20 septembre 2023

Dumb Money : le film sur le nerd qui a fait trembler Wall Street sortira bien en France

Dumb Money, le nouveau film de Craig Gillespie (Moi, Tonya), est adapté d'une incroyable histoire vraie. Keith Gill (Paul Dano) est un streamer qui s’obstine à placer ses économies dans l’entreprise GameStop, a priori sans avenir. Il utilise sa petite notoriété pour convaincre ses followers de le suivre et de miser aussi sur ce pari fou. Jusqu’à ce que les actions décollent et qu’ils se mettent à devenir très très riches. Mais la fête sera de courte durée puisque les milliardaires de Wall Street ne comptent pas se laisser dépouiller sans rien faire. 

En plus de son sujet très vendeur qui s’inscrit dans la continuité du Loup de Wall Street et de The Big Short, Dumb Money a un autre argument de choix : son casting. Aux côtés de Paul Dano, la bande-annonce nous révèle Pete Davidson, Shailene Woodley, Nick Offerman, Sebastian Stan, Seth Rogen, America Ferrera et Vincent D’Onofrio. Et il promet un film au rythme frénétique et une confrontation dantesque entre les outsiders venus du peuple et les requins de la finance décidés à défendre leurs biens. Déjà en salle aux Etats-Unis, Dumb Money sortira en France le 29 novembre 2023. 

Sylvester Stallone évoque la longévité exceptionnelle de sa carrière

En dépit d'une carrière inévitablement en dents de scie, le parcours de Sylvester Stallone, 77 ans au compteur, force le respect. Lui qui pourtant partait bien mal dès la naissance, lorsque son visage fut abîmé par des forceps. Un nerf facial fut touché, sa bouche tordue à jamais. Sa langue, à moitié paralysée. Stallone en gardera toute sa vie un défaut de prononciation, qui deviendra aussi sa marque de fabrique.

Multipliant les petits boulots (coiffeur, homme d’entretien dans un zoo, ouvreur dans un cinéma) et les petits rôles (dont un film érotique, L’Etalon italien, et un Woody Allen, Bananas), il refusera un pont d’or pour vendre son scénario de Rocky à Hollywood et acceptera le salaire minimum pour vendre ET jouer son scénario. La suite appartient à l'Histoire.

Il a offert au public au moins deux personnages iconiques qui sont entrés dans la mémoire cinéphilique des spectateurs du monde entier : Rocky Balboa et John Rambo. Quoi qu'on puisse penser de sa filmographie, il reste aux yeux du public une icône du Box Office hollywoodien; incarnation absolue aussi de l'Action Hero des années 80 aux côtés de son rival d'alors, Arnold Schwarzenegger.

"Les années 80 ont été une période très intéressante parce que le véritable Action Guy n’était pas encore vraiment formé" disait d'ailleurs Stallone. "Jusqu’à cette époque, l’action se bornait surtout à une course-poursuite en voiture comme Bullitt ou French Connection".

Si Sly ironise gentiment sur les problèmes d'arthrite à l'évocation d'un Rambo 6, il n'a évidemment pas hésité à ressortir la grosse artillerie pour jouer avec ses copains mercenaires dans Expendables 4, qui sort en octobre prochain.

"Je suis soufflé par la longévité de ma carrière" a lâché l'acteur dans une interview accordée à Entertainment Tonight Canada, à l'issue de la présentation au festival de Toronto du documentaire Sly, qui balaye 50 ans de carrière. "Vous ne savez jamais si vous durerez, combien de temps vous pouvez attendre. La société change et évolue, la manière de vendre les films aussi. C'est plus rapide qu'avant. La longévité devient dans ce contexte un luxe".

Il ajoute : "je me considère comme le dernier des dinosaures d'une certaine façon. Et j'en suis très fier. Il faut que je pense à cela. C'est incroyable... Je veux dire, ca fait presque 50 ans de carrière. Donc je ne prend rien pour acquis, et j'ai vraiment envie de passer le temps avec mes proches. La majorité de ce qu'il me reste".

The Good Doctor : pourquoi Savannah Welch quitte-t-elle déjà la série ?

L’hôpital Saint Bonaventure s’apprête à perdre l’un de ses membres. L’épisode 11 de la saison 6 de Good Doctor, diffusé ce mercredi 20 septembre à partir de 21h10 sur TF1, marque en effet la dernière apparition de Savannah Welch, qui campait la résidente en chirurgie Danica “Danni” Powell.

