20 octobre 2022

Meghan Markle espère que sa fille ne deviendra pas « une bimbo »

Nouvelle invitée et donc nouveau stéréotype décortiqué par Meghan Markle dans son podcast Archetypes. Cette fois, Paris Hilton est venue s’entretenir sur le cliché de « la blonde » autrement surnommée « bimbo ». Et c’est à nouveau l’occasion pour la duchesse de Sussex de parler de sa vie, et plus précisément, une fois n’est pas coutume, de celle de sa fille de 16 mois, Lilibet.

L’épouse du prince Harry espère en effet que sa fille ne deviendra pas une bimbo. Elle « espère qu’elle s’élèvera un peu plus ».

« Je souhaite que ma Lili veuille être éduquée, intelligente et fière d’elle-même pour ces choses », a-t-elle ajouté.

N’y voyez là aucune pique envoyée à son illustre invitée. Comme Meghan Markle l’a ensuite expliqué, les femmes sont cataloguées comme « bimbo » par le système qui met en avant leur corps et non leur esprit. Et d’invoquer, une fois encore, son expérience personnelle, lorsqu’elle travaillait sur l’émission Deal or No Deal, l’équivalent américain d’A prendre ou à laisser.

L’ancienne actrice tenait l’une des mallettes contenant les prix dans le jeu télévisé.

« Avant les enregistrements de l’émission, toutes les filles faisaient la queue et il y avait différents postes où on vous mettait vos cils, ou vos extensions, ou le rembourrage de votre soutien-gorge. On nous a même donné des bons d’achat d’autobronzant chaque semaine parce qu’il y avait une idée très précise de ce à quoi nous devions ressembler. C’était uniquement une question de beauté et pas nécessairement de cerveau. J’ai fini par quitter l’émission », a confié la mère d’Archie et Lilibet.

Paris Hilton, de son côté, a confirmé avoir été embauché dans The Simple Life pour jouer « la blonde riche et stupide » face à Nicole Richie. Un cliché qui lui a « collé à la peau » au point qu’elle a fini par y croire.

Le prince Harry et Meghan Markle ont signé un contrat en 2020 sur « plusieurs années » avec Spotify, évalué entre 25 et 30 millions de dollars.

Ye s’excuse partiellement pour ses propos antisémites

Ye fait amende honorable… en quelque sorte. Le rappeur est au cœur d’une polémique sans fin depuis qu’il a porté un tee-shirt « White Lives Matter » lors de son défilé à la Fashion Week. En lieu et place d’excuses, il s’est ensuite attaqué à la religion juive, mais il semble vouloir maintenant calmer le jeu.

Privé de réseaux sociaux, mais pas de plateaux télévisés, il a été invité dans l’émission du conservateur britannique Piers Morgan. Et évidemment, le présentateur lui a demandé s’il avait quelques regrets. « Non, absolument pas », lui a répondu Ye.

Et lorsque Piers Morgan lui a dit que ses déclarations étaient racistes, l’artiste n’a pas semblé choqué. « Ouais, évidemment c’est pour ça que je l’ai dit (…) Oui. J’ai combattu le feu par le feu. Je ne suis pas là pour me faire ridiculiser », a-t-il ajouté.

Si certains ont tenté d’excuser l’artiste en mettant ses propos sur le compte de ses troubles bipolaires, le principal intéressé est visiblement très conscient du fait qu’il n’aurait pas dû s’exprimer de la sorte. « Je vais dire que je suis désolé pour les personnes que j’ai blessées (avec mes propos). J’ai l’impression d’avoir causé du tort et de la confusion et je suis désolé pour les familles des personnes qui n’ont rien à voir avec le traumatisme que j’ai subi », a-t-il lancé.

Avant de poursuivre : « Je veux dire que c’est mal de prendre en otage des excuses et que je dois lâcher prise, me libérer du traumatisme et dire : ''Ecoutez, je vais tout remettre entre les mains de Dieu maintenant. Et dire à ces familles qui sont blessées que je veux vraiment vous serrer dans mes bras et que je suis désolé de vous avoir blessées avec mes commentaires'' ». Une manière de s’excuser des conséquences de ses propos, mais sans les remettre en question pour autant, et encore moins s’en sentir coupable.

