Vendredi 14 janvier :
Hôtel Transylvanie : Changements Monstres – Amazon Original
Tout le monde debout
Creed II
Lundi 17 janvier :
Spencer – Amazon Original – Clap de la semaine
Vendredi 14 janvier :
Hôtel Transylvanie : Changements Monstres – Amazon Original
Tout le monde debout
Creed II
Lundi 17 janvier :
Spencer – Amazon Original – Clap de la semaine
Disney+ Originals
Mercredi 19 janvier :
Le Livre de Boba Fett – saison 1, épisode 4
Le Monde selon Jeff Goldblum – saison 2, épisodes 6 à 10
Star Originals
Mercredi 19 janvier :
Queens – saison 1, épisodes 1 & 2
Big Sky – saison 2, épisode 3
Les Années coup de coeur – saison 1, épisode 5
The Big Leap – saison 1, épisode 8
Mixed-ish – saison 2, épisode 7
Ajouts au catalogue
Vendredi 14 janvier :
Birdman
The Revenant
The Big Short : Le Casse du siècle
The Real Queens of Hip-Hop: The Women Who Changed the Game
The First Wave
Mercredi 19 janvier :
Malcolm – saison 6 et 7
Bob’s Burgers – saison 12A
Soul of a Nation
Le Grand Tour de Suisse
L'incontournable de la semaine
After Life, saison 3 (14/01) : Ricky Gervais, géant de la comédie britannique, tire sa révérence avec cette saison 3. Roi de l’humour, et pourtant, il nous aura jamais autant ému qu’avec cette série sur un homme qui ne parvient pas à faire le deuil de son épouse.
C’est merveilleux et douloureux à la fois. Et dans cette ultime saison, si Tony n'est plus aussi violemment irascible contre la vie, il lutte toujours pour combler le vide laissé par la mort de sa femme.
Le vendredi 14 janvier
Archive 81 : L'archiviste Dan Turner s'attelle à la restauration d'une collection de cassettes vidéo endommagées du début des années 90. Il découvre alors le travail d'une documentariste qui enquêtait sur une dangereuse secte. Dan est convaincu qu'il peut sauver cette dernière de la fin terrifiante qu'elle a connue 25 ans plus tôt...
L’Ombre de ses yeux : Poursuivi sans relâche par la fille d'un puissant politicien prête à tout pour l'épouser, un homme s'engage sur une pente risquée pour reprendre le contrôle de sa vie.
La Maison : Cette anthologie de comédie noire extravagante est réalisée par les plus grands talents indépendants de l'animation en stop-motion.
El Comediante : À un carrefour de sa vie, un comédien reçoit une curieuse proposition de sa meilleure amie.
Riverdance: L'aventure animée : Keegan, un jeune Irlandais en deuil, apprend avec son amie espagnole Moya à danser au sein d'une harde de cerfs magiques pour surmonter le chagrin et les dangers.
Le dimanche 16 janvier
The Front Runner (catalogue) : Dans ce biopic, Hugh Jackman incarne Gary Hart, un jeune sénateur promis au plus bel avenir et favori pour l’investiture Démocrate de l’élection présidentielle de 1988. Une ascension fulgurante puis une chute brutale sur fond de scandale.
Le mardi 18 janvier
The Puppet Master: leçons de manipulation : Dans cette série documentaire poignante, un arnaqueur cruel se fait passer pour un espion britannique afin de manipuler et voler ses victimes et leurs familles.
DOTA: Dragon's Blood, volume 2 : Le chaos règne et menace la paix. Tous les héros doivent répondre à l'appel pour combattre les forces redoutables qui menacent de plonger le monde dans les ténèbres.
Mighty Express : Tout déraille ! : Les trains sont pris au piège de deux bandits qui se sont emparés du poste de contrôle ! Flicker le roi du rail saura-t-il contrecarrer leurs plans et sauver ses amis ?
Le mercredi 19 janvier
El Marginal, saison 4 : Pastor arrive à Puente Viejo, après l’incendie de San Onofre. Il y retrouve deux vieilles connaissances, Diosite et Mario Borges.
Miam, caramba ! : Découvrez un festival de saveurs, une ode visuelle à l'ingéniosité culinaire du Mexique et à ses délices originaux qui valent bien quelques excès de gourmandise.
Le jeudi 19 janvier
Absolument royal ! : La New-Yorkaise Izzy se félicite de coiffer des célébrités lors du mariage d'un beau prince. Mais ils craquent l'un pour l'autre ! Un choix s'impose : amour ou devoir ?
Midnight Asia: Eat. Dance. Dream : Un périple nocturne à travers six villes asiatiques emblématiques et la nourriture, l'art, les clubs et les subcultures qui les distinguent.
