08 mars 2023

Marilou BerryMarilou Berry dépitée face aux usurpations d’identité dont elle est victime

De nombreuses personnalités voient leur identité usurpée sur Instagram. Pour protéger leurs abonnés d’éventuelles arnaques, elles publient des mises en garde. "Des USURPATEURS se font passer pour MOI afin de vous ESCROQUER et vous EXTORQUER de l'argent, voire provoquer des rencontres douteuses !", avait ainsi déploré Pascal Obispo en novembre dernier. "Ne répondez pas et signalez-les le plus rapidement possible. Il n’y a qu'un seul compte et il n'y en aura JAMAIS d'autres ! Faites ATTENTION à vous. Protégez-vous !", avait-il ajouté.

Laurence Boccolini dénonce régulièrement le fait que des photos d’elle soient utilisées pour vendre des produits amaigrissants. Mais elle n’est pas la seule célébrité concernée, puisque Marilou Berry est aussi victime de tels agissements. "Je reçois depuis quelques jours une vague de messages me disant : 'Ah on utilise ton image pour de la pub’. Ou des messages disant : ‘J’ai vu que tu vantais les mérites d’une pilule magique pour perdre du poids, est-ce qu’elle marche ?’", a-t-elle témoigné en story.

La fille de Josiane Balasko a déjà tenté à plusieurs reprises de signaler ces fausses publicités. Cependant, rien ne semble pouvoir les faire disparaître. "Je ne sais pas quoi faire. Vraiment, je ne sais pas quoi faire à part faire perpétuellement cette même story de merde. C’est que des sociétés à la con qui fleurissent, qui changent de nom le lendemain, il y en a 12 à la fois, elles vont des vagues de campagnes de pub, c’est absurde", a-t-elle expliqué. L’actrice, qui a récemment fêté ses 40 ans, a ensuite fait preuve d’autodérision. "Ce qui est quand même assez drôle, c’est qu’ils prennent des photos de moi qu’ils trouvent sur internet, des avant/après, ou le après est en réalité le avant", a-t-elle souligné dans un éclat de rire.

"C’est absurde, complètement absurde. Mais ce qui m’embête vraiment c’est que des gens puissent penser que d’une, je fais de la pub pour ce type de produits, et de deux, que ces produits marchent parce qu’ils ne marchent pas. Jamais rien ne sera réglé avec une pilule magique, ça n’existe pas ! […] Dans tous les cas, au mieux vous allez perdre de l’argent et au pire vous aurez des problèmes de santé", a-t-elle mis en garde. Si elle ne peut pas supprimer ce type de publicités, Marilou Berry peut au moins alerter ses abonnés.

Amandine Pellissard : cette vidéo qui provoque un torrent de critiques des internautes

Après plusieurs semaines parisiennes chargées, entre plateaux télé, interviews, et nouveau tournage pour un célèbre producteur de films X, Alexandre et Amandine Pellissard ont retrouvé leur home sweet home, et leurs enfants, avec soulagement. L'occasion d'une discussion de recadrage mère-fils avec Léo son aîné. Ce dernier un brin distrait, et un poil trop détendu avait oublié qu'on ne met pas de boîte de conserve dans le micro-ondes. S'il a vite retrouvé ses esprits en voyant le couvercle prendre feu, il a toutefois écopé d'un (mini) sermon maternel. Il est vrai que l'affaire aurait pu virer au drame...

Alors que le printemps arrive, Amandine Pellissard a décidé de faire le ménage dans ses placards et de faire profiter de son vaste dressing en vendant de nombreuses pièces sur Vinted. Sur Instagram, elle a dévoilé l'étendue du succès de l'opération, 63 ventes en 48 heures à peine. Elle a dévoilé dans la foulée l'organisation quasi-militaire des préparatifs des commandes...

Sur TikTok la mère de famille nombreuse a pris la pose avec son inséparable mari devant un Everest de colis trônant sur la table. Mais la vidéo a été submergée par les critiques d'internautes qui ne savaient manifestement plus où donner de la tête. La décision de vendre ses affaires a été moquée allègrement : "Le c*l ne rapporte plus. (...) ils sont obligés de vendre sur Vinted, quelle décadence". Un autre imagine qu'Amandine fait de la place dans ses placards pour un autre type de vêtements : "Adios les vêtements Kiabi… place au luxe maintenant". Les talents de danseur d'Amandine et Alexandre peinent également à convaincre : " Vous êtes toujours aussi doués en danse", "J'espère qu'ils sont plus synchro dans leur autre activité" , "Ils ont bien changé les Bratisla Boys" pouvait-on lire.