Meghan Markle veut revenir au cinéma avec une comédie romantique

Meghan Markle va revenir au cinéma. Mais pas face à la caméra, puisque la duchesse de Sussex veut désormais produire des films. L’épouse du prince Harry a d’ailleurs un genre bien particulier en tête sur lequel elle souhaite travailler. L’ancienne star de Suits a annoncé qu’elle voulait célébrer l’amour.

« La façon dont mon mari et moi voyons les choses passe en grande partie par notre histoire d’amour. Je pense que c’est ce à quoi les gens du monde entier se sont connectés, surtout avec notre mariage. Les gens aiment l’amour. Je suis dans le même cas. Et notre définition de l’amour est vraiment très large : l’amour du partenaire, l’amour de soi, l’amour de la communauté et de la famille. Nous nous en servons comme base pour le type d’émissions et de documentaires que nous voulons diffuser (…) Comme une bonne comédie romantique. Ne nous manquent-elles pas ? Elles me manquent tellement. J’ai probablement regardé Quand Harry rencontre Sally un million de fois. Et toutes les comédies romantiques de Julia Roberts. On a besoin de les revoir », a-t-elle annoncé à Variety.

Et si Meghan et Harry ne comptent pas vraiment se limiter dans les histoires qu’ils vont raconter, il y a un genre qu’ils n’approcheront pas.

« Je pense que vous ne nous verrez pas faire de film d’horreur », a ajouté la duchesse.

Dans l’entretien, l’ancienne actrice, qui affirme qu’elle ne jouera plus jamais la comédie, s’est également confiée sur ce qu’elle conseillerait à celle qui interprétera son rôle dans un éventuel biopic « dans 100 ans ».

« J’espère qu’en se préparant pour ce rôle, elle trouvera la douceur, l’espièglerie et le rire. La bêtise. J’espère juste qu’elle trouvera toutes les dimensions. Et puis, elle pourra m’appeler ! », a-t-elle déclaré.

Sans donner de détails, Meghan Markle a également confié qu’elle avait adoré tourner dans le docu-série consacré à sa vie avec le prince Harry, dont Netflix a récemment suspendu la diffusion pour cause de polémiques.

« Mon mari n’a jamais travaillé dans cette industrie auparavant. Pour moi, qui ai travaillé sur Suits, c’est incroyable d’être entourée d’une telle énergie créative et de voir comment les gens travaillent ensemble et partagent leurs propres points de vue. C’était vraiment amusant », a-t-elle expliqué.

Silent Hill de retour au cinéma

Au cours d'une grande conférence hier, Konami a annoncé la mise en chantier d'un tout nouveau film, qui s'intitulera Return to Silent Hill. La production est déjà lancée.

Le film sera réalisé par le Français Christophe Gans, plus de 15 ans après le premier opus de Silent Hill au cinéma, qui avait récolté 100 millions de dollars au box-office en 2006. Une suite, Silent Hill: Revelation, totalement passée sous les radars (réalisée par M. J. Bassett) était sortie en 2012, mais sera complètement ignorée ici, puisque Return to Silent Hill est pensé comme la suite directe du premier volet.

Dans la vidéo ci-dessous, on découvre déjà les premiers storyboards et concept arts, donnant une idée de l'esthétique du film. Surtout, Christopher Gans - et son producteur Victor Hadida - font quelques révélations sur l'histoire, suggérant que Return to Silent Hill sera inspiré du jeu Silent Hill 2, paru en 2001 (sur PS2 et XBox 360) et qui aura droit en parallèle - le hasard fait bien les choses - à un remake pour consoles next-gen (PS5 etc...) !

"C'est mon retour dans ce monde de Silent Hill, 15 ans plus tard... Le premier film a connu un grand succès et je voulais revenir au meilleur de la franchise pour cette suite", dit Christophe Gans dans la vidéo, qui précise l'intrigue dans la foulée : "Ce film racontera l'histoire d'un jeu homme qui revient à Silent Hill pour retrouver son amour de jeunesse. Mais ce qu'il va trouver, c'est un cauchemar total ! (...) C'est un peu le mythe d'Orphée : à quel point un homme peut aller jusqu'en Enfer pour sauver l'âme de celle qu'il aime ?"

