe déjà 28 romans sur Jack Reacher, le 29ème est actuellement en cours d’écriture. Il y a donc une quantité incroyable d’histoires, de sorte qu'il n'est pas nécessaire de revenir sur celle qui a déjà été racontée.

Les confidences de Fanny Ardant sur le temps qui passe

Elle est l’une des actrices les plus emblématiques du cinéma français. Huit Femmes, Callas Forever, Pédale douce ou plus récemment Les jeunes amants : Fanny Ardant enchaîne les rôles depuis ses débuts dans la série Dames de la côte, diffusée en 1979. À 74 ans, elle est de retour dans le long métrage Ma France à moi, réalisé par Benoit Cohen. L’actrice y incarne le personnage de France, une Parisienne avenante et anticonformiste, d'une soixantaine d'années, qui décide d'accueillir chez elle un jeune réfugié afghan.

"C'est une femme qui a toujours été forte et qui se trouve au bord du précipice, face à l'un des grands virages de la vie [...] Lorsqu'elle entend parler à la radio d'une association qui met en contact des personnes réfugiées sans logement et d'autres ayant la possibilité de les accueillir, elle décroche son téléphone pour se porter volontaire", a-t-elle expliqué à Madame Figaro.

Au cours de cet entretien, publié jeudi 13 décembre, Fanny Ardant a également évoqué son rapport à l’âge et la manière dont elle vie la vieillesse. "Il y a quelque chose de très tragique dans la vieillesse. Aux yeux des jeunes, c'est même un naufrage. Mais c'est intéressant de s'y plonger. Moi, je veux y entrer en me disant : Voilà. Tu le sais depuis que tu as 15 ans ! Tu ne vas pas faire l'étonnée maintenant ! Je veux vivre ma vieillesse avec intelligence et dignité, car je déteste l'idée de me sentir une victime", a-t-elle d’abord expliqué.

"Il y a deux choses dont il ne faut pas se plaindre : payer les impôts et vieillir. En revanche, c'est moi qui décide quand et comment. Car le vieillissement c'est la société qui le définit", a-t-elle continué, avant d’expliquer comment elle affronte la vieillesse. "Je me suis toujours dit que la vieillesse, il fallait la préparer. Comme on prépare un lit. C'est pour cela qu'il est si important d'aimer lire, d'aimer la conversation, d'apprendre un instrument de musique. C'est comme s'il fallait se préparer à rester tout seul. Les livres m'ont toujours beaucoup aidée à vivre", a ajouté l’actrice. Un beau témoignage.

Netflix réunit George Clooney et Adam Sandler

George Clooney et Adam Sandler seront les stars d'un nouveau film Netflix encore sans titre pour le moment, réalisé par Noah Baumbach, nous annonce Deadline. Le réalisateur a également co-écrit le scénario avec l'actrice britannique Emily Mortimer qui a créé la série Doll & Em. Noah Baumbach, Amy Pascal et David Heyman produisent le film.

Les détails de l'intrigue sont encore vagues pour le moment, si ce n'est qu'il s'agit d'un film drôle et émouvant sur le passage à l'âge adulte. Baumbach a un contrat d'exclusivité avec la plateforme, ayant déjà réalisé The Meyerowitz Stories (New and Selected), qui mettait déjà en scène Adam Sandler, puis Marriage Story avec Adam Driver et Scarlett Johansson et plus récemment White Noise, à nouveau avec Adam Driver et Greta Gerwig.

Pour rappel, Noah Baumbach a également coécrit Barbie, le film qui a rapporté le plus d'argent cette année, avec sa partenaire Greta Gerwig.

Pour George Clooney et Adam Sandler, il s'agit de la première collaboration entre les deux stars du cinéma. Un duo pour le moins inattendu. Et Netflix n'a fait aucun commentaire sur le film.

George Clooney a récemment réalisé The Boys in the Boat avec Calum Turner et Joel Edgerton. Ce film sort à Noël aux États-Unis, mais n'a pas encore de date en France. Il devrait également retrouver Brad Pitt quelques années après Ocean's Eleven et Burn After Reading, dans le film Apple Wolfs, qu'il produit également. Ce film sortira en 2024.