Mais les pires critiques visent Amandine Pellissard qui doit avoir les reins solides pour encaisser, notamment les remarques sur son petit ventre rond qui s'invite dans la vidéo. Outre les nombreux curieux lui demandant si elle est enceinte, on voit aussi beaucoup de remarques désobligeantes évoquant "Un petit ventre à bière". "Faut doser les flageolets Amandine", se gausse un autre. La mère de famille s'est autorisée une réponse à une internaute qui lui reprochait de ne pas avoir acheté des tenues adaptées pour ses "boudins" et son "bide" : "Des fois les boudins ne préviennent pas et sont là pour quelques mois puis disparaissent, ainsi est le cycle de la vie. Ma belle aigrie apaise ton cœur".  

Pierre Ménès : 8 mois de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende requis contre le journaliste

Une journée décisive. Ce mercredi 8 mars 2023 a été marqué par le procès de Pierre Ménès. L’ancien chroniqueur du Canal Football Club doit répondre de trois accusations devant le tribunal correctionnel de Paris. Il est mis en cause dans trois affaires d’agressions sexuelles. Deux se sont déroulées à la boutique Nike des Champs-Élysées à Paris, le 18 juin 2018. La troisième aurait eu lieu au Parc des Princes, le 20 novembre 2021. De son côté, le journaliste a toujours nié les faits.

L'affaire concernant la boutique parisienne avait pourtant été abordée par la justice en 2019, avec un simple rappel à la loi pour l'ancien chroniqueur du Canal Football Club. Mais ce signalement de la part de l'hôtesse du Parc des Princes, a amené Pierre Ménès à répondre à nouveau de ces faits. Pour rappel, initialement prévu en juin 2022, le procès a été reporté en raison de problèmes d'organisation.

Ce mercredi 8 mars 2023, le journal L’équipe rapporte que le tribunal correctionnel de Paris a requis huit mois de prison avec sursis et 10 000 euros d'amende contre Pierre Ménès. L'avocat de Pierre Ménès a demandé la relaxe de son client. Sur place, le journal rapporte que le compagnon de Mélissa Acosta est arrivé en béquille, lui qui a été amputé de deux orteils. Pourtant, il se montre très combattif, comme en témoigne ses propos, rapportés par le journal. "Elles ne veulent pas être confrontées à leur mensonge. C'est un coup monté. Après ce que j'ai vécu à Canal, il fallait me donner le coup de grâce", évoque-t-il.  

Alors que la vie de Pierre Ménès connaît un tournant depuis la diffusion du documentaire Je ne suis pas une salope, je suis journaliste de Marie Portolano, le passionné du ballon rond enchaîne les tempêtes. Le début du mois de mars est plus que compliqué pour Pierre Ménès. En pleine tourmente judiciaire, l’ancien chroniqueur TV a annoncé le décès de sa mère, dimanche 5 mars 2023. "Ma mère est décédée dans la nuit. Pas de Face à Pierrot demain. Je suis désolé", écrit-il sur son compte Twitter. Dans les commentaires, de nombreux internautes ont apporté leur soutien pour cette nouvelle épreuve. 

Creed III, avec Michael B. Jordan, est déprogrammé dans plusieurs cinémas après des bagarres

Fort de près de 1 million d'entrées enregistrées lors de son premier week-end dans 633 salles de France (réparties sur 587 cinémas), Creed III est incontestablement le succès du moment en France. Cette suite, réalisée et portée par Michael B. Jordan, mais sans Sylvester Stallone, cette fois, démarre mieux que ses deux prédécesseurs sortis en 2016 et 2019. 

La Warner Bros devrait être ravie, sauf que plusieurs exploitants de salles ont décidé depuis dimanche de ne plus le mettre à l'affiche suite à des heurts entre spectateurs. Le Film Français recense ainsi plusieurs exemples communiqués dans la presse nationale et locale. 