Et Christophe Gans de conclure en expliquant que ce film Return to Silent Hill sera d'abord un film d'horreur psychologique : "On y retrouvera encore les fameuses créatures et les même séquence de terreur du jeu, mais la plus grande peur vient d'abord de nous-mêmes..."

Aucune date de sortie pour le moment.

L'acteur Ke Huy Quan raconte ses retrouvailles avec Harrison Ford 38 ans après Indiana Jones 2

Le 11 septembre dernier, sur la scène de la D23, les retrouvailles entre Harrison Ford et Ke Huy Quan ont ému le monde entier. Les deux hommes, qui ont collaboré en 1984 sur Indiana Jones et le Temple maudit, tombaient dans les bras l'un de l'autre, 38 ans après !

Cette image émouvante a fait le tour de la planète, réchauffant le coeur des fans de l'archéologue intrépide. Désormais âgé de 51 ans, Ke Huy Quan incarnait Demi-Lune, le jeune partenaire facétieux de l'explorateur.

Interrogé par un journaliste du New York Times, le comédien est revenu sur ces poignantes retrouvailles. "Alors que je m'approche, mon cœur bat la chamade. Je me dis : 'Est-ce qu'il va me reconnaître ?' La dernière fois qu'il m'a vu, c'était il y a 38 ans, j'étais un petit garçon", se souvient l'acteur.

"Et alors que je me rapproche, il se tourne et pointe son doigt vers moi. Il a ce regard caractéristique qui l'a rendu célèbre célèbre et lui donne un côté grincheux. Je me dis : 'Oh mon Dieu, il doit penser que je suis un fan et il va me dire de ne pas m'approcher de lui'", poursuit Ke Huy Quan.

"Mais il me regarde, me pointe du doigt et me demande : 'C'est toi Demi-Lune ?' Immédiatement, j'ai été transporté en 1984, quand j'étais un petit garçon. Je lui ai répondu : Oui, Indy. Il m'a dit : 'Viens ici', et il m'a fait un gros câlin", conclut l'artiste, qui était âgé de 12 ans au moment du tournage du Temple maudit.

Harrison Ford reviendra dans le costume d'Indiana Jones dès le 28 juin 2023 au cinéma. Le comédien de 80 ans a aussi été annoncé au casting de Captain America 4 dans le rôle de Thaddeus Ross. Quant à Ke Huy Quan, il est récemment illustré dans le film d'action Everything, Everywhere, All At Once.

Grey's Anatomy : l'acteur Greg Germann va faire son retour

La saison 19 de Grey’s Anatomy, placée sous le signe du retour aux sources, réserve encore de nombreuses surprises aux fans de la série médicale. En début de semaine, Deadline révélait ainsi que Jesse Williams, qui a incarné pendant 12 ans le Dr Jackson Avery, allait faire son grand retour dans l’épisode 5 diffusé le 3 novembre prochain aux Etats-Unis.

Et il semblerait que le médecin ne soit pas le seul à faire une apparition dans les prochaines semaines. Selon TVLine, Greg Germann va reprendre son rôle de Tom Koracick, dans ce même épisode. Un retour plutôt logique puisque le personnage avait fait ses adieux au Grey Sloan à la fin de la saison 17 pour partir s’installer à Boston, afin d’aider Jackson à diriger la fondation de sa mère.

Dans l’épisode du 3 novembre, Koracick va reprendre contact avec Catherine (Debbie Allen), qui est à Boston, pour une affaire personnelle. Meredith (Ellen Pompeo) va elle aussi passer l’épisode dans la ville américaine, où elle va retrouver Jackson.

Greg German était déjà revenu dans Grey’s Anatomy lors de la saison 18 le temps de deux épisodes. Il était venu prêter main forte à Amelia et Meredith dans leurs recherches sur la maladie de Parkinson.