Déjà disponible
The Lost Daughter : première réalisation de Maggie Gyllenhaal et premier coup de maître ! Cette adaptation d'un roman d'Elena Ferrante s’attaque à un sujet tabou en mettant en scène Leda – jouée par la prodigieuse Olivia Colman – une femme qui ne s’épanouit pas dans son rôle de mère.
Lors de vacances seule en Grèce, au contact d’une jeune femme (Dakota Johnson) qui se trouve elle aussi en conflit entre son identité de femme et celle de mère, des souvenirs douloureux refont surface…
Denzel Washington, protagoniste de la saga d'action Equalizer, va faire son grand retour dans un 3ème opus ! Le comédien a révélé l'information au micro de Collider. À 67 ans, l'artiste veut prouver qu'il en a encore sous la pédale, à l'instar de Liam Neeson, qui enchaîne les films d'action malgré ses 69 printemps.
"Ils ont écrit Equalizer 3, donc je dois le faire. Il va falloir que je me remette en forme pour recommencer à casser la gueule des gens... C'est cool non ?"
Après Infinite, sorti sur Amazon Prime Vidéo, et The Guilty, diffusé sur Netflix, Antoine Fuqua serait actuellement en négociations pour boucler sa trilogie débutée en 2014. Le réalisateur était aux manettes sur les deux volets de la franchise. Logiquement, il devrait rempiler pour ce 3ème épisode.
Pour le moment, le metteur en scène de 55 ans est occupé sur Emancipation, un long-métrage Apple TV+ avec Will Smith. Equalizer 3 sera sûrement son projet suivant. Pour rappel, la saga raconte le parcours de Robert McCall, un super agent secret à la retraite qui continue de servir la justice au nom des exploités et des opprimés.
Les deux premiers épisodes, sortis en 2014 et 2018, ont rapporté en cumulé près de 400 millions de dollars de recettes mondiales. En France, le succès a été modéré, attirant 1,5 million de fans d'action en deux films. Pour la 3ème itération de la franchise, McCall va-t-il voyager hors des USA ? C'est une idée qui a traversé l'esprit d'Antoine Fuqua.
"Dans ma tête, il y a une aventure européenne, absolument. C'est ce que j'aimerais, le voir en Europe dans le futur. Si Dieu le veut", indiquait-il pour Collider en 2018. Le justicier campé par Denzel Washington suivrait ainsi les pas d'un certain John Wick, qui visitera la France et l'Allemagne dans le 4ème volet, attendu pour 2023.
En attendant, on peut retrouver Denzel Washington dans The Tragedy of Macbeth, disponible depuis le 14 janvier sur Apple TV+.
Diffusée entre 1989 et 1993 sur NBC, la série de science-fiction Code Quantum mettait en scène un scientifique, le Dr Sam Beckett, se retrouvant piégé dans le passé après que le fonctionnement de son prototype a échoué.
Il se déplaçait alors de corps en corps pour réparer les erreurs du passé tout en espérant pouvoir revenir dans son époque, en ayant pour seul contact avec elle Al, une intelligence artificielle.
En septembre dernier, Scott Bakula, qui interprétait le héros aux côtés de Dean Stockwell dans le rôle de AL, a révélé que des discussions étaient en cours chez NBC dans l'idée de produire un sequel de la série culte. C'est désormais chose faite puisque la chaîne a commandé et validé la mise en production d'un pilote, selon le Hollywood Reporter.
Dans le synopsis, on apprend que trente ans se sont écoulés depuis que le Dr Beckett s'est introduit dans l'accélérateur du Code Quantum et a disparu. Depuis, une nouvelle équipe a été assemblée pour relancer le projet, dans l'espoir de comprendre les mystères autour de la machine et de l'homme qui l'a inventée.
On ignore encore si Scott Bakula sera de la partie, le Hollywood Reporter indiquant simplement que rien n'est officiel à ce stade, mais que l'acteur pourrait être impliqué selon certaines sources.
Diffusée en France sur M6 entre 1993 et 1994, Code Quantum est composée de 5 saisons créées par Donald P. Bellisario, et a été récompensée de pas moins de six Emmy Awards et deux Golden Globes, dont le Prix du Meilleur acteur dans une série dramatique et Meilleur acteur dans un second rôle pour ses deux interprètes principaux.
Ronnie Spector n’est plus. Et avec elle s'en va un petit bout de la grande histoire de la soul music. "Notre ange bien aimée a paisiblement quitté ce monde aujourd'hui après une brève bataille contre le cancer", ont déclaré les proches de la star âgée de 78 ans dans un communiqué. "Ronnie a vécu sa vie avec une étincelle dans l'œil, une attitude pleine d'entrain, un sens de l'humour féroce et un sourire sur son visage".