L'Ardennais a publié un compte-rendu de la séance suspendue du Metropolis de Charleville-Mézière suite à une rixe entre deux membres du public, qui a mené à leur interpellation, samedi soir. Les deux fauteurs de troubles, l'un majeur et l'autre mineur, ont été mis en garde à vue pour "violence en réunion."

Idem à Tours, dans un CGR dont la salle principale était remplie à 95% au même moment. Un spectateur raconte à La Nouvelle République ce "manque d’éducation et de respect" : "C'était une ambiance bizarre pendant tout le film. La séance a été bruyante du début à la fin. On entendait les gens téléphoner. Aux premières injonctions des 'fermez-là' ont succédé des 'ferme ta g***'". La police est intervenue quand la bagarre, démarrée entre deux individus d'une vingtaine d'années, s'est envenimée et poursuivie sur le parvis du cinéma, après l'évacuation de toute la salle.

Au Kinepolis de Thionville, les spectateurs ont eux aussi été invités à sortir de la séance de 22h15 de ce même soir, quand la police est intervenue et a décidé de fermer tout simplement l'établissement prématurément. L'Essentiel évoque "plusieurs témoignages appuyés par des récits de policiers sur place, une bande de jeunes a causé des troubles suite 'à un défi lancé sur les réseaux sociaux'." Une personne a été interpellée.

A Saint-Etienne, ce sont pas moins de 20 spectateurs qui ont été interpellées dans la nuit de samedi à dimanche, puis relâchées, suite à une bagarre générale durant laquelle une bouteille a atteint un agent de sécurité, relate Le Progrès.

Marilyn Monroe sur l'affiche du Champs-Elysées Film Festival 2023

Chaque année, Marilyn Monroe est la véritable star du Champs-Élysées Film Festival, apparaissant au travers de ses différents personnages et/ou personnalités sur les affiches du Festival. Cette année, c’est une Marilyn aux cheveux lisses et détachés, qui affiche une mine solaire sur le tournage des Désaxés de John Huston en 1961 que l’on peut voir, dernier rôle iconique d’une actrice qui l’est tout autant. La photographie a été prise par Eve Arnold.

Le Champs-Élysées Film Festival, 12ème édition, aura lieu du 20 au 27 juin prochain, avec une nouvelle sélection de films indépendants américains et français qui mettront en avant de nouveaux talents, au côté de rétrospectives et d’invités gardés surprise pour le moment.

 “L’une des ambitions de ce festival est de faire revenir le public dans ces salles mythiques afin de découvrir un cinéma audacieux. Comme nous le rappelle Eric Emmanuel Schmitt, “Pourquoi a-t-on inventé le cinéma ? Pour persuader les gens que la vie a la forme d’une histoire. Pour prétendre que, parmi les événements désordonnés que nous subissons, il y a un début, un milieu, une fin. Ça remplace les religions, le cinéma, ça met de l’ordre dans le chaos, ça introduit de la raison dans l’absurde", a déclaré pour l'occasion Sophie Dulac, présidente et fondatrice du Festival.

L’appel à films est toujours d’actualité jusqu’au 23 avril prochain, avant le dévoilement de la programmation au cours des mois de mai et juin 2023.

Le film The Host ressort au cinéma

Sorti en salles en novembre 2006, The Host est le 3ème long-métrage du cinéaste sud-coréen Bong Joon-Ho. 17 ans plus tard, The Joker Films ressort le film au cinéma dans une sublime version restaurée 4K.

"La qualité est tellement nette que j'avais l'impression que le film date d'il n'y a pas si longtemps", a déclaré le cinéaste, saluant le travail de restauration de The Host lors de sa masterclass au Grand Rex le 26 février.

En 2006, le metteur en scène avait marqué les esprits avec son thriller Memories of Murder. Par conséquent, son nouvel opus était attendu au tournant !

Le récit nous emmène à Séoul, capitale de la Corée du Sud. Gang-du tient un petit snack au bord de la rivière où il vit avec sa famille, dont sa fille adorée Hyun-seo. Un jour, un monstre géant surgit des profondeurs de la rivière et attaque la foule.

Gang-du tente de s'enfuir avec sa fille, mais elle est enlevée brusquement par le monstre, qui disparaît au fond de la rivière. La famille Park décide alors de partir à la recherche de la créature, pour retrouver Hyun-seo.