La comédienne, qui a intégré le casting de la série médicale en tant que régulière au début de la saison, va donc quitter les rangs de l’hôpital après seulement 8 épisodes. Une apparition rapide qui s’explique par la nature du contrat de la comédienne. Même si son personnage avait une problématique importante, Danni étant amputée d’une jambe, Savannah Welch avait signé pour rejoindre le casting en tant que régulière et savait donc que ses jours dans la série étaient comptés.

C’est donc dans l’épisode 11 de la saison 6, intitulé “Une simple distraction”, qu’ont lieu les adieux mouvementés du personnage. Depuis son arrivée à l'hôpital, le Dr. Powell a souvent fait preuve d’insubordination, le jeune femme préférant suivre ses propres règlesplutôt que celles de l’hôpital.

Suite aux événements survenus dans cet épisode, le Dr Audrey Lim (qui va réussir à recouvrer l'usage de ses jambes), cheffe du service de chirurgie, est contrainte de licencier la jeune femme après qu’elle a tenté de réaliser une opération non supervisée sur un de ses amis de la marine en utilisant des fournitures volées à l’hôpital. Asher Wolke (Noah Galvin), qui l’a aidée durant l’opération avant l'arrivée de Lim (Christina Chang), a quant à lui écopé d’une mise à l’épreuve de deux mois.

Brandon Larracuente, qui a rejoint Good Doctor au début de la saison 6 dans la peau Dr Danny Perez, a quant à lui, été promu régulier après seulement quatre épisodes au sein de la série médicale.

Le comédien, que nous avons pu découvrir dans la série Netflix 13 Reasons Why, va donc apparaître dans tous les épisodes de la saison 6. Pour le moment, nous ne savons pas si l’acteur sera aussi présent dans la saison 7, le tournage n’ayant pas encore repris à cause de la grève à Hollywood.

Retrouvez trois épisodes inédits de la saison 6 de Good Doctor ce mercredi 6 septembre à partir de 21h10 sur TF1. Les 5 premières saisons sont disponibles sur Prime Video et Netflix.

Beverly Hills : des retrouvailles pour le casting et une émouvante standing ovation pour Shannen Doherty

Plus de 30 ans après sa première diffusion à la télévision américaine, la célèbre série Beverly Hills, adorée des adolescents et des jeunes adultes, fait toujours vibrer ses fans.

Ce 17 septembre, à l'occasion de la 90s Con organisée dans la ville de Tampa, les comédiens principaux du show se sont réunis sur scène afin d'offrir des retrouvailles pleines de nostalgie à leurs admirateurs.

Présente à l'événement en dépit de sa maladie - elle avait déclaré lutter contre un cancer du sein en 2015 - la comédienne Shannen Doherty, figure majeure de Beverly Hills, a reçu une sincère et émouvante standing ovation. Bouleversée, elle a répondu à ses fans en les remerciant, et en leur donnant de ses nouvelles :

"Merci infiniment", a-t-elle déclaré, très émue. "Vous savez à quel point j'aime pleurer constamment. Et apparemment, c'est ce que je fais. Donc merci à vous. Chaque jour, je mène un combat pour ma vie. Je pense que je vais très bien."

Un message encourageant et courageux de la part de la comédienne, qui a interprété l'intelligente et passionnée Brenda Walsh dans les 4 premières saisons de la mythique série, avant de reprendre son rôle une quinzaine d'années plus tard dans Beverly Hills Nouvelle génération.

Toujours sur la scène du 90s Con, l'actrice a également révélé qu'elle préparait actuellement un podcast intitulé "Let's be Clear" ("Soyons clairs") : "Vous allez entendre tout ce que j'ai refusé de dire auparavant", a-t-elle promis.

Diffusée de 1990 à 2000, la première version de Beverly Hills (qui fait partie des 10 séries ado à avoir vues dans sa vie) racontait la vie quotidienne et amoureuse d'un groupe de jeunes lycéens, aux frontières de l'âge adulte.

La série suivait leurs amitiés, leurs idylles et leurs disputes, se concentrant initialement sur les personnages de Brandon et de Brenda, frère et sœur originaires du Minnesota et découvrant une nouvelle vie en Californie. 