Née Veronica Greenfield d'une mère afro-américaine et amérindienne et d'un père d'origine irlandaise, dans le quartier de Spanish Harlem, à New York, la chanteuse avait formé les Ronettes avec sa sœur, Estelle Bennett et sa cousine Nedra Talley. Le groupe se fait connaître dans la région avec ses chansons d'amour soul avant de signer en 1963 avec le légendaire producteur Phil Spector, bientôt l'époux de Ronnie.
Avec leurs yeux séducteurs, leur coiffure XXL et leurs jupes au-dessus des genoux, les Ronettes vont dérouler une série de tubes au début des années 1960, notamment "Baby, I love you", "(The Best Part of) Breakin' Up", mais surtout "Be My Baby", qui fut intronisé en 1999 au Grammy Hall of Fame.
La chanson, emblématique du style de production symphonique de Phil Spector, connu sous le nom de "Mur du son", a été utilisée comme bande sonore dans des films comme Mean Streets de Martin Scorsese (1973) ou Dirty Dancing (1987) lors d'une scène de répétition mythique entre Jennifer Grey et le regretté Patrick Swayze, regardez...
Les Ronettes ont été le seul groupe de filles à partir en tournée avec les Beatles, en assurant leur première partie en 1966. Elles se sépareront en 1967 et l'année suivante Ronnie épouse Phil Spector. Le couple divorce en 1974 et la chanteuse racontera dans une autobiographie les années de maltraitance qu'elle a subies de la part de celui qui sera emprisonné pour meurtre en 2009.
Après les Ronettes, Ronnie Spector a continué une carrière solo, ponctuée de plusieurs collaborations avec des artistes comme Eddie Money et le Bruce Springsteen E Street Band. Son album sorti en 2006, The Last of the Rock Stars, comprenait des collaborations avec Keith Richards des Rolling Stones et Patti Smith.
Dans les pages de Gala, ce jeudi 13 janvier, Stéphane Plaza s’est confié à coeur ouvert sur son quotidien et ses valeurs. L’occasion pour le célèbre agent immobilier de M6 de revenir sur cette belle leçon qu’il a apprise au cours de sa vie. Interrogé sur ce qu’il a découvert, au fur et à mesure des années chez lui, l’acolyte de Karine Le Marchand a confié avoir appris à aimer.
“J’ai appris à dire ‘Je t’aime’ aux êtres chers comme mon père, par exemple”, partage Stéphane Plaza. Et de préciser ensuite : “La vie passe trop vite, alors j’ai réalisé qu’il faut faire attention à sa santé et ne pas avoir peur d’aimer.” Une douce confidence qui témoigne de toute l’attention que porte ce dernier à son père, âgé de 90 ans. Un attachement encore plus fort depuis la perte tragique de sa mère en 2016, emportée par un cancer de la plèvre.
Invité sur le plateau de 50’Inside, le 1er janvier dernier, c’est avec beaucoup d’émotion que Stéphane Plaza avait évoqué les différentes émotions qu’il avait ressenti lorsque sa mère est partie. “Je ne comprenais pas pourquoi ma mère était partie. [...] J’ai toujours une souffrance énorme”, avait-il expliqué, mentionnant par la suite avoir eu “des idées noires” suite à cela. Un deuil encore difficile à digérer à ce jour pour l’animateur qui apparaît très attachant et blagueur à la télévision.
Pour preuve, le 22 décembre dernier, l’animateur de 51 ans avait partagé une photo bouleversante sur son compte Instagram. En légende d’un montage de deux photos de son père, ce dernier avait dévoilé tout le chagrin qu’il avait ressenti à l’approche des fêtes de fin d’année. “Noël n’a jamais été une fête très heureuse dans mon cœur et sans ma maman, cette date est toujours aussi particulière”, avait-il écrit.
Evan Rachel Wood n’a pas fini de faire des révélations sur sa relation chaotique avec Marilyn Manson. Après avoir affirmé l’année dernière que son ancien compagnon l’avait violentée pendant leur relation, la star de Westworld a annoncé dans un post sur Instagram avoir participé à un documentaire, Phoenix Rising. Elle y détaille, entre autres, les raisons pour lesquelles elle a décidé de « nommer son agresseur » et de se battre publiquement contre son ex.
« Je peux enfin le partager avec le monde entier. Je me suis associée à @amy_berg sur un projet intitulé Phoenix Rising. Un documentaire qui explore les aspects de ma vie, ma carrière, ma famille, le passage de #ThePhoenixAct, et finalement la décision de nommer mon agresseur publiquement », a-t-elle écrit en légende d’une photo où elle pose devant un cerisier en fleurs.
La réalisatrice, Amy Berg, a détaillé le projet auprès de Variety, le rapprochant d’un film comme Erin Brokovich, dans lequel le personnage de Julia Roberts se bat seule pour faire condamner une compagnie de distribution d’énergie. La documenteure s’est fait connaître avec Deliver us from Evil, consacré au prêtre pédophile Olivier O’Grady.