En 2006, The Host était un très gros budget pour le cinéma coréen. "Toutefois, comparé à un gros film de monstre américain, on avait un budget très très limité, surtout pour les effets spéciaux", se souvient Bong Joon-Ho.

L'artiste a rappelé ensuite que le film a nécessité 115 plans du monstre en images de synthèse, ce qui coûtait très cher. "On comptait le nombre de plans pour essayer de réduire le budget. On a beaucoup réfléchi et fait jouer notre créativité pour pouvoir réduire les frais. On avait une énorme pression là-dessus."

Bong Joon-Ho avait confié la réalisation des effets spéciaux à la société The Orphanage. Créée par des anciens membres d'Industrial Light and Magic (ILM), cette firme a déjà eu l'occasion de se faire remarquer en travaillant sur des succès comme Sin City, Hellboy, Harry Potter et la coupe de feu ou encore Superman Returns.

Par ailleurs, pour donner vie à la créature, les techniciens se sont basés sur une maquette réalisée par la société néo-zélandaise Weta Workshop à qui l'on doit notamment les effets spéciaux de la trilogie du Seigneur des Anneaux et de King Kong. Et fun fact étonnant : Steve Buscemi a été une source d'inspiration pour le monstre !

"Notre référence en être humain était l'acteur Steve Buscemi dans Fargo. À un moment, il reçoit une balle dans la joue et il souffre énormément. Ça l'énerve, il est sur les nerfs, et je voulais ça pour la créature. Je souhaitais qu'elle ait ce genre de caractère", a dévoilé le réalisateur.

Le natif de Séoul s'est également inspiré du film de M. Night Shyamalan, Signes : "La créature est surnaturelle, mais ça se passe de nos jours, dans un endroit qui existe réellement, avec des personnages ordinaires. Je pourrais comparer ça à Signes de M. Night Shyamalan", a-t-il expliqué.

"L'histoire de ce dernier se passe dans des champs de maïs, soit un endroit banal et familier, alors qu'au centre de l'intrigue se trouvent des extraterrestres. L'histoire est décrite d'une façon très réaliste et c'est pareil dans mon film", a-t-il analysé.

Au-delà d'un film de monstre, The Host possède une dimension politique et sociale indéniable. Thierry Frémaux, animateur de la masterclass avec Bong Joon-Ho au Grand Rex, a remarquer que ce film brassait de nombreux thèmes : "C'est un film de genre, un film grand public, un film d'auteur, un film de monstre, un film de famille, un film sociologique, un film politique."

"Au début, mon idée était juste de faire un film de monstre. Finalement, en réfléchissant aux personnages, je me suis dit qu'il pourrait y avoir des scientifiques, des militaires mais on voyait déjà beaucoup ça dans les autres films du genre", a indiqué Bong Joon-Ho.

Par conséquent, l'artiste décide de prendre le contre-pied de cela "en faisant apparaître un père un peu bêbête et une famille un peu loufoque. Je pensais que ça allait être assez marrant et je me suis concentré sur cette famille."

Finalement, c'est en partant de cette famille que Bong Joon-Ho a commencé à développer la trame de l'histoire avec un monstre, une famille et une satire politique. "Le gouvernement, la société, les institutions n'aident pas ces familles car ce sont des petites gens, des gens qui sont faibles et que le système n'aide pas, il leur met même des bâtons dans les roues", a déploré le metteur en scène.

"La société coréenne va très vite, il y a énormément de choses qui se passent dans ce pays ; je dirais qu'en une semaine, il se passe plus de choses en Corée que ce qui se passe en Islande en 10 ans", a plaisanté le cinéaste.

Après The Host, Bong Joon-Ho réalisera Mother en 2009 avant de partir à Hollywood mettre en scène Snowpiercer et Okja. En 2019, il est de retour en Corée avec Parasite, qui rafle de nombreuses récompenses, dont la Palme d'Or et l'Oscar du Meilleur film.

Le cinéaste sera de retour le 17 mars 2024 avec Mickey 17, nouveau projet SF avec Robert Pattinson. Le récit suivra un individu envoyé coloniser une planète gelée. À chaque fois qu'il meurt, ses souvenirs sont implantés dans un nouveau corps et sa mission reprend. Après être mort à six reprises, Mickey 17 commence à comprendre le but réel de sa mission.