Au moment de l’annonce de son départ en mai 2021, Krista Vernoff, showrunneuse de la série médicale, avait confirmé que Tom Koracick serait de retour dans Grey’s Anatomy :

“Greg Germann est un génie comique et nous avons beaucoup de chance qu'il ait mis son talent au service de notre série ces dernières années", avait-elle déclaré à l’époque. "Greg va terriblement nous manquer, mais nous avons prévu de revoir Tom Koracick dans le futur.”

Depuis son départ, Greg Germann a rejoint le casting de la saison 2 de Firefly Lane, qui devrait arriver en décembre sur Netflix.

19 octobre 2022

La famille de George Floyd réclame 250 millions de dollars en diffamation contre Ye

Après les propos racistes et antisémites de Ye, une première plainte a été déposée contre le rappeur. La mère de la fille de George Floyd, cet Afro-Américain de 46 ans décédé lors d’un contrôle de police en mai 2020, demande 250 millions de dollars de dommages pour diffamation.

Si un jury a condamné à vingt-deux ans de prison Derek Chauvin, le policier qui a appuyé son genou pendant neuf minutes et 29 secondes sur le cou de George Floyd, l’empêchant de respirer et menant à sa mort, Ye a affirmé qu’il n’en était rien.

L’interprète de Donda a en effet déclaré, dans le podcast Drink Champs, que George Floyd était mort d’une overdose de fentanyl, un opiacé sur ordonnance, dont le trafic est l’un des fléaux de l’Amérique.

Après le décès de l’Afro-Américain, une autopsie a été pratiquée. Le médecin légiste a conclu que la mort avait été provoquée par « un arrêt cardiopulmonaire » dû à la compression exercée par le genou de l’officier de police.

L’émission du podcast, dans laquelle Ye y a aussi tenu des propos antisémites, a depuis été retirée de YouTube et de la plateforme Revolt TV, mais la plainte demeure, l’interview étant devenue virale.

Les avocats de Roxie Washington et la mère de la fille de George Floyd, Gianna, ont déclaré que le rappeur a fait de « fausses déclarations (…) pour promouvoir ses marques et augmenter sa valeur marketing et ses revenus pour lui-même, ses partenaires d’affaires et ses associés », qui sont également cités.

« La fille de George Floyd est traumatisée par les commentaires de Ye, qui a créé un environnement malsain et dangereux pour elle », peut-on lire également.

Ye avait expliqué au micro de Drink Champs en être arrivé à cette conclusion après avoir visionné le récent documentaire de son amie Candace Owens, chroniqueuse d’extrême droite et soutien de Donald Trump avec laquelle il avait pris ses distances en 2018, pensant être « utilisé » par les ultra-conservateurs. Après la mort de George Floyd, en juin 2020, le rappeur avait mis en place un fonds pour payer les études de Gianna Floyd et avait manifesté auprès du mouvement Black Lives Matter.

Paramount+ : une nouvelle plateforme de streaming arrive en France en décembre

Anciennement CBS All-Access, Paramount+, la plateforme de streaming du studio Paramount, a été lancée le 4 mars 2021 outre-Atlantique. Après s'être exportée dans la foulée en Amérique latine, les pays nordiques puis l'Australie, Paramount + arrive enfin en France.

Lancé le 1er décembre prochain dans l'Hexagone, ce nouveau concurrent à Netflix, Apple, Amazon et autre Disney+, coûtera 7,99 euros par mois ou 79,90 euros par an. 

"Paramount+ étend rapidement sa présence mondiale, apportant au public une offre de contenus unique, avec les plus grandes stars et les histoires mondiales et locales les plus fascinantes. Paramount proposera certaines des marques et des contenus de divertissement les plus puissants au monde, auxquels les consommateurs français pourront accéder directement, en un lieu unique. La France est un marché clé pour l'expansion mondiale de Paramount +. Avec le lancement en France en décembre, suivi par l'Allemagne, l'Autriche, la Suisse, et notre présence au Royaume-Uni et en Italie depuis septembre, Paramount + sera disponible sur tous les principaux marchés européens" se réjouit le groupe dans un communiqué.

Il y aura bien sûr les grands hits du studio, du Parrain à Mission Impossible, en passant par Star Trek ou Transformers. Mais aussi et surtout les séries et shows estampillés Comedy Central, MTV, Nickelodeon, ou encore Showtime.