La trilogie Spider-Man avec Tom Holland a désormais un nom

En 2017, l'acteur britannique Tom Holland se glissait dans l'iconique costume de Spider-Man pour le long métrage Spider-Man : Homecoming. Le premier volet d'une trilogie complétée en 2019 par Spider-Man: Far From Home puis en 2021 par Spider-Man: No Way Home, et qui a désormais un nom officiel !

Dans l'ouvrage Spider-Man: No Way Home: The Art of the Movie, Ryan Meinerding, responsable du développement visuel chez Marvel Studios, révèle ainsi que cette trilogie inscrite au sein du Marvel Cinematic Universe est baptisée Home Trilogy.

Une information révélée alors qu'une nouvelle trilogie Spider-Man a été évoquée par la productrice Amy Pascal et que Tom Holland a récemment donné de bonnes nouvelles concernant une quatrième aventure solo.

"Les films Spider-Man de Sam Raimi, qui mettaient en vedette Tobey Maguire, ont vraiment marqué, à bien des égards, l'entrée dans le cinéma du super-héros moderne", note Ryan Meinerding dans le livre, propos rapportés par le site Screenrant.

"Quant à Andrew Garfield, dans les films Amazing Spider-Man, et Tom Holland, dans notre trilogie "Home", ils n'ont fait qu'améliorer l'héritage de l'homme-araignée sur grand écran durant deux décennies."

L'utilisation du mot "home" pour désigner la trilogie Spider-Man fait sens. Le "home" en question, utilisé dans le titre des trois longs métrages emmenés par Tom Holland, désigne la ville de New York, un lieu qui a une grande importance dans chacune des intrigues. C'est là d'où le super-héros vient (Homecoming), c'est l'endroit qu'il quitte (Far From Home) et qu'il doit défendre (No Way Home).

A la fin de Spider-Man: No Way Home, Peter Parker a sauvé les siens, mais il est effacé de la mémoire de tous ceux qu'il aime "à la maison". La boucle est bouclée, et reste désormais à savoir de quoi sera fait l'avenir du super-héros maintenant que plus rien ne le rattache à sa ville de cœur

Troll sur Netflix : le film aura une suite

I1l y a des films dont on ne peut prédire ni expliquer le succès. C’est le cas de Troll réalisé par Roar Uthaug (Tomb Raider), un blockbuster norvégien sorti en décembre 2022 sur la plateforme et dont voici le synopsis : après l’éveil de ce monstre légendaire, les autorités font appel à une paléontologue intrépide pour l'empêcher de semer le chaos.

En quelques semaines seulement, le blockbuster s’est hissé dans le top des longs-métrages les plus vus sur Netflix. Ces chiffres ont semble-t-il convaincu le géant américain de donner le feu vert à une suite si l’on en croit Variety. Roar Uthaug sera de retour derrière la caméra pour ce nouvel opus qui se déroulera une fois encore dans la campagne norvégienne.

Cette annonce n’est pas vraiment étonnante étant donné la fin du premier volet, qui suggérait déjà la possibilité d’un Troll 2. Alors que l'un des personnages principaux émet l'hypothèse que d'autres créatures pourraient être encore en vie, la séquence finale faisait apparaître un nouveau monstre. Le tournage de cette suite devrait débuter en 2024, pour un lancement probable en 2025.

Malgré des chiffres de visionnage plutôt bons, les abonnés ont noté assez durement le film norvégien. En témoigne sa note plus que moyenne de 2,3/55 sur AlloCiné et de 5,8/5 sur IMDB. Reste à savoir s’ils seront au rendez-vous pour Troll 2 et s’il détrônera le premier volet… Rien n’est moins sûr.

19 septembre 2023

Camélia Jordana se confie sur ses nombreuses crises d'angoisse

Actrice, chanteuse, Camélia Jordana sait tout faire ! C’est en 2009 que le public français l’a découverte grâce à sa participation au télé-crochet Nouvelle Star. Une participation qui lui a permis de se faire connaître, et de se lancer dans l’enregistrement de son premier single intitulé Non, non, non. La chanson a été suivie par de nombreux projets musicaux, comme la sortie de son dernier album intitulé Facile/Fragile, et son duo avec Dadju. En plus de sa carrière dans la musique, Camélia Jordana s’est aussi fait une place dans le monde du cinéma français.