Marvel : les fans voulaient revoir ce personnage, il reviendra dans Daredevil sur Disney+

Les rumeurs allaient bon train ces derniers mois, cela semble officiel. The Hollywood Reporter révèle en effet que Jon Bernthal a bien signé pour apparaître dans Daredevil Born Again, suite/reboot de la série centrée sur le Diable de Hell’s Kitchen, menée cette fois par Disney+.

L’acteur y reprendra son rôle de Frank Castle, un ancien soldat qui souffre de stress post-traumatique. On ne sait pas encore s’il enfilera à nouveau son costume du Punisher - reconnaissable avec sa tête de mort - ou s’il fera juste un petit caméo pour faire du fan service. Mais avec 18 épisodes prévus, les scénaristes auront largement le temps de travailler son personnage et de rendre hommage à cet anti-héros adoré des fans.

Cette annonce semble être plutôt logique étant donné que Disney rappelle les acteurs qui ont joué dans la série Netflix. Outre Charlie Cox qui reprend sa canne et ses lunettes rondes, on compte déjà au casting le génial Vincent d’Onofrio, aka le Caïd. Un personnage qui a fait son retour dans Hawkeye il y a plus d’un an et qui est l’un des meilleurs méchants Marvel.

Krysten Ritter aka Jessica Jones pourrait aussi faire son grand retour, contrairement à Mike Colter, aka Luke Cage, Deborah Ann Woll (Karen) et Elden Henson (Foggy). Ces deux derniers personnages pourraient d’ailleurs être recastés.

Le tournage de Daredevil : Born Again est en cours et la série est attendue au printemps 2024 sur Disney+.

Flash : Grant Gustin fait ses adieux à la série dans un message émouvant

Après près de 9 ans dans la peau de The Flash, Grant Gustin a fait hier ses adieux au personnage dans un post Instagram publié à l’occasion du dernier jour de tournage de la série de la CW.

En août dernier, la chaîne américaine avait en effet annoncé que la fiction allait tirer sa révérence à l’issue de sa neuvième saison, composée de seulement 13 épisodes.

C’est accompagné d’une photo de lui en costume de The Flash sur fond vert que Grant Gustin a tenu à dire au revoir à la série. “C’est une journée très spéciale, avec des moments que je chérirai pour le reste de ma vie. Ma famille a pu assister à ma dernière prise dans la peau de Flash - c'est quelque chose que je n'aurais jamais pu imaginer il y a près de 10 ans, lorsque j'ai commencé cette aventure".

“J'ai eu l'occasion de remercier l'équipe, qui a travaillé plus d'heures que quiconque ne peut l'imaginer et qui est la raison pour laquelle nous avons pu réaliser 184 épisodes de The Flash. Mais plus que tout, ce seront les discussions et les rires entre les prises (et parfois pendant les prises) avec nombre d'entre eux qui me manqueront. Même si cette aventure a parfois été difficile, je sais que j'ai ri chaque jour au travail pendant plus de neuf ans.”

Grant Gustin a également tenu à remercier le directeur de casting David Rapaport, les producteurs délégués Peter Roth, David Nutter et Greg Berlanti, ainsi que le co-créateur Geoff Johns “pour l’opportunité d’une vie - une opportunité que j’ai essayé de ne jamais prendre pour acquise. Une opportunité que je n’ai pas toujours eu l’impression de mériter. Merci d’avoir cru en moi.”

Le comédien a aussi adressé un message aux fans de la série qui ont permis à The Flash d’être renouvelée année après année : “MERCI aux fans qui ont continué à se passionner pour notre série pendant 9 saisons."

"La série a connu de nombreux changements, mais énormément de personnes sont restées avec nous pendant tout ce temps. Je me réjouis de pouvoir continuer à rencontrer certains d'entre vous partout dans le monde, et peut-être même lors de conventions.”

“Je suis honoré d'avoir eu la chance d'incarner ce personnage emblématique,” a-t-il conclu. “J'ai donné tout ce que j'avais. C'est tout pour le moment.”

Grant Gustin campe Barry Allen, alias The Flash, depuis le lancement de la série en 2014. La neuvième et dernière saison est actuellement diffusée tous les mercredis sur The CW. Le final sera quant à lui diffusé le 24 mai prochain. La saison 8 de The Flash arrive en exclusivité en France sur SYFY le jeudi 16 mars prochain à partir de 21h.