En sus, il y aura évidemment des productions originales, dont certaines ont déjà été diffusées outre-Atlantique. On pense à The Offer, la mini-série basée sur l'histoire de la création du film Le Parrain ou à la nouvelle série Star Trek : Strange New Worlds, qui raconte les années où le capitaine Christopher Pike commandait l'U.S.S. Enterprise. Et Paramount + promet que, au cours des premiers mois, suivront aussi Tulsa King, dans laquelle Sylvester Stallone jouera le rôle d'un mafieux libéré de prison après 25 ans, ou encore 1923, spin-off de Yellowstone, produit par Taylor Sheridan, qui mettra en scène Helen Mirren et Harrison Ford, les Dutton du début du vingtième siècle.

En plus des émissions originales Paramount+, la plate-forme proposera également de nouvelles productions exclusives de Showtime comme Halo, ou American Gigolo ou The First Lady.

En prime, le groupe américain annonce avoir déjà lancé le développement de trois séries françaises :

MASK : MARIE ANTOINETTE SERIAL KILLER : un thriller d'horreur fantastique pour jeunes adultes de huit heures créé et développé par Beth Tapper et Mitch Watson. Basée sur le roman Marie Antoinette Serial Killer de l'auteur Katie Alender, la série suit quatre jeunes américaines en vacances de printemps à Paris. Alors qu'elles explorent les quartiers sensibles de la ville, elles se retrouvent prises dans une série de meurtres mystérieux, presque surnaturels, qui deviennent rapidement très personnels. Le meurtrier pourrait-il être le fantôme de la défunte reine Marie-Antoinette ? Et pourquoi les poursuit-il ?

LE SIGNAL : Lorsqu'elle apprend qu'elle est à nouveau enceinte, Olivia Dormeuil, célèbre animatrice radio, s'installe sur une île isolée de Bretagne avec son mari et Camille, leur adolescente intelligente et inventive. Mais peu après leur arrivée, des phénomènes inquiétants commencent à se produire sur l'île, comme cette série d'accidents sanglants sur lesquels la nouvelle capitaine de police Aby Keira doit enquêter. Plus les corps s'accumulent, plus Camille détecte des ondes spectrales inquiétantes et plus Olivia se sent mal dans cette maison qui semble connaître le terrible secret que son mari et elle cachent depuis des années. Pour sauver leur famille et révéler les secrets enfouis de l'île, Olivia et Camille vont devoir s'unir, plonger dans les ténèbres et affronter leurs propres démons.

Créée par François Uzan et basée sur le roman à succès de Maxime Chattam, la série est coproduite avec Gaumont et est actuellement en production.

LE STADE : une docu-série produite par Black Dynamite (Mediawan) avec le rugbyman Antoine Dupont, qui suit l'aventure humaine de l'équipe de rugby du Stade Toulousain face au défi le plus ambitieux de son histoire. Malgré des adversaires coriaces, malgré les blessures, ces combattants déterminés se jettent dans l'arène pour décrocher leur 5ème étoile de champion d'Europe et devenir le club européen le plus titré de l'histoire. 

Paramount+ sera disponible sur le web, sur mobile et via une large sélection de téléviseurs connectés, notamment Apple, Amazon, Google, Roku et Samsung. Les utilisateurs pourront accéder au service pour 7,99 euros par mois avec une période d'essai de 7 jours et la possibilité d'annuler à tout moment. Il sera également possible de souscrire un abonnement annuel au prix de 79,90 euros, avec là encore une période d'essai de 7 jours et la possibilité d'annuler à tout moment. 

Grâce à un partenariat avec le Groupe Canal+ - qui a déjà un deal avec le studio pour diffuser les séries Showtime notamment - les abonnés de Canal+ Séries pourront accéder à Paramount + sans coût supplémentaire.