« Il ne s’agissait pas de Marilyn Manson et de son monde entier. Il s’agissait d’une histoire à la Erin Brockovich. Nous voulions vraiment raconter une histoire sur l’autonomisation, quelque chose qui offrirait des ressources aux femmes et aux hommes qui sont coincés dans des situations de violence. Et c’est ce que nous faisions, jusqu’à ce qu’elle décide de le nommer publiquement », a-t-elle expliqué.
Phoenix Rising sera présenté dans le cadre du festival de Sundance le 24 janvier prochain. HBO, qui diffuse Westworld, la série dans laquelle joue Evan Rachel Wood, programmera le documentaire « dans les mois à venir ».
Marilyn Manson, de son côté, n’a pas encore réagi à ce projet, et avait auparavant démenti les accusations portées contre lui.
Vous connaissez ce visage et ses contours, indissociables du film qui l’a fait connaître. Vingt-cinq ans après la sortie de Scream, le masque de Ghostface - c’est le nom attribué au tueur - est devenu l’objet culte des fêtes d’Halloween. Aux États-Unis comme en France, il trône au milieu des rayons de déguisements, avant d’être porté par les petits monstres qui parcourent les rues.
Dans le classique de Wes Craven, le masque n’a pourtant rien d’un simple accessoire pour enfants. Il symbolise la menace qui pèse lourdement sur les habitants de Woodsboro. Pour l’équipe du film, il fallait trouver le visage parfait qui allait incarner la peur. Son origine et sa fabrication sont tout aussi surprenantes que le phénomène culturel qu’il a engendré.
1996. À quelques semaines du début du tournage, toute l’équipe du film parcourt plusieurs villes de Californie pour repérer les futurs décors. Près d’une maison abandonnée, le réalisateur Wes Craven trouve un carton rempli d’objets, posé près d’un garage. C’est dans ce débarras qu’il découvre le visage iconique du tueur de son film.
Inspiré par la célèbre peinture du Norvégien Edvard Munch, Le Cri, le masque est fabriqué par une société spécialisée dans les déguisements, Fun World. Il porte même un nom : le Peanut-Eyed Ghost - le fantôme avec des yeux en forme de cacahuètes. Le cinéaste est persuadé d’avoir déniché la perle rare et souhaite en acheter les droits.
Malheureusement, l’entreprise demande beaucoup d’argent au studio Dimension Films qui refuse de céder. Pour trouver une alternative, Wes Craven demande à la société des effets spéciaux KNB EFX de créer des variantes qui se rapprochent le plus possible de l’original.
Au total, plus d’une vingtaine de modèles sont réalisés et tous sont rejetés par le studio. Le tournage commence et un masque, semblable à la version finale, est choisi pour le tueur. Finalement, la société Fun World et le studio hollywoodien trouvent un arrangement. Les droits sont cédés à l’équipe du film.
Quelques scènes avaient déjà été tournées, mais plusieurs séquences ont été refilmées avec le nouveau costume pour uniformiser le look du tueur. Il est possible d'apercevoir quelques plans avec le premier masque, notamment lors de l’ouverture avec Drew Barrymore ou lors de la mort du principal. Pour le reconnaître, c'est simple : la forme des yeux et de la bouche est plus petite, le visage, lui, plus aplati.
Pour découvrir les croquis des différentes propositions du masque finalement rejetées, cliquez ici.
Scream est actuellement au cinéma.
Lancé en octobre dernier, Red Notice est devenu le film original Netflix le plus vu dans toute l’Histoire de la plateforme, avec notamment plus de 200 millions d’heures de visionnages recensées dans les 28 jours qui ont suivi sa mise en ligne.
Superproduction tournée aux quatre coins du monde (mais principalement dans des studios en Georgie), Red Notice réunit les trois plus grandes stars de la planète : Dwayne Johnson, Gal Gadot et Ryan Reynolds.
L’histoire du film suit les aventures d’un agent du FBI déchu et d’un arnaqueur lancés sur les traces d’une voleuse de talent, sur fond de course-poursuite à échelle internationale. Coups bas, trahisons et retournements de situation sont au programme de cette comédie d’action signée Rawson Marshall Thurber (Dodgeball).
Face à un tel triomphe, Netflix n’a pas hésité à mettre en place non pas une suite, mais bien deux nouveaux films qui réuniront vraisemblablement, selon nos confrères de Deadline, le trio du premier.
Rappelons que chacun des acteurs de Red Notice a été payé vingt millions de dollars, laissant ainsi présager une flambée du budget pour ces suites (le film était déjà le plus cher jamais tourné par Netflix, avec un budget estimé à environ 200 millions de dollars).