Seth Rogen a un message pour ceux qui postent des critiques négatives

Seth Rogen peut se réjouir : les critiques de The Fabelmans, le nouveau film de Steven Spielberg dont il est l'un des acteurs principaux, a obtenu des critiques presse dithyrambiques. Mais l'accueil des journalistes dans le monde du septième art est parfois bien plus glacial et l'acteur canadien, qui a parfois été la victime de ces coups de plumes acérés, a un message à faire passer sur la question...

"Je pense que si la plupart des critiques savaient à quel point ce qu'ils disent blesse les gens qui sont concernés, ils réfléchiraient à deux fois avant d'écrire", déclare Seth Rogen au micro du podcast Diary of a CEO, dans des propos rapportés par Deadline. "C'est dévastateur. Je connais des gens qui, honnêtement, ne s'en remettent jamais. Ca peut blesser durant des années, des décennies."

"C'est très personnel... C'est dévastateur quand on vous dit, de manière publique, que votre expression personnelle était mauvaise", poursuit le comédien de 40 ans. "C'est quelque chose que les gens portent en eux, littéralement, toute leur vie. Et je comprends pourquoi. Ca craint vraiment."

Pour illustrer son propos, Seth Rogen évoque alors The Green Hornet, le film de Michel Gondry dans lequel il incarne le personnage du Frelon Vert et qui avait été fraîchement reçu par la presse. “Les critiques étaient très mauvaises. Les gens détestaient le film. On aurait dit que les gens prenaient du plaisir à détester", note l'acteur.

"Mais The Green Hornet a rapporté 35 millions de dollars de recettes pour ses débuts aux Etats-Unis, ce qui était alors le meilleur démarrage de ma carrière. Le film a très bien marché", conclut Rogen. "C'est ce qui est bien, parfois. A certains moments, vous pouvez ressentir un certain sentiment de réussite." Entre public et critique, Rogen semble avoir choisi son camp...

07 mars 2023

Léa Salamé évoque ses complexes qu'elle a réussi à accepter

Léa Salamé, l'une des journalistes les plus respectées du paysage audiovisuel français, a accordé une interview exclusive à Marie France, parue le 3 mars 2023 en kiosques. Elle s'y confie sur sa carrière, sa vie de mère et de couple, mais évoque aussi ses complexes. Bien qu'elle soit devenue une personnalité incontournable des médias français, il lui a été difficile de s'accepter physiquement... Elle cite notamment parmi ses complexes ses dents de devant, mais pas seulement : "J'ai appris à être à l'aise avec ma gueule, mon corps. J'ai les dents en avant, le nez un peu long, des kilos en trop. Je l'accepte", a-t-elle assurée. Cependant, elle a appris à aimer ses particularités et à en faire des atouts : elle estime que sans cela, elle ne serait pas la même. "Lorsque j'ai commencé sur Public Sénat, je n'avais pas la gueule de l'emploi. J'étais blessée d'être comparée aux beautés blondes aux yeux clairs...", s'est-elle ainsi remémorée, avant d'ajouter : "Mais j'ai préféré suivre l'adage de Jean Cocteau : ‘Ce qu'on te reproche, cultive-le, c'est toi.’ C'est pour cette différence qu'on m'a donné ma chance", estime-t-elle aujourd'hui.

Par rapport à son physique, elle a se souvient d'une phrase qui l'a marquée lorsqu'elle était enfant : "Lorsque ma mère m'a emmenée, petite, chez l'orthodontiste, il a rétorqué que mon sourire ferait mon charme... Il avait raison", assure celle qui est la voix la plus écoutée de France aujourd'hui. En plus de présenter la matinale de France Inter entre 7h et 9h30 tous les matins avec son acolyte Nicolas Demorand, Léa Salamé anime le talk-show Quelle époque ! sur France 2 tous les samedis soirs. Malgré cela, elle a une vie personnelle bien animée : en couple avec Raphaël Glucksmann, elle est devenue mère en accueillant deux fils dans sa vie : Gabriel, né en 2016, et Alexandre, le fils de Raphaël et de son ex-femme Eka Zgouladze.