C’est en 2013, que la chanteuse fait ses premiers pas sur le grand écran avec le film La Stratégie de la poussette, avant d’obtenir un premier rôle dans le long métrage Nous trois ou rien réalisé par l’humoriste Kheiron. Une carrière au cinéma, qui lui permet d’obtenir le César du meilleur espoir féminin pour son rôle dans Le Brio d’Yvan Attal. Ce mercredi 20 septembre, elle est à l’affiche de la nouvelle série romantique de Disney +, Irrésistible. En pleine promotion de la fiction, Camélia Jordana s’est confiée sur les nombreuses crises d’angoisses dont elle souffre.

Dans Irrésistible, Camélia Jordana incarne Adèle, une créatrice de podcast, qui tombe sous le charme d’Arthur un mathématicien qui se sert de ses connaissances pour étudier les relations amoureuses. Cependant, cette relation a un effet secondaire : à chaque fois qu’Adèle voit Thomas, elle fait des crises de panique. Faire des crises de panique est une chose que connaît bien l’actrice comme elle le confie dans les colonnes de Télé-Loisirs.

“J’ai souvent eu des crises d’angoisse”, explique Camélia Jordana, qui raconte comment elle a réussi à se débarrasser de cet état : “Ça demande beaucoup d’efforts parce que quand on est capable de repousser ses limites au point d’arriver à un burn-out, c’est qu’on est sur un fil. Il m’a fallu apprendre à m’écouter et à faire respecter les limites. C’est vraiment un long chemin. Aujourd’hui, faire du sport, manger sainement et s’entourer de personnes non abusives, c’est la base pour aller bien”. 

Stéphane Bern se confie sans filtre sur ses opérations esthétiques

Alors qu’il fêtera ses 60 ans le 14 novembre prochain, Stéphane Bern semble plus épanoui que jamais. À la télévision, il multiplie les projets appréciés par des millions de téléspectateurs : Secrets d’Histoire, Le village préféré des Français, Ma maison, mon histoire… "J'en présente peut-être trop !", avouait-il à Gala il y a quelques jours à propos de ses émissions. "Mais j'essaie de faire en sorte qu'elles se concentrent sur des domaines qui m'intéressent comme le divertissement patrimonial avec le concert du 14 juillet, la Grande Soirée du 31 à Fontainebleau, l'Eurovision ou encore les émissions purement historiques avec Le Monument préféré des Français, Secrets d'Histoire, Laissez-vous guider", ajoutait-il.

Côté vie privée, l’animateur est heureux auprès de Yori Bailleres depuis plusieurs années. Enfin, au niveau de son physique, il s’assume bien plus qu’auparavant. Il faut dire qu’il a eu recours à la médecine esthétique pour mettre fin, une bonne fois pour toutes, à ce qui a été un gros complexe.

"Tu m’as dit qu’à un moment, puis ça t’est passé, les cheveux qui tombent, c’était une grosse angoisse pour toi ?", lui a demandé David Castello-Lopes dans l’émission Small Talk. "Entre 25 et 28 ans, ça a été le cauchemar", lui a répondu Stéphane Bern en toute franchise. "Et à 28 ans, j’ai fait les opérations nécessaires, des implants, et depuis, ça tient. Ça tient tout seul depuis trente ans. Sans les arroser !", a-t-il révélé, avec sa pointe d’autodérision habituelle. L’animateur n’a "pas une passion" pour son physique, mais il se sent bien dans ses baskets. "Les gens me disent que je me bonifie en vieillissant. C’est vrai que j’étais vieux à 20 ans, et je rajeunis à 40. Donc à 60 ans, on commence à s’accepter soi-même", a-t-il expliqué. 

Richard Dewitte (Il était une fois) condamné : il écope de trois ans de prison ferme pour corruption de mineurs


La sentence est tombée pour Richard Dewitte. Le chanteur, âgé de 77 ans, se trouvait sur le banc des accusés ce lundi 18 septembre à Meaux, pour "corruption de mineure par une personne mise en contact avec la victime par un réseau de communications électroniques" et pour "propositions sexuelles faites à une mineure de moins de 15 ans par un majeur utilisant un moyen de communication électronique et suivies de rencontre". Selon les informations du Parisien, les juges ont condamné Richard Dewitte à trois ans de prison ferme avec mandat de dépôt après l'avoir entendu.