Adam Sandler, de son côté, n'a pas chômé non plus en 2023, notamment avec plusieurs films Netflix : Murder Mystery 2 et Tu peux oublier ma bat-mitsva. Il a aussi récemment prêté sa voix au film d'animation de Netflix, Leo qui a cartonné sur la plateforme.

Guy Marchand est mort à l'âge de 86 ans

L'Agence France Presse a annoncé ce vendredi le décès de l'acteur et chanteur Guy Marchand à 86 ans. Il avait remporté le César du Meilleur second rôle dans Garde à vue et avait marqué les téléspectateurs avec son rôle du détective privé Nestor Burma. On avait aussi pu entendre sa chanson Destinée (composée par Vladimir Cosma) dans Les Sous-doués en vacances et Le Père Noël est une ordure.

Issu d'un milieu modeste, Guy Marchand se tourne très vite vers la musique en apprenant en autodidacte la clarinette. Il tente d'abord une carrière dans la Légion étrangère après avoir passé toute son enfance à Paris.

C'est d'ailleurs en tant que conseiller qu'officier parachutiste qu'il intégrera le casting et l'équipe technique du Jour le plus long, en 1962. Il devient par la suite compositeur puis décide d'interpréter sa chanson La Passionata, qui est un grand succès en 1965.

Il fait ses véritables débuts au cinéma en 1971 dans le Boulevard du rhum de Robert Enrico, premier rôle qui lui permet de jouer aux côtés de Brigitte Bardot et Lino Ventura, rien de moins. Il enchaîne avec Une belle fille comme moi de François Truffaut (1972) mais c'est l'énorme succès de Cousin, cousine, de Jean-Charles Tacchella, qui le rend célèbre par le réalisme de son personnage et lui vaut l'étiquette de latin lover et de crooner (à cause de sa voix).

Il réussit cependant à casser cette image en multipliant d'abord les personnages d'hommes ordinaires, policier sans histoire dans Tendre poulet (1977) ou publicitaire trompé par sa femme dans Loulou (1980).

Cette même année le comédien s'illustre dans Nestor Burma, détective de choc, accompagnant le détective privé incarné par Michel Serrault. Joli signe du destin : il se glissera, près de dix ans plus tard et sur petit écran, dans le costume du personnage.

Son rôle important dans Les Sous-doués en vacances (1982) et son interprétation de la chanson
Destinée le ramène un temps à son personnage de crooner mais avec à la clé un grand succès, au point que le titre est aussi entendu la même année dans Le père Noël est une ordure.

Il se délecte cependant de seconds rôles de salauds. Il est tour à tour un militaire raciste dans Coup de torchon (1981) auprès de Philippe Noiret, un inspecteur violent dans Garde à vue (1981), qui lui vaut le César du Meilleur second rôle, un criminel dans Mortelle randonnée (1983), un voleur dans Conseil de famille (1986), un garagiste âpre au gain dans L'Ete en pente douce (1987) ou encore un flic véreux dans Ripoux contre ripoux (1989).

Guy Marchand se fait beaucoup plus rare au cinéma à partir des années 90, durant lesquelles il se consacre à nouveau à la musique et à la télévision. Il s'installe dans le Luberon et élève depuis des chevaux, grâce auxquels il monte la première équipe féminine du monde de polo, l'El Gaucho Polo Club.

Sur petit écran, il se distingue notamment en incarnant le détective privé Nestor Burma dans la série du même nom, après avoir été l'adjoint de son prédécesseur Michel Serrault. En 2006, il revient vers le cinéma avec le Dans Paris de Christophe Honoré. Un an plus tard, il est à l'affiche du drame Après lui, de Gaël Morel.

C'est en 2007 qu'il publie son autobiographie, Le Guignol des Buttes-Chaumont et se lance alors dans l'écriture de romans. Il publie ainsi Un rasoir dans les mains d'un singe (2008) et Le Soleil des enfants perdus (prix Jean Nohain 2012).

Sa carrière cinématographique s'en trouve ralentie, bien qu'on le retrouve par la suite dans quelques seconds rôles qu'il affectionne, notamment dans Passe-passe (2008) de Tonie Marshall. Il s'illustre aussi, en 2010, dans un premier rôle inattendu, très dramatique, dans le film historique L'Arbre et la forêt d'Olivier Ducastel et Jacques Martineau.

Il faut ensuite attendre 2014 pour le voir réapparaître au cinéma, en tête d'affiche de Calomnies de Jean-Pierre Mocky, ainsi que dans L'Art de la fugue, de Brice Cauvin. Père de Ramzy dans l'original Hibou, Guy Marchand apparaît dans la comédie dramatique Ôtez-moi d'un doute et la comédie Le Doudou.

Il goûte aussi aux séries avec Prière d'enquêter et Dix pour cent, puis joue un personnage central dans deux téléfilms dramatiques traitant d'un sujet grave : Illégitime et La Dernière partie. En 2022, l'acteur de 85 ans retourne à la comédie avec Les Folies fermières porté par le très à la mode Alban Ivanov et apparaît pour la dernière fois au cinéma dans La plus belle pour aller danser (2023).

Le Contrat : Arnold Schwarzenegger a été forcé de jouer dans ce film

Alors qu'il était en train de devenir une énorme star après Conan le barbare et Terminator, Arnold Schwarzenegger a été forcé de tourner un film d'action bourrin mal reçu ! 

Le Contrat de John Irvin fait partie des pires films de l'acteur bodybuildé, mais pourquoi a-t-il été obligé de le faire ?

A l'époque, Arnold Schwarzenegger était sous contrat avec le producteur italien Dino De Laurentiis. Ce dernier lui a offert sa chance en lui confiant le rôle de Conan le barbare dans le film éponyme et sa suite, Conan le destructeur, mais leur collaboration s'est mal terminée.

Le financier a contraint l'acteur à tourner quatre semaines (au lieu d'une) sur le film Kalidor, la légende du talisman, dans lequel il ne devait jouer qu'une courte apparition, transformant le film - intitulé "Red Sonja" en VO - en un film avec Schwarzenegger en tête d'affiche.

Après cette filouterie, Schwarzenegger comprend qu'il doit se détacher du producteur pour poursuivre sa carrière comme il l'entend. Il accepte donc de tourner le film Le Contrat à la condition d'être libéré du sien avec De Laurentiis. Le titre français est un bon moyen mnémotechnique pour se rappeler de cette anecdote !

Le Contrat raconte comment Mark Kaminsky, ex-agent du FBI viré pour sa brutalité, est contacté par son ancien chef pour infiltrer un gang mafieux dirigé par un certain Patrovina, et éliminer ses membres un par un. Kaminsky accepte, espérant que cette mission lui permettra de réintégrer le Bureau.

Dino De Laurentiis espère que le succès du Contrat lui permettra de gagner suffisamment d'argent pour financer Total Recall, qu'il compte adapter sur grand écran avec Patrick Swayze, au détriment de Schwarzy, qui adorerait jouer le rôle de Doug Quaid.

Finalement, Le Contrat est un échec critique comme public, précipitant la faillite du producteur et mettant fin à ses rêves d'adaptation de la nouvelle de Philip K. Dick.

Un projet pas perdu pour tout le monde, puisque les droits du livre SF seront vendus à la société Carolco Pictures, qui l'adaptera en 1990 avec un certain... Arnold Schwarzenegger ! Une belle revanche pour l'acteur !

One Piece : l’adaptation du préquel arrive en janvier sur Netflix

Avant que le premier manga One Piece ne voit le jour en 1997, son auteur Eiichiro Oda avait imaginé diverses petites histoires mettant en scène des cowboys, des samouraïs ou encore des bonzes, afin d’étudier plusieurs pistes scénaristiques.

Toutes ces aventures sorties entre 1992 et 1996 dans le magazine Weekly Jump seront par la suite compilées dans un recueil d’histoires.

Dans ce lot de nouvelles, deux d’entre elles marqueront les esprits : Romance Dawn, qui sera le premier chapitre consacré à Luffy et ses amis, et Monsters. Et c’est ce dernier dont nous allons vous parler ici.

Eiichiro Oda nous y raconte les aventures d’un certain Ryûma, un samouraï du pays de Wa. Un personnage qu’il introduira bien plus tard dans One Piece (sous la forme d’un zombie), et qui lui a permis de mélanger les deux univers.

Presque 30 ans après la sortie de cette nouvelle, Eiichiro Oda a donné son accord pour en faire une adaptation en anime. Intitulée MONSTERS : L’Enfer du dragon volant aux 103 passions, l’action se déroulera des années avant les aventures de Luffy et fait donc office de préquel à One Piece.

De quoi ça parlera exactement ? Lorsqu’une corne de dragon aux pouvoirs magiques a été volée, Ryûma se retrouve mêlé au drame de ce vol et à l'apparition dévastatrice d'un dragon en ville... C’est le célèbre studio E&H Production (derrière Jujutsu Kaisen) qui sera en charge de la réalisation de l’anime.

Monsters est donc un mini-événement pour les fans de One Piece et pour les plateformes, qui se sont arrachés les droits de diffusion. ADN avait annoncé en novembre dernier avoir acquis les droits sur l’anime mais le proposera probablement dans un second temps. Contacté par nos soins, Netflix a confirmé que la série sortirait dès janvier 2024 (la date n'a pas encore été annoncée).

Même s’il s’agit d’un anime et non pas de live action, les fans qui ont découvert One Piece grâce à l’adaptation de Netflix devraient tout de même s’y intéresser puisque cela se déroule dans le même
univers. Le personnage Ryûma partage d’ailleurs quelques points communs avec un certain Roronoa Zoro …

Jean-Pierre Foucault revient sur son arrêt cardiaque

Il y a quelques mois, Jean-Pierre Foucault a eu une grosse frayeur. L'animateur de TF1 a été victime d'un arrêt cardiaque à son domicile de Carry Le Rouet, dans le Sud de la France. Un grave problème de santé qu'il a évoqué en mai dernier sur le site Doctissimo. "C’est en descendant de l’avion à Marignane (l'aéroport de Marseille, ndlr), que j’ai ressenti une forte oppression thoracique, avait-il confié. J’ai demandé à mon épouse un peu d’eau, mais la douleur n’est pas passée. J’ai tout de même pris la voiture en direction de la maison, située à une vingtaine de minutes de l’aéroport. Une fois sur place, je n’ai pas pu gravir les quelques marches qui me séparaient de la porte d’entrée. Je me suis allongé par terre, dans le jardin, et nous avons appelé les secours. Ils m’ont alors indiqué de ne plus bouger". Transporté d'urgence à l'hôpital, le compagnon d'Evelyn Jarre a dû être opéré.

"Les chirurgiens m’ont ensuite débouché un stent, puis j’ai été admis au service de soins intensifs. Je suis ensuite monté d’un étage et je me suis reposé durant 5-6 jours", a-t-il révélé, alors qu'il a dû également suivre "trois semaines de rééducation (sport, marche…) au sein de l’Hôpital Léon Bérard, à Hyères". Des mois plus tard, Jean-Pierre Foucault va mieux. Ce samedi 16 décembre, il sera même sur la scène du Zénith de Dijon pour la 94ème édition de l'élection Miss France. À cette occasion, le présentateur de 76 ans a donné de ses nouvelles. "Je vais très bien ! J'ai eu un souci au mois de mars, mais maintenant, ça va très bien !", a-t-il confié dans les colonnes de Soir Mag. Il est également revenu sur ce moment difficile. "Ce ne sont pas des moments faciles à vivre et à la fois, il faut les traverser, a-t-il expliqué. J'ai été pris en charge remarquablement et au bon moment. Ma rééducation s'est ensuite très bien déroulée et j'ai retrouvé ma forme d'avant. Quand ça repart, ça repart !" Et il va le prouver avec une belle surprise lors de la cérémonie de Miss France 2024.

Yannick Noah n'a pas terminé sa saga avec le tennis tricolore. Dernier vainqueur français de Roland Garros en 1983 -une éternité-, l'ancien numéro trois mondial a prolongé sa carrière sur les courts en devenant capitaine de l'équipe de Coupe Davis. Et il a prouvé qu'il avait toujours le mojo puisque ce motivateur hors-pair a mené les siens à la victoire en 1991 et 1996, avant de se tourner entièrement à sa seconde passion : la chanson.

Mais le papa de cinq enfants n'a jamais vraiment coupé avec son amour pour la petite balle jaune. En juin dernier, les organisateurs du tournoi de la Porte d'Auteuil lui ont réservé un bel hommage à l'occasion du quarantième anniversaire de sa prestigieuse victoire. "C’est marrant, j'ai l'impression d'assister à mon enterrement, mais plutôt de manière positive", avait-il ironisé pour mieux cacher son émotion.

Les vivas de la foule l'ont peut-être rappelé à ses devoirs : celui de transmettre son savoir et sa niaque aux générations suivantes. Ainsi, ce jeudi 14 décembre, le proche d'Amélie Mauresmo a été désigné capitaine de l'équipe de France masculine de tennis des Jeux paralympiques, qui se tiendront à Paris du 28 août au 8 septembre 2024. "Yannick va prendre ce challenge, car c'est un homme de challenge, il l'a démontré, c'est un meneur d'hommes", a déclaré Gilles Moretton, le président de la FFT, lors d'une conférence de presse. L'intéressé se dit, lui, "hyper excité" par ce nouveau défi : "Nous sommes actuellement dans une phase où l’on apprend à se connaître. Je découvre aussi les spécificités du tennis en fauteuil, les zones à travailler, nos points forts et nos points faibles. C’est passionnant". Un retour dans le giron pour Yannick Noah, qu'il espère escorté d'une médaille d'or cet été.

Isabelle Adjani condamnée pour fraude fiscale : 2 ans de prison avec sursis et 250 000 euros d'amende pour l'actrice

La sentence est tombée pour Isabelle Adjani. Jugée depuis octobre par le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale et blanchiment, l'actrice de 68 ans vient d'apprendre sa sanction : elle a été condamnée à 2 ans de prison avec sursis et 250 000 euros d'amende. L'actrice de L’été meurtrier (1983), Camille Claudel (1988), ou encore La Reine Margot (1994) est accusée d'avoir fraudé l'administration fiscale en 2013, 2016 et 2017, par le biais de plusieurs mécanismes. Elle aurait notamment dissimulé "une donation de deux millions d'euros émanant de Mamadou Diagna NDiaye, sous couvert d'un prêt, lui ayant permis d'éluder 1,2 million d'euros de droits de mutation".

L'actrice s'est également fictivement domiciliée au Portugal, ce qui lui a permis "d'éluder 236.000 euros d'impôt sur le revenu", détaillait à l'AFP une source judiciaire, en juillet dernier. Enfin, elle était soupçonnée de blanchiment pour avoir reçu depuis une société offshore 119 000 euros sur un compte bancaire américain "non déclaré", une somme ensuite transférée au Portugal. Selon sa défense, cet argent aurait été utilisé "pour faire un don à la famille de sa gouvernante, afin qu’elle puisse acquérir un bien au Portugal". L’enquête avait été ouverte en 2016 après l’apparition du nom d’Isabelle Adjani dans les Panama Papers, comme détentrice d’une société aux îles Vierges britanniques. Les investigations n’ont mené à aucune poursuite sur ce volet mais d’autres soupçons ont alors été éveillés.

À l’audience le 19 octobre, le parquet national financier avait requis 18 mois de prison avec sursis et 250 000 euros d’amende, ainsi que deux ans d’inéligibilité. "Avant d’être une personnalité publique, elle est une citoyenne soumise à des devoirs", ont estimé les procureurs financiers, pour qui la vedette de cinéma "a cherché, de façon assez systématique, à diminuer son imposition entre 2013 et 2017".

Le procès s'est tenu sans l'actrice aux cinq César, qui se trouvait alors aux Etats-Unis. Ses avocats avaient demandé le report de l'audience, invoquant une "pathologie aiguë", mais cette requête avait été rejetée par le tribunal, qui s'est dit sceptique quant à son "intention réelle" de venir à la barre. Pour l'heure, Isabelle Adjani ne s'est pas encore exprimée sur sa condamnation.