Laurence Fishburne donne son avis sur Matrix 4

Avec Hugo Weaving, Laurence Fishburne était le grand absent de Matrix Resurrections, leurs rôles de l'agent Smith et de Morpheus étant dans cette suite modifiés, rebootés avec de nouveaux comédiens : Jonathan Groff pour le premier et Yahya Abdul-Mateen II pour le second. Une décision annoncée assez tôt dans la production par Lana Wachowski, qui a conçu ce quatrième épisode, et son équipe : dès 2020, l'acteur confirmait déjà qu'il ne serait pas dans cette suite. Invité à l'avant-première du film de Netflix The School for Good and Evil, dont il partage l'affiche avec Charlize Theron, Fishburne a été interrogé à propos de ce nouveau Matrix, sorti 18 ans après le film original. Au micro de Variety, il dit ne pas regretter de ne pas avoir été rappelé pour ce film. Quand le journaliste lui demande s'il a l'impression d'avoir raté des retrouvailles importantes, il répond : "Non, pas vraiment." Il ajoute : "Ce n'est pas aussi mauvais que je le craignais, mais ce n'était pas non plus aussi bon que ce que j'espérais. Mais Carrie-Anne et Kenau ont bien fait leur job, c'est ce que je me suis dit en le voyant."

Les personnages de Trinity et de Neo sont effectivement au coeur de Matrix Resurrections, et Fishburne retrouvera d'ailleurs Keanu Reeves à l'affiche d'un autre film attendu : John Wick 4. Cette suite sortira le 23 mars 2023, et elle a été réalisée par Chad Stahelski, soit l'interprète du mari de Tiffany, l'alter-ego de Trinity dans Matrix 4.

Netflix ne compte pas du tout arrêter la sortie de ses séries en "binge-watching"

223,1 millions d'abonnés dans le monde. C'est le nombre annoncé par Netflix aux actionnaires, hier soir, pour faire le bilan du troisième trimestre (via Variety), qui a vu le géant du streaming renouer avec la croissance, avec 2,41 millions de nouveaux abonnés payants, dont 100 000 dans la région États-Unis/Canada.

Une bonne nouvelle pour le co-PDG et directeur du contenu Ted Sarandos, qui a avoué se sentir "de mieux en mieux" par rapport aux dépenses de contenus établies à 17 milliards de dollars pour 2022 : "La portée et l'ampleur, ainsi que la gamme et la cadence des hits s'améliorent. Donc, je me sens de mieux en mieux à propos de ces 17 milliards de dollars dépensés en contenus, car ce que nous devons faire, c'est s'améliorer pour avoir plus d'impact que quiconque par milliard de dollars dépensé ! Et c'est ce sur quoi nous nous concentrons. Je pense que nous dépensons au bon niveau aujourd'hui. Et à mesure que nous accélérons la croissance de nos revenus, nous reverrons ce chiffre, bien sûr", dit-il, suggérant qu'il n'y aura pas de hausse de dépenses des contenus en 2023.

Dans la foulée, Ted Sarandos a coupé court aux rumeurs laissant entendre que Netflix pourrait arrêter la diffusion de ses séries de manière intégrale, chaque saison. Pour le PDG, il n'est pas question de remettre en cause l'idée du "binge-watching" qui a fait le succès de la marque, pour revenir à un modèle plus classique d'épisode de la semaine, comme le font les concurrents Amazon, Disney + ou HBO Max.

"Nous pensons que notre modèle de sorties "bingeables" contribue à susciter un engagement substantiel de nos abonnés, en particulier pour les nouveaux titres", réagit le boss de Netflix dans sa lettre aux actionnaires. "Cela permet aux téléspectateurs de se perdre dans les histoires qu'ils aiment."

Ted Sarandos va plus loin et estime que certains des grands succès Netflix sont corrélés à cette méthode de diffusion : "Il est difficile d'imaginer, par exemple, comment un titre coréen comme Squid Game serait devenu un méga hit à l'échelle mondiale sans l'élan du binge-watching. Nous pensons que la capacité de nos membres à s'immerger dans une histoire du début à la fin augmente leur plaisir mais aussi leur probabilité de le dire à leurs amis, ce qui signifie alors que plus de gens regardent, rejoignent et restent avec Netflix."

Une forme de frénésie éphémère recherchée par la plateforme, comme ce fut le cas ces derniers jours avec Dahmer par exemple.