En mars dernier, le chanteur d'Il était une fois, le groupe qui a connu le succès dans les années 70 notamment avec le tube J'ai encore rêvé d'elle, avait conversé avec une adolescente de 13 ans, sur le site Coco.fr, en lui faisait des propositions sexuelles. Il s'agissait en réalité d'un gendarme, qui traquait des pédophiles sur Internet. Alors qu'il pensait se rendre à un rendez-vous avec l'adolescente, sur le parking d’un supermarché de Croissy-Beaubourg, Richard Dewitte s'était finalement retrouvé nez à nez avec des gendarmes, venus l'interpeller.

Le Parisien a relayé les déclarations que Richard Dewitte a faites devant les juges, tentant de se justifier maladroitement. "De toute ma vie entière, je n’ai jamais touché une fille mineure. Tout ça, c’était sur Internet, c’était que du virtuel. J’ai honte vis-à-vis de ma famille. C’était comme un jeu, je ne me rendais pas compte de la gravité de la chose", a déclaré celui qui a avoué souffrir d'un "manque affectif".

"Mon client est son pire ennemi. Il vient des années 1970, l’époque des groupies [...] La vérité, c’est qu’il est narcissique et qu’il a un penchant pour les très jeunes filles. C’est de l’éphébophilie. Il faut le soigner. Sa fille veut le mettre sous curatelle", a déclaré l'avocat du chanteur, qui a avoué être attiré par "les femmes de 13 à 19 ans". Richard Dewitte n'en est pas à son premier coup d'essai, lui qui a déjà été condamné par la justice à deux reprises pour des infractions sexuelles à l'encontre de personnes mineures.

Guillaume Canet se confie sur son principal défaut

À 50 ans, Guillaume Canet enchaîne les projets, et ne semble pas près de s’arrêter. Réalisateur prolifique, il a offert aux fans du gaulois réfractaire le plus populaire de France un tout nouveau film Astérix, intitulé Astérix et Obélix: L’empire du milieu. Long métrage qui a attiré 4,6 millions de spectateurs en salle. Un film dans lequel il dirige son épouse, Marion Cotillard, dont il a vanté le talent sur le plateau de 20h30 le dimanche, ce dimanche 17 septembre : “Elle me bluffe dans la vie car elle fait un chemin extraordinaire, et dans sa carrière, je suis extrêmement admiratif (...) À chaque fois je suis subjugué par l’intensité qu’elle met dans ses personnages et le travail qu’elle fournit pour être à la hauteur de ce qu’on lui demande”.

Ce mois de septembre, Guillaume Canet est à nouveau sur le devant de la scène grâce à deux événements particulièrement importants. Le premier est son rôle de président du jury de la 49ème édition du Festival du film américain de Deauville. Le second : sa présence à l’affiche du film de genre Acide réalisé par Just Philippot. Un long métrage pour lequel le comédien est actuellement en promotion, n’hésitant pas à se livrer sur l’un de ses plus gros défaut dans la vie.

Après avoir passé de nombreuses années à officier en tant que réalisateur, Guillaume Canet s’est laissé dirigé dans le film Acide, réalisé par Just Philippot, film dont le tournage a fait beaucoup de bien à l’acteur : “Là en plus je sortais d’un projet qui avait duré cinq ans ! Me retrouver sur un plateau avec Just Philippot, quelqu’un avec qui j’avais énormément envie de travailler ayant adoré La Nuée [le précédent film du réalisateur, ndlr], oui j’étais très très heureux” a-t-il confié à nos confrères de TF1.

En pleine promotion pour le film qu’il a présenté au festival de Cannes en mai dernier, et qui sort en salle ce mercredi 19 septembre, Guillaume Canet s’est confié sur un de ses défauts, déclarant au Monde, qu’il est un “brin obsessionnel”, avouant que son “intransigeance a été à deux doigts de foutre en l’air sa vie privée”. Une intransigeance sur laquelle il admet tenter de travailler : “Vouloir tout contrôler, c’est un peu chiant pour les autres [...] J’essaie maintenant de l’appliquer dans ma vie de tous les jours. Je m’efforce d’arrêter de tout vouloir diriger, car ce n’est qu’une source de déception : les choses ne se passent jamais exactement comme on veut. Je découvre qu’il est appréciable de se laisser surprendre par la